#Album à colorier
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Hergé - Couverture pour album grand format à colorier (1957)
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Album à colorier, dessins de Gaston Maréchaux (1872−c.1936)
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"UFO Space Strangers", album à colorier (Whitman, 1978) - Source Zontar.
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Tu es à l'aise en codage et t'as bien envie de permettre a un petit projet de vivre ? alors tu es à la bonne place ! Je recherche quelqu'un ou plusieurs personnes pour du codage et du graph pour TTWD. Dans l'idée, rester dans l'inspiration de l'album de Taylor Swift : du grain, vintage et coloris de son album. Je ne demande pas un truc qui prend des heures bien entendu ♥
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TOUTES LES POCHETTES DE TOUS LES ALBUMS DE KANYE WEST EXPLIQUÉES
Qu’importe ce que l’on pense de Kanye West l’homme ou Kanye West l’artiste, il est une chose que l’on ne peut pas lui enlever : il sait faire parler de sa musique. Et les pochettes de ses albums font partie intégrante de cette stratégie.
Bien qu’il ait très tôt arrêté ses études dans une école d’art visuel au motif qu’il ne serait « jamais l’un des plus grands noms dans ce domaine », il se débrouille à chaque sortie pour que ses covers constituent de petits évènements.
Œuvres concepts, collaborations avec des artistes internationaux, coups d’éclat… scrutons sa discographie d’un œil nouveau.
Get Well Soon… (2002)
Avant que Kanye West ne devienne Kanye West, il y a eu cette première mixtape sortie l’année de ses 26 ans.
Pas encore adepte des coloris pastels et des coupes resserrées, il pose le regard incertain dans un uniforme en vigueur à l’époque : baggy délavé, t-shirt noir oversize, joaillerie un peu partout et chaîne Roc-A-Fella dans la main.
Sur le store derrière lui, le logo du label apparaît en gros tandis qu’un graffiti dessine la ligne d’horizon de Chicago, sa ville de cœur.
Le dos de la pochette reprend lui une photo prise sur son lit d’hôpital juste après l’accident de voiture qui a failli lui faire perdre la vie.
Très paradoxalement, il s’agit de la première et dernière fois qu’il se fait voir sur l’une de ses covers.
The College Dropout (2004)
Iconique s’il en est, le costume de nounours que porte ici pour la toute première fois Kanye West n’était pourtant absolument pas prévu au programme. Il a été déniché par le plus grand des hasards dans les locaux du lycée où s’est déroulé le shooting, le jour même où la photo a été prise !
Séduit par le sentiment de solitude qui se dégage lorsqu’il le revêt, Kanye a ainsi décidé de reproduire à l’identique un précédent cliché où il posait sur cette même tribune habillé de ces mêmes vêtements.
Pas uniquement là pour faire jolies, les dorures rajoutées en postproduction jouent un double rôle. Piquées dans un livre d’illustrations du 16ème siècle, selon Eric Duvauchelle, le designer en chef du Roc chargé du packaging de l’album, elles traduisent « une admiration pour l’art », tout en « rompant grâce à leur élégance avec l’image traditionnelle du rappeur gangsta moyen ».
Late Registration (2005)
Album jumeau de The College Dropout, ce deuxième solo remet logiquement Kanye en scène dans le même accoutrement. Toujours tout seul, toujours à l’écart.
Louis Marino, directeur de la création sur LR : « Ce nounours c’est l’alter ego de Kanye West. Il est constamment en retard à tous les cours. Il passe son temps à rêver d’être une star. »
Cette fois-ci réduit à la taille enfant, il est vu toquer à la porte de la prestigieuse université de Princeton.
Dans « une ambiance Harry Potter », le livret le montre ensuite étudier d’arrache-pied dans des salles de classe désertes, avant de quitter les lieux au verso de la pochette.
Point bonus : il porte cette fois un sac à dos Louis Vuitton spécialement fabriqué par la marque.
Graduation (2007)
En villégiature au Japon en 2006, Kanye West se rend au studio Kaikai Kiki, à Asaka, pour rencontrer Takashi Murakami, le « Andy Warhol japonais ».
