#Comolli
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amethyst, tanzanite, peridot, topaz, & 14k gold bracelet by tamara comolli.
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La misura dell'eleganza
La Calzoleria artigianale tra XIX e XXI secolo
a cura di Maria Canella ed Elena Puccinelli
con interventi tra gli altri di Quirino Conti e Natalia Aspesi
Lucini Libri, Milano 2010, 268 pagine, 22x28cm, ISBN 978-8890422270
euro 70,00
email if you want to buy [email protected]
Il libro ricostruisce con immagini inedite la storia della calzoleria artigianale tra XIX e XXI secolo in Europa e in Italia e soprattutto a Milano, capitale del pret-a-porter e dell'eleganza su misura negli abiti e negli accessori oltre di grandi nomi della tradizione della calzoleria italiana come quella della famiglia Rivolta.
12/11/23
#misura eleganza#calzoleria artigianale#Rivolta#Luciano Orio#Angelo Comolli#shoes books#fashion books#fashionbooksmilano
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Ernest Pignon-Ernest - Grenoble 1976
Pour une fois, la cause et l'effet sont sur le même dessin. La flèche et le tympan. Nous sommes à Grenoble mais l'image ne nous le dit pas. Elle ne nous dit pas non plus qu'il s'agit d'une sorte de commande sociale, d'un souci collectif. Le corps ouvrier est en butte aux « maladies professionnelles », aux « accidents du travail ». A l'usure, à la blessure, à la mort. C'est ce que l'on sait, c'est surtout ce que l'on oublie. Ne faut-il pas que cette image-là soit affichée sur l'un ou l'autre de nos murs mentaux pour en décaper le crépi ou le vernis, ne faut-il pas que le trait de crayon rafraîchisse notre mémoire comme on ouvre une plaie ? La question n'a d'autre réponse que la question.
Ernest Pignon-Ernest - Grenoble 1976
C'est donc à Grenoble que c’est affiché mais ça pourrait être partout. Partout, la flèche du son vrille le tympan. La flèche du sens, partout, épingle l'âme. Partout, la tête éclate de coups, le corps se tord sous le choc. Partout où ça ne se voit pas, c'est là. Ernest Pignon-Ernest œuvre ici à rendre visible ce qui ne se voit pas alors que ça se passe partout. Éclaterait-il, le tympan ne se voit pas. Qu'est-il d'autre, pourtant, qu'une feuille de papier déchirée par un coup de vent ? C'est exactement ce que dessine Ernest Pignon-Ernest : la déchirure est dessinée mais en même temps le papier est déchiré. Ceci n'est pas une métaphore : il y a un trou dans le réel du papier. Le tympan est une peau, une membrane. Dessinée, la flèche est perçante. Sans doute déchire-t-elle cette peau fragile qu’est le papier mieux que ne le ferait une flèche réelle d'une peau non moins réelle. Comme la peau est ici de papier, l'écorchure devient froissement : la ligne du corps, déjà, est brisée avant mème que papier, brisure du papier. Plus fragile que la peau, le papier collé par Ernest Pignon-Ernest est froissable, il est froissé, il nous vient avec ses lézardes, ses plis, ses frottis. La vie part en zigzag, la frappe de la mort.
Ernest Pignon-Ernest - Grenoble 1976
Nous sommes à Grenoble, des ouvriers sont malades, sont blesses. Accidents du travail. Le travail n'est pas un accident. Destin et dessin. Le dessin n'est pas le remède. L'exploitation n'est pas le destin. Le dessin nous fait sortir du contingent. Il écarte l'anecdote. Quelques fragments de nécessité viennent se briser sur le mur des villes laborieuses. La flèche semble n'avoir pas encore atteint sa cible, le tympan, la tête, le cou de l'homme, et pourtant il bascule en arrière. Ou bien elle l'a atteint, déjà depuis toujours. Ou bien elle ne l'a pas encore atteint, elle en est séparée quelques millimètres de crayon, de papier. Elle a percé et n'a pas percé. Les événements ici sont au passé ou au futur, ils ne sont pas au présent. Le dessin détient ce privilège de figer un instant du temps dont on ne peut pas vraiment savoir s'il est « avant », s'il est « après ». Avant quoi, après quoi ? lci, la mort est attendue, elle est en instance, figurale et non figurée. II y a un intervalle. Il y aura toujours un intervalle entre la flèche et la cible. La moitié d'un intervalle, la moitié d'une moitié, etc. En laissant le trait en suspens sur la page, le dessin a le pouvoir de figurer directement 'invisible. Là où le trait n’est pas allé ; ou, s'il y est allé, là où il n'est plus visible. D'un mot, le travail d' Ernest Pignon-Ernest fait du dessin un art du temps.
