#FrenchIoT
Explore tagged Tumblr posts
Video
youtube
Le Groupe La Poste présente ses start-up à Viva Tech
Le Groupe La Poste était présent au salon Viva Technology 2017 pour y présenter le fruit de la collaboration avec 58 start-up dont celles accompagnées par le programme French IoT.
5 notes
·
View notes
Photo
RT @VPagnon: [ #CES2020 ] Merci à Marie-Camille Rey et la délégation @auvergnerhalpes de votre visite sur le stand @GroupeLaPoste. 👉 @ido_data #startup #FrenchIoT lyonnaise développe #Dial, bracelet connecté d'alerte pour adeptes de sports nautiques @SauveteursenMer @ph_starck https://t.co/Dtee7eQt1p
Source: @pressecitron
0 notes
Photo
Voici les 15 startups #FrenchIoT 👉https://t.co/5Mo8T3M0VI Santé⇢@ExactCure @MyWiStim @aum_biosync SmartCity⇢Nielsen Concept @stimergy @smarthab Services⇢@LivingPacketsFR @pickeos @ido_data @southpigalleAI DeepTech⇢@golem_ai @OneVisageSa Keopass CivicTech⇢Airudit @pitangoo https://t.co/HCoLrRthYm
Source: @pressecitron
0 notes
Photo
Top sur @snap le spécial @VivaTech @GroupeLaPoste C’est reparti pour une journée de démo Innovation pour #SimplifierLaVie et 40 #startup #FrenchIoT @startinpost @Big4Start cc @VPagnon @BlandineAlglave @PironTristan @pierresc @FJouron @jucepama @billet_p @lucie_phaosady @hug_hpic.twitter.com/0IQ8cchSmr Top sur @snap le spécial @VivaTech @GroupeLaPoste C'est reparti pour une journée de démo Innovation pour…
0 notes
Link
via Twitter https://twitter.com/cedricmartin60
0 notes
Photo
Le coworking, un bon moyen de networker ?
Les start-up ont besoin de se constituer rapidement un réseau pour espérer grandir. Le coworking peut-être une solution pour rencontrer de futurs partenaires.
Les initiatives pour accompagner les start-up dans leur développement sont aujourd’hui nombreuses. Entre concours de start-up, programmes d’accompagnement et présence sur les salons, les jeunes pousses innovantes ont maintes fois l’occasion de faire les rencontres qui changeront, peut-être, le cours de leur histoire.
La chose n’est pas aisée. Il faut savoir se présenter, présenter son innovation, expliquer les usages qu’elle crée. Rien d’évident à l’heure où les idées, comme les start-up, se multiplient à mesure que l’Internet des objets invente de nouveaux usages. Et se diffuse de plus en plus dans le quotidien des Français.
Pour nouer des contacts facilement, sans passer par les réseaux sociaux ou les applications mobiles, Eric Martin a sa petite idée. Il a cofondé en 2012 Start-Way, un réseau d’une quinzaine d’espaces de coworking et de bureaux partout en France. Le but : offrir des bureaux flexibles avec des services collaboratifs. « On peut venir travailler quand on veut, on peut générer et gérer sa croissance ici, être vingt personnes aujourd’hui et demain cinquante », explique le responsable.
Les start-up peuvent y trouver tout ce dont elles ont besoin pour leur travail (accès wifi, imprimante…) et de l’aide, si besoin, sur les aspects administratifs. Le petit plus, « c’est le vivre ensemble, les échanges qui se créent » dans un endroit où les jeunes entrepreneurs « se sentent chez eux », avec « des gens à qui parler », assure Eric Martin.
Au sein de l’espace, « tout meet-up ou conférence est l’occasion de se rencontrer »
Start-Way, qui accueille quelque 450 personnes, des start-up de deux à soixante salariés, organise une quinzaine d’évènements par mois dans ses structures. A son initiative ou celle des sociétés qu’elle abrite.
Autant de moments qui facilitent les rencontres. « Tout meet-up ou conférence est l’occasion de se rencontrer dans un cadre convivial, mais toujours avec des thématiques professionnels qui intéressent les start-up », explique la direction de Start-Way.