Très vite, les deux hommes accordent leurs violons et se mettent à travailler sur la cover de cet album conçu pour propulser Kanye dans une nouvelle sphère artistique et commerciale.
D’où le canon et ce déluge de couleurs, mais pas que.
Takashi Murakami : « La pochette renvoie au thème de la vie étudiante cher à Kanye. L’école, c’est certes un endroit où l’on rêve et où l’on s’amuse, mais c’est aussi un endroit où l’on se confronte à la rigidité de la vie en société. Chez Kanye, sensibilité et agressivité se frottent comme sur du papier de verre. Son groove lui sert à alimenter cette tornade prise dans l’air du temps. Je voulais moi aussi que cette tornade m’emporte. »
Notez qu’en sus, Murakami a également créé l’animé de Good Morning, le morceau qui ouvre Graduation.
808s & Heartbreak (2008)
L’école est finie, et avec elle le temps de l’innocence. Le candide nounours des débuts fait ainsi place à un ballon dégonflé formant un cœur flétri.
Photographiée par Kristen Yiengst, designée par Virgil Abloh et Willo Perron, cette cover rouge et grise tranche avec les travaux précédents de West tant par son minimalisme que par son fatalisme, à l’image de la musique proposée.
Toute aussi culte, l’édition Deluxe de 808s (deux mains de Mickey qui déchirent le cœur en question) a été pensée par KAWS, l’auteur des figurines en plastiques préférées des amateurs de crypto monnaies.
My Beautiful Dark Twisted Fantasy (2010)
Ou lorsque Kanye West fait appel à l’artiste-peintre George Condo en l’enjoignant d’être « le plus provocateur possible ».
Bien que Condo concède préférer « le rap à l’ancienne », il est néanmoins pris d’inspiration au point de revenir vers lui avec cinq covers différentes !
La première, c’est celle que tout le monde connaît où l’on voit un homme noir nu chevauché par une créature blanche sans bras – « un monstre avec une queue à pois et des ailes » dixit Kanye, « un mélange entre sphinx, un Phoenix, un fantôme et une harpie » dixit Condo.
« Choqué, mais ravi » par le résultat, West invente ensuite une polémique de toutes pièces en criant à la censure.
La deuxième représente une ballerine inspirée par la danseuse française Sylvie Guillem. La troisième, un portrait cubiste du maître des lieux toutes dents dehors. La quatrième, un prêtre en noir et blanc. La cinquième, la tête de West décapitée au sol, traversée par une épée.
Watch The Throne (2011)
Quoi de plus approprié pour illustrer l’album qui a ouvert l’ère du « luxury rap » que d’aller débaucher Riccardo Tisci, le directeur de la création de Givenchy ?
Sur la même longueur d’onde que Yeezy et Hov’, il reprend l’imprimé tropical Bird of paradise de sa précédente collection pour le couvrir d’or et décrocher là une nomination aux Grammy Awards dans la catégorie Meilleure pochette.
Pris par son élan, Tisci a également dessiné les tenues de scène de nos deux lascars (pantalon en cuir, kilts, t-shirts étoilés…).
Yeezus (2013)
« Vous savez, avec cet album, on ne sortira pas de single radio. On n’aura pas de grosse campagne NBA, rien de tout ça. Shit, on n’aura même pas de pochette. »
Quand, en juin 2013, Kanye West s’énerve tout seul sur la scène du festival Governor’s Ball, personne ne s’imagine alors qu’il va oser sortir quelques jours plus tard son sixième solo dans un emballage aussi minimaliste.
Un boîtier en plastique transparent, un CD que l’on croirait vierge, un bout d’adhésif rouge en guise de fermoir, un simple autocollant pour annoncer les crédits… Le message est clair : le fond (la musique), avant la forme.
Minimaliste ne signifiant en aucun cas modeste, trois ans plus tard, l’auteur de I Am a God se vantera d’avoir grâce à ce coup d’éclat enterré le format physique à lui tout seul – « Yeezus a été un cercueil à ciel ouvert pour le CD » dans le texte.
