#Église Saint-François-d'Assise
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St. Francis of Assisi Church, also known as the Emperor's Jubilee Church and the Mexico Church, is a Basilica-style Catholic church in Vienna, Austria. Built between 1898 and 1910, it is located on the Mexikoplatz in Vienna's second district, Leopoldstadt, and is administered by the Order of the Holy Trinity. Die Pfarrkirche zum heiligen Franz von Assisi, auch Kaiserjubiläumskirche bzw. umgangssprachlich Mexikokirche, ist eine 1910 fertiggestellte römisch-katholische Pfarrkirche im 2. Wiener Gemeindebezirk Leopoldstadt am Mexikoplatz. Die Kirche wird seit 1917 vom Trinitarier-Orden betreut. Церковь Франциска Ассизского, известная также как «Церковь императорского юбилея» и «Мексиканская церковь» — римско-католическая церковь в столице Австрийской республики Вене, в районе Леопольдштадт на площади Мексикоплац. С 1917 года за церковью ухаживает Орден Пресвятой Троицы (Тринитарии). L'église Saint-François-d'Assise de Vienne, également L'église du jubilé impérial, familièrement L'église mexicaine, est une église paroissiale catholique romaine située dans le quartier viennois de Leopoldstadt sur Mexikoplatz. L'église est entretenue par l'Ordre des Trinitaires depuis 1917.
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Quelle merveille ! J'ai été ébahis par la beauté de cette Église Saint-François-d'Assise de Krakow. Loin des touristes, j'ai pu admirer les vitraux Art nouveau et des peintures murales de Stanisław Wyspiański qui font sa valeur et sa renommée.
(via Quelle merveille ! J'ai été ébahis par la beauté de cette Église Saint-François-d'Assise de Krakow. - wanderlust.ossie)
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Non, ce n'est pas le diplôme qui fait le prêtre, c'est le sacrement, c'est au nom du sacrement qu'il enseigne... La grande entreprise divine ne saurait être très compromise par la médiocrité de ses instruments... Le pharisaïsme est une suppuration sans fièvre, un abcès froid, indolore. Il y a dans le pharisaïsme une malfaisance particulière qui exerce très cruellement la patience des saints, alors qu'elle ne fait le plus souvent qu'aigrir ou révolter de pauvres chrétiens dans mon genre. Je me méfie de mon imagination, de ma révolte, l'indignation n'a jamais racheté personne, mais elle a probablement perdu beaucoup d'âmes, et toutes les bacchanales simoniaques de la Rome du XVIème siècle n'auraient pas été de grands profit pour le diable si elles n'avaient réussi ce coup unique de jeter Luther dans le désespoir, et avec ce moine indomptable, les deux tiers de la douloureuse chrétienté. Luther et les siens ont désespéré de l'Église, et qui désespère de l'Église, c'est curieux, risque tôt ou tard de désespérer de l'homme. A ce point de vue, le protestantisme m'apparaît comme un compromis avec le désespoir... Les gens d'Église auraient volontiers toléré qu'il joignît sa voix à tant d'autres voix plus illustres ou plus saintes qui ne cessaient de dénoncer ces désordres. Le malheur de Martin Luther fut de prétendre réformer... C'est, par exemple, un fait d'expérience qu'on ne réforme rien dans l'Église par les moyens ordinaires. Qui prétend réformer l'Église par ces moyens, par les mêmes moyens qu'on réforme une société temporelle, non seulement échoue dans son entreprise, mais finit infailliblement par se trouver hors de l'Église... avant que personne ait pris la peine de l'en exclure... Il en devient l'ennemi presque à son insu, et s'il tente de revenir en arrière, chaque pas l'en écarte davantage, il semble que sa bonne volonté elle-même soit maudite. C'est là, je le répète, un fait d'expérience, que chacun peut vérifier s'il prend la peine d'étudier la vie des hérésiarques, grands ou petits. On ne réforme l'Église qu'en souffrant pour elle, on ne réforme l'Église visible qu'en souffrant pour l'Église invisible. On ne réforme les vices de l'Église qu'en prodiguant l'exemple de ses vertus les plus héroïques. Il est possible que saint François d'Assise n'ait pas été moins révolté que Luther par la débauche et la simonie des prélats. Il est même certain qu'il en a plus cruellement souffert, car sa nature était bien différente de celle du moine de Weimar. Mais il n'a pas défié l'iniquité... il s'est jeté dans la pauvreté... Au lieu d'essayer d'arracher à l'Église les biens mal acquis, il l'a comblée de trésors invisibles, et sous la douce main de ce mendiant le tas d'or et de luxure s'est mis à fleurir comme une haie d'avril... L'Église n'a pas besoin de critiques, mais d'artistes… L'Eglise n'a pas besoin de réformateurs, mais de saints.
(…) Dès le commencement, mon Église a été ce qu'elle est encore (c'est sans doute le Seigneur qui est supposé parler), ce qu'elle sera jusqu'au dernier jour, le scandale des esprits forts, la déception des esprits faibles, l'épreuve et la consolation des âmes intérieures, qui n'y cherchent que moi. Oui, frère Martin, qui m'y cherche m'y trouve, mais il faut m'y trouver, et j'y suis mieux caché qu'on le pense, ou que certains de mes prêtres prétendent vous le faire croire - plus difficile encore à découvrir que dans la petite étable de Bethléem, pour ceux qui ne vont pas humblement vers moi, derrière les Mages et les Bergers... ».
Georges Bernanos, "Frère Martin"
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Mercredi 17 Novembre
Sainte Elisabeth de Hongrie
Une vraie vie de conte de fée du XIIIeme siècle pour notre sainte du jour; fiancé à 4 ans, mariée à 14 et en bonus une belle-mère acariâtre. Ma foi elle réussit à bien s'entendre avec son époux et elle eut trois enfants.
Mais un jour révélation: elle rencontre des franciscains et elle kiffe la pensée de saint François d'assise. Ni une ni deux, elle quitte palais, mari, enfants, luxe et frivolité pour se mettre au service des pauvres. Sans surprise sa belle-mère la clash, et son mari ne voit pas trop d'un bon œil ce soudain revirement. Un jour il la choppe sortant des cuisines la nuit et il soupçonne qu'elle pique de la bouffe pour nourrir les pauvres. Il lui demande ce qu'elle cache sous son manteau elle le mitonne en prétendant que ce sont des roses (en plein nuit ouais bien sûr) et quand elle ouvre son manteau pour lui monter,bam, des roses tombent partout par terre. On dit merci qui ? Merci seigneur d'assurer mes arrières !
Et voilà que son mari meurt de la peste alors qu'elle n'a que 20 ans. Pauvre petit chat elle se retrouve veuve avec trois gosses et une belle-mère qui veut la recaser rapidos. Évidemment elle refuse, et belle maman la tej du château. Sympa.
Elle se réfugie tant bien que mal au palais ducale pour élever ses trois enfants. Elle prend un directeur de conscience (ouais c'était la mode à l'époque d'avoir un abbé à dispo) mais le gars est un odieux connard, disons le franchement.
Elle fait le taf pour s'occuper des pauvres et leur construire un hôpital mais clairement elle n'est pas aidée. Elle fait un burn out mortel à 24 ans. Voilà ce qu'ils ont tous gagné !
Évidemment pléthores de paroisses et églises portent son nom et tous les dérivés : lison, lisa, lilibet, etc etc
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Un petit air d'ailleurs tropical : Église Saint-François d'Assise de la Mouzaïa Rue de Mouzaïa - Paris XIX
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YOU MAKE MY FEED ! TODAY « NOURRITURES CÉLESTES » @doursmarie ➡️ « MY CROSS », A TRIBUTE TO PATTY SMITH’S GLORIA . One pièces only Contact me [email protected] . ////////////////////////////////////////////// . « nourritures célestes » une idée suggérée par @doursmarie ➡️« My cross », hommage à Gloria de Patti Smith Maintenant, c’est vous qui construisez mon fil ! Je trouve la prochaine photo selon ce que vous m’écrivez dans vos commentaires. Quelle surprise allez-vous me faire ? . Série «Horsesvisions », une interprétation de l’album Horses par le peintre Jacques Benoit et moi. . Pièce unique Me contacter [email protected] . Tirages photographiques fine art et cadres. Chaque pièce du composite est titrée et signée au dos par l'artiste. Composition de 26 photographies sous cadres en bois noir en hommage à la chanson Gloria, album "Horses" de Patti Smith". Gloria est une reprise-réécriture d'une chanson de Van Morrison, écrite en 1964. Patti Smith se l'est totalement réappropriée, elle en a fait un morceau unique, notamment en y ajoutant le 1er paragraphe qui commence par : "Jesus died for somebody´s sins but not mine". A l'origine, Patti Smith voulait mettre en musique "Oath" (Serment) un de ses poèmes, qu'elle n'avait pas inclus dans ses premiers recueils, et qui commençait ainsi. Par ailleurs, Patti Smith est profondément croyante. A sa manière: elle ne se reconnaît pas d'appartenance religieuse*, rencontre le pape, va méditer et faire dès le début des années 1970 concerts et performances dans les églises, écrit une chanson sur Saint-François d'Assise (Constantine's Dream, Banga, 2012). J'ai donc construit mon hommage à Gloria en partant d'une croix, mais une croix souple, dérigidifiée. *sources diverses, p. ex. : La Croix, 11/09/2012, ou Le Point, 24/04/2013. . . . #artphotography #photography #veroniquedurruty #artistefrancais #limitededition #artphoto #tiragenumerote #tiragesigne #pattismith #gloria #horses #veroniquedurruty #womanartist #art #espaceniemeyer #artcollection #photocollector #artcurator #filmphotography #analogphotography #analogwaves #competencephoto #contemporaryart #contemporaryphotography #youngcollectorscircle #woman (à Espace Niemeyer - Siège du Parti communiste Français) https://www.instagram.com/p/BtjCqCAB3FR/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=180gx1u53f97a
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Un petit souvenir de Belo Horizonte. C'est l'église Saint François d'Assise, réalisée par Oscar Niemeyer (encore lui) près de la Lagoa da Pampulha. Petite église modeste, elle n'est pas incroyable mais un monsieur passait avec des barbes à papa et j'ai trouvé ça joli alors voilà. 😐 . #belohorizonte #church #lagoadapampulha #brasil #explorebrasil #sky #bluesky #architecturelovers #architecture #wanderlust #intercambio #erasmus #exchangesemester #travel #oscarniemeyer (à Belo Horizonte, Brazil)
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Jubilé de la rencontre (programme)
Jubilé de la rencontre de Saint François d'Assise avec le Sultan Malik-al-Kamil Église Saint Paul ET Mosquée Averroès
Dimanche 29 septembre à Montpellier De 14h30 – 17h00
Télécharger l'affiche
10 heures
Célébration à l'Eglise Saint-Paul, présidée par Monseigneur CARRE Archevêque de Montpellier, avec le Frère Dominique PACREAU et Jean-Louis CATHALA, prêtre responsable de la Paroisse Saint-Paul
12h-12h30 : Repas à la Mosquée.