— Jean-Louis Comolli - La flèche et le temps
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There’s a post with this screenshot going around and a few people have rb’d it with “recommendations” but uh. Looking over the titles and the provided descriptions it’s pretty clear that almost none of these are actually on topic. One comment that ran for several paragraphs was about Al Shabaab in Somalia, a bunch more about the U.S.-based Symbionese Army, another about the Tamil Tigers, and then after this, the recommendations descended into ‘women writing anything ever about terrorism, including the KKK’, eventually devolved books about women doing terrorism written by men at which point I started to download a copy of The Anarchist Cookbook
Look at me. Take my hands. Do you realize you’re proving the original tweeter’s point to some extent? “I can’t find books by female authors on this SPECIFIC topic I’m interested in” and then you affirm that this is true by….not providing books by female authors on that specific topic(!!!) but with the air of someone who has successfully completed the assignment. Stop! No! Go directly to jail and do not collect 200 dollars!
It’s besides the point but here are actual book recommendations by actual female authors on actual West African jihadist groups: Boko Haram: Nigeria’s Islamist Insurgency by Virginia Comolli; Women and the War on Boko Haram by Hillary Matfess; A Geography of Jihad by Stephanie Zehnle; Their War Against Education by Lauren Seibert; By Day We Fear the Army, By Night the Jihadists by Corinne Dufka; The Silent Threat by Flore Berger
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we are SO CLOSE to shutting this prison down. they are rapidly losing what little support they had left. now is the time to keep the pressure on. justice for all who died there and for all who continue to live there in suffering. ✊
“The head veterinarian at the troubled Miami Seaquarium is resigning, county officials confirmed on Wednesday.
As recently as Nov. 28, inspectors with the U.S. Department of Agriculture said the marine park has a ‘single veterinarian...employed to care for the 46 marine mammals, 50 birds, and hundreds of fish, sharks and rays housed at the facility.’
A spokesperson for the Miami-Dade PROS said that officials were ‘recently made aware of the anticipated resignation of Head Veterinarian Jessica R. Comolli. The mayor and county officials were made aware this morning.’
County officials have not yet confirmed whether Comolli's resignation will leave the Seaquarium without a veterinarian.
The park has been beset with animal health and structural safety concerns after a series of USDA inspections. The Seaquarium has also recently lost its American Humane Association certification. Its lease agreement with Miami-Dade County requires it to maintain that certification.
This is a developing story...”
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JACQUES TOURNEUR
¿Qué tiene de particular el cine de Jacques Tourneur? ¿Qué lo hace, para algunos, no sólo insólito e intrigante, sino fascinante y permanentemente misterioso, mientras para otros es uno más de los incontables artesanos, eficientes pero impersonales, del cine hollywoodense del periodo clásico?
Hace falta conocer bien (y valorar) ese largo periodo histórico del cine norteamericano, de hoy inverosímil creatividad y variedad, para poder apreciar esa diferencia que, sin embargo, se intuye desde el primer contacto con cualquiera de sus películas, me atrevería a asegurar que incluso se siente al ver las menos controladas o logradas, como La battaglia di Maratona, o el montaje de episodios de una serie de TV como Frontier Rangers.
Las reacciones subjetivas a esa sensación de extrañeza han sido muy variadas, y sólo quienes han observado su constancia y continuidad en el cine de Tourneur hijo han sabido apreciarla como algo positivo, o al menos sumamente curioso, excepcional e interesante, en lugar de tomarla como una prueba de su supuesta incapacidad narrativa, de su falta de interés por lo que contaba o de un presunto descuido que chocaba con el muy cuidado aspecto visual de todas sus películas sin excepción, incluso las más pobres.