The Life of Pablo (2016)
Œuvre de Peter De Potter, un artiste belge spécialisé dans les collages, cette cover orangée met en parallèle une photo vintage de la famille West assistant à un mariage et le corps sans tête de l’instagrameuse Sheniz Halil (à en croire sa bio, il s’agit là du pic de sa carrière).
Une symbolique pas des plus difficiles à saisir donc (la dualité, la tentation, tout ça),
Autre niveau de lecture, probablement involontaire : entre ce titre qui semble se répéter à l’infini et l’aspect bordélique du rendu, l’orientation musicale du disque est ici annoncée on ne peut plus clairement.
Ye (2018)
Initialement, Kanye avait jeté son dévolu sur un portrait du chirurgien esthétique responsable de l’opération qui a couté la vie à sa mère. L’idée était de promouvoir l’amour et le pardon… ce qui n’a guère plu à l’intéressé qui a manifesté son mécontentement sur Twitter.
Comme à peu près tout ce qui tourne autour de cet album (le titre, les thèmes, la tracklist…), Kanye a toutefois changé d’avis au dernier moment.
À en croire Kim Kardashian, il a pris cette photo avec son iPhone alors qu’il était en route pour la listening party de l’album dans son fief de Kelly dans l’état du Wyoming.
Il a ensuite ajouté lui-même le texte qui fait référence à ses déboires psychiatriques évoqués notamment dans le morceau Yikes (« Ma bipolarité n’est pas un handicap renoi, c’est mon superpouvoir »).
Bon après si vous trouvez la ligne hors propos, libre à vous d’écrire la votre en utilisant le Yenerator…
Kids See Ghosts (2018)
De retour aux manettes, Takashi Murakami recycle une de ses anciennes créations, Manji Fuji, une aquarelle peinte en 2001, qui elle-même s’inspirait de la série d’estampilles Trente-six vues du mont Fuji du maître Katsushika Hokusai.
Plus encore qu’avec Graduation, Murakami propose un visuel qui synthétise parfaitement ce qu’est le Superflat, ce courant postmoderne dont il est l’instigateur qui fait le lien entre la culture mangas et l’art traditionnel nippon.
Ce sont, d’un côté, des couleurs vives en toile de fond et nos deux héros représentés sous la forme de fantômes chevauchant des créatures chimériques (à moins que ce ne soit l’inverse), et de l’autre, un cerisier au centre, le mont Fuji en arrière-plan et, en bas à gauche, une série de kanjis, ces signes issus de l’écriture chinoise repris par le japonais – outre les kanjis « désordre » et « confusion », on observe « chaos », un kanji qui écrit à l’envers signifie « enfant ».
Une pochette des plus poétiques donc, et dont le merch’ s’écoule aujourd’hui à des prix exorbitants.
Jesus Is King (2019)
Six ans après Yeezus, Kanye West nous refait le coup de la sobriété.
Le sens à donner à cette photo d’un vinyle bleu Klein rappelant les disques de gospel pressés dans les sixties/seventies est cependant diamétralement opposée : là où Yeezus se voulait un album d’anticipation (sonorités nouvelles, règne à venir du digital…), JIK a été conçu comme un retour aux sources (valeurs traditionnelles, élévation des esprits…).
Ceci posé, c’est un tout autre détail qui a mis en émoi les stans de Mr. West : le lettrage doré AR 1331 A qui renvoie au code utilisé par le chanteur gospel Rubye Shelton sur son 45 tours I Want The World To Know Jesus/God’s Going To Destroy This Nation (1970).
Donda (2021)
La rumeur a longtemps voulu que Kanye prenne pour cover de son dixième album titré d’après le prénom de sa mère décédée en 2007 la gouache rouge carmin FEMME peinte en 2007 par la sculptrice et plasticienne française Louise Bourgeois. Ce choix paraissait d’autant plus logique que Bourgeois a exploré tout au long de son œuvre sa relation avec sa propre mère, tandis que West s’habillait dans ces couleurs lors de ses listening party.
