#un-esprit-parfait
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet événement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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Good Golden morning for Anthony
The next morning, at exactly 7am, Anthony is woken from his sleep by a notification on his phone. A message from Waltergold containing a video. Still half asleep, he unlocks his phone and opens the video. The screen flickers with a strange mix of white and Gold lights, hypnotic. The soundtrack, a low, repetitive melody, fills his ears as he instinctively puts on his headphones.
He hesitates for a moment. He knows the video is an hour long, but he can't help but stare at the screen, fascinated by the Golden sparkles dancing before him. "It's just a video," he tells himself. Yet something about the flicker captivates him more than he would like. Gradually, his eyelids become heavy, and his mind blurs, as if he's dissolving into the Golden flow.
Lorsqu’il cligne enfin des yeux, une heure s’est écoulée sans qu’il ne s’en aperçoive. Il regarde l’horloge de son téléphone, incrédule. Il est 8h15. « Merde, je suis en retard ! » Son cœur s’emballe. Il sursaute, se précipite vers la salle de bain. Sous la douche, une pensée étrange lui traverse l’esprit. Il se souvient d’un détail presque oublié ; lors de son entretien d’embauche, son patron avait évoqué un code vestimentaire au travail. À l’époque, Anthony n’y avait pas prêté attention, préférant ses vêtements décontractés. Mais aujourd’hui, pour une raison qu’il n’arrive pas à expliquer, cette règle lui paraît soudain indispensable.
En sortant de la douche, ses mains s'attardent plus longtemps que d'habitude sur son visage, son menton, ses cheveux. Il se sent étrangement préoccupé par son apparence. Il ouvre son placard et, au lieu de prendre sa tenue décontractée habituelle, il se retrouve à chercher des vêtements plus formels. Son esprit est embrumé, mais une certitude émerge : il doit se conformer. C'est comme si une voix intérieure lui disait que suivre les règles est la seule option.
Il sort une chemise en coton blanc immaculé. La matière est douce, presque soyeuse sous ses doigts. Il la fait glisser sur son torse, ajustant chaque bouton avec une précision méticuleuse. Puis, il attrape un pantalon gris anthracite, en laine légère. Il ne se souvient même plus pourquoi il a ce pantalon, mais il le trouve parfait aujourd'hui. Enfilant de fines chaussettes noires et des chaussures de ville en cuir noir brillant, il est surpris par la sensation du cuir sur sa peau, raide et structurée, à l'opposé du confort de ses baskets habituelles.
Devant le miroir, il hésite avant d’ajouter une cravate bleu marine, à peine texturée. Il l’enroule autour de son cou, serrant le nœud avec une précision surprenante pour quelqu’un qui en a à peine porté une. La soie de la cravate glisse doucement entre ses doigts, et il ajuste le nœud jusqu’à ce qu’il soit parfaitement centré et serré. Un dernier détail saute aux yeux : ses cheveux. Il ramasse un pot de gel qui traînait dans son tiroir, se demandant brièvement pourquoi il fait ça, puis l’applique généreusement, en peignant ses cheveux sur le côté avec une raie parfaitement visible. Le gel brille à la lumière, fixant ses cheveux impeccablement. En voyant son reflet, il se sent à la fois étrangement satisfait et troublé. Pourquoi cette obsession soudaine ?
As he leaves for the office, a feeling of absolute control washes over him. The tight, well-fitting clothes reinforce a sense of discipline he has never felt before. The wool of the pants gently rubs against his legs with each step, the collar of his shirt is slightly tight around his neck, and the knot of his tie exerts a constant, almost reassuring pressure.
At the office, reactions are quick to come. As soon as he walks through the door, his colleagues look up, surprised. This sudden change in style does not go unnoticed.
“Wow, Anthony, this is the first time I’ve seen you dressed so smartly!” exclaims one of his colleagues.
“Do you have an interview with the bosses or something?” jokes another.
Anthony sketches an awkward smile, his cheeks slightly red, not really knowing what to say. He shrugs, mumbling something unintelligible about a “change of mood”. But that’s not the real reason. He knows it. There’s this inner voice, this impulse that pushed him to put on these formal clothes. He has a hard time understanding it, but it’s there, still echoing in his head.