Sin embargo, no fue nunca este hijo de cineasta “histórico” reputado (Maurice, también con carrera doble en Francia y Estados Unidos) uno de los cineastas descubiertos o validados un poco “en bloque” por Cahiers du Cinéma en los años 50, y hubo que esperar a que, ya mediados los 60, tomaran su defensa algunos críticos individuales de Présence du Cinéma – básicamente Jacques Lourcelles y Pierre Rissient –, unos pocos de Cahiers – los primeros, Serge Daney, Louis Skorecki que entonces firmaba como Jean-Louis Noames, Jean-Louis Comolli, Dominique Rabourdin y Jean-Claude Biette – y algunos otros en otros países, generalmente caracterizados por los demás como “una pandilla de locos que pretende que un tal Jacques Tourneur es un cineasta importante”.
Con el tiempo, puede decirse que buena parte de los escépticos se ha rendido a la modesta evidencia no de nuestros razonamientos, sino de las películas mismas de Jacques Tourneur, hasta acabar ejerciendo una especial fascinación y una influencia implícita en algunos de los más importantes cineastas actuales. No es ilógico si se cree, como yo, que es tal vez Tourneur el más directo continuador de la herencia de Murnau – y por eso había elegido Tupapaoo (A Miniature) para iniciar esta muestra – y además el cineasta al que mejor se aplica una aseveración ya muy antigua de Jacques Rivette, según la cual Hawks habría realizado a lo largo de su carrera la mejor película de cada género. Yo encuentro más bien que el mejor ejemplo de film noir es Out of the Past – seguido de cerca por Nightfall –, el mejor de piratas Anne of the Indies, el mejor de aventuras The Flame and the Arrow, que varios de los mejores westerns son Canyon Passage, Great Day in the Morning, Wichita, Stranger on Horseback y Stars in My Crown, que poco cine fantástico iguala Cat People, I Walked With A Zombie, The Leopard Man o Night of the Demon, que pocos de desierto superan Timbuktu, y pocos de jungla Appointment in Honduras, pocos de guerrillas Days of Glory y pocos de indagación sobre el pasado bélico Circle of Danger. No habría mucha competencia tampoco, en el mínimo subapartado “cine de gauchos”, para Way Of A Gaucho, pero ocupa un puesto de honor en la más nutrida e ilustre rúbrica de “amantes perseguidos”, lo mismo que Experiment Perilous en el también concurrido departamento de “maridos asesinos” o sospechosos. Cierto que no hay en su carrera muestras ilustres de comedia o musical, pues Tourneur se vio confinado al amplísimo apartado del cine “de acción” ��� pese a que incumplió sistemática y contumazmente las reglas no escritas de ese vasto conglomerado de géneros y subgéneros cuya divisa era “ritmo, acción y violencia”.
Porque, curiosamente, el cine de Tourneur, además de muy poco ruidoso (pero decidida y consecuentemente sonoro) y más bien susurrado, fue siempre más bien lento y desprovisto de aceleraciones vertiginosas, eludió en la medida de lo posible la mostración explícita de la violencia y dedicó más tiempo a la reflexión que a la acción, por otra parte casi nunca trepidante. Y en eso se apartó decidida y tenazmente del grueso del cine americano clásico, de forma aún más total y llamativa incluso que otro notorio “disidente”, también europeo, Fritz Lang, o que esa otra anomalía (realmente inexplicable) que fue Allan Dwan, incluso mucho antes de convertirse en un viejo dinosaurio.
Lo más asombroso de casi cualquier película de Jacques Tourneur, junto a su prodigioso poder de síntesis, es que todo está contado y presentado al mismo nivel. Encuentro imposible destacar no ya una secuencia, sino un plano, porque todos son exactos, certeros, precisos, medidos y necesarios. Todo es claro, simple, breve, escueto, desnudo, directo. Nada es arbitrario, caprichoso o coqueto. No hay adornos ni florituras, ni la menor pretenciosidad. Nada sobra. Nada se anuncia, nada es previsible, pero todo resulta – hasta lo más fantástico – extrañamente verosímil.