Et puis non. Au dernier moment, le rappeur a opté pour un carré noir somme toute assez décevant.
Volonté de singer le Black Album du big brother Jay Z ? Choix unilatéral d’Universal qui selon West aurait sorti précipitamment l’album sans son accord ?
Aucune explication n’a depuis été fournie.
Donda 2 (2022)
Diffusé exclusivement via une espèce de baladeur MP3 vendu 200 dollars, le Stem Player, Donda 2 n’a bénéficié d’aucun visuel.
Tout juste faut-il se contenter de différents flyers dévoilés lors des soirées d’écoutes dans le stade LoanDepot Park de Miami qui montrent la maison d’enfance de Kanye West du South Shore de Chicago ravagée par les flammes.
LE THREAD TWITTER
Publié initialement le 28 mai 2022 sur Booska-p.com.
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"Je Préfère ne pas Voir" livre d'artiste et "De la Séduction" album à colorier de Françoise Pétrovitch (2002-08) à l'exposition “Françoise Pétrovitch. Derrière les Paupières” de la BnF Mitterrand, décembre 2022.
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Notre site Web gratuit à découvrir
Les ventes de livres à colorier ont considérablement augmenté au cours des dernières années, et ce pour une raison évidente. L'activité de coloriage s'est avérée bénéfique pour les capacités cognitives de nos enfants, la santé mentale de ceux-ci, la relaxation, la détente, leur concentration et bien plus encore. Ce ne sont là que quelques-unes des nombreuses raisons pour lesquelles nous avons décidé de créer ce site Web à destination de nos charmantes têtes blondes et même utilisable par les parents ou tout simplement les adultes de façon générale. www.coloriagesaimprimer.net
Coloriagesaimprimer.net est un site destiné principalement aux enfants (bien que les adultes soient également encouragés à l’utiliser) dans le but de fournir autant d'images gratuites à imprimer que possible. Il y a même une catégorie coloriages pour adultes qui sont nettement plus détaillés et qui prennent plus de temps à colorier.
Notre portail compte plus de 10 000 dessins et images qui sont accessibles directement en format classique ou même au format PDF qui seront à imprimer. En effet, depuis le confinement suite au covid, de nombreuses familles ont acheté une imprimante ce qui fait que la majorité des foyers en possède une ce qui rend donc totalement utile notre site internet. Les enfants devaient être occupés et c’était parfois compliqué pour les parents et ce site règle le problème. Les images proviennent de tous les endroits possibles et imaginables pour le plaisir des enfants, ce qui signifie qu'il y en a pour tous les goûts. Vous trouverez des dessins animés les plus populaires tels que Bob l’éponge, Ninjago, Dora l’exploratrice, Dragon Ball Z et tous les héros de Disney tels que Cendrillon, Blanche Neige, la Belle au Bois Dormant, Rayponce, la Reine de Glace etc. En plus de cela, vous trouverez également d'autres livres à colorier célèbres tels que les équipes de football, les super-héros comme Superman, Spiderman, Batman, Star Wars et les personnages de films les plus connus. Vous pouvez vous demander pourquoi choisir ce site plutôt qu’un autre. La première raison est le nombre de coloriages qui est hallucinant et qui vous garantit le bon choix, même parmi les plus difficiles à trouver. La deuxième raison est le nombre d’album qui s’approche de la centaine et tous en lien avec les recherches les plus populaires. La troisième raison est que cette activité ludique va aider les utilisateurs à améliorer leur concentration, leur détente, et améliorer leur développement. La quatrième raison est qu’il y a un album pour les adultes et un album pour les enseignants pour leur donner des ressources dans le cadre de leur enseignement au niveau de l’école maternelle et élémentaire. La cinquième raison est que les images sont au format PDF en haute résolution. La sixième raison est que la site est extrêmement facile d’utilisation. Enfin, la dernière raison est qu’il n’est pas envahi de publicité nous empêchant d’accéder au contenu choisi rapidement.