14h30 :
OUVERTURE : LECTURE du CORAN ( Imame RIDOUANE) LECTURE de la BIBLE (Frère Dominique PACREAU)
Remerciements et présentation de notre rencontre, pourquoi sommes-nous là ? Suzanne. • Présentation des Intervenants et déroulement de l'après-midi : Alaoui/Marie-Françoise.
PRIÈRES : Prière Musulmane : la Fatiha, psalmodiée en Arabe ET en français ( Tariq/ ABDESSALAM) Prière de St François : Louange de Dieu, Lue par l'Assemblée : voir Livret Évocation de Saint François par sœur Marie, 5 mn Évocation de la rencontre de Saint François avec le Sultan par Frère Dominique, 15 mn. La charte de Médine : DR YOUCEF NOUIOUAR
Fin de la première partie
15 h :
Lecture des paroles de Christian de Chergé par Sœur DORIS de la Rue Lakanal.
A partir du livre « Le Prophète » de Khalil Gibran, le Don, l'Amitié, La Prière.
Le Don Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par sœur Régine.
…. « Almoustafa se dirigea, suivi du peuple, vers la grande place devant le temple :
- Peuple d'Orphalese, de qui puis-je parler sinon de ce qui remue en cet instant au sein de vos âmes ?!
Alors un riche intervint : « Parlez-nous du Don ! »
Et il dit :
« C'est peu donner que de donner ce qu'on a.
Le véritable don, c'est donner de soi.
Car que sont tes possessions, sinon des choses que tu gardes et protèges de peur d'en avoir besoin demain ?
Il y a ceux qui donnent peu de tout ce qu'ils ont et cela pour être reconnus : ce désir caché aigrit leur don.
Il y a ceux qui ont peu et le donnent tout entier.
Il y a ceux qui donnent avec joie, cette joie est leur récompense.
D'autres donnent en souffrant et cette souffrance est leur baptême.
Il y a ceux, enfin, qui donnent sans connaître la souffrance, qui ne cherchent pas la joie, ni ne songent à la vertu ; ils donnent comme le myrte exh Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par sœur Régine.ale sa fragrance dans l'espace au loin dans la vallée.
C'est par leurs mains que Dieu parle, derrière leurs yeux qu'Il sourit à la terre.
Tu dis souvent : « j'aimerais donner, mais seulement à qui le mérite »
Ce n'est pas le langage que tiennent les arbres de ton verger, ni les troupeaux de tes prés. Ils donnent pour vivre, car retenir c'est périr ».
◦ Témoins :
Premiers témoignages : Frère Dominique Pacreau, Mme Maryline Renard
Deuxième témoignage : MR MOHAMMED EL MAHDI KRABCH
Lecture de la première règle des frères mineurs par Claire :
(Règ. 1,4-4) Que tous les frères se conduisent entre eux comme dit le Seigneur : Ce que vous voulez qu'on vous fasse, faites-le aux autres et : Ce que tu ne veux pas qu'on te fasse, ne le fais pas à autrui. Les ministres et serviteurs se rappelleront que le Seigneur dit « je ne suis pas venu pour être servi mais pour servir ; ils se rappelleront que l'âme de leurs frères leur a été confiée ; si l'un d'eux se perd par leur faute et par leur mauvais exemple, ils auront à en rendre compte au jour du jugement devant le Seigneur Jésus-Christ ».
Amitié Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par un lecteur musulman.
Un jeune homme intervient : « parlez-nous de l'Amitié ! »
Il répondit en ces termes :
« Ton ami est la réponse à tes besoins.
Il est le champ que tu sèmes d'amour et récoltes en rendant grâces.
Il est la table chargée de mets et ton âtre.
Car tu viens à lui affamé et le recherches pour la paix.
Quand tu te sépares de ton ami, tu ne t'affliges pas ; car ce que tu aimes le plus en lui pourra s'éclaircir en son absence, comme la montagne pour le grimpeur est plus nette depuis la plaine.
Cherches-le toujours pour le vivre. Et qu'il y ait rire dans la douce amitié et partage de plaisirs.
Car dans la rosée ds détails, le cœur trouve son matin et sa fraîcheur ».
◦ Témoins :
Premier témoignage : Mme Danièle Lafont, Représentante de l'Association Islamo-Chrétienne « Le Gaic »
Deuxième témoignage : Mme Dalila Boualleg (Juriste à Montpellier)
Lecture de la première règle des frères mineurs par Claire :
(Règ. 1 11, 1) : « Tous les frères auront soin de ne calomnier personne, d'éviter les paroles de dispute. Qu'ils essaient plutôt de garder le silence autant que Dieu leur en donnera la grâce. Ils ne se disputeront point entre eux ni avec d'autres, mais ils s'efforceront de répondre humblement : nous ne sommes que de serviteurs inutiles.
Ils ne s'irriteront point : car celui qui se met en colère contre son frère sera passible du jugement.
Ils s'aimeront les uns les autres, conformément à la parole du Seigneur : Mon commandement est que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés ; (...)
Ils n'outrageront personne ; ils ne diffameront, ils ne dénigreront personne ; car il est écrit : Le Seigneur hait les rapporteurs et les médisants.
Ils seront modestes, animés de la plus grande douceur envers tous les hommes. »
La Prière Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par sœur Régine.
Une prêtresse s'enquit : « parlez-nous de la Prière !
Il répondit :
« Vous priez dans votre détresse et vos frustrations ;
j'aimerais que vous puissiez aussi prier dans la plénitude de votre joie et aux jours d'abondance.
Prier, c'est s'élever pour rencontrer dans les airs tous ceux qui prient en cet instant et que vous risqueriez de ne pas rencontrer, sinon dans la prière.
Que votre visite en cet invisible temple n'aspire donc qu'à l'extase et à une tendre communion. Je ne puis vous enseigner comment prier par des paroles.
Dieu n'écoute pas vos propos sauf lorsqu'Il les exprime Lui-même par vos lèvres.
Et je ne saurais vous enseigner la prière de mers, des forêts et des montagnes.
Mais vous qui êtes des montagnes, des forêts et des mers, vous pourrez trouver leurs prières dans vos cœurs ;
et à condition d'écouter dans le calme nocturne, vous les entendrez dire en silence :
« Notre Dieu, qui est notre moi ailé,
C'est Ta volonté qui veut en nous.
C'est Ton désir en nous qui désire.
C'est Ton ardeur en nous qui voudrait transformer nos nuits, qui T'appartiennent, en jours qui T'appartiennent aussi.
Nous ne saurions rien Te demander , car Tu connais nos désirs avant qu'ils ne naissent en nous ;
Tu est ce qui nous manque ; en nous donnant de Toi davantage Tu nous donnes tout.
◦ Témoins :
Premier témoignage : Témoin de DR KELA ▪
Deuxième témoignage :Père Jean Rouquette
• Lecture de la première règle des frères mineurs par Claire :
(Règ. 1 23,11) « …Partout, en tout lieu, à toute heure, et en tout temps, chaque jour et sans discontinuer, tous croyons d'une foi humble et vrai, gardons dans notre cœur, sachons aimer, honorer, adorer, servir, louer et bénir, glorifier et célébrer, magnifier et remercier le très haut Souverain, Dieu Eternel, Créateur de toutes choses, Sauveur de tous ceux qui mettent en lui leur foi, leur espérance et leur amour.
Lui qui est sans commence ni fin, immuable, invisible, inénarrable, ineffable, incompréhensible, impénétrable, béni, louable, glorieux et célébré, sublime, élevé, doux, aimable, délectable, et tout désirable plus que tout autre bien dans les siècles Amen »
Fin de la deuxième partie
16h
Prière à Marie de Saint François, lue par l'Assemblée (Confer le livret)
Chants (tous ensemble) « Seigneur fais de nous des ouvriers de paix » (confer le livret), animé par Claire •
Paroles de Christian DE CHERGE à Tibhirine lu par une Sœur de la Villa Savine
(confer le livret)
Psalmodie musulmane sur la création (MR HILALI MOULAY) •
BENEDICTIONS
Goûter : crêpes « mille trous » et thé à la menthe
Clôture
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Idanha-a-Nova - Portugal - Visite à pied Coordonnées GPS: 39.921032, -7.236992
Lorsque nous sommes arrivés à Idanha-a-Nova, nous nous sommes d'abord rendus à notre auberge pour procéder à notre enregistrement.
Et puis nous avons fait une petite balade dans ce village pour y découvrir quelques bâtiments historiques.