« Ici l’échange est vraiment valorisé, naturel, vous serez forcément en contact avec les gens et de cet échange, va sortir quelque chose », ajoute Eric Martin.
Les start-up restent en moyenne deux ans entre les murs de ces espaces de coworking. Start-Way vise à terme d’atteindre une quarantaine d’implantations à travers la France.
Près de 400 espaces de coworking sont actuellement ouverts sur le territoire.
Benjamin Hay - Illustration Pexels.com
2 notes
·
View notes
Video
youtube
Lancement du programme French IoT 2017
La troisième édition du programme French IoT a officiellement été lancée le 5 avril à l'occasion du Sido.
Vanessa Chocteau, directrice du programme nous explique les ambitions de ce programme de soutien à l’innovation dans l’Internet des Objets.
1 note
·
View note
Photo
Cube connecté GreenMe : « S’occuper du salarié, c’est le valoriser »
La start-up Aca-O s’est lancée pour défi d’améliorer les conditions de travail des salariés grâce à un cube connecté qui tient dans la main. Et ça marche.
Au départ, lors de la création de la société Aca-O, son activité se centrait sur la simplification des interfaces logicielles en entreprise. On n’était déjà pas loin de toucher au confort du salarié, quand le virage s’est réellement amorcé, à partir de 2012. « Nous avons été amenés à travailler sur plusieurs projets de développement autour du bâtiment à haute performance énergétique », explique le cofondateur de la start-up, Alexandre Dugarry. Or, rappelle le jeune dirigeant, « en général, lorsque l’on cherche à faire des économies d’énergie, se pose la question du confort » des occupants des lieux. Et d’insister : « Quel intérêt y-a-t-il à faire 3% d’économies d’énergie si cela doit avoir un impact sur le bien-être d’un collaborateur ? »
GreenMe est le fruit de cette réflexion. Cet objet connecté, qui se présente sous la forme d’un cube qui tient dans la main, se pose sur le bureau. Il mesure une dizaine de paramètres environnementaux tels que le taux d’humidité, la température, les niveaux d’éclairage et de bruit. Avec ce qui est, pour ses créateurs, LE gros plus : d’une simple pression sur la face concernée, le salarié peut envoyer un message signalant les raisons d’un inconfort. Message qui sera traité par le service des ressources humaines. « Ce n’est pas parce que les données remontées au service RH sont bonnes que cela signifie que les salariés vont tous très bien, tempère Alexandre Dugarry. GreenMe leur permet de s’exprimer et d’ajouter un ressenti humain à la donnée. »
« Nécessaire si l’on veut garder les talents »
Le petit cube, qui fonctionne grâce à la technologie LoRa, peut être utilisé par une seule personne ou une petite équipe, selon la taille de l’espace et le nombre de salariés qu’il abrite. « On a voulu quelque chose qui soit sur-mesure et pertinent », rappelle Alexandre Dugarry.
Le parcours de GreenMe a débuté en 2015, avec un premier déploiement de 130 objets, répartis entre une trentaine de clients. L’année suivante, 300 nouveaux cubes sont dispatchés. Début 2017, c’est l’heure de l’industrialisation pour cet « assistant » connecté, made in Sud-Ouest : GreenMe est fabriqué à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) et Lourdes (Hautes-Pyrénées).
Et maintenant ? « Maintenant, il faut vendre beaucoup », glisse dans un sourire Alexandre Dugarry. Aca-O, qui prospecte à l’international, travaille toujours sur l’installation de modules complémentaires pour GreenMe, vendu ou le plus souvent loué.
« Depuis le début de l’année, je ne compte plus le nombre de sollicitations que l’on a reçu », s’enthousiasment les dirigeants de la société. Le processus de transformation digitale des entreprises, qui prendra certainement plusieurs années encore, ouvre nombre de perspectives à GreenMe.