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[Album à colorier] / [dessins de Gaston Maréchaux] by Gaston Maréchaux(1872-c.1936). 1936
(National Library of France)
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Le château de Versailles a acquis en 2020 un album exceptionnel témoignant du projet d’installation de Napoléon Ier à Versailles. Suivant les ordres de l’empereur, l’architecte Jacques Gondouin réalise des planches aquarellées montrant les vues en coupe du château, ainsi que les projets de décors intérieurs. Cette planche montre le projet de création des appartements privés de l’Empereur et de l’Impératrice à l’emplacement des appartements de la reine, au premier étage, et du Dauphin, au rez-de-chaussée. On distingue, à gauche, le Salon de la Paix. L’Impératrice serait alors installée dans la Chambre de la Reine, habillée d’élégantes tentures bleues. Sous la Chambre de l’Impératrice, Gondouin prévoit d’installer celle de l’Empereur, de plain-pied avec les jardins… . Les aquarelles de cet album, découpées autrefois mais remontées en frise à l’occasion de leur restauration pour l’exposition, détaille le nouveau décor des divers appartements e. Le décor peint s’inspire des commandes du règne de Louis XVI, vertus antiques ou paysage à l’antique. De grands tableaux de batailles mettent en scènes les victoires de Napoléon. Le mobilier, le trône en particulier, porte encore la marque de l’Ancien Régime. Ce projet, très abouti, séduit par la grande finesse des aquarelles, la délicatesse des coloris, l’harmonie qui se dégage de l'ensemble malgré la variété des éléments représentés, mais s’inscrit d’avantage dans la continuité du style des années 1780 que dans celui de l’Empire.
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Coloring. Mes animaux : album à colorier. Gaston Maréchaux. 1935. Coloring book cover detail.
Gallica
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Grande nouvelle ! Je suis heureuse de vous faire part d'un très chouette projet collectif auquel j'ai participé avec une joie non dissimulée : la réalisation d'un album de coloriages engagé en faveur des droits des animaux !
Il est composé de 20 dessins, réalisés par 7 illustrateur.rices et artistes engagé.e.s : Aurélie Neyret, Berti Koala, From Moon, Ginzo, Larve, Layla Benabid (et moi-même, donc).
Il est destiné à tous les âges, car il propose différents niveaux de difficulté. De petits textes accompagnent les illustrations, permettant ainsi d'informer les enfants sur l'exploitation des animaux.
Le papier, bien épais, permet de colorier avec des feutres sans générer de trous dans les pages, ce qui est tout de même bien pensé, n'est-ce pas ? N'hésitez pas à partager en commentaires les supports engagés (destinés aux enfants) que vous connaissez. Ils sont malheureusement peu nombreux, il me semble. Alors n'hésitez pas à en parler ! ♥
Bonne soirée à tou.te.s !
#coloriage#animaux#éthique#végane#véganisme#justice#libération animale#droits des animaux#justice sociale#Florence Dellerie#album à colorier#livre#enfants#jeunesse#animal
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Jean Roba “Boule et Bill” Illustration pour album à colorier Dupuis (c.1963) Source
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Sotto il segno dello scorpione
Le strade di Concord sembrano rincorrersi tutte uguali, battute da auto di grossa cilindrata, braccia sinistre che sporgono dal finestrino mentre la stazione radio locale, la KWUN AM 1480, trasmette vecchi classici blues. Concord pullula di palme, parchi – il più famoso intitolato al padre di Take Five, Dave Brubeck, originario della cittadina – e grandi parcheggi. Ogni anno si tiene un festival jazz che raduna famiglie e appassionati delle città vicine; la gente si riversa nella Todos Santos Plaza, culla di negozi, cinema, e fontane pastello che sembrano uscite da Disneyland. Il 13 novembre 1977, in un ospedale molto grande e molto bianco («I was born in a hospital that was very big and white», da Lion Killer) di questa cittadina della California più assolata, nasce Cass McCombs, profondi occhi blu, segno zodiacale scorpione. Custode di una morbida ruvidezza, è intorno ai quattordici