Tanto Canyon Passage como otro gran western rodado nueve años más tarde, Wichita, consiguen dar un tono, un ritmo y un sabor absolutamente insólitos al más clásico y tradicional material, que parece en ambos casos un guión de western típico, casi antológico. Es una habilidad – si es que se trataba de algo deliberado – de Tourneur que hace profundamente originales todas sus obras, sea cual fuere el género al que, en teoría, se puedan adscribir, y por diferentes que sean sus actores, sus presupuestos, sus formatos o las compañías productoras para las que trabajase. Todas se parecen, como poco, en su carácter marginal, atípico, a "contrapelo", que es, probablemente, lo más personal de su cine, dada su escasa afición a referirnos sus intimidades biográficas: nos cuente lo que nos cuente, el estilo narrativo es el mismo, y poco tiene que ver con lo que suele considerarse normal – y que no siempre suele serlo, dicho sea de paso – en el cine americano llamado "clásico" o "tradicional".
Lo primero que llama la atención, si uno se fija muy atentamente, de las nada pretenciosas ni llamativas películas de Tourneur es que parecen caminar "de puntillas", como si tratasen de pasar desapercibidas. Si nos preguntamos a qué se debe tal discreción, veremos que tiene bastante que ver con una serie de rasgos comunes:
a) su brevedad: es rara la película de Tourneur que supera o incluso que llega a la hora y media, y bastantes ni alcanzan la hora y cuarto;
b) paradójicamente, la extraña sensación de calma que se desprende de ellas, aunque sean cine “de acción” o incluso de terror;
c) la acción, por constante o violenta que pueda ser, no es nunca trepidante, y el terror no procede de escenas explícitas de sangre y muerte, sino de un inquietante ambiente enrarecido;
d) su volumen sonoro es siempre muy discreto, además de monocorde, y hay que aguzar el oído – lo que nos obliga a estar atentos y siempre pendientes de la pantalla –, porque los personajes hablan bajo y despacio, casi en un susurro, de la manera más confidencial y menos teatral concebible; desgraciadamente, esta característica casi exclusiva y fundamental no fue nunca respetada por el doblaje en España, que traicionaba así el estilo de Tourneur, por lo que es ignorada por todos aquellos que no hayan visto sus películas en V.O.;
e) el destierro total de los efectos, de la retórica, de las presentaciones espectaculares y de los remates y las "tracas finales": al arrancar, parecen asomarse a la historia, llegar tarde a una acción ya en curso; al final, se apagan, se disuelven;
f) de ahí su carácter "fragmentario": dan la sensación de no ser toda la historia, sino un trozo, y de limitarse a la pura apariencia de lo material visible;
g) paradójicamente, a menudo tratan de fantasmas, apariciones, posesiones y otros fenómenos espirituales e intangibles o, más prosaica pero no menos misteriosamente, de relaciones personales, influencias, intrigas subterráneas, conspiraciones, tramas insondables, investigaciones que no llegan a esclarecer nada, o de ideales, principios o filosofías vitales.
Todo es tan evidente y trasparente en casi cualquiera de sus películas que ni siquiera parecen escritas, pensadas, preparadas, ensayadas, encuadradas, iluminadas, filmadas y montadas: todo parece simplemente estar sucediendo, así, en tiempo presente, y además sin dar la sensación de ser ni un mero registro documental ni nada que se parezca ni remotamente a la realidad. Simplemente, parece el cine sucediendo, en el acto de ser. Desdichada virtud, ya que, suponiendo que se considere como tal, es casi invisible, y para colmo, parece algo fácil de lograr, algo que no requiere esfuerzo, cuando es, por fuerza, el resultado de mucha sabiduría y modestia, de mucha experiencia y mucho despojamiento, de una visión clara, una mente despierta y una ética profesional sin holguras ni resquicios, de alguien que ni quiere ser rico ni aspira a ser famoso, que no codicia premios ni prestigio, que no necesita elogios y que puede, por tanto, atreverse a hacer lo que cree que debe hacer, que además es lo que le apetece, sin tener que rendir cuentas a nadie.