Pour Alexandre Dugarry, « les méthodes de management ont été bouleversées par le numérique et il y aura toujours une compétition entre les entreprises sur les métiers. Or s’occuper du salarié, c’est le valoriser, ce qui est nécessaire si l’on veut garder les talents. »
0 notes
Photo
Concours French IoT « Saison 3 » : les 15 start-up lauréates dévoilées
La Poste révèle le nom des 15 start-up lauréates de son « Concours French IoT » consacré aux objets connectés.
Ce concours fait partie du programme d'innovation « French IoT » lancé par La Poste, réunissant des grands groupes, des acteurs régionaux et une communauté de 180 start-up, tous connectés au Hub numérique de La Poste. Les 15 start-up élues, qui participeront grâce à La Poste au prochain Consumer Electronics Show© de Las Vegas, bénéficieront d’un accompagnement pour développer leurs projets.
Succès de la 3e édition du « Concours French IoT »
Pour sa 3e édition, le « Concours French IoT » de La Poste a permis de sélectionner 15 start-up développant des projets liés aux objets connectés dans 4 catégories : Smart Home & Smart City, bien-être au travail, santé, transport et mobilité individuelle.
Les 15 start-up gagnantes ont été sélectionnées sur plusieurs critères : caractère innovant de leur projet, pertinence du modèle économique et qualité de l’équipe.
Cette phase d’évaluation a été conduite grâce, notamment, à l’expertise des cinq grands partenaires de La Poste participant au « Programme French IoT »:
Altarea-Cogedim, pour la catégorie Smart Home & Smart City
le Fonds Recherche & Innovation de la Fédération Hospitalière de France, dans la catégorie de la santé
Malakoff-Médéric dans la catégorie du bien-être au travail
la RATP et la MAIF dans la catégorie du transport et de la mobilité individuelle.
Le programme French IoT, un véritable accélérateur de business
Les lauréates du « Concours French IoT » bénéficieront d’un dispositif d’accompagnement personnalisé au sein du programme French IoT leur permettant de développer leurs projets et de se préparer à participer au CES© de Las Vegas en janvier 2018.
Ce programme comprend :
Un « Bootcamp » d’une semaine à partir du 28 août 2017, organisé en partenariat avec le Hub Institute et les équipes de Docapost IoT, afin de présenter leurs projets et favoriser les synergies au sein de la promotion French IoT.
Du coaching personnalisé lors des « Start-up days » mensuels pour développer toutes les facettes de l’activité et se préparer au CES© 2018.
Un stand d’exposition au prochain CES® du 9 au 12 janvier 2018 à Las Vegas.
Un accès gratuit d’un an au Hub Numérique de La Poste pour le développement de nouveaux services.
Une expérimentation grandeur nature de leur solution avec La Poste ou avec le partenaire de leur thématique.
Découvrez les 15 start-up finalistes la 3e édition du « Programme French IoT de La Poste »
Catégorie Smart home & smart city (sponsorisée par Altarea Cogedim)
42 Factory : Atmotrack, 1ère cartographie haute définition de la qualité de l'environnement en temps réel.
Qarnot computing : 1er radiateur numérique utilisant des micro-processeurs embarqués comme source de chaleur.
AI Mergence : E4 : un robot gardien intelligent et autonome de son logement.
Eisox: Tête thermostatique intelligente permettant d’adapter l’effort de chauffage dans son lieu de vie.
Catégorie Bien-être au travail (sponsorisée par Malakoff-Médéric)
Acloud : Protection acoustique suspendue pour espaces ouverts, en forme de nuage.
Orosound : Ecouteurs anti-bruit sans fil, qui améliorent le bien-être et la productivité au bureau.
Kiplin: Expériences connectées à destination de la qualité de vie au travail, de la prévention santé, du parcours patient et de l’éducation.
Catégorie Santé (Sponsorisée par le Fonds Recherche & Innovation de la Fédération Hospitalière de France)
Diabeloop : Système médical intégré pour lutter contre le diabète de type 1.
Medicus : Start-up basée à Vienne, qui convertit les résultats des bilans sanguins en une expérience visuelle, facile à comprendre avec des recommandations pratiques.
Apitrak: Solution simple pour géolocaliser du matériel médical dans un hôpital.