Nous nous sommes d'abord dirigés vers le Largo do Adro où se trouve l'église mère (Igreja Matriz) qui date du 16e siècle.
On y retrouve également la tour de Dom Dinis, une tour médiévale construite au 13e siècle qui était intégrée au château qui appartenait à l'ordre des Templiers.
Derrière l'église, il y a un escalier en pierre qui mène aux ruines du château qui était situé au sommet d'une petite colline, offrant ainsi une vue panoramique sur le village ainsi que sur la vallée.
C'est à cet endroit que nous avons découvert qu'il y avait un nid de cigognes au sommet de la tour.
Par la suite, nous nous sommes rendus à l'église de Saint-François-d'Assise (Igreja de São Francisco de Assis), une église baroque datant du 18e siècle qui aurait été profanée et transformée en entrepôt agricole.
Tout près de cette église se trouvent la Chapelle Notre-Dame des Douleurs (Capela de Nossa Senhora das Dores), qui elle aussi aurait été probablement construite au 18e siècle, ainsi que le Couvent de Saint-Antoine (Convento de Santo António) qui aurait été construit au 17e siècle.
Nous avons poursuivi notre balade ver la Chapelle de Saint-Jérôme (Capela de São Jerónimo), une toute petite chapelle qui n'est pratiquement pas visible puisque seule sa toiture émerge du sol. Elle est située à côté de l'arène qui présente des courses de taureaux, la Praça de Touros António Manzarra.
Nous avons fait une petite pause dans le jardin situé devant le bel édifice qui abrite l'École supérieure de gestion. Autrefois, cet édifice abritait un manoir où résidait l'une des plus importantes familles paysannes. Il a été reconstruit au début du 20e siècle.
Trois dames étaient assises sur un banc et une d'entre elles qui parlait très bien français a entamé une conversation avec nous.
Nous sommes par la suite passés devant le bâtiment qui abrite l'Hôtel de Ville, qui est d'ailleurs fort joli. Il a été construit vers la fin des années 50 afin de remplacer celui qui se situait dans le quartier historique.
Nous avons également vu la Chapelle du Saint-Esprit (Capela do Espírito Santo) ainsi que la Chapelle de Saint-Jean (Capela de São João) qui aurait été construite, semble-t-il, au 15e siècle.
Nous avons poursuivi notre balade sur la rue Vaz Preto qui est bordée par de belles maisons au style traditionnel.
Nous sommes ainsi retournés vers la Place de la République (Praça da República) où se situe notre auberge Hi Idanha-a-Nova.
A gauche cette auberge se trouve un manoir baroque construit au 15e siècle. Il s'agit du Solar da Família Trigueiros de Aragão.
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Le souverain pontife a livré un plaidoyer en faveur de la liberté religieuse, prônant aussi des droits égaux de citoyenneté dans un pays en proie aux inégalités.
C'est une rencontre totalement inédite pour la région. Le pape François est le premier souverain pontife de l'histoire à se rendre aux Émirats arabes unis. Il a appelé lundi à l'arrêt des guerres au Moyen-Orient, dont les « néfastes conséquences » sont visibles actuellement « au Yémen, en Syrie, en Irak et en Libye », lors d'une rencontre interreligieuse internationale à Abu Dhabi. « La fraternité humaine exige de nous, représentants des religions, le devoir de bannir toute nuance d'approbation du mot guerre », a martelé le souverain pontife en rappelant que la guerre est synonyme de « misère » et de « cruauté ». Il a également prôné des droits égaux de citoyenneté dans un Moyen-Orient où des inégalités perdurent. « Parmi les libertés, je voudrais souligner la liberté religieuse. Elle ne se limite pas à la seule liberté de culte », a déclaré le souverain pontife devant plusieurs centaines de participants à une réunion interreligieuse internationale. Il a jugé qu'aucune pratique religieuse ne devait être « forcée » sur une personne.
« Le même droit à la citoyenneté »
Le pape François, qui est le premier souverain pontife à fouler le sol de la péninsule arabique, a lancé un appel encore plus précis en réclamant à l'ensemble des pays du Moyen-Orient d'accorder « le même droit à la citoyenneté » aux personnes « de diverses religions ». « Non seulement ici, mais dans toute la bien-aimée et névralgique région moyen-orientale, je souhaite des opportunités concrètes de rencontre : que des sociétés où des personnes de diverses religions aient le même droit de citoyenneté », a-t-il évoqué dans un discours insistant sur la notion de « fraternité ».
Le pape n'a pas été explicite dans ses déclarations, même si ses commentaires concernaient entre autres le statut des minorités chrétiennes au Moyen-Orient, dont certaines se disent victimes de discrimination.
Une cérémonie aux couleurs du Vatican
Durant sa visite à Abu Dhabi, le pape a assisté à une cérémonie militaire : des avions de chasse ont survolé le gigantesque palais présidentiel, lâchant dans les airs une fumée jaune et blanche, couleurs du drapeau du Vatican. Il a remis à son hôte un médaillon encadré représentant la rencontre en 1219, en pleine croisade, entre saint François d'Assise et le sultan Malek al-Kamel en Égypte, un jalon vieux de 800 ans du dialogue entre musulmans et catholiques.
L'Argentin Jorge Bergoglio a décidé de prendre le nom de François en raison notamment du goût de saint François d'Assise pour la fraternité universelle et la pauvreté. Le prince héritier a, lui, remis au pape l'acte notarié, en date de 1963, offrant une terre pour la construction de la première église des Émirats.
Les autorités émiraties répriment toute exploitation politique de la religion, en particulier par les islamistes de la mouvance des Frères musulmans. En 2014, les Émirats avaient rejoint la coalition internationale anti-djihadiste en Syrie et, pour bien montrer leur « tolérance zéro » à l'égard de « l'extrémisme », avaient ensuite interdit 83 groupes qualifiés de « terroristes ». Le pape a déjà sommé le monde musulman, dirigeants politiques, religieux et universitaires, de condamner sans ambiguïté le terrorisme, source d'islamophobie.
Après avoir déclaré 2019 « année de la tolérance », les Émirats soignent leur image et sont fiers de compter une population composée à plus de 85 % d'expatriés de toutes les nationalités et toutes les religions. « Une terre qui cherche à être un modèle de cohabitation », selon le pape. Mais les autorités de cet émirat du Golfe contrôlent les médias locaux, interdisent les partis politiques et emprisonnent les opposants, ont déploré Amnesty International et Human Rights Watch en demandant au pape de soulever la question des droits humains.
Lundi, le souverain pontife rencontrera le grand imam sunnite d'Al-Azhar, cheikh Ahmed al-Tayeb, à qui il avait rendu visite en Égypte en 2017 et qui a des mots très durs contre les djihadistes. Le grand imam préside le Conseil musulman des anciens, fondation créée à Abu Dhabi pour promouvoir la paix et qui est l'instigatrice de la rencontre interreligieuse internationale. Quelque 700 personnalités y participeront, dont des patriarches d'Églises catholiques orientales et des rabbins. Aux yeux du Vatican, « la réunion est le message » de ce 27e voyage du pape à l'étranger.
Une messe géante exceptionnelle
Le dialogue interreligieux, tout particulièrement avec l'islam, est devenu un thème majeur des six premières années de sa papauté. Au dernier jour de sa visite mardi, le pape célébrera une messe dans un stade d'Abu Dhabi, « événement quasi inespéré » pour les fidèles catholiques, très majoritairement des travailleurs immigrés asiatiques des Philippines et d'Inde, décrit le Saint-Siège.
Lire aussi : Les catholiques en effervescence avant la visite du pape aux Émirats arabes unis
Quelque 135 000 billets ont été distribués pour l'intérieur du stade. L'extérieur aussi devrait déborder de fidèles, lesquels seront salués par François en papamobile. Dans ce pays, la présence de lieux de culte chrétien fréquentés par des étrangers est tolérée, à condition que ces derniers restent discrets et évitent le prosélytisme.
Environ un million de catholiques vivent aux Émirats, soit près de 10 % de la population. Le pays compte le plus grand nombre d'églises catholiques de la région. Aucune célébration ne peut toutefois se faire publiquement. La messe du pape revêt donc un caractère exceptionnel.
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Chef-d'œuvre d'Aleijadinho, architecte et sculpteur considéré comme le Michel-Ange brésilien, l'église Saint-François-d'Assise est enchâssée dans la ville d'Ouro Preto, la capitale des cités de l'or.
Au creux d'une vaste vallée, la jolie ville d'Ouro Preto épouse les rondeurs des collines dont chaque sommet est couronné par une église baroque.
Tiradentes, l'une des plus belles villes du Brésil se niche au pied de la serra São José. Ici, on se balade dans une atmosphère nonchalante…
L'église Notre-Dame-du-Mont-Carmel, à Mariana, une autre charmante cité héritée de la fièvre de l'or.
À Mariana, les hommes qui ont fait l'histoire s'affichent sur les murs du bar Scotchi. Dans ce lieu, le passé et le présent sont toujours d'actualité.
La baie abritant la petite ville de Paraty déploie un paysage d'une beauté époustouflante. Ses montagnes escarpées couvertes de forêts plongent brutalement dans la mer.
Paraty se niche dans un écrin naturel. Le charme tropical de ce petit port alangui opère immédiatement.
Très calme en journée, Paraty s'éveille pour surprendre à la tombée de la nuit…
Rio de Janeiro fait le bonheur des surfeurs et des voyageurs du monde entier.
Au XVIIIe siècle, la fièvre de l'or à fait jaillir des villes au cœur du Brésil. Un siècle plus tard, les filons se sont taris, et ces cités somptueuses se sont figées dans leur beauté. Ouro Preto, Tiradentes, Paraty font aujourd'hui vibrer artistes et voyageurs.