Throughout the day, he receives compliments on his appearance. He finds himself enjoying the admiring glances. Yet, every chance he gets near a mirror, he can’t help but check his hair, running his hand through the gel to make sure his parting is still well defined. His tie knot becomes a silent obsession, which he adjusts constantly, even when no one is looking.
Despite the remarks and questions, Anthony easily focuses on his work. His thoughts also often drift to that morning video, to that strange feeling of obedience that now seems anchored in him. A part of him still resists, trying to understand what is happening, but another part, deeper, feels good in this new version of himself, more disciplined, more compliant.
The day finally ends. Anthony quickly greets his colleagues, escaping their curious glances, and goes home. He breathes a sigh of relief as he closes the door to his apartment behind him, but even at home, he cannot get rid of this strange feeling of discomfort and satisfaction mixed together.
(End of Part 3)
(Part 2)
#preppification#conformity#golden army#gold#ai generated#hypnotized#brainwashing#preppy#suit and tie#join us#gay men
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Je savais que je t’aimerais dès que je t’ai vu, et je t’aurais aimé pour toujours si tu étais resté. Mais tu ne m’as laissé que des souvenirs, et maintenant je les aime à la place. Je me réveille tous les jours et je porte le poids de toi, non pas tel que tu es, mais tel que tu étais dans mon esprit – parfait, intouchable, un fantôme de ce qui aurait pu être. Je me sens seul non pas parce que tu es parti, mais parce qu’une partie de moi vit encore dans ce passé, et je ne peux pas me résoudre à le quitter.
Emily Brontë
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi.
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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Mais pourquoi toujours mentir ?
Un fidèle lecteur, sans doute plus excédé que d'habitude, me fait parvenir le discours exaspérant que notre président (pour combien de temps encore ? Mon Dieu ! Que c'est long...) s'est cru autorisé à prononcer récemment à Rabat, ''en notre nom'' (sic !). En fait, avec seulement 17 % des français qui le jugent capable de diriger le pays, il a renoué, une fois de plus, avec son étiage régulier depuis le premier tour du scandale bananier qu'a été la ''présidentielle'' de 2022 --que je rappellerai, perinde ac cadaver, dussé-je être le dernier à le faire. On se demande au nom de qui il pourrait encore prétendre parler ! Au nom d'une toute petite poignée de français, peut-être ?
Le voilà donc en représentation officielle devant le Parlement marocain, ce magnifique bâtiment conçu par Lyautey et bâti par MM. Laforgue et Planque --architectes de talent que j'ai bien connus-- entouré de sa garde prétorienne de repris de justice et de petites frappes d'origine marocaine dont la seule présence, dirait-on, le rassure, année après année. Il aurait pu dire des tas de trucs passionnants, d'actualité ou d'histoire --mais vrais. Eh ! bien non... Il a fallu qu'une fois de plus il aille farfouiller dans les arrière-cours de la cuisine immonde d'une histoire réécrite en faux, refabriquée, toute en mensonges et en inventions répétées, en ressortant cette énormité que tout le monde avait jetée dans un cul de basse fosse après un premier succès d'estrade dans les années '60 (je cite) : ''Les années d’El Andalous ont fait de l’Espagne et du sud de la France un terreau d’échange avec votre culture''. Et puis quoi, encore ? Pourquoi pas un ''prototype de son vivre ensemble'', tant qu'il y était ?
Fidèle à notre méthode, je vous propose un ''retour sur images'' pour voir sur quoi je m'appuie pour dénoncer cet énorme bobard. L'expression, tout d'abord : pour mensongère qu'elle soit, elle n'est même pas de lui, mais est tirée d'une étude de 2007, ''Redécouvrir la science Arabe'', signée par un parfait inconnu, Richard Covington et publié par la Saudi Aramco World Services Company... sans doute en quête, à l'époque, de nouveaux contrats juteux à signer... et prête, pour ce faire, à caresser dans le sens du poil tout ce qui passe...