anni che il californiano inizia a suonare la chitarra e a scrivere canzoni, per scherzo, per riempire le giornate un po’ vuote di una vita nomade sempre in giro per l’America. Brani senza una struttura vera e propria che si ispirano ai protagonisti dei cartoni animati, una raccolta di storie, di vite e facce che per lui, accanito collezionista di oggetti – siano stampe, figurine del baseball, tappi di bottiglia – a mano a mano si trasformeranno in canzoni e atti di onestà verso se stesso. A ventitré anni parte per la costa orientale iniziando a esibirsi nelle serate open-mic vicino a New York e Baltimora. Il gitano Cass viaggia ovunque, dorme in macchina, alloggia a casa di amici, evita i beni materiali traendo così ispirazione per i primi testi musicali, stravaganti e talvolta criptici, che riescono comunque a spingere il pubblico ad un ascolto attento. In questi anni di vagabondaggio e scoperte musicali, il cantautore salta da un impiego all’altro: lavora come bidello, venditore di soda, camionista, proiezionista nei cinema, in una scuderia, in un negozio di specialità gastronomiche, e infine come libraio, prima di lasciarsi tentare seriamente dal mondo della musica. Dalle svariate esperienze lavorative, impara ad ascoltare le storie di persone di diversa estrazione sociale, e ne fa la sua istruzione, saltando l’idea di andare all’università. Quello che più affascina di Cass McCombs è la moderazione che ha dimostrato nella composizione, un equilibrio potente che regala alle canzoni un’intensità perfettamente circolare dall’inizio alla fine dell’ascolto. L’ascoltatore rimane spesso sorpreso dalla piega che prendono i suoi brani, poiché dietro quell’apparente semplicità, si ritrovano accordi sottili e intelligenti, dal fare avanguardista e bislacco. Profondamente diffidente verso il mondo della pubblicità e del business, avverso alla fama, McCombs è l’antidivo che non ama parlare di sé né della propria musica: vorrebbe non rilasciare più interviste da quando un giornalista di MTV ha citato erroneamente alcuni suoi pensieri sulla politica americana. Sebbene abbia poi ceduto lasciandosi intervistare altre volte, spesso via mail, viene anche da domandarsi se ci sia realmente bisogno di parlare quando si dice così tanto con una chitarra. Se McCombs non ama parlare degli artisti che lo hanno influenzato, è comunque possibile notare una forte presenza del folk americano, unito all’art-pop e a un gusto da crooner sfaticato, nelle sue produzioni Invece di soddisfare lo stereotipo del cantautore confessionale, il ragazzo di Concord descrive le vite e i sentimenti di coloro che lo circondano, più con amore che con giudizio, senza mai suggerire all’ascoltatore cosa pensare dei suoi personaggi. La sua musica è generosa, e le melodie sempre infettive – come la puntura di uno scorpione – in una produzione dove la musicalità è sempre in primo piano. McCombs parla con le persone, gli sconosciuti incontrati al bar, interessato sinceramente a sapere cosa pensino. È un figlio degli anni Settanta, la sua generazione è cresciuta ascoltando le storie del Killer dello Zodiaco, della setta di Charles Manson, delle Pantere Nere, degli effetti dell’LSD, delle rivolte di People’s Park: tutto ciò diventa la base per la sua immaginazione e per quel suo cantautorato narrativo, che dagli esordi non rinnega mai se stesso attraverso l’uso artistico della gente comune. Le storie di McCombs si rivolgono a tutti, amici e sconosciuti, parlano la loro lingua, sono ricche di dettagli e colori in cui ognuno può o meno riconoscere qualcun’altro. Se McCombs non ama parlare degli artisti che lo hanno influenzato, è comunque possibile notare una forte presenza del folk americano, unito all’art-pop e a un gusto da crooner sfaticato, nelle sue produzioni. E quel modo di portare la voce un po’ à la John Lennon, un po’ à la Morrissey, fino alle geometrie spezzate dei Velvet Underground, passando per il west coast jazz di Charlie Hunter. Nel 2017, a trentotto anni e con otto dischi pubblicati, Cass McCombs ha ormai consolidato l’idea di essere davvero «uno dei cantautori più importanti della nostra generazione», come ha detto Chris Taylor dei Grizzly Bear.