Qui sait que Napoléon a précipité le cours de l'histoire du Brésil? Ses troupes qui marchent sur Lisbonne en novembre 1807 provoquent l'exil de la cour portugaise à Rio de Janeiro: 15.000 personnes de l'aristocratie découvrent alors la colonie pour la première fois. Quand le roi Jean VI s'en retourne au Portugal en avril 1821, il laisse sur place son fils, Pierre Ier. L'année suivante, celui-ci déclare l'indépendance du Brésil en s'autoproclamant empereur.
Le Brésil est ainsi la seule colonie d'Amérique latine à acquérir son indépendance en douceur et sans coup férir. Cette assurance et ces velléités d'indépendance sont nées au cours du XVIIIe siècle, quand la découverte de quantités astronomiques d'un or d'excellente qualité fait soudain du Brésil la principale colonie du Portugal. Les mines se concentrent à quelques centaines de kilomètres au nord de Rio, au sud d'un Etat grand comme la France appelé Minas Gerais (les mines générales).
Atterrir à Rio nous amène à remonter le temps du …
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Les XX and Pierre de Bréville (French, 1861-1949)
#LesXX and Pierre de Bréville (French, 1861-1949) Les XX and Société Nationale de Musique Pierre de Bréville (French, 1861-1949) - Sonate en ré bémol - Marie-Catherine Girod https://youtu.be/fZLuJWTtsPw
Pierre Onfroy de Bréville (21 February 1861 – 24 September 1949) was a French composer.
Pierre de Bréville was born in Bar-le-Duc, Meuse. Following the wishes of his parents, he studied law with the goal of becoming a diplomat. However, he abandoned his plans after a few years and entered the Conservatoire de Paris. He began his musical studies with Théodore Dubois (1880–1882), later taking courses under the direction of César Franck.
He became a professor, teaching counterpoint at the Schola Cantorum in Paris (1898–1902). Following a twelve-year break, he taught classes in chamber music composition at the Conservatoire de Paris (1914–1918).
He established himself as a music critic and became well known for his reviews and commentary in Mercure de France, Le Courrier musical and La Revue blanche. He died in Paris.
Although de Bréville was not prolific, he lavished attention to his own compositions, producing several highly original works remembered for their quality. He also completed the orchestration of César Franck's unfinished opera Ghiselle with Vincent d'Indyand Ernest Chausson.
Selected compositions[edit]
Stage L'anneau de Çakuntala (The Ring of Shakuntala), Incidental Music for the play Abhijñānaśākuntalam by Kālidāsa Le Pays des fées, Incidental Music La Princesse Maleine, Opera Les Sept Princesses (The Seven Princesses), Incidental Music Éros vainqueur (Eros, Conqueror), Lyric Opera in 3 acts, 4 scenes (1905); libretto by Jean Lorrain; first performance 7 March 1910, Théâtre de la Monnaie, Brussels(with Claire Croiza in the title role) Les Egyptiens, Ballet, an overture to a piece by Maurice Maeterlinck Orchestral works La Nuit de décembre Stamboul, Orchestral Suite Concertante Tête de Kenwark, Scène lyrique for cello and orchestra after a dramatic poem by Leconte de Lisle Chamber music Sonata No.1 in C♯ minor for violin and piano (1918–1919) Une flûte dans les vergers for flute and piano (1920) Pièce for oboe (or flute, or violin) and piano (1923) Poème dramatique for cello and piano (1924) Prière (D'après le Cantique de Molière) for cello and organ (or piano) (1924) Sonatina for oboe (or flute, or violin) and piano (1925) Sonata No.2 "Sonate fantaisie en forme de rondeau" for violin and piano (1927) Sonata in D minor for cello and piano (1930) Fantaisie appassionata for cello and piano (1934) Sonata for violin and piano (1942) Sonata for violin and piano (1943) Sonata for viola and piano (1944) Concert à trois for violin, cello, and piano (1945) Sonata for violin and piano (1947) Fantaisie for guitar Trio à cordes Trio d'anches Organ Suite brève for organ (or harmonium) (1896) Prélude, méditation et prière for organ without pedals (1912) Deuxième suite brève en cinq parties for organ (or harmonium) (1922) Piano Fantaisie: Introduction, fugue et finale (c.1900) Portraits de maîtres (Portraits of Masters) (1907) Gabriel Fauré Vincent d'Indy Ernest Chausson César Franck Impromptu et choral (1912) Stamboul: rhythmes et chansons d'Orient, 4 Pieces (1921) Prélude et fugue (1923) Sonate en ré bémol (Sonata in D���) (1923) Sept esquisses (7 Sketches) (1926) Quatre sonates (1939) Fantasia appassionata Vocal La forêt charmée for voice and piano (1891); words by Jean Moréas Epitaphe for voice and piano (1899); words taken from the tombstone of Marie Dupuis in the "Église de Senan" Le Furet du bois joli for voice and piano (1899); words by Jean Bénédict Poèmes de Jean Lorrain mis en musique (Poems of Jean Lorrain Set to Music) (1899?) La mort des lys La belle au bois La petite Ilse Quatre mélodies pour voix moyennes (Four Songs for Medium Voice) with piano accompaniment (1912) Une jeune fille parle; words by Jean Moréas Venise marine; words by Henri de Régnier Berceuse; words by Henri de Régnier Sous les arches de roses; words by Charles van Lerberghe Héros, je vous salue for voice and piano (1916); words by Henri de Régnier France for voice and piano (1917); words by Henri de Régnier Sainte for voice and piano (1922); words by Stéphane Mallarmé Bonjour mon cœur for voice and piano (1925); words by Pierre de Ronsard La Terre les eaux va buvant for voice and piano (1925); words by Pierre de Ronsard Ô mon ange gardien for voice and piano (1925); words by Francis Jammes Baiser for voice and piano (1926); words by Émile Cottinet Cantique de 1ère communion for soprano, violin and organ (or piano) (1926); words by Henry Gauthier-Villars La Cloche fêlée for voice and piano (1926); words by Charles Baudelaire 12 Rondels de Charles d'Orléans for voice and piano (1930); words by Charles d'Orléans Bernadette La Petite Ilse Cœur ardent L'Heure mystique Choral Hymne à Venus, Vocal duo or chorus in 2 parts in phrygian mode (c.1885); words by Auguste Villiers de l'Isle-Adam Messe (Mass) for soprano, tenor, baritone, mixed chorus (STB), string quartet, harp and organ (1890s) Sainte Rose de Lima, Scène mystique for soprano, female chorus and orchestra (1890s); words by Félix Naquet Tantum ergo sacramentum veneremur cernui, Hymne au Saint Sacrement for mezzo-soprano, female chorus and organ (c.1900) Les Cèdres du Liban (Cedars of Lebanon) for mixed chorus a cappella Motets pour la messe des morts Salut for soloists, female chorus and organ or harmonium Writings[edit]
Les Fioretti du père Franck, (1935–1938), a biography of César Franck Une histoire du théâtre lyrique en France https://en.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_Bréville
Artist Biography by Uncle Dave Lewis
French composer Pierre de Bréville originally prepared to take a law degree in order to join the diplomatic corps and please his parents, but changed his mind and went into music instead. Brévillestudied at the Conservatoire with Theodore Dubois, but was most significantly impacted by his later studies with César Franck and considered himself among Franck's "circle." Bréville traveled to Bayreuth alongside Debussy and Fauré in 1888 and made the acquaintance of Vincent d'Indy there, met with Liszt somewhat earlier, and was acquainted with Edvard Grieg. A trip to Constantinople in the early 1890s accounts for a certain "Orientalist" strain found in Bréville's music, particularly as exemplified in the symphonic poem Stamboul (1895). Bréville remained close friends with d'Indy, who named him to his first teaching position at the Schola Cantorum in 1898; together they worked along with other members of the "Bande de Franck" to complete Franck's unfinished opera Ghisèle.