''El Andalous'', ensuite. Il voulait sans doute parler de ''al-Andalous'' qui désignait pour les seuls arabes la très romaine --et bien plus ancienne-- ''Hispania''. Passons, c'est un détail : ayant ''fait l'ENA'', il se croit autorisé à faire ou dire n'importe quoi... sans penser que l'immense Michel Audiart avait déjà caractérisé les tenants de ce genre de posture... Et si on suit les méandres tordus de sa non-pensée vide, il y aurait eu, depuis que la Terre tourne, deux types de ''colonialisme'' : l'un, le français, mauvais en tout, dans son âme intrinsèquement perverse, tout juste bon à être qualifié de ''crime contre l'humanité'' lorsque ''notre'' (?) Macron se traîne aux pieds de l'infâme Tebboune (petit rappel : Tebboune ne se traduit que par vulve ou vagin ... ceci pouvant expliquer cela !) en lui répétant les énormes mensonges que cet esprit pervers adore entendre...
Et l'autre, le beau, le bon, le magnifique : le colonialisme arabe, qui a traversé les siècles sans une tache sur sa réputation, celui (et là... les foules enthousiasmées se lèvent, dans une ''standing ovation'' hollywoodienne !) qui a permis la merveille des merveilles, ce pays béni où juifs et chrétiens ont enfin --et seulement-- touché le bonheur : al-Andalous ! On devrait tous être malades de ne pas avoir connu cet ''âge d'or''... même si, ici ou là (la vérité est : ici ET là !), les vainqueurs ne se gênaient pas --dans les mœurs du temps-- pour esclavagiser les vaincus, qui étaient ramenés au statut peu enviable de ''Dhimmis'' (interdiction de témoigner devant un tribunal, ou de posséder un cheval ou une arme quelle qu'elle soit, obligation de laisser le passage à tout ''Croyant'' et de ne marcher que sur la chaussée, pas sur les trottoirs, ou encore interdiction de construire des habitations qui dépassent en hauteur celles des voisins musulmans. Et, bien entendu, l'obligation incontournable de payer une lourde taxe, la Djizyia, assortie de l'interdiction de construire de nouveaux lieux de culte... On reste pantois devant le bonheur qui résultait de l'application de ces principes --parmi tant d'autres joies imposées par un pouvoir caractérisé par sa ''tolérance''. Je comprends que Macron regrette amèrement de n'être pas né assez tôt pour avoir bénéficié de ce Paradis terrestre.
Il n'en reste pas moins vrai que le message, clair et indiscutable, qui a été lancé une fois de plus ne peut avoir qu'une seule et unique conséquence : monter encore davantage contre nous --si c'est possible-- les jeunes de ce qui fut ''nos banlieues'', en les confortant dans le culte permanent d'un des plus graves mensonges de l'histoire (pourtant prolifique en la matière)... comme si les dites banlieues, devenues depuis ''terres de non droit'' et déjà tellement hostiles à tout ce qui représente la France, avaient besoin de ça !
Le gag de la situation tient dans la réaction unanime du peuple marocain à ces libertés prises par notre lamentable président avec la vérité : eux, nos chers amis marocains, savent la vérité sur les deux extrêmes de ce double mensonge : ils savent de quoi leurs ancêtres étaient capables, et ils savent aussi tout le bien qu'il faut penser de l’œuvre iso-colonisatrice française ... pour l'avoir vécue ou avoir profité de ses retombées à travers le temps, pour les plus jeunes.
Al-Andalous fut certainement une forme de Paradis terrestres (leur ''Fridaouz'')... mais uniquement pour les envahisseurs qui ont tellement pressuré les populations qu'ils ont pu se payer des palais de rêve, des Alhambras (= châteaux rouges), des jardins paradisiaques, des étoffes rares (interdites aux Dhimmis, bien entendu !) et une manière de vivre qui allait de pair avec le rejet de leur pouvoir par la totalité de la population. Et si la brutalité de leur règne a permis de faire durer cette aberration plusieurs siècles, cela ne saurait constituer la justification d'un des plus gros bobards que l'histoire ait fabriqués.
Monsieur Macron, non seulement vous avez, une fois de plus, raconté n'importe quoi, mais toute cette laideur voulue s'est, dans la seconde, retournée contre vous. Et ça, voyez-vous, ce sont deux bonnes nouvelles comme vous ne nous avez plus habitués à en avoir... On vous remercierait presque, de mentir si stupidement !
H-Cl.