Un uomo onesto, un uomo probo
Le sue coinvolgenti ballad su vite tormentate e occhi oppressi, uniscono guizzi rock a magie sadcore al limite della disperazione, dando così vita a un fragile e atmosferico folk-pop. La lettera scarlatta del suo primo album A uscito per Monitor nel 2003, firma un debutto artisticamente maturo che con le sue undici ballate, a cavallo fra folk tradizionale e pop, svela tutto il carisma di uno sconosciuto ventiseienne. McCombs è alle prese con una blanda fama, una piccola schiera di devoti fan che lo segue a ogni concerto. Ma i piedi scalciano e la voglia di cambiare orizzonte torna prepotente. Per il musicista è la volta di volare in Inghilterra a cercare nuova ispirazione: nel 2005 pubblica per 4AD il nevrotico e barocco PREfection, una frenesia di chitarre, rumorismi, e propulsioni orchestrali che sfiorano il campo dell’hard-rock. La sua voce scivola con grazia e umorismo leggero nell’energia ruvida e selvaggia di un disco registrato in meno di una settimana. Il fischio noise con cui si conclude l’album apre, due anni dopo, il più cantautorale Dropping The Writ, album in cui il Nostro sembra volersi spogliare delle sperimentazioni precedenti in favore di un approccio nudo alla forma canzone. Con il successivo Catacombs del 2009 per McCombs sembra profilarsi una svolta pop, foriera di maggiori attenzioni da parte di critica e pubblico, cosa che quasi sembra infastidire il ragazzo di Concord. In mezzo all’elegia di Harmonia, il valzer di You saved my life e il fraseggio blues della splendida Dreams-come-true-girl in coppia con Karen Black, i ritmi si dilatano in un malinconico sguardo che scava nel subconscio. Il pianoforte è lo strumento dominante nel chamber-pop di Wit’s End uscito nel 2011 e in cui si nota un ritorno allo stile di A: il cantautore ha trascorso l’ultimo decennio vagando tra la California e New York in cerca di ispirazione per la sua lenta ruminazione malinconia: «Empty houses and family plots/So why is my stomach all in knots?», si chiede nella struggente Saturday Song. Ai limiti dello slowcore, i brani del disco si confrontano con il dolore e la perdita, ricchi di nuovi strumenti come il clavicembalo della funerea Buried Alive, il clarinetto e la firsarmonica dei sette minuti di Memory’s Stain o ancora il banjo e l’organo sconnesso di A Knock Upon The Door. A pochi mesi di distanza, McCombs sorprende tutti pubblicando un nuovo album, l’eclettico Humor Risk, grazie al quale il cantautore sviscera un rock quasi lo-fi, violento e trascinante. Due anni dopo è la volta di un tentacolare doppio album, Big Wheel and Others, in cui ritroviamo la voce dell’attrice Karen Black e contributi di musicisti come Mike Gordon, Joe Russo e Joan as Police Woman, per un disco che scava nelle viscere dell’America esplorando una vasta gamma di suoni e stili. Le sue canzoni di strada sposano il rock col canto popolare, il blues con il country e la poesia; con questo disco McCombs evoca narrazioni introspettive attraverso un velo di mistero e romanticismo. Prolifico e geniale, la sua musica ha assunto le sembianze più diverse – dal country al pop alla psichedelia – mantenendo alla base una disperata onestà d’intenti Alla fine del 2015 Domino Records pubblica un’antologia di rarità e B-sides di McCombs chiamata A Folk Set Apart. Un pastiche che oscilla fra pop e smooth jazz, e racconta le vertigini di un’America disordinata e complessa, nelle diciannove tracce raccolte in ben undici anni. Istantanee di un artista in continuo movimento che, come scrive il nostro Stefano Solventi nella recensione del disco, «mette in mostra la gioielleria meno appariscente, anche quella più spigolosa e stramba». Con il suo ottavo lavoro, uscito ad agosto 2016, McCombs balza agli onori della critica musicale che riconosce nel suo Mangy Love il famoso disco della maturità, nonché la quintessenza del cantautorato alt-folk del californiano più sottovalutato di sempre. Il giovane uomo