Texto para la presentación de un ciclo sobre Tourneur en la Cinemateca Portuguesa (marzo de 2015)
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#ProyeccionDeVida
📽 Cine Club AF, presenta:
🎬 “ALPHAVILLE (Lemmy contra Alphaville)” [Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution]
🔎 Género: Ciencia Ficción / Drama / Nouvelle Vague / Thriller Futurista / Distopía / Neo-Noir
⌛️ Duración: 99 minutos
✍️ Guion: Jean-Luc Godard
🎼 Música: Paul Misraki
📷 Fotografía: Raoul Coutard (B&W)
💥 Argumento: Alphaville es una ciudad futurista situada en otro planeta, donde llega el periodista Ivan Johnson, siguiendo la pista del profesor Von Braun. Los otros agentes que le han precedido, Dick Tracy y Flash Gordon, han muerto. Von Braun, apodado Nosferatu, es el creador de Alpha 60, la máquina que comanda la vida mental de los habitantes de la ciudad.
👥 Reparto: Eddie Constantine (Lemmy Caution), Anna Karina (Natacha Von Braun), Akim Tamiroff (Henri Dickson), Jean-Louis Comolli (Profesor Jeckell), Michel Delahaye (Ayudante de Von Braun), Jean-André Fieschi (Profesor Heckell), Christa Lang (Seductora 1), Valérie Boisgel (Seductora 2), Jean-Pierre Léaud (Camarero), László Szabó (Ingeniero Jefe) y Howard Vernon (Profesor Leonard Nosferatu - Von Braun).
📢 Dirección: Jean-Luc Godard
© Productoras: Athos Films, Chaumiane & Filmstudio
🌎 Países: Francia-Italia
📅 Año: 1965
🎥 Proyección:
📆Viernes 09 de Agosto
🕖 5:00pm.
🎦 Sala de Proyecciones de la Alianza Francesa La Molina (av. Javier Prado Este 5595 - La Molina)
🚶♀️🚶♂️ Ingreso libre
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ISBN: 978-960-16-1903-3 Συγγραφέας: Jean Breschand Εκδότης: Εκδόσεις Πατάκη Σελίδες: 101 Ημερομηνία Έκδοσης: 2006-01-01 Διαστάσεις: 19x14 Εξώφυλλο: Μαλακό εξώφυλλο
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ISBN: 978-960-16-1903-3 Συγγραφέας: Jean Breschand Εκδότης: Εκδόσεις Πατάκη Σελίδες: 101 Ημερομηνία Έκδοσης: 2006-01-01 Διαστάσεις: 19x14 Εξώφυλλο: Μαλακό εξώφυλλο
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Liste pour la LDC dévoilée : 2 nouvelles recrues absentes pour Lens !
La saison de la LDC est sur le point de commencer, et le RC Lens a dévoilé sa liste de joueurs pour la compétition. Si certains noms étaient attendus, d'autres ont suscité de vives réactions. Décryptage ! Spierings, une intégration difficile à Lens Parmi les surprises, l'absence de Stijn Spierings, le milieu de terrain néerlandais, qui a rejoint les Sang et Or après une saison remarquée à Toulouse. Après avoir été couronné meilleur récupérateur d'Europe lors de sa saison à Toulouse, Spierings semblait être une recrue de choix pour le RC Lens. Toutefois, son adaptation au style de jeu de Franck Haise n'a pas été aussi fluide que prévu. Sa performance en demi-teinte contre l'AS Monaco a mis en lumière ses difficultés. Lire aussi : - Tirage au sort de la LDC : Un groupe abordable pour le RC Lens ? Liste pour la LDC de Lens : Des recrues privilégiées, Spierings écarté Suite à cette rencontre, une discussion entre le joueur et le coach lensois a eu lieu, mettant en doute son investissement au sein de l'équipe. Alors que son contrat court jusqu'en 2027, Spierings ne figure pas sur la liste LDC de Lens, contrairement à d'autres recrues récentes comme Wahi, Diouf et Aguilar. L'arrivée de Nampalys Mendy au club semble avoir renforcé cette mise à l'écart, laissant planer des rumeurs sur un éventuel départ de Spierings. Voir également : - Départs et arrivées, on fait le point sur le mercato agité du RC Lens Retour à Toulouse pour le néerlandais ? Mohamed Toubache-Ter, journaliste bien informé, évoque des problèmes d'intégration pour le milieu néerlandais au sein du RC Lens. Malgré son séjour en France depuis 2020, Spierings ne serait pas prêt à quitter la Ligue 1. Des pourparlers seraient en cours entre le RC Lens et le Toulouse FC pour un possible retour du joueur dans la Ville Rose. Une entrevue avec Comolli, figure emblématique du Toulouse FC, confirme cette tendance. Toulouse pourrait envisager d'accueillir Spierings en tant que joker, probablement sous forme de prêt. Si cela se concrétisait, le match contre Monaco pourrait bien être le dernier de Spierings sous le maillot lensois. D'autres absences notables sur la liste de la LDC pour Lens Spierings n'est pas le seul à être absent de cette liste prestigieuse. Oscar Cortès, le prometteur colombien, n'y figure pas non plus. De même, Wuilker Farinez et Jimmy Cabot, deux joueurs clés de l'effectif lensois, sont écartés en raison de blessures. La liste des joueurs inscrits pour la LDC de Lens pour cette saison révèle des choix stratégiques forts de la part de Franck Haise. ________ Retrouvez toute l'actu foot sur notre page Facebook et sur notre page Twitter ! Read the full article
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carnelian, citrine, garnet, tourmaline, morganite, & 14k gold bracelet by tamara comolli.