Sil-Lab Innovation : Laboratoire Idelab, de biologie médicale mobile, pour la prise en charge du patient par son infirmière.
Catégorie Transport & Mobilité Individuelle (sponsorisée par la RATP et la MAIF)
Wavely : Capteurs acoustiques intelligents, connectés et autonomes pour identifier un dysfonctionnement sur un équipement industriel ou une infrastructure.
Novyspec : Solution d’analyse d'images pour la maintenance d'infrastructures, de matériels et d'habilitations.
Bik’Box : Solution de stationnement vélo intelligente, sécurisée, nomade et connectée.
Velco: 1er guidon de vélo connecté pour accompagner et assurer la sécurité des déplacements à vélo.
Avec ces 15 lauréats bénéficiant du programme d’accélération, et les start-up ayant obtenu un avis favorable pour rejoindre French IoT, la communauté regroupe à présent 180 start-up de l’IoT.
0 notes
Photo
French IoT saison 3 : l’équipe de France de l’IoT s’agrandit
La communauté French IoT compte désormais 180 membres. 51 nouvelles start-up rejoignent le programme d’accompagnement de start-up, pour cette saison 2017-2018 .
Elles disposeront d’un accès privilégié au Hub Numérique de La Poste pour le développement de leur solution connectée. Découvrez-les en détail dans la liste ci-dessous.
0 notes
Photo
Marché asiatique : une opportunité à saisir ?
Avec 1,4 milliards de clients potentiels et une zone de libre-échange (l’Asean, pour les pays d’Asie du Sud-Est), l’Asie fait figure d’eldorado. Pourtant, les startups françaises restent parfois frileuses à l’idée de s’y lancer. French IoT vous propose quelques clés pour mieux comprendre cette zone.
Selon les prévisions du cabinet IDC, à l’horizon 2020, la zone Asie-Pacifique (hors Japon) sera la première consommatrice d’objets connectés, devant les États-Unis et l’Europe. L’occasion semble donc belle, pour les startups françaises, de conquérir un marché souvent réputé pour sa complexité.
Depuis quelques années, Aykow distribue ses purificateurs d’air en Corée et dans d’autres pays de la zone. Un positionnement évident pour Grégory Jean, président et fondateur de la startup : « pour tout ce qui touche à la qualité de l’air, l’Asie demeure la zone géographique avec le plus de demandes. De surcroit dans qualité d’air, il y a le mot qualité et les produits Made In France bénéficie de cette image dans le monde et surtout en Asie. »
Un « Label » à faire fructifier
Car, en matière de produits (connectés ou pas), la France est une marque à part entière. « Les produits français sont beaucoup plus appréciés qu’on le pense. Je suis toujours étonné de constater que des cosmétiques coréens ou hongkongais optent pour un nom Français afin de faire croire qu’ils sont d’origine hexagonale », poursuit Grégory Jean. Autre particularité : tous comme les Européens aiment le design japonais ou coréen, les consommateurs asiatiques apprécient les designs occidentaux.
Économiquement, pour Grégory Jean, « l’Asie est un marché plus simple et abordable que des zones comme l’Amérique du Nord ou l’Allemagne. » Il faut toutefois appréhender certains codes, notamment en termes de certificats ou de droits de douane, mais aussi concernant la possibilité de fournir une facture en monnaie locale, un élément capital pour les distributeurs.
Passé ce respect des normes de vente, Grégory Jean l’affirme : « la clientèle a les mêmes exigences qu’en Europe. Elle veut de bons produits qui tiennent leur engagement, avec un rapport qualité prix optimal. »
En 2016, Aykow a réalisé un chiffre d’affaires de 150 000 € et devrait le multiplier par 10 dès cette année.
Romain Carlioz - Illustration © Savvapanf Photo © - Fotolia.com
0 notes
Photo
Ces innovations pour le bien-être au travail
Présentation de quatre start-up qui améliorent le bien-être au travail, présentes aux côtés du Groupe La Poste au salon Viva Tech.