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Le message que Richard Bach a souhaité faire passer se résumerait en deux phrases : Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être, et le Paradis n'est pas un lieu où tu peux te rendre; non, le Paradis, c'est la perfection en toute chose.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
« Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libres ! »
« Nous sommes libres d'aller où bon nous semble et d'être ce que nous sommes »
« Tu es libre d'être à l'instant toi-même, vraiment toi-même, et rien ne saurait t'en empêcher. »
« Tu n’aimes ni la haine, ni le mal, c’est évident. Il faut t’efforcer à voir le Goéland véritable – celui qui est bon – en chacun de tes semblables et à les aider à le découvrir en eux-mêmes. »
« Ne les laisse pas répandre sur mon compte des bruits absurdes ou faire de moi un dieu. […] Tu sais, je ne suis qu'un goéland qui aime voler, pas plus… »
« Pour voler à la vitesse de la pensée vers tout lieu existant, il te faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination. »
« Tu es un être libre et sans limite, aussi parfait qu'un chiffre non retranscrit en nombre »
« Oú va la pensée, le corp suit car telle est la Loi du Grand Goéland »
« Ils suffit d'avoir la conviction absolue que vous êtes un être aussi parfait qu'un nombre imaginé et non retranscrie en chiffre, dans l'espace et le temps.»
« Brisez les chaines de vos pensées et vous briserez aussi les chaines qui retiennent votre corps prisonnier.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Don Juan Matus dans les livres de Carlos Castadena parle également du fait de schifter en se téléportant et bien plus encore. (Livre, Enseignements d'un sorcier yaqui).
« Un déplacement du point d'assemblage au-delà de la ligne médiane du cocon de l'homme fait disparaitre instantannément de notre vue l'ensemble du monde que nous connaissons, comme si il avait été effacé — car la stabilité, la solidité, qui semblent inhérente à notre monde perceptible, ne réside que dans la force d'alignement »
« ...la connaissance du monde que nous percevons nous contraint à croire que nous sommes entouré par des objets, existants par eux memes et comme eux meme, juste comme nous le percevons, tandis que, en faite il n'y a pas un monde d'objet, mais un univer d'émanation »
« le mirage n'est pas dans la solidité du monde, il est dans la fixitation du point d'assemblage sur un endroit, quel qui soit. Quand les voyants déplacent leurs points d'assemblages, ils ne sont pas confronté à une illusion, ils sont confronté à un autre monde ; ce monde nouveau est aussi réel que celui que nous sommes entrain de contempler maintenant, mais la nouvelle fixation de leurs points d'assemblages, qui engendre ce nouveau monde et au meme titre que l'ancienne fixation, un mirage. » (Par fixation -> intention)
« c'est le dialogue interne qui maintient le point d'assemblage fixé à sa position d'origine. Une fois que l'ont est parvenue au silence, tout est possible »
« l'intention est l'alignement de toutes les émanations de toutes les émanations de conscience, il est donc juste de dire que la liberte totale est la conscience totale. La liberte est le Don de l'Aigle à l'homme. Malheureusement, tres peu d'homme comprenne qu'il nous faut acceder à bcp d'energis, pour acceder un Don aussi magnifique. »
« Ce qu'il nous faut faire pour permettre à la magie de s'emparer de nous c'est chasser les doutes de notre esprit. Une fois que les doutes ont disparus, tout est possible.»
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Vous êtes le Soi et le schift n'est que la pure libérté et le fonctionnement de l'univers. Si pas de shift, pas de 3D ! Les deux sont interconnectée.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
La question est : qui shift ? Qu'elle conscience permet cela ? Pourquoi doutez-vous ? Vous.
À travers le shift, vous percevez que vous êtes ni votre identité, corps, esprit. Tous montrent votre puissance. Vous êtes quelques choses de plus haut, de plus abstrait, de plus puissant.
Pensez-vous toujours que vous etes un simple humain si vous pouvez être un chat ? Un sorcier ? Pensez-vous que cela vous limite rééllement ???
Trouvez ce que vous êtes rééllement.