Bréville was best known in his lifetime as a teacher and critic; he wrote for Mercure de France and other publications throughout his career and taught at both the Paris Conservatoire and the Schola Cantorum; he succeeded d'Indy as head of the Société Nationale de Musique. Bréville also wrote a significant memoir of Franck, Les Fioretti du père Franck, which appeared in serialized form in Mercure de France between 1935 and 1938. As to his compositions, Bréville considered the opera Eros vainqueur, completed in 1905, to be his most important achievement; it was not given in a full-scale production until 1932, but an early concert performance presented in 1910 featured soprano Claire Croiza, who also championed Bréville's songs and other works. Bréville's worklist is geared in the main toward vocal music, and his songs -- mainly the earliest ones from the 1880s and '90s -- gained the greatest amount of traction among any of his works during his lifetime. In addition to the songs, Bréville composed another unfinished opera St. François d'Assise, incidental music for plays, an overture and a handful of symphonic poems, sacred and secular music for chorus, chamber music (including five sonatas for violin and piano; the first (1918) being exceptionally important), and works for piano and organ; his last completed piece, in 1946, was a saxophone quartet. Stylistically, Brévillemoved from Franckian post-romanticism to a mildly impressionist idiom, but little of Bréville's music has been heard since his death in Paris at the age of 88. https://www.allmusic.com/artist/pierre-de-breville-mn0001623473/biography
Pierre de Bréville (French, 1861-1949) - Harmonie Du Soir (Baudelaire) https://youtu.be/rMJ2bUodA6I
Claire Croiza, Pierre de Breville: "Une jeune fille parle" https://youtu.be/3X1DgCgAj5k
LES XX http://www.worldlibrary.in/articles/eng/Les_XX 1891
Stéphane Mallarmé gave a lecture on Auguste Villiers de l'Isle-Adam; Edmond Picard discusses Maurice Maeterlinck, Emile Verhaeren and Charles Van Lerberghe.[13]
Three concerts were given, with the first centered on Belgian composers like Auguste Dupont, Léon Soubre, Joseph Jacob, Paul Gilson and Gustave Huberti.[3] The second and third concert focused on the French composers, with works by Fauré, Franck, d'Indy, and Castillon in the second concert. Vincent d'Indyperformed his Symphonie Cévenole in the third concert.[19] Other composers whose work was performed were Fauré, Franck, Bréville, Bordes, Chausson, Albéric Magnard and Paul Vidal.[3]
Exhibits by invited artists including Odilon Redon,[14] Paul Cézanne,[2] Paul Signac, Henri de Toulouse-Lautrec,[7] Alfred Sisley, Paul Gauguin and Vincent van Gogh.[13] Durint the 1890 expo was sold the only painting Vincent van Gogh sold during his lifetime.[18]
1890 In July, Les XX had an exhibition in Amsterdam, The Netherlands.[11] At the first concert, the music was composed by César Franck, Pierre de Bréville, Ernest Chausson, Gabriel Fauré and Julien Tiersot. The music was played in part by the Quatuor Ysaÿe, as happened in the next few years.[3] The second concert was centered on Gabriel Fauré, with additional music by d'Indy, Charles Bordes and Henri Duparc.[3]
[10].Vision After the Sermon Included is Gauguin's masterpiece [4]
http://www.worldlibrary.in/articles/eng/Les_XX
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Santon de Provence
Santon de Provence
Les santons de Provence sont de petites figurines en argile, très colorées, représentant, dans la crèche de Noël, la scène de la nativité (l’enfant Jésus, la Vierge Marie et saint Joseph, avec l’âne et le bœuf censés réchauffer l’enfant avec leur souffle), les Rois Mages et les bergers, ainsi que toute une série de petits personnages, figurant les habitants d’un village provençal et leurs métiers traditionnels. Tout ce petit monde, chacun muni de son présent pour l’enfant Jésus, fait route à travers un paysage comportant traditionnellement une colline, une rivière avec un pont, et des oliviers (généralement représentés par du thym fleuri), vers l’étable, surmontée de son étoile.
Histoire des santons
La tradition de la crèche de Noël trouve son origine au Moyen Âge. Une légende tenace veut que François d'Assise, dont la mère était originaire de Tarascon, ait créé en 1223 la première crèche vivante à Greccio alors que ces scènes étaient déjà jouées depuis plusieurs siècles par des comédiens dans les mystères de la Nativité sur les parvis des églises1. Cette « crèche vivante » a donné naissance à une tradition qui s’est perpétuée, mais les « acteurs » ont été très largement remplacés par des personnages en bois, en cire, en carton pâte, en faïence et même en verre. Les premières crèches ressemblant à celles que nous connaissons font leur apparition dans les églises au XVIe siècle.
La première crèche connue fut celle créée à Marseille, en 1775, par un dénommé Laurent. Elle était constituée de mannequins articulés vêtus de costumes locaux. Pour y ajouter un brin d’exotisme, le créateur y avait placé des girafes, des rennes et des hippopotames. Jean-Paul Clébert raconte : « À l'époque du Concordat, Laurent montrait même un carrosse qui s'avançait vers l'étable ; le pape en descendait, suivi des cardinaux. Devant eux s'agenouillait toute la Sainte-Famille et le pape lui donnait sa bénédiction. Pendant l'adoration des bergers, un rideau se levait, dévoilant la mer sur laquelle voguait un bâtiment de guerre. Une salve d'artillerie saluait l'enfant Jésus qui, réveillé en sursaut, ouvrait les yeux, tressaillait et agitait les bras ».
Après la Révolution française qui a entraîné la fermeture des églises et la suppression de la messe de minuit, les représentations publiques de la nativité furent discontinues. C’est alors qu’en Provence des petits personnages, les « santoun » ou « petits saints », ont été créés pour qu’une crèche de Noël puisse fleurir dans l’intimité du foyer de chaque famille provençale.
En 1803, peu après le Concordat, la première foire aux santons fut inaugurée à Marseille. Elle s’y tient toujours, de fin novembre à début janvier chaque année, en haut de la Canebière, artère principale du centre-ville, débouchant sur le Vieux Port, ou bien en bordure de la même artère sur la place de la Bourse . Outre les petits santons peints, on peut trouver à cette foire des « santons habillés », en costume traditionnel, chacun portant les insignes de son métier. On peut également y acquérir les accessoires permettant de confectionner le décor traditionnel de la crèche : étable, puits, pont, étoile, papier rocher, papier ciel, mousse fraîche pour imiter l’herbe, etc..
Fabrication des santons
Les premiers santons étaient confectionnés en mie de pain, mais petit à petit c’est l’argile rouge de Provence qui a été privilégiée pour la fabrication. Si les santons sont longtemps restés de fragiles créations en argile crue, la cuisson de l’argile s’est imposée un peu partout de nos jours4. Le véritable santon de Provence, en argile non cuite, a été créé à Marseille par Jean-Louis Lagnel (1764-1822), il fut au début concurrencé par les santibelli, d'origine italienne et qui réalisés en plâtre étaient vendus autour des années 1830 par des marchands napolitains dans les rues du Vieux-Port5. Il existe de nos jours une forte concentration d’ateliers de santons entre Marseille, Aubagne, Aix-en-Provence, Arles, les Bouches-du-Rhône en compte soixante-deux, ainsi que dans le Vaucluse avec vingt-six santonniers. Viennent ensuite le Var, avec huit, les Alpes-de-Haute-Provence avec sept et les Alpes-Maritimes qui en comptabilisent six dans leur partie provençale6.
Les santonniers passent par sept étapes pour réaliser un santon. Ils réalisent, tout d'abord, un modèle dans l'argile crue placé sur un socle qui fera partie du sujet. Ensuite a lieu la fabrication du moule coulé en plâtre. Le moulage se fait en pressant un colombin d’argile fraîche dans une moitié du moule qui a été talqué. Après une pression à la main des deux parties, le surplus est ébarbé et le santon sorti du moule est mis à sécher. La dernière opération manuelle consiste en un ébarbage plus fin pour ôter toute trace de moulage. Puis le santon est remis à sécher avant d'être cuit dans un four à 800 °C. L'ultime opération est la décoration qui se fait toujours à la main.
La fabrication des santons s'est diversifiée. « On en fabrique des grands de plus de 10 centimètres dont les bras sont collés après la cuisson et d'autres en fil de fer habillés de tissus dont seuls les mains et la tête sont en argile. La fabrication des santons qui sont habillés étaient à l'origine confiés à des familles qui confectionnaient leurs vêtements. »
Les principaux personnages de la crèche provençale
Jean-Louis Lagnel a eu l’idée de construire les moules en prenant comme modèles ses propres voisins qui exerçaient différents métiers : ainsi les santons sont traditionnellement vêtus dans la mode populaire sous Louis-Philippe. Il est à remarquer que chaque personnage a son histoire personnelle, qu’on peut connaître en assistant à une des nombreuses « Pastorales » représentées sur scène un peu partout en Provence à l’époque de Noël.
Dans la crèche provençale, il y a différents groupes de santons qui complètent les personnages habituels de la crèche classique. Ils se divisent en quatre catégories. Les santons placés dans l'étable, ceux qui apportent des cadeaux, ceux qui figurent les différents métiers de Provence ; viennent ensuite les animaux et les accessoires nécessaires pour figurer un village provençal typique (étable, maisons, puits, rivière, pont, moulin, église, etc.).
Outre l’Enfant Jèsu ou lou tant bèu pichot (l’enfant Jésus ou le si bel enfant), Sant Jousè (saint Joseph), la Santo Vierge (la Vierge Marie), lou biou (le bœuf), l’ase (l’âne), li pastre (les bergers, les pâtres) et l'ange Boufarèu4, apparaissent lou viei et la vièio (le vieux et la vieille), lou ravi (le ravi), Pistachié, lou tambourinaire (le tambourinaire). Ont été ajoutés aussi des santons qui représentent des petits métiers : lou pescadou (le pêcheur), la peissouniero (la poissonnière), lou pourtarié d’aigo (le porteur d'eau), lou bouscatié (le bucheron), la jardiniero (la jardinière), la masièro (la fermière avec les produits de la ferme), lou móunié (le meunier, avec son sac de farine), lou boulangié (le boulanger), lou banastaire (le vannier), l’estamaire (le rétameur), l’amoulaire (le rémouleur) et la bugadiero (la lavandière), le chasseur et le ramoneur. Apparaissent aussi le curé, le moine et lou Conse (le Maire) qui se mêlent avec l'Arlésienne, l'aveugle et son fils, le boumian et la boumiane (les Bohémiens).
Les animaux
L’âne et le bœuf sont incontournables dans la crèche provençale. Dans l'étable, ils regardent le nouveau-né et le réchauffent de leur souffle. Les moutons sont également essentiels. En nombre, ils représentent le troupeau des bergers qui viennent à la crèche offrir un agneau.
Jean-Paul Clébert rappelle que cette cérémonie de l'offrande de l'agneau est toujours vivante lors de certaines messes de minuit en Provence, en particulier à Séguret et aux Baux. C'est le pastrage, un rite qui date du XVIe siècle. Jugé empreint de paganisme, il fut interdit par le concile de Narbonne, en 1609, puis par l'archevêque d'Arles, en 1612. Mais la tradition fut plus forte et résista aux menaces d'excommunication.
Parallèlement à ces animaux traditionnels, la crèche provençale s'ouvre aussi à d'autres animaux : le chien du berger ou du chasseur, les poules et coqs de la basse-cour, l'âne qui porte la farine du meunier, etc..