ha affinato la sua poesia un po’ rude e sporca nel corso dei tredici anni che lo separano da A, continuando a combinarla con umorismo, immagini surreali e melodie alt-folk. Vuole esporre la bruttezza del genere umano, il suo Mangy Love, e come molti grandi album è allo stesso tempo in grado di lenire le ferite e disturbare i cuori. McCombs non è solo l’artista folk che racconta le storie della sua terra natale con un linguaggio moderno e sarcastico, ma è anche uno dei nomi meno facilmente inquadrabili emersi nell’ultimo decennio nella scena cantautorale americana: prolifico e geniale, la sua musica ha assunto le sembianze più diverse – dal country al pop alla psichedelia – mantenendo alla base una disperata onestà d’intenti. In un’intervista del 2016 rilasciata al magazine Flaunt, il cantautore ha rivelato: «Molte delle mie canzoni sono create per avere una specifica reazione magica. Se funziona, si perfora un buco nella realtà. È un universo alternativo attraverso il quale puoi sbirciare»· Oltre al modo in cui scivola con grazia furiosa sopra le corde della chitarra, ciò che rende così speciale McCombs è quel suo modo schietto di esporre la magia della vita come bolla dolorosa, sgradevole e sorprendente al tempo stesso, pur restando sempre attaccato alla filosofia della strada, alla voglia di salire in macchina e andare lontano, con la sensazione conturbante di go on and cry.
Articolo pubblicato su Sentireascoltare (https://sentireascoltare.com/artisti/cass-mccombs/)
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Esquisse originale pour la couverture d'un album à colorier intitulé 'Trucks and Trains - Fires Engines and Planes' (Samuel Lowe, années 1950) - Source Heritage Auctions.
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Albert MARCŒUR
"Album à colorier"
(LP. Atlantic. 1976) [FR]
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raquette tennis Vente Chaude
Probablement certains des deux. doté d'une base de daim vert olive avec camo filet détaillant assis au sommet d'une semelle blanche. asics grise femme derrick rose brenda colorway détails chaussure de sport asics homme 10e anniversaire superstar pack. 15 collection solution summer. Nous vous tiendrons au courant de la façon dont le défi va et planifiez faire plus dans l'avenir maintenant j'ai couru et rencontrer mon meilleur ami pour la nourriture mexicaine. La nouvelle silhouette élevée pour Vente Équipement Sportif les femmes: asics gel decathlon up, est publié dans un nouveau coloris cette saison. Ce sont des gens formidables qui Remise Squash regardent ici, ça a toujours été l'une de mes choses préférées au sujet des voyages. Cliquez sur le lien pour plus de la conception et des informations de version, ainsi que quelques connaissances plus visuelle. Ai-je jamais mentionné combien j'aime beyonceahh, désolé d'avoir été un blogueur crappy. Tout le monde veut tout savoir sur chaussures collaboration x kanye west, qui est fixé à libérer la semaine prochaine. Nous espérons que nous allons trouver des trouvailles impressionnantes basket onitsuka tiger. Big sean est la dernière célébrité à aller sneaker commercial avec complex. Je vais continuer à chercher. Cherchez cette collaboration pour lancer le 5 octobre, Chaussures De Tennis Pas Cher au concepts. Son dernier album, les années 80 superstar par pharrell williams, est un hommage à l'esprit pionnier qui sous-tend sa production créative et voit la silhouette superstar redevenir une plate-forme pour l'expression de soi. J'espère que mon déplacement temporaire n'aura pas interrompu mes blogs, je vais essayer de mettre à jour aussi souvent que possible. N'êtes-vous pas heureux que vous n'avez pas à taper ces sept lettres tracas supplémentaires. Cette offre est réservée aux athlètes qui signent avec Asics avant d'exécuter leurs 40 tirets officielles cour plus tard ce mois. www.sportsoldes.com/tennis/chaussures
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