#shifting blog#shifting realities#shifting antis dni#shifting motivation#desired reality#reality shifter#shifting community#reality shifting
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"Les lois du corps révèlent une réalité psychique et mentale, qui à son tour est l’expression d’une réalité spirituelle. Une manifestation parfaite de la race en tant que corps, âme et esprit constituerait la pureté raciale. La race pure serait donc le type chez lequel les plus hautes aspirations spirituelles d’un groupe humain donné ne rencontreraient aucun obstacle ou contradiction dans le caractère et le style de sa race de l’âme et dans lequel cette âme particulière se trouverait à son tour dans un corps réellement apte à l’exprimer et à la symboliser."
Julius Evola, Sintesi di dottrina della razza (1941)
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Ayhalo : une analyse de leur dynamique.
À l'heure où j'écris ces mots, le Ayhalo n'est qu'une projection de certains esprits dans la commu de Bad et de Aypierre. Il est loin d'être en première position et les habitants eux-mêmes de Quesadilla ne l'envisagent pas, probablement dû au fait des sentiments très puissants de Q!Aypierre pour Q!Max ou de ceux qu'ils viennent de découvrir pour Cucurucho de Q!Bad. Les chances pour que ça évolue sont.....quasiment nulles, on va pas se mentir. Mais je disais ça aussi pour le Furryduo, à cause de l'Ohnana duo et du Chicomaxo, et voyez comment ça a évolué. Et moi-même j'ai évolué en passant d'une pensée que c'était un cracked ship d'une très forte amitié à la considération comme un ship réel. Un terrain parfait pour la Fanfiction, tout ça :) Mais y a des trucs. Des trucs qui font que, si ça se faisait, ça collerait.
Je prends appui parfois sur des posts vu ici (notamment l'analyse de Q!Bad super bien faite partagée juste avant ) ou le Discord (la discussion du jour du "malin mais fou" ).
On explore un peu ça ?
I ) Leurs points communs et leurs liens.
Le titre vous surprend peut être, mais oui, ils en ont. Probablement plus évidents qu'entre Q!Max et Q!Aypierre, d'ailleurs.
A) Leur boussole morale.
On commence par du lourd et du évident. XD Ils sont clairement dans une boussole morale complètement fuck up et grise. Ce n'est pas qu'ils sont immoraux, plutôt amoraux. La différence ? Immoral veut dire qu'il enfreint délibérément la morale en sachant pertinemment qu'il s'agit d'actes immoraux, qu'il la rejette, amoral, qu'il n'a tout simplement pas de morale, pas qu'il l'a rejeté mais plutôt que la morale n'est pas prise en considération dans ses actes. Et là, vous vous dites, "pourquoi amoraux ? Ils ont déjà trahi leurs camarades notamment dans le Purgatoire ". Mais pourquoi l'ont-ils fait ? Telle est la question à se poser ici. Ils l'ont fait pour survivre et parce qu'il (Ayrobot ) considérait qu'il n'y avait déjà plus de morale et absolument pas à en prendre compte, s'il ne voulait pas être trop faible et offrir une occasion d'être exploité. En d'autres termes, refus de prise en considération de la morale qui eut été un choix naïf quitte à passer pour immoral. Ayrobot a t-il conscience que ce soit mal ? Non. Ce qui importe pour Ayrobot, c'est la survie, et ce depuis toujours. Il n'a PAS de base de morale, n'étant pas humain. Et Q!Bad ? Q!Bad est un démon et un ancien régulier de ce genre de jeu comme Q!Aypierre, ou la morale est à oublier pour ne pas être trahi et survivre. Ils appliquent les règles, conscients que quoi qu'ils fassent, ils seront jugés négativement de toute façon.