L’ange Boufarèu
L’ange est le messager de la naissance de l'enfant Jésus. Le plus célèbre est l'ange Boufarèu, celui qui souffle, il tient une trompette et guide les bergers vers la crèche. En général, il est suspendu au-dessus de l'étable où est couché le nouveau-né. C'est un des personnages de la Pastorale d’Yvan Audouard. Chez Antoine Maurel, c'est l'archange Gabriel qui proclame la naissance aux pâtres12.
Les bergers
Les bergers, personnages bibliques puisqu'ils sont décrits dans la Bible, sont avertis par les anges et arrivent les premiers sur les lieux de la Nativité. La représentation qui en est faite est imprégnée de l'image populaire, soulignant que la crèche provençale est avant tout une pastorale. Au sens propre et au sens figuré puisqu'ils sont chargés de répandre la Nouvelle.
Chez Antoine Maurel, ils sont onze : Barthélémy, Honoré, Jacques, Nicolas, Mathieu, Robin, Chiquet, Floret, Tistet, Maximin et Augustin, soit en provençal : Bartoumièu, Nourat, Jaque, Micoulau, Matièu, Roubin, Chiquet, Flouret, Tistet, Meissemin et Goustin. Yvan Audouard se contente d'un seul berger avec son chien. Il est enveloppé dans sa grande cape qui le protège de la pluie et du mistral. Suspendues à son épaule, une gourde et une musette. Il brandit un bâton qui lui sert à réunir son troupeau et à le protéger des dangers.
Ils sont représentés de multiples façons, jeunes ou vieux, appuyés sur un bâton, debout ou à genoux devant l'enfant, un agneau parfois dans les bras ou sur les épaules.
L’aveugle et son fils
L’aveugle et son fils sont issus de la Pastorale Maurel, où ils sont nommés l’avugle e soun fieu. Le fils aîné de la famille, Chicoulet, a été enlevé et son père a tellement pleuré de chagrin qu'il est devenu aveugle. C'est pourquoi, appuyé sur son jeune fils, Simoun, il s'en va à la crèche pour implorer l'enfant de l'aider à retrouver son aîné.
Toujours représenté s’appuyant sur l’épaule de son jeune fils, Simon (Simoun) ou Capus, l’aveugle est muni de sa canne. Homme d’un certain âge, sa barbe et ses cheveux sont gris. Son cadet le guide et tient son chapeau à la main en signe de respect pour son père.
Le boumian et la boumiane
Ce sont les bohémiens, les nomades de la crèche. La dénomination de « boumian », courante en provençal, « bohemià » en catalan, viendrait du fait qu'un comte de Provence aurait obligé les tziganes à vivre à la Sainte-Baume. Ces habitants de la baume (grotte) en gardèrent le nom.
Le boumian est toujours revêtu de vêtements aux couleurs criardes, d'une grande cape noire, un foulard rouge sur sa tête, affublé de cheveux longs et noirs ainsi que d'une barbe. Un grand couteau est accroché à sa ceinture. On le dit guérisseur et savant. La boumiane, un fichu noué sur la tête, porte un tambourin à la main et son enfant sur sa hanche. Sa jupe est longue et noire, son corsage coloré. Jeteuse de sort, elle lit les lignes de la main et dit la bonne aventure.
Ces deux personnages font peur car leurs savoirs dérangent et fascinent. Ce sont les seuls méchants de la crèche, accusés de voler draps et poules ou de de kidnapper les enfants. Lors de leur venue à la crèche, le couple rend à l'aveugle un de ses fils, Chicoulet, qu'il lui avait dérobé.
Du coup, ce ne sont pas un mais trois miracles qui vont se produire. L'aveugle retrouve la vue, il reconnaît son fils aîné qui lui tombe dans les bras. Et le boumian renonce à ses méfaits en promettant de mener une vie honnête.
Lou Pistachié
Le Pistachié est un valet de ferme. Il est incontournable dans la crèche provençale depuis les Pastorales Maurel, Audibert et d'Yvan Audouard. Chacun lui donne une personnalité un peu différente mais tous s'accordent à le décrire comme un pistachié coureur de jupon. Le pistachier, arbuste de la garrigue provençale, donne des fruits qui passent pour être aphrodisiaques. Ce qui justifierait ce surnom.
Antoine Maurel en a fait un poltron et un ivrogne, mâtiné de gros parleur et de grand fainéant. Assez naïf et un peu niais, il accepte de vendre son ombre au Boumian. Audibert le prénomme Bartoumieu et Thérèse Neveu Canissoun. Il apporte à la crèche deux paniers plein de victuailles : le premier déborde de morue salée et de saucisses, le second est empli de fougasses et de pompes à l'huile. Marcel Carbonel en a fait deux santons différents.
Yvan Audouard l'a marié à Honorine, la poissonnière. Dans cette pastorale, il est aussi grand chasseur devant l'Éternel que maladroit. Mais miracle, lors de la Nativité, il va tuer pour la première fois de sa vie un lièvre en allant à la crèche.
La façon de représenter ce santon est diverse. Une des plus courantes est de le voir affublé d'une tenue négligée, portant chemise et pantalon retenu par une seule bretelle. Il porte alors une lanterne sourde et un sceau, dans ce cas on l'appelle souvent Jijé ou Tistet et c'est alors le second valet de ferme dans la pastorale Maurel.
Le ravi
Le Ravi, appelé lou ravi en provençal, est un personnage essentiel de la crèche. C'est l'idiot du village ( ou mieux, l'étonné, le simple de cœur ) et il porte bonheur. Le pauvre innocent n'a rien à offrir, mais se réjouit de cette naissance. Il est toujours représenté les bras levés au ciel en signe de surprise et d'allégresse.
Dans le village, il s'occupe de menus travaux (à l'intérieur du mas ou dans les champs), c'est un personnage des plus modestes qui vit d'habitude dans la crèche où a eu lieu la naissance. Il est habillé simplement, un bonnet sur la tête. On lui associe parfois la ravido (la femme ravie) et l'étonné (valet que l'on représente penché à la fenêtre du mas) dans le même état de ravissement.
Ce personnage fruste « est un incroyant qui s'étonne que des croyants veillent parce qu'ils croient qu'un Sauveur vient de naître cette nuit-là. Lui, a les pieds sur terre, il n'a d'attention que pour ce qui est terrestre : le boire, le manger, les plaisirs mais aussi la laideur, les guerres, le quotidien qu'il faut gagner à la sueur de son front ». Mais son ravissement à la vue de la naissance de Jésus en fait un homme nouveau et différent, il ouvre son cœur, et découvre le chemin du bonheur dans la simplicité.
Il est à l'origine de l'expression sembler le ravi de la crèche, qui désigne quelqu'un ayant l'air heureux, ou d'un optimisme béat.
Le maire
Le maire est nommé lou conse en provençal. Premier magistrat de sa commune, il a revêtu ses plus beaux habits pour se rendre à la crèche et arbore son écharpe tricolore. Il est coiffé d’un haut-de-forme et porte un parapluie à la main. Une montre en or pend de la poche de son veston. Dans les Pastorales, il est prénommé Mathieu et officialise la naissance en inscrivant Jésus à l’état civil de son village.
Le curé
D’une bonhomie naturelle, souvent bedonnant et chauve, il apparaît comme complètement perturbé par cette Nativité. Les joues rouges, les mains potelées, il s'éponge le plus souvent son crâne chauve tout impressionné de « rencontrer son patron ».
Le moine
C'est François d’Assise, avec sa robe de bure, le saint patron des santonniers. C'est lui qui a créé en 1223 une des premières crèches vivantes en utilisant des personnages réels, à Greccio, en Italie, dans une grotte de la région où les franciscains avaient établi un ermitage, grâce à un don du seigneur du village. Les personnages étaient joués par les gens du village. Les animaux aussi étaient réels. Thomas de Celano, son premier biographe, rapporte que François prêcha, durant la messe de Noël, et qu'on le vit se pencher vers la crèche et prendre un enfant dans ses bras.
À Greccio se trouve toujours un ermitage qui commémore cette première crèche. Elle évolua au fil du temps, puisqu'on plaça parfois un véritable nouveau-né dans la mangeoire. Cette reconstitution se répandit sous l'influence des franciscains, surtout en Provence et en Italie. Les crèches primitives firent leur apparition dans les églises au XVIe siècle. Ce furent les Jésuites qui, les premiers, utilisèrent la crèche miniature.
Cette représentation d'un moine dans la crèche peut aussi rendre hommage à un capucin qui vivait au couvent de Marseille. Ce disciple de François d'Assise avait un véritable talent de sculpteur. Il reproduisit les personnages de la crèche sculptés sur bois dans son couvent. Son idée étant de distribuer aux pauvres ces petits sujets, il les réalisa avec de la mie de pain et les parfuma de quelques grains d'anis.
Son succès auprès des gens de son quartier fut immédiat. Il recommanda toutefois à ses ouailles de ne pas manger les petits personnages de la crèche avant le 25 décembre. Son interdiction ne fut, sans doute, pas respectée puisque son père supérieur dut intervenir pour faire cesser cette distribution. Désormais le jeune capucin ne s'occupa plus que des sujets en bois de la crèche de son couvent.
Le tambourinaïre et la farandole
Le tambourinaïre, surnommé Guillaume, est représenté avec son tambourin et son galoubet. Par tradition, c'est lui qui mène la farandole. C'est un des sujets majeurs de la crèche provençale à laquelle il est indispensable.
Le tambourinaire est un notable, Thérèse Neveu l'appelait « Mestre Tapeno ». Vêtu d'un costume élégant, il porte un chapeau de feutre à larges bords, sous sa veste de velours noir, il a revêtu une chemise blanche nouée au col par un cordon, un gilet brodé, et son pantalon est serré par une taiole, ceinture typique de Provence constituée par une bande de tissu en laine rouge.