L’Internet des objets ne développe pas seulement de nouveaux usages dans le cadre de la vie à la maison et pour les loisirs. Les objets connectés sont en effet nombreux aujourd’hui à œuvrer pour le bien-être au travail.
French IoT présente quatre de ces solutions mises en avant par le Groupe La Poste à l’occasion du salon Viva Tech, qui s’est tenu du 15 au 17 juin, à Paris.
GreenMe, un cube connecté qui mesure la qualité de l’environnement de travail
ACA-O a mis au point GreenMe, un objet connecté pour le bureau qui mesure les paramètres environnementaux pour améliorer les conditions de travail des salariés.
Il prend la forme d’un petit cube équipé de capteurs capables d’évaluer plusieurs paramètres en temps réel, tels que la température, le taux d’humidité, la qualité de l’air, de l’éclairage ou encore le niveau de bruit ambiant.
Autant d’informations qui vont permettre à GreenMe de proposer les mesures nécessaires à l’amélioration du confort au sein de l’espace de travail. Les salariés eux-mêmes pouvant exprimer leurs impressions par le biais d’un système de notation.
GreenMe a été récompensé du prix « Data et Usage » du concours Energie Intelligente EDF en 2014.
LiV, le purificateur d’air intérieur 3.0
La start-up Air Serenity a mis au point LiV, un purificateur d’air intérieur connecté capable de supprimer les microbes, les particules fines et les pollutions chimiques dans l’environnement ciblé.
Pour cela, il fait appel à une technologie brevetée par Air Serenity : une cartouche unique -dont la durée de vie est d’un an- capture les particules fines et les allergènes (poils de chat, acariens…) grâce à un filtre HEPA F7, les pollutions chimiques (et les composants volatiles) avec des éponges absorbantes et les microbes par le biais d’un plasma froid.
L’utilisateur est informé en temps réel sur son mobile de la qualité de l’air qui l’entoure.
Air Serenity qui a été sélectionnée en 2015 comme représentante de la French Tech et ambassadrice à la Cop 21, a été lauréate du premier concours French IoT.
QuB, pour de nouveaux services d’un seul clic
Voici un nouveau cube connecté qui entend faciliter la vie en entreprise. Développé par la start-up Axible et baptisé QuB, il permet aux salariés d’accéder à une multitude de services en envoyant une demande en appuyant deux fois sur l’une de ses faces. Chacune de ces six faces correspondant à un service particulier, personnalisables à volonté selon les besoins via une plateforme web.
Connecté au réseau Sigfox, ce petit objet de sept centimètres de côté sera installé à un endroit clé de l’entreprise (accueil, salle de réunion…) afin de centraliser et de faciliter les demandes en services. De quoi diminuer sensiblement les échanges d’appels et de mails.
QuB d’Axible a été lauréate de la deuxième édition du concours French IoT.
Silent Space, pour des espaces de travail moins bruyants
La société Orfea Acoustique a inventé un système, présenté lors du dernier CES de Las Vegas, qui a pour but de rendre plus « supportables » les nombreux bruits ambiants au sein des espaces de travail ouverts. Des open spaces où l’objet connecté Silent Space va diffuser un bruit de fond « neutre, doux et non dérangeant », selon ses créateurs, qui va masquer les sons parasites.
Le tour de force de Silent Space, c’est de se présenter sous la forme de petites enceintes dont plusieurs pourront être placées aux quatre coins d’une grande pièce. Pas besoin de travaux.
Et il s’agit bien là aussi d’un objet connecté. Le dispositif se compose d’un boîtier « contrôleur » qui analyse et transmet aux enceintes « diffuseuses » les informations acoustiques nécessaires sur l’espace traité afin d’y adapter le signal sonore et lumineux.
Silent Space a fait partie des seize lauréats de la deuxième édition du concours French IoT.
0 notes
Video
youtube
Quand le service se robotise
Les robots de service professionnels ou adaptés au grand public forment un secteur très prometteur. Pour trouver leur place dans notre quotidien, les constructeurs devront répondre à deux enjeux : développer la capacité d'interaction avec l'homme et l’autonomie des machines.