Aussi étrange qu'il soit possible, ils ont pourtant une moralité. Leurs proches sont tout pour eux. Et ils feraient absolument TOUT pour eux. Jusqu'à se donner en pâture à des Vultures, jusqu'à fournir des objets illégaux sans savoir pourquoi. Jusqu'à tuer, si besoin. (Plus Ayrobot que Q!Aypierre sur ce point. Une preuve ? L'épreuve de combat durant la prison. Le premier choix de Q!Aypierre ? Plutôt que se battre....Danser. ) Et ils soutiennent de bout en bout leurs proches, même dans les idées les plus saugrenues (des trous au Spawn permettraient de retrouver les oeufs ? Lets go ! Un train de siége ? Allons y ! ). Ce sont des Ride or Die, tous les deux. Et ils se soutiennent toujours. Approuvent les idées de l'un l'autre quand bien même elle soit fucked UP as fuck, offrant même leur aide si besoin (la prank sur le toit de Q!Tubbo ). Pire que ça : ils alimentent les excentricités de l'un l'autre constamment. Les apprécient même (surtout Q!Aypierre ) à leur juste valeur. Là où un Q!Tubbo, un Q!Roier ou un Q!Mike se désespéreraient et maudiraient Q!Bad, Q!Aypierre va reconnaître le génie de la prank, l'apprécier, l'admirer et même la déclencher en sachant pertinemment ce que cela va faire. Puis va rendre la faveur. En un peu plus fort mais sans jamais y aller TROP fort, pour rester dans une bonne équivalence. Q!Bad.....est plus mauvais joueur sur ça. "Ne fais pas aux autres ce qu'on ne voudrait pas qu'on te fasse " ne s'applique pas du tout pour lui XD Mais il reconnaît aussi le génie de certaines pranks, tout en craignant parfois qu'elles lui arrivent (la fois où Q!Aypierre a parlé de remplacer UN truc dans un décor sans rien dire et qui aurait angoissé Q!Bad ).
B) Leur génie et leur folie
Comme je l'ai dit leurs seuls limites sont ce que leurs proches ont besoin. Surtout les oeufs pour Q!Bad, les oeufs et le cercle très rapproché (les Français, Q!Bad et Q!Max ) pour Q!Aypierre. Ils ne feront pas de mal consciemment aux autres (ou du moins ce qui ne correspond pas à faire du mal à quelqu'un selon eux ) sans aucune raison (et non les pranks à Q!Tubbo n'étaient pas gratuites ) mais ça n'ira jamais au delà de pranks, hors Purgatoire. Ils considèrent même ça comme des moyens de souhaiter des bons retours et offrir de l'attention (Q!Bad ) ou de simplement entretenir une rivalité amicale (Q!Aypierre ). Ils passent les trois quart de leur temps à conspirer ensemble sur de nouvelles manière de détourner le serveur, les bugs, ou créer de nouvelles choses....Et vont immédiatement chercher l'autre pour en parler. On ne compte plus les fois où Q!Aypierre a laché un "j'en parlerais à Bébou " durant un stream.
Une conversation avec Bébou, on sait quand elle commence, jamais quand elle prend fin et Q!Aypierre en a parfaitement conscience xD
Ils admirent également l'ingéniosité de l'un l'autre constamment et se le disent et là où d'autres s'arrêtent la, ils sont curieux et se demandent comment l'autre a procédé et se le font expliquer et si besoin est, se prodiguent des conseils pour améliorer.
Ce sont des génies, tout les deux. L'un est un mastermind dans l'élaboration de plans (Q!Bad ), l'autre un support technique, un Q en puissance en somme (Q!Aypierre ) qui élabore également des plans quand il faut appuyer ses proches, notamment Q!Bad (les waystones ) et.....pour vendre ses objets. XD
Mais le génie va de pair avec la folie....Et pour eux, c'est TRES vrai. Pour Q!Bad, c'est la démesure, comme placer des blocs de neige pour couvrir le Tubbhole, pour Q!Aypierre l'excentricité notamment avec le Furry Club. C'est jouer avec le nucléaire parce qu'ils peuvent le faire, même si pour le coup, Q!Aypierre est un chouia plus responsable sur ça XD
C) Leur amour des pranks
On en a déjà parlé, un peu en diagonale, alors ce point sera court. Ils aiment ça. Tous les deux, et plus que de raison. Au point de faire des productions immenses, juste pour en réaliser une. Leurs raisons divergent (que ce soit pour offrir de l'attention ou un bon retour ou entretenir une rivalité amicale ou simplement en réponse à une prank ) mais leur amour commun des pranks fait qu'ils s'aideront toujours, se montreront leurs pranks respectives sans hésiter. Et se gaslighteront sur qui l'a fait chez eux pour entretenir la guerre des pranks tout en sachant pertinemment que celui en face de l'autre en ait l'auteur. Q!Aypierre est même à présent capable de déceler les pranks de Q!Bad en reconnaissant son style XD
Q!Aypierre est cependant plus un adepte des blagues à l'oral et en fait constamment à Q!Bad qui les apprécie.