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Lecco: Secondo appuntamento con le Passeggiate d'autore sulle tracce di Plinii, Leonardo da Vinci, Nietzsche, Percy e Mary Shelley
Lecco: Secondo appuntamento con le Passeggiate d'autore sulle tracce di Plinii, Leonardo da Vinci, Nietzsche, Percy e Mary Shelley. L'iniziativa rientra tra le attività del progetto Valorizzazione dell'identità del giardino storico di Villa Monastero finanziato con il Pnrr M1C3 Investimento 2.3 Programmi per valorizzare l'identità dei luoghi: parchi e giardini storici. L'evento avrà inizio alle 10.00 di sabato 22 luglio a Villa Monastero, con ritrovo nella loggia dopo la biglietteria. La fine della passeggiata è prevista per le 13.00 sul ponte che scavalca il Fiumelatte, dove si trova il cartello che lo indica come il più corto d'Italia. Per la precisione è secondo per brevità dietro l'Aril che si getta nel lago di Garda (175 metri contro 250), ma di sicuro è quello che ha maggiormente acceso la fantasia di scrittori, poeti e scienziati per la sua stagionalità e il sistema di grotte carsiche da cui sgorga. "A riscontro a Bellagio castello è il Fiumelaccio, el quale cade da alto più che braccia 100 dalla vena donde nasce, a piombo nel lago, con inistimabile strepito e romore. Questa vena versa solamente agosto e settembre", annotò Leonardo da Vinci nel "Codice Atlantico" attorno al 1493. Il percorso di circa 2,5 chilometri, si svolgerà per metà nel parco di Villa Monastero e per l'altra metà lungo un tratto della Greenway dei Patriarchi, itinerario pedonale che collega le frazioni di Varenna i cui abitanti un tempo erano chiamati i "patriarchitt", perché in epoca medievale facevano parte del Patriarcato di Aquileia e non dell'Arcidiocesi di Milano. Lungo il percorso sono previsti cinque momenti di narrazione e letture. Nel giardino botanico di Villa Monastero saranno proposti brani di Paolo Giovio e Sigismondo Boldoni, che con le loro dotte e pionieristiche guide fondarono nel XVI-XVII secolo il mito del Lario come "Patria dei due Plinii" e testimoniarono la trasformazione dell'antico monastero cistercense in villa della famiglia Mornico. Non mancheranno letture dalla "Naturalis Historia" di Plinio il Vecchio, nel roseto (Plinio trattò dettagliatamente le virtù medicali delle rose) e presso la statua della "Clemenza di Tito" di Comolli (proprio a Tito è dedicata la sua enciclopedia). Una sosta intermedia si terrà nel camposanto di Varenna, detto "il cimitero degli inglesi" per i numerosi figli di Albione che all'epoca del Grand Tour scelsero di riposare per sempre in questo luogo di grande suggestione, incastonato tra lago e montagna. Qui si leggeranno due brani di Mary Shelley (dal libro "A zonzo sul lago di Como, edito nel 2020 da Sentiero dei Sogni) e di suo marito Percy (dal poema "Rosalind e Helen") che propongono due riflessioni sulla vita e sulla morte ispirate da altrettanti viaggi sul Lario. Nella frazione di Fiumelatte si darà spazio anche alle suggestioni lasciate dai numerosi autori che in questa zona hanno ritenuto di collocare una delle ville di Plinio il Giovane (la Commedia, secondo alcuni situata dove oggi si trova Villa Capuana e secondo altri un poco più a Sud al confine tra Varenna e Lierna) e a Friedrich Nietzsche che in una lettera indica come ambita meta estiva per il suo gruppo di amici proprio Villa Capuana. Conduce il percorso Pietro Berra, giornalista e scrittore, le letture sono affidate all'attrice Lorena Mantovanelli.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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Cine y anarquismo: La Cecilia (Italia-Francia, 1975) de Jean-Louis Comolli •
