#26-10-2017 la vie inexorablement s'écoule entre nos doigts sans que rien puisse la stopper afin que la dégradation de l'âge nous fasses pas
Explore tagged Tumblr posts
Link
26-10-2017 la vie, inexorablement s'écoule, entre nos doigts sans que rien puisse la stopper, afin que la dégradation de l'âge, nous fasses pas passer pour des séniles, ou des invalides. Voir l'âge détériore l'individu est difficile à accepter? HIER ENCORE COMME DIRAIT AZNAVOUR, J'AVAIS 20 ANS, ET je croquais la vie, mais qu'il semble loin ce temps là? THOMAS André
27-6-2017 Amis Internautes LA VIE EST UNE FUITE PERPETUELLE DU TEMPS, ET JEUNE, ON NE LE SAIT PAS, PUISQUE QUAND ON EST JEUNE, ON VOUDRAIT ETRE GRAND. THOMAS André ©JE N’AI PLUS LE TEMPS poème THOMAS André©8 MARS 2012
Même si je t’écris sans perdre de temps, La vie s’échappe et je m’éloigne pendant ce temps. Je voudrais dire ce que je suis avant de ne plus en avoir le temps. Mais celui-ci court et m’oppresse comme le vent.
Mes mots qui te caressent Te disent une vérité qui te berce Pense quand il sera plus tard à tout ce que je ne t’ai pas dit, Pas que je voulais le cacher, mais que les mots de ma bouche ne sont pas sortis.
Tu vois, il est temps, Tu vois l’heure tourne et mon départ est imminent. Car tu sais que je me suis battu jusqu’au bout même à contretemps Et que j’ai souvent souffert de ne pas être parti il y a longtemps.
La vie est incompréhensible, Les hommes veulent vivre et meurent, Et d’autres restent en vie alors que leurs vies se meurent. Sache que nous sommes les jouets d’un grand destin pas extensible.
31-3-2017 Martine ANCIAUX créatrice de la photo- peinture et photographe d'art, THOMAS André écrivain poète ,auteur ©SAISONS DE VIE POEME THOMAS ANDRE Quand la nature s’éveille, à la nouvelle saison, Celle, de l’éclatement des bourgeons, de mère nature, Et de la vie, aussi bien animale, que végétale, embellissant cette saison, Que l’on nomme le printemps, celle, ou l’énergie se restructure.
Dans ce jardin, ou chaque fleur, Qui S’épanouit sur sa branche, afin que de fleur, Elle devienne fruit, Et fasse sa vie, sans bruit.
Admiratif, devant la parade de cette tourterelle, devant ma fenêtre, Et en même temps surpris, par son attitude, Dans ces jours de printemps, sous notre latitude, Que mon regard restera longtemps rivé, sur cette fenêtre.
Cette danse amoureuse, de ces perroquets, Au parc de Sigean, célébrant les beaux jours, En jouant la parade amoureuse, avec leurs plus beaux atours, C’est là, que se gagne, ou se perd la maternité, madame perroquet!
Et quoi d’autre encore, que ces petites marguerites, S’épanouissant sur cette herbe verte,et fraîche, Montrant leurs pétales, et leurs couleurs si fraîches, Et se disposant, sur ce parterre, comme pour des rites,
Alors, dans notre région, si belle, Je prendrais un bateau, pour voir le bleu de la mer, Et comme un touriste, je profiterais de ce voyage en mer, Chassant au loin, la froideur de l’hiver, pour apprécier, cette méditerranée si belle.
Et dans mon rêve, tu ne serais pas partie, tu serais avec moi, Je te rechercherais, pour finalement te retrouver, afin de vivre notre histoire, Comme ces couples, d’un amour sans nuages, et qui écriront leurs histoires Et moi, tout seul, je te crierais, ne pars pas, reste avec moi.
google translate 31-3-2017 Martine ANCIAUX creator of photography and art photographer, THOMAS André writer poet, author
© SEASONS OF LIFE POEME THOMAS ANDRE ©
When nature awakens, in the new season, That of the bursting of buds, of mother nature, And life, both animal and vegetable, embellishing this season, Whether spring is called, or energy is restructured.
In this garden, or every flower, Who flourishes on his branch, so that of flower, It becomes fruit, And make his life, quietly.
Admirative, before the parade of this turtle dove, in front of my window, And at the same time surprised, by his attitude, In these days of spring, under our latitude, My gaze will long remain on this window.
This amorous dance, of these parrots, In the park of Sigean, celebrating the beautiful days, By playing the love parade, with their finest attire, It is there, that mothér, parrot!
And what else, that these little daisies, Blossoming on this green grass, and fresh, Showing their petals, and their colors so fresh, And setting out, on this parterre, as for rites,
So in our region, so beautiful, I would take a boat, to see the blue of the sea, And as a tourist, I would enjoy this trip at sea, Hunting in the distance, the coldness of winter, to appreciate, this Mediterranean so beautiful.
And in my dream, you would not have gone, you would be with me, I would look for you, to finally find you, in order to live our history, Like these couples, of a love without clouds, and who will write their stories And I, all alone, I would cry out to you, do not leave, stay with me.
1 note
·
View note