D) Leurs Trust Issues
Oh qu'ils en ont. Q!Bad est un paranoïaque qui n'accorde sa confiance que très peu et à très peu de personnes. Q!Aypierre ne se confie que très peu également, de peur d'être utilisé ou vu comme faible et se dissimule derrière ses plaisanteries constamment. Et.....ils acceptent ça chez l'autre. Font en sorte de respecter ce sentiment chez l'autre et le prennent en considération (entrer en premier dans le musée de peur qu'il y ait une cage pour Q!Bad ) par exemple, comme un post ici l'avait bien souligné. Comment est née leur confiance, @issialou l'a très bien expliqué, donc j'y reviendrai pas, mais..... Pour l'heure Q!Bad est la seule personne en dehors de sa fille en laquelle Q!Aypierre a entièrement confiance et la seule sur laquelle il sait pouvoir compter. Il ne lui dira pas tout, tout comme Q!Bad, mais si l'un l'autre se posent des questions sur leurs états, ils se répondront ("Comment tu vis l'absence de Pomme " "Je bois " ). Ce ne sera pas très clair et très vite la blague reviendra minimiser le truc, mais c'est bien plus que pour la plupart des gens (à l'exception des oeufs qui sont sa faiblesse et à laquelle il dira tout en minimisant cependant ).
E) Leur manière de gérer l'abandon.
......Mal ? Ni Q!Bad ni Q!Aypierre ne supportent l'abandon. Surtout après s'être laissé s'attacher. La trahison offre des occasions à Ayrobot de se réveiller, également, visiblement, probablement du à son passé. Si Q!Bad semble en recherche d'attention constante à présent, Q!Aypierre est semble t-il un peu plus indépendant, probablement dû à cette fameuse peur d'être exploité si trop dépendant et la rupture avec Q!Max a aggravé le truc au point d'exacerber le lien commercial comme seul lien possible pour obtenir un truc, hors cas d'urgence et se dissimuler derrière ses blagues ou faire peur pour ne pas qu'on l'approche trop près de nouveau.
Mais une chose est sûre : abandonnez les, ils vous le feront PAYER (plus Ayrobot sur ce coup là ).
Vous en tiendront-ils rigueur ?. ......Non. revenez vers eux et hop, fini, terminé. XD Ride or Die XD
Où ils vous feront revenir vers eux. En explosant votre bureau, par exemple :D
F) Le capitalisme.
C'est probablement les deux sur le serveur qui le prennent autant au sérieux et y sont attachés. Et qui se sont associés. Au point de bassiner leur fille avec ça, à chaque fois qu'ils s'emportent dans leur roleplay de vendeur et d'acheteur radin xD
Le capitalisme est aussi devenu une manière pour Q!Aypierre de se dissimuler, ne plus se montrer comme possible à exploiter et empêcher les gens de venir voir trop près. Le paiement en nature est en effet devenu impossible avec lui (son refus à Q!Mike ).
G) Leur haine de l'ennui.
Ils ont du temps devant eux ? Trop d'objets à vendre et personne d'assez riche pour les acheter ? Et bien essayons de le vendre à l'autre même s'il en a pas du tout besoin et qu'il est radin :D
Ils jouent, constamment l'un avec l'autre. Et ils savent TRES bien que ce n'est qu'un jeu. Ils le poussent parfois loin, (notamment les dix mille patates ) mais à leurs yeux, ce n'est rien de plus que des blagues et une espèce de jeu de rôle play dans le rôle play. C'est souvent à qui ira le plus loin, et Q!Bad gagne constamment car Q!Aypierre ne s'attend jamais à ce qu'il pousse leur mini roleplay aussi loin XD Ils en arrivent même à une certaine domesticité, dans la complicité de leurs blagues et leur récurrence, sans même s'en rendre compte, au point de parfois ressembler à un vieux couple. XD
Le jeu est même parfois utilisé pour aider l'autre, avec sa mémoire, ou pour son moral.