0 notes
Photo
Qu’est-ce que l’IoT peut encore créer de nouveau ?
En 2016, l’institut Gartner, évaluait à 5,5 milliards le nombre d’objets connectés actifs dans le monde. Des trackers d’activité aux thermostats connectés, ce marché en pleine expansion n’a cessé de se réinventer. Mais a-t-il atteint le seuil de ses possibilités ? Et que nous promet-il pour l’avenir ?
L’analyse d’Éric Carreel, entrepreneur pionnier de l’IoT, co-fondateur de Withings et actionnaire de la Cité de l’Objet Connecté.
French IoT : Quel regard portez-vous sur l’évolution de l’IoT ?
Eric Carreel : C’est un secteur qui est arrivé à maturité. On est progressivement sorti de la mode incarnée par ce terme, « objet connecté », pour revenir à la question de fond : quels bénéfices peut apporter l’innovation ? Les entreprises ont d’ailleurs compris qu’elles doivent être des fournisseurs de services, en lien direct avec les utilisateurs. On entre désormais dans une phase où le connecté va devenir une évidence. Prenons l’exemple du PC. Il y a 15 ans, c’était un outil qui servait à produire des données et, exceptionnellement, à les partager avec d’autres ordinateurs. Aujourd’hui, un PC sert à 95% sur Internet. Sans le réseau, il n’aurait plus aucune utilité. Je pense donc que, dans quelques années, on ne se posera plus la question de savoir si un objet est connecté ou non. Il le sera.
French IoT : Quels sont les domaines les plus dynamiques ?
E.C. : On parle beaucoup des trackers d’activité, des drones, mais il ne s’agit là que du marché « consumer ». Il y a de nombreux secteurs liés aux entreprises et aux collectivités où l’innovation reste très forte. Les transports en commun et la ville, en général, offrent des possibilités immenses. Le marché du BtoB constitue également un espace majeur parce qu’une entreprise qui utilise des objets connectés change sa façon de produire, de travailler. Et il y a une raison à cela : tout objet qui a accès à une intelligence, j’entends par là une capacité de service, d’accompagnement, modifie notre façon même de concevoir ces objets.
French IoT : Existe-t-il des freins à cette créativité ?
E.C. : Je ne pense pas, car tous les domaines sont concernés par les innovations de l’IoT. Il y a évidemment des barrières technologiques à franchir, des objets que l’on créé et qui restent perfectibles, mais cela ne constitue pas un frein à la création. Encore une fois, la seule question qu’il faut se poser reste celle de l’utilité de l’innovation, de son intérêt pour l’utilisateur. On parle de t-shirt connecté, par exemple. En théorie, rien n’empêche effectivement de mettre des capteurs dans un t-shirt. Mais, en réalité, l’expérience ne sera pertinente que pour un sportif. Alors, tant que l’IoT pourra enrichir les entreprises et les consommateurs, elle continuera à inventer.
Propos recueillis par Romain Carlioz - Illustration Withings
0 notes
Photo
Objet connecté : phase de tests, le moment clé
Comment se passe la phase de tests d’un objet connecté, lui qui vient créer de nouveaux usages auprès du consommateur ? Sandrine Bender, CEO de Meyko, raconte son expérience.
La phase de tests d’un produit nouveau est un moment clé en vue de sa future commercialisation. « Un test en conditions réelles », qui vient « lorsque l’on a fait tous ses choix de conception », témoigne Sandrine Bender, CEO de Meyko, un compagnon connecté dédié aux enfants asthmatiques.
Cette période permet, selon elle, « d’avoir un retour sur la vie de l’objet une fois qu’il sera commercialisé (…), de savoir si l’objet est fiable et surtout s’il apporte vraiment quelque chose ». Meyko est en phase de tests depuis un peu plus d’un mois dans six familles de la région nantaise.
