#28-3-2018 QUAND LA MELANCOLIE NOUS ENVAHI? IL FAUT AVOIR LA FORCE ET LA PUISSANCE DE CHERCHER L'ESPOIR C'EST LE BUT DE LA VIE essayer de su
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28-3-2018
QUAND LA MELANCOLIE NOUS ENVAHI? IL FAUT AVOIR LA FORCE ET LA PUISSANCE DE CHERCHER L'ESPOIR, C'EST LE BUT DE LA VIE, essayer de surmonter les épreuvec que notre vie nous réserve.    THOMAS André
              ©VIVRE ET ETRE POEME THOMAS André© Parfois et c'est souvent le soir, On se sent loin de l'espoir, Il semble que le poids de la vie, Est plus dure que son envie.
Alors surgit une lumière, Qui te parle, comme une prière, Et te dictes les vérités, Et plonge en toi, en pleine sincérité.
C'est le rôle de l'ami, Qui est là, dans tes moments de doutes infinis, Pour te tracer ton chemin, Et aligner les mots comme sur le parchemin.
Tu vois, la tristesse, Est l'inverse de l'allégresse, Mais malgré tout, ces deux mondes se côtoient, Et grâce à cela, la force est en toi.
Comment comprendre, cette soif de vivre, Lorsque que l'on voit pousser la vie, sur des rocailles, Et que cette puissance ,surgit comme des entrailles De notre terre, le but de tout un chacun, est de vivre,
Quelqu'en soit les conséquences, Le désir est la, comme dans une séquence, Vouloir être en vie, S'est être capable de s'accrocher à la vie.
S'est vouloir se battre pour être, Et malgré les épreuves, il faut se lever, et faire face de tous notre être, Pour accomplir, ce long chemin vers l'espoir, Mais moi, je l'appelle  mon purgatoire.
21-03-2016 LA PERTE D'UN AMOUR PROVOQUE LA MELANCOLIE? IL ENGENDRE CETTE PEINE ET CE VIDE AUTOUR DE SOI THOMAS André 12-10-2015 mis à jour Ajoutée le 9 oct. 2013 LA NOSTALGIE C'EST L'INSTANT, OU ON A LE PLUS BESOIN D'AMOUR, MAIS ON CONSTATE QUE CELUI CI A DISPARU. THOMAS André THOMAS ANDRE,écrivain,poète,auteur,poésie,poème,  http://thomasandre.orgfree.com/, MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, créatrice de la photo-peinture,PHOTO PAINTING, AND CREATOR OF THE PHOTO PAINTING, ART PHOTOGRAPHER? http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com On a tous eus un jour, un moment de mélancolie, C'est l'instant, ou l'esprit, se nourrit des souvenirs du passé, Ceux qui malheureusement, sont bels et bien, tristes, et passés, Te laissant là, sans ressort et sans joie, dans une sorte d'atonie.
Ce moment, est souvent catastrophique, pour l'humain, Il est la source, de problèmes intérieurs, Des événements de son histoire, à jamais disparue, le laissant seul, sans possible lendemain, Pourtant chaque être, doit pouvoir se battre, pour vivre sa vie d'humain. THOMAS André
Voici un photo-poème, sur cette mélancolie, qui parfois, en nous, nous ronge.
©MELANCOLIE POEME THOMAS ANDRE©
Comme ce chien, qui hurle dans la nuit, Comme ce cheval, seul dans sa prairie, Comme cette vache, qui te regarde, car elle s'ennuie, Comme tout un chacun, tu connais la mélancolie.
Toi, qui était habitué, à ce qu'elle soit là, Aujourd'hui, tu regrettes ce temps là, Les engueulades, comme les rires, A l'instant, il n'y a même plus de sourires.
Et tu écoutes, cette musique, Et comme un fou, tu chantes ces harmoniques, Balbutiant, au travers de tes pleurs, Tout ce temps, que t'accompagne tes douleurs.
Dans la tombée du soir, Tu te retrouves seul, comme dans un miroir, Cherchant au travers, de l'appartement, Si elle n'est pas là, dans cet immense appartement.
Mais non, tu ronges ta peur, Celle de ne plus la revoir, quelle terreur, Tu te hasardes, prés du pick-up, qui joue un de ces airs préférés, Comme ci cela pouvait, la faire revenir, et retrouvé ta bien aimée, ta préféré.
Alanguit par les notes, de ces belles chansons, Tu te laisses aller, dans ton chagrin, Depuis qu'elle n'est plus là, tu as perdu ton chemin, Et même la vie, n'est plus à tes yeux, cette douce chanson.
Alors, comme un somnambule, Dans ces pièces, tu déambules, Cherchant ton trésor disparut, Et auquel comme un naufragé, tu cherches, cette disparut.
Regardant lentement, les notes qui s'enfuient, Et loin d'elle, aujourd'hui encore, tu la poursuis. Tu erres, dans le noir, Comme tu le fais, chaque soir.
Ta puissance à oublier le malheur, s'est tarit, Et tu as beau te raisonner, s'en est ainsi, Comme un homme, qui n'a plus de but, Tu es devenu esclave, de ta mélancolie, dans quel but ?
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