Les farandoleurs forment une longue file qui se déplace en serpentant. Les tours et détours de cette danse, que l'on dit d'origine grecque, figurent un labyrinthe. Si les hommes portent un costume ressemblant à celui du tambourinaïre, les farandoleuses sont soit vêtues en arlésienne soit en provençale ou comtadine avec les différentes nuances vestimentaires qu'apporte le santonnier local
L'Arlésienne
L'Arlésienne est très souvent présente dans la crèche en compagnie de son inséparable gardian. Celui-ci est toujours représenté à cheval avec sa cavalière et le couple évoque Vincent et Mireille popularisés par Frédéric Mistral dans sa Mirèio. Chaque santonnier se fait un devoir de représenter l'Arlésienne selon ses goûts, jeune ou vieille, mais toujours revêtue de ses plus beaux atours, le costume d'Arles. Celui-ci, porté indifféremment par les femmes de toutes conditions, a traversé la Révolution, tout en continuant à évoluer d'une façon naturelle. D'Arles, il s'est étendu à l'Est par-delà la Crau, jusqu’à la Durance et le golfe de Fos. Toute son évolution est retracée au Museon Arlaten30. Il se distingue d'abord par une coiffe spéciale qui nécessite le port de cheveux longs. En fonction des jours de la semaine et des tâches à accomplir, cette coiffure était retenue sur le sommet de la tête par un ruban, une cravate ou un nœud de dentelles.
Le vieux et la vieille
Ils s’appellent Grasset et Grassette. Ils sont souvent représentés assis ensemble sur un banc de la place du village ou debout, bras dessus, bras dessous. Toujours représentés avec de riches atours - leurs habits du dimanche - elle est emmitouflée dans son châle richement brodé, lui avec son foulard rouge noué en cravate. Traditionnellement Grasset porte un parapluie et Grassette un panier plein de victuailles.
D'autres anciens (li vièi) sont représentés dans la crèche : « Ils sont au nombre de trois : le couple Jordan-Margarido, bras dessus bras dessous, sans cesse en querelles mutuelles. Représenté lui en jaquette, gilet brodé et lanterne à la main. Margarido est coiffée de dentelle et porte un châle fleuri ainsi un panier d'osier au bras. Tous deux sont escortés de l'ami Roustido, souvent muni d’un grand parapluie rouge, dont la tenue recherchée témoigne de la position sociale d'ancien notaire dans le village. ».
Une autre vieille femme solitaire, à la tenue soignée et portant un grand châle provençal, un fichu noué en marmotte sur la tête, et à la main un panier couvert ou un baluchon, est Misé Raniero (ou misé Rounido). Elle est le souvenir, conservé vivant dans la crèche marseillaise traditionnelle, d'une bonne vieille qui vers la fin du XVIIIe et au début du XIXe siècle descendait chaque soir au crépuscule vers le port afin de secourir, dans la mesure de ses possibilités, marins et forçats malades de l'arsenal des galères.
Monsieur Jourdan et la Margarido
Monsieur Jourdan est un personnage de la Pastorale provençale Maurel et l'époux de Margarido (femme sur l'âne), réputée pour son mauvais caractère. Ils sont les derniers à avoir entendu l'appel des bergers et se dirigent vers l'étable. Margarido arrive sur son âne avec un grand panier chargé de victuailles. Tous les deux sont très élégants. Elle a revêtu ses plus beaux atours, son plus beau châle, sa coiffe avec toutes ses dentelles et lui porte gibus, lavallière, gilet brodé, bas blancs et chaussures à boucles d'argent.
Les rois mages, sont au nombre de trois : Melchior, le roi maure avec son turban sur la tête, Gaspard, originaire des Indes souvent représenté à genoux, et Balthazar, le roi blanc. Richement vêtus, ils apportent chacun une offrande (or, encens et myrrhe) à l'enfant. Venant de très loin, ils sont en général représentés avec un ou plusieurs dromadaire(s) accompagnés d'un chamelier. Les rois mages arrivent traditionnellement devant l'étable le 6 janvier lors de l'Épiphanie.
En revenant de la crèche, Balthazar se serait arrêté aux Baux-de-Provence. Les seigneurs des Baux le tenant pour leur ancêtre portaient sur leur blason une étoile d’argent et leur cri de guerre était : « Al azar, Balthazar ! » (« Au hasard, Balthazar ! »)
Santons célèbres
« La crèche provençale est le fruit d'un itinéraire unique, mêlant au fil du temps, le profane au religieux », selon la définition de Marcel Carbonel, l'un des plus prestigieux santonniers de Provence. Les artisans évoquent des personnages typiques ou célèbres de la région ou du village ou des défunts de la famille.
Autre célèbre santonnier, Paul Fouque crée en 1952 à Aix en Provence le célèbre berger Coup de Mistral, connu et collectionné dans le monde entier. Ce berger dans le vent, dont le modèle est déposé, est considéré depuis sa création comme le chef-d'œuvre incontesté de l'art du Santon. Il est l'emblème de la Maison Fouque.
Autour du santon
Un écomusée du santon a été créé en 1987 à Fontaine-de-Vaucluse. Il regroupe environ 2 000 pièces, dont une des plus petites crèches au monde, qui tient dans une demi-coque de noix39. Outre ce musée, il existe un musée du Santon à Le Val, aux Baux-de-Provence et au musée du Terroir Marseillais à Château Gombert ainsi qu'un musée de la Crèche Provençale à Cavaillon et un musée des santons animés à Maussane-les-Alpilles40, enfin le musée du santon Marcel Carbonel, à Marseille, regroupe plus de 2 400 pièces de la fin du XVIIIe jusqu'à nos jours et présente des pièces du monde entier.
La crèche de Grignan, en Drôme provençale, est considérée comme la plus grande du monde. Le village provençal est composé de plus de quatre-vingts maisons dont la hauteur s'étage entre 1 mètre et 1,20 mètre. Elles ont été construites avec les mêmes matériaux qui sont utilisés dans la région (pierre, bois, ciment), elles ont été recouvertes de 60 000 tuiles et pèsent entre 50 et 120 kg chacune. La crèche, qui couvre 1 116 m2, est animée par plus de 1 000 santons.
La crèche provençale d'Avignon est exceptionnelle par sa superficie puisqu'elle occupe 54 m2. Son but est de créer chaque année un paysage provençal imaginaire où se mêlent « massifs rocheux, garrigues, vignes, champs de lavande, champs d’oliviers, villages perchés, rivière et torrent ». Plus de 600 santons, par groupes ou en file, convergent vers le lieu de la nativité. Cette crèche, composée avec des santons de Marcel Carbonel est exposée dans le péristyle de l'hôtel de ville d'Avignon de fin novembre à début janvier. Depuis 2014, la nouvelle municipalité l'a déplacée dans l'église des Célestins, place des Corps Saints.
Les traditions du christianisme "La crèche"
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Lundi 4 Octobre
Saint François d'Assise
Fini la légèreté, on est sur un gros doss du catholicisme aujourd'hui, carrément le saint patron de l'Italie, j'ai nommé:saint François d'Assise.
De base c'est un fils de marchand du XIeme siècle. Petit fun fact quand il est né sa mère l'a fait baptiser Jean, en hommage à l'apôtre, mais son père revenait d'un voyage en France où il avait bien vendu et fait de bonnes affaires du coup il l'a appelé Francesco(aka François le français quoi).C'est une inspi comme une autre.
François comme saint Augustin, est un gros rebelle, il vit sa jeunesse à fond, il fait des manifs, il va en prison, il chante des chansons paillardes, il aurait même commis le péché de chair ouh!Parce que François lui il veut être chevalier, revenir triomphant de la bataille et obtenir ses lettres de noblesses.Mais bon la prison et les maladies qu'il y choppe ça le calme direct, il voit bien qu'il y a un fossé entre sa condition et ses aspirations, du coup il se réfugie dans le prière.Et justement pendant une de ses prières Jésus lui apparaît et lui dit "remue toi sale gosse et répare mon église en ruine".Ni une ni deux il vend les biens de son père et récupère la thune pour réparer l'église.Vous pensez bien que ça n'a pas plus à papounet qui l'a carrément envoyé devant le tribunal.François file symboliquement ses fringues à son père pour lui montrer qu'il s'en fout de sa thune et coupe les ponts avec lui. Ah les histoires de famille!
Du coup bah il est pauvre et c'est une vraie révélation pour lui;il devient missionnaire et décide "d'épouser dame pauvreté " , drôle de choix de meuf, et va chercher bonheur dans une léproserie aka une maison de lépreux.Il fait des émules et des potes et des potes de potes le rejoignent et ça forme vite une petite communauté.Parmi eux y a Claire avec qui il fonde "l'ordre des pauvres dames"(c'te nom encourageant )aka les soeurs Clarisses du nom de leur sainte patronne.Et l'ordre franciscain pour les mecs.Mais c'est vite le bordel et personne suit plus trop ce que François dit.Ça le saoule et il préfère laisser la gestion à ses potes et se consacrer à la rédaction de règles. Mais bon ses règles se sont "vivons pauvres et mendiants et les hippopotames seront bien gardés " et franchement ça vend pas trop du rêve. Du coup ça restera des règles de conseil de vie sans contrainte de les respecter.
Vanné il se taille à Bologne et ils rencontrent plein de laïcs à fond sur lui et ses idées, du coup pour leur faire plaiz il fonde un ordre de laïcs le Tiers ordre.
Après ça il se retire dans un monastère avec d'autres potes pour être peinard mais là il lui arrive un délire chelou; il fait des rêves bizarres, se réveille avec des stigmates(t'as sur ton corps les mêmes blessures que Jésus sur la croix. C'est un délire). Mais du coup ça fait de lui le premier stigmatisé de l'histoire, oui parce que le mot vient de là à la base, on en apprend des trucs c'est fou!