Des « cobayes », que la start-up a rencontrés avant et qui ont été recrutés en communiquant dans les médias ou par le relais de médecins. « Meyko est là pour aider à la prise quotidienne du traitement et dédramatiser la maladie, explique sa créatrice. C’est un petit compagnon qui va vivre au rythme de l’enfant et qui va rappeler, à lui et à ses parents, le moment de la prise de médicaments (en s’affichant de « mauvaise humeur » et grâce à une appli pour smartphone, ndlr). »
La conception d’un objet connecté lié à la santé requiert une attention toute particulière. L’interaction avec les utilisateurs, les fameux « premiers retours », sont capitaux. « Nous avons de très bons retours sur l’objet, les enfants ne veulent pas le rendre mais, surtout, on voit que le discours change : l’enfant ne dit plus qu’il va prendre son traitement, il dit qu’il va s’occuper de Meyko », se félicite Sandrine Bender.
Et ce n’était pas forcément gagné d’avance. L’enfant, rappelle-t-elle, « est un public très particulier, très exigeant et binaire : il aime ou il n’aime pas ».
« Ne pas tout tester en même temps »
A cette première phase de tests, en contact avec l’enfant, succèdera une seconde. « L’intérêt, c’est de ne pas tout tester en même temps et de savoir exactement ce que l’on veut récupérer comme informations », explique la dirigeante.
Le rapport objet-enfant validé, viendra le temps de se pencher davantage sur « l’applicatif » et le suivi des résultats, pour une durée que la start-up jugera nécessaire.
Une fois l’ensemble terminé, ce sera l’heure du bilan. Il faudra alors rassembler toutes les données récupérées, peaufiner les derniers détails (choix des matériaux, hiérarchie des fonctionnalités…) avant l’industrialisation du produit.
Pour Meyko, tout se passe bien. « Nos appréhensions se sont vite envolées », confie Sandrine Bender, qui estime être dans les temps par rapport au calendrier que la start-up s’est fixée en vue de la commercialisation de l’objet, prévue pour l’année prochaine.
Benjamin Hay
0 notes
Photo
IoT en Europe : quels sont les pays les plus matures ?
Selon une étude du cabinet IDC, le marché mondial de l’IoT devrait atteindre un chiffre d’affaires de 1 290 milliards de dollars d’ici 2020. Troisième zone la plus dynamique, l’Europe de l’ouest a-t-elle des leaders en la matière ? Où se situe la France ? French IoT fait le point en chiffres.
En 2019, l’Europe pourrait peser 20% du marché mondial de l’Internet des Objets, soit 250 milliards de dollars (source IDC). Sans surprise, le trio de tête reste constitué des trois principaux pays de la zone : l’Allemagne, suivie du Royaume-Uni et de la France. Londres se distingue d’ailleurs par son investissement massif en faveur des technologies connectées (près de 95 millions d’euros de budget en 2015 dont 47 fournis par l’État britannique).
Mais, si ces trois pays ont les meilleurs taux de croissance sur l’IoT, d’autres nations émergent. L’Espagne s’illustre ainsi par son dynamisme. Selon une étude IDC de 2014, elle se montre bien plus mature que l’Allemagne en termes d’adoption des technologies connectées puisque 30% de ses entreprises ont lancé des initiatives dans le domaine, quand seulement 23% des établissements allemands ont intégré l’IoT dans leur développement.
Trois objets connectés par personne en Scandinavie
Autre aire géographique émergente, les pays nordiques (Suède, Danemark, Norvège) se placent en tête des marchés prometteurs. On y trouve, notamment, l’un des meilleurs taux de pratiques e-commerce (79% des Danois et 71% des Suédois, selon Eurostat), mais aussi une moyenne de trois objets connectés par personne, selon le rapport de l’opérateur Telia publié en 2017.
Du côté de la France, si le volume de chiffre d’affaires n’est évalué, par le cabinet PAC, qu’à 10 milliards d’euros « seulement », le taux de croissance du secteur IoT devrait atteindre 15% par an dans la décennie à venir. Surtout, IDC a annoncé, en mars 2017, que le déploiement des solutions connectées en entreprise a été multiplié par 2,5 depuis 2014. De quoi offrir de belles perspectives de croissance.
Romain Carlioz - © Grecaud Paul - Fotolia.com
0 notes