A pesar de sus limitaciones (evidentes en el presupuesto: sistema cooperativo en 16 mm., hinchado para su difusión, actores no profesionales), La Cecilia es un film estéticamente logrado que incluso rompe con las estructuras de la narrativa tradicional -aún así, a veces, descuida la perfección de la imagen- y que ofrece con creces el contenido de un relato que se hace apasionante. — Leer en…
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Angers sporting club Saïd Chabane Gérald Baticle, Bordeaux Football Club des Girondins Gérard Lopez Vladimir Petkovic, Brest Stade brestois Denis Le Saint Michel Der Zakarian, Clermont-Ferrand Clermont Foot Ahmet Schaefer Pascal Gastien, Lens Racing Club Joseph Oughourlian Franck Haise, Lille LOSC Olivier Létang Jocelyn Gourvennec, Lorient Loïc Féry Christophe Pélissier, Lyon OL Olympique lyonnais Jean-Michel Aulas Peter Bosz, Olympique de Marseille OM Pablo Longoria Jorge Sampaoli, Metz Football Club Bernard Serin Frédéric Antonetti, Monaco AS Association sportive Monaco FC Dmitri Rybolovlev Niko Kovac, Montpellier-Herault Sport Club Laurent Nicollin Olivier Dall'Oglio, Nantes Football Club Waldemar Kita Antoine Kombouare, Nice OGC Jean-Pierre Rivère Christophe Galtier, Paris PSG Nasser Al-Khelaifi Mauricio Pochettino Kylian Mbappé Lionel Messi Neymar da Silva, Reims Stade de Reims Jean-Pierre Caillot Oscar Garcia, Rennes Stade rennais Football Club Nicolas Holveck Bruno Genesio, Saint-Étienne ASSE Association sportive Roland Romeyer Bernard Caïazzo Claude Puel, Strasbourg Racing Club de Strasbourd Alsace Marc Keller Julien Stephan, Troyes Simon Cliff Laurent Battles Ajaccio AC Athletic Club Ajaccien Christian Lecat Olivier Pantaloni, Amiens Sporting Club Football bernard Joannin Philippe Hinschberger, Auxerre James Zhou Jean-Marc Furlan, Bastia SC Sporting Club Claude Ferrandi Mathieu Chabert, Caen Stade Malherbe Olivier Pickeu Stéphane Moulin, Dunkerque Union Sportive du Littoral Jean-Pierre Scouarnec Romain Revelli, Dijon Football Côte-d'Or Olivier Delcourt David Linares, Grenoble Foot 38 Stéphane Rosnoblet Maurizio Jacobacci, Guingamp En Avant Fred Legrand Stéphane Dumont, Le Havre Athletic Club Football Vincent Volpe Paul Le Guen, Nancy Association Sportive Nancy-Lorraine Jacques Rousselot Daniel Stendel, Nîmes Olympique Rani Assaf Pascal Plancque, Niort Chamois Niortais Football Club Guy Cotret Sébastien Desabre, Paris FC Pierre Ferracci Thierry Laurey, Pau Football Club Bernard Laporte-Fray Didier Tholot, Quevilly-Rouen Union Sportive Michel Mallet Bruno Irles, Rodez Aveyron Football Club Pierre-Olivier Murat Laurent Peyrelade, Sochaux Football Club Frankie Yau Omar Daf, Toulouse Football Club Damien Comolli Philippe Montanier, Valenciennes Football Club Eddy Zdziech Olivier Guegan 24h du Mans Alice Pérésan-Roudil Amazon Avatar Barbie Batman Beyonce Black Mirror Bordeaux Boulevard Voltaire Cannes Champion League Chargé de création graphique Chat GPT Château Circuit Bugatti Coupe du Monde Damien Bridonneau Didier Deschamps Didier Raoult Disney Dua Lipa Elon Musk Emmanuel Macron Eurovision Fasting Féminicide Football Gérald Darmanin Gérard Depardieu Gilbert Bordes Guillaume Musso Incendie Inflation Instagram Jean-Luc Mélenchon Jeux olympiques Johnny Depp Jordan Bardella Justine Triet Keto diet Ligue 1 Liverpool Lizzo Margo Robbie Marine Le Pen Marseille Marvel Mediapart Monster energy Mylène Farmer Netflix Nicolas Sarkozy Novak Djokovic NUPES Olivier Dussopt Olivier Véran Olympic games Olympics Olympique de Marseille OMAD Paris Paris 2024 Paris Saint-Germain PSG Qatar Rodez Roman Polanski Retraites Russia Russie Sandrine Rousseau Sécheresse Star Wars Succession Taylor Swift The Office Tik Tok Ukraine Union Unionizing Virginie Grimaldi Woke Wokiste
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Toulouse, from Ligue 2 to Europe!