Concernant son état certains diront que c'est une révélation divine, d'autres que c'est la maladie.Il fini par mourir dans une petite église près d'Assise aujourd'hui basilique et son tombeau. A sa mort son ordre de franciscains compte 3000 à 5000 frères!
Bien sûr il est célèbre pour ses écrits ; les statuts de son ordre, la base, mais aussi des sermons, des cantiques.Il est tellement populaire pour avoir aidé les pauvres et les lépreuqu'il devient saint a peine 2 ans après sa mort!
Le gars c'est un peu l'influenceur du catholicisme, il a lancé plein de mode; après avoir célébré Noël dans une grotte il a lancé la mode de la représentation de la crèche de Noël dans les foyers. Après sa rencontre avec un sultan égyptien il garde l'idée de l'appel à la prière et lance la mode de faire sonner les cloches pour l'angélus(petites prières quotidiennes). C'était aussi un écolo, il adorait se balader en forêt, s'allonger dans les feuilles toussa toussa. Il est aussi le saint patron des Scouts particulièrement des louveteaux d'ailleurs dans la loi scoute ils sont invité à voir dans la nature l'œuvre de Dieu et à la respecter en conséquence. Après Saint François il s'occupait des pauvres et des lépreux, c'est assez raccord avec la mentalités des Scouts. Et pour les louveteaux c'est parce que selon la légende il aurait apprivoisé le loup de Gubbio qui faisait flipper tous les habitants du coin. Saint François serait aller le voir en lui disant "ami au nom de Jésus arrête tes conneries et tu seras nourri logé blanchi par tous les habitants, sinon tu vas finir à la broche en enfer".Le loup a dit ok et ils sont devenus bff.
Et avec cette histoire(et aussi le fait qu'il parlait apparemment aux oiseaux, comme les princesses Disney, trop cute)on a considéré saint François comme le protecteur et le saint patron des animaux et de ce fait aujourdhui est aussi la journée mondiale des animaux .
Si vous voulez approfondir le sujet y a pléthores de film de livre et de bd sur le sujet, c'est vraiment une star le François.
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Homélie du 14 février 2021 à Metz - Le Jour du Seigneur -
Osez la rencontre
La lèpre, au temps de Jésus, n'est pas qu'une maladie. Elle est synonyme d'impureté, et est un facteur d'exclusion sociale. Le lépreux est mis au ban de la société. Comme l'indique le livre des Lévites, il doit habiter à l'écart et doit signaler sa présence sur l'espace public à l'aide d'une clochette, ce qui permet à tous de s'éloigner. C'est un intouchable, qui suscite chez beaucoup un sentiment de répugnance…
12 siècles après, c'est un tel sentiment qui habitait Saint François d'Assise, à qui est dédiée cette église. Or, un jour, alors qu'il parcourait la campagne à cheval, il rencontre un lépreux. Se faisant violence, il descend de son cheval, lui donne une large aumône, et lui baise la main. Et il dira dans son testament que cet épisode a provoqué un changement décisif dans sa vie.
Mais revenons au récit de Marc. Voilà que, transgressant la loi, le lépreux s'approche de Jésus, pour le supplier de le guérir, et Jésus est saisi de compassion. Un autre Francois, celui de Sales, la définit comme « l'affection qui nous fait participer aux souffrances de celui que nous aimons. » Pour Jésus, vis-à-vis de ce lépreux, comme aujourd'hui pour les petites sœurs des pauvres si actives sur ce territoire, la compassion est le moteur de l'action. Pour Jésus, elle l'emporte sur le respect des règles de la vie sociale. Il touche le lépreux, en bravant l'interdit. C'est une véritable provocation. Il aurait pu, pour le guérir, se contenter seulement d'un regard, d'une parole, d'un geste effectué à distance dans le respect des règles sanitaires… Non, il le touche. Car guérir le lépreux, ce n'est pas seulement lui rendre la santé, mais c'est surtout lui rendre sa dignité.
Il ne s'agit pas pour Jésus de simplement le guérir, mais de lui permettre de reprendre une place pleine et entière dans la société des hommes. Voilà pourquoi, avec fermeté, il le renvoie vers le prêtre, l'homme de l'institution, de manière à ce que puisse se mettre en route le parcours d'inclusion sociale. Nous savons aujourd'hui que, pour travailler à l'inclusion d'une personne marginalisée, il s'agit non seulement de l'accompagner de manière personnelle, mais aussi d'interpeller l'institution pour qu'elle lui redonne toute sa place dans le groupe.
Voilà donc le lépreux guéri ! L'histoire aurait pu s'arrêter là ! Mais tel n'est pas le cas dans ce récit. L'histoire se poursuit par la désobéissance du lépreux à la consigne donnée par Jésus de garder le silence. Car celui-ci avait peut-être perçu une ambiguïté dans la démarche de cet homme. Sa demande, complètement centrée sur son propre désir de guérison, l'empêche de se mettre véritablement à l'écoute de Jésus.
Et voici que l'homme, contrairement à ce que lui ordonnait Jésus, se met à proclamer et à répandre partout la nouvelle de sa guérison. Les mots employés ici par Marc ne sont pas le fruit du hasard : ce sont ceux-là mêmes qu'il utilisait au début de son Évangile pour définir la mission du Christ. Comme si Marc voulait nous faire sentir que cet homme se mettait en fait à parler à la place de Jésus, au point que ce dernier est alors obligé de se taire, ne pouvant plus entrer ouvertement dans la ville et devant rester dans des endroits déserts. C'est le monde à l'envers : c'est maintenant Jésus qui est mis à l'écart !
On comprend alors le sens de la consigne du silence. Alors que le geste de guérison, posé par Jésus, aurait dû parler par lui-même – « ce sera pour les gens un témoignage » disait-il -, voici que les commentaires enflammés qu'en fait le lépreux guéri deviennent finalement un obstacle à la possibilité même de rencontrer Jésus.
Paul, dans son adresse aux Corinthiens, nous met en garde. « Ne soyez un obstacle pour personne. » Car il est parfois un type de discours tenu sur Christ, qui empêche en fait les gens de pouvoir véritablement s'approcher de lui, afin de le rencontrer de manière personnelle.
Car, ne l'oublions pas, comme nous le révèle ce récit de Marc, Jésus est rempli de compassion pour tous les enfants, les femmes, les hommes que nous sommes, quelles que soient nos conditions de vie, quelles que soient les raisons de notre mal-être. Et si nous acceptions d'oser la rencontre…, et si nous acceptions de nous laisser toucher par Lui ! Amen !
Prédicateur : Père Jean-Marie PetitclercParoisse : Eglise Saint-François-d'AssiseVille : Metz
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3rQQIHO
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Places to see in ( Catania - Italy ) Catania is an ancient port city on Sicily's east coast. It sits at the foot of Mt. Etna, an active volcano with trails leading up to the summit. The city's wide central square, Piazza del Duomo, features the whimsical Fontana dell'Elefante statue and richly decorated Catania Cathedral. In the southwest corner of the square, La Pescheria weekday fish market is a rowdy spectacle surrounded by seafood restaurants. Catania is an Italian city on the east coast of Sicily facing the Ionian Sea. Catania is the capital of the Metropolitan City of Catania, one of the ten biggest cities in Italy. Catania is well known for its historical earthquakes, having been destroyed by catastrophic earthquakes in 1169 and 1693, and for several volcanic eruptions from the neighbouring Mount Etna. Catania is located on the east coast of the island of Sicily, at the foot of Mount Etna. As observed by Strabo, the location of Catania at the foot of Mount Etna has been both a curse and a blessing.Two subterranean rivers run under the city; the Amenano, which surfaces at one single point south of Piazza Duomo, and the Longane (or Lognina). Alot to see in ( Catania - Italy ) such as : Mount Etna Catania Cathedral Castello Ursino Teatro Massimo Bellini, Catania San Benedetto, Catania Basilica della Collegiata Palazzo degli Elefanti Fontana dell'Elefante Via Etnea Amphithéâtre de Catane Giardino Bellini Orto Botanico dell'Università di Catania Museo Civico Belliniano Fontana dell'Amenano Officine Culturali, visite guidate al Monastero dei Benedettini di Catania Museo Emilio Greco Piazza Università Teatro romano de Catania Terme della Rotonda Casa di Verga Museo diocesano Palazzo Manganelli Porta Uzeda Villa Cerami Palazzo Platamone - Palazzo Della Cultura - Ex Convento San Placido Museo Arte Contemporanea Sicilia Parco Gioeni Piazza Stesicoro Vecchia Dogana Chiesa San Giuliano Église Saint-François-d'Assise à l'Immaculée Palace of Chierici Museo Dello Sbarco Chiesa di San Nicolò l'Arena Porta Garibaldi Palazzo Del Toscano Terme dell'Indirizzo Odeon Romano Monumento a Vincenzo Bellini Zoological Museum, Catania Poste Palace Casa-museo Stesicorea Palazzo Pedagaggi Mogam Terme Achilliane Palazzo Hernandez Il Museo del giocattolo srl società storica catanese Roman amphitheatre Church of Sant'Agata al Carcere ( Catania - Italy ) is well know as a tourist destination because of the variety of places you can enjoy while you are visiting the city of Catania . Through a series of videos we will try to show you recommended places to visit in Catania - Italy Join us for more : https://www.youtube.com/channel/UCLP2J3yzHO9rZDyzie5Y5Og http://ift.tt/2drFR54 http://ift.tt/2cZihu3 http://ift.tt/2drG48C https://twitter.com/Placestoseein1 http://ift.tt/2cZizAU http://ift.tt/2duaBPE
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