Toulouse FC inflicted a historic 5-1 on FC Nantes in the final of the Coupe de France on Saturday evening in Saint-Denis. The Violets will have the pleasure of playing in the Europa League next season. A year (almost to the day) after ensuring his comeback in Ligue 1, the Toulouse F.C., of a president Damien Comolli with an assuredly modern project, won the Coupe de France on Saturday in…
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Augusto Giannoni presenta su tercer álbum solista
Hambre de lobos
@augustogiannoni presenta su nuevo álbum Hambre de Lobos 🐺
Este nuevo disco fue un disfrute sanador y condensa todas las influencias del artista en formato eléctrico rockero de sus orígenes. Toca temas existenciales, filosóficos, la seducción, el amor, el dolor y la sanación.
youtube
Son 8 canciones de las cuales la primera que abre el disco está dedicada a su querida ciudad natal La Plata, la canción se llama “Silver City”. En este tema grabó no solo voz y guitarra, sino que también grabó la batería honrando sus orígenes como baterista.
Es un disco “hazlo tú mismo”, Augusto estuvo a cargo de la composición, producción, grabaciones y mezclas, en su pequeño @tdtestudio y el arte de tapa.
El mastering lo hizo Chester Rezzano @chester.rezzano en Estudio Boston Rec @estudiobostonrec (CABA)
Es la tercera formación de este proyecto solista que se consolidó en 2022 compuesta por Bruno Pilia @brunopilia (@delfinesepm ) en batería, Charles Manso @charles.manso (La Ira del Manso/Los Bicivoladores) en Bajo y Christian Comolli @charles.manso (La Cumparsita/La Gallina de Rocky) en guitarra.
Invitados: Sofía Marcó @charles.manso en Bombos Legueros en “Templo Nuevo”, Lautaro Rivas ( @lautaroenllamas ) Guitarra en “Seguilo al tiempo”, Rama Sanchez @lautaroenllamas (ex-The Falcons) Sintes en “Silver City” y “Mar Adentro” y Gastón Disanti (ex-The Falcons) armónica en “Seguilo al tiempo”.
BIOGRAFÍA Con una carrera que comienza a finales de los años 90´s baterista, cantautor, compositor, multi-instrumentista, al frente de Sortie (2004-2013) como compositor, guitarra y voz principal o como baterista de Fantasmagoria (2013-2018) y Joaquín Levinton (2015-2016), entre otros proyectos, en 2014 inicia su versión solista con el formato canción rockera como emblema.
DISCOGRAFÍA "Hambre de Lobos" LP 2023 "Rodeado" Single agosto 2022 "A veces siempre" Single/Version de The Jesus and the Mary Chain diciembre 2021 "Vuelo Vacío" Single julio 2021 "La Última Réplica" EP 21 noviembre 2020 "Beautiful Way" Beck cover - agosto 2020 "Los Pájaros" EP junio 2020 "Ángeles Negros" LP febrero 2020 "La Cicatriz" EP 2018 "Poesía Vibrante" LP 2016 "Anticrack" LP 2015
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