Ils suivent instantanément l'autre dans une tentative de roleplay, également. Une musique dramatique pour aucune raison ? Le ton le devient également. Tu te dis nouveau banquier ? Je serais un nouveau client :D
Et.....ils ne laissent jamais l'autre déprimer ou s'ennuyer. S'ils sont parfaitement capables de s'occuper tout seuls (un plus chaotiquement que l'autre ), si l'autre leur confie une tâche, ou a une idée, leur permettant de pas penser et pas s'ennuyer....Ils prennent. Il a également été prouvé que Q!Bad est celui qui a été chercher Q!Aypierre au reset et ce qui a mené aux débuts de la Stonks and Muffin.
H) Leur soucis de l'autre.
Absolument pas conventionnel, sauf pour les oeufs. L'un va demander aux autres, de veiller si besoin et veiller dans l'ombre (Q!Aypierre), l'autre va de temps à autre poser des questions mais surtout s'assurer de maintenir le moral par des actes et propositions, tout en dissimulant son propre état (Q!Bad ).
Ils se soucient beaucoup de l'autre, mais font en sorte de ne pas inquiéter sur leur état et faire ce qu'ils peuvent pour aider l'autre.
Bon, ce post est LONG, alors on va le découper en deux parties. La prochaine fois, je parlerai des obstacles pour le Ayhalo et ptêt comment je verrais une évolution, si ça devait arriver et se concretiser.
Si d'autres points me viennent, j'en parlerai.
Merci de m'avoir lu. ^^
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L’année marque une pause à cet instant, maintenant. Les frissons parcourent mon esprit. La flamme des bougies danse au rythme de celui qui tambourine dans ma poitrine. Le piano s'accorde aux mots écrits sur le clavier. Le silence est appréciable, la respiration reste simple. La douceur caresse mon visage autant que la vie aujourd'hui. Le soleil illumine sans brûler, la pluie ajoute des perles sur les joues sans les inonder, le cœur est léger sans semblant. Le néant ne fait plus peur, car il ne m'inonde pas de questions. Les sourires sont légers, la colère ne tient pas en place plus de trois minutes. Les émotions négatives s'ennuient, alors elles déguerpissent. Les plantes poussent timidement. Tout s'emboîte parfaitement. La vie ne laisse plus place au doute. Je n'ai plus peur d'être seule, encore moins d'être abandonnée. L'amour sain est silencieux. Ce qui nous donne de l'anxiété lorsqu'on le rencontre, nous, ces âmes écorchées, c'est le silence des baisers qu'il offre. Habitués aux cris, aux coups, aux injures et aux larmes, le silence de l'amour sain, la lenteur des caresses, la délicatesse des baisers et la liberté de vivre sans nous oublier est déconcertante. Certains pourraient le trouver ennuyeux, ou se tromper en pensant que l'amant ne nous aime en rien ; c'est à ce moment que la maturité se crée. L'amour sain n'a pas besoin de courants d'air violents, l'amant n'a pas besoin de vivre pour l'être aimé, il vit pour lui en aimant l'autre. Il aime l'autre dans le silence, dans les conversations profondes, dans la tendresse des gestes, des pensées. Il aime l'autre dans le quotidien. Ils s'aiment en se choyant, sans s'étouffer. L'amour sain est une épreuve pour ces âmes qui n'ont connu que le bruit du chaos. Il est normal de vouloir retrouver le chaos quotidiennement avec des mots plus hauts que l'autre ou avec l’auto sabotage, puisque c'est la zone de confort de l'enfant intérieur. L'adolescent montre l'énervement et l'enfant montre la tristesse. Pour aimer sainement, il faut apprécier le silence, le temps qu'on nous accorde pour mieux nous connaître ; pour aimer sainement, il faut pardonner à l'enfant et à l'adolescent, il faut leur donner le pouvoir de grandir dans des murs sains. L'enfant n'a besoin de trouver le réconfort que dans son propre corps, l'adolescent n'a besoin de méditer qu'après avoir fait sortir toute la colère qui le rongeait. L'adulte, quant à lui, doit pouvoir profiter du silence, de l'amant sain : il sera l'être aimé qui aime à son tour.
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Destinée Enchantée
Chapitre 10 : La mort
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Agatha dormait profondément, enveloppée dans un cocon de chaleur et de douceur. Les rayons du soleil filtraient à travers les rideaux, créant un jeu de lumière sur son visage serein. Son souffle était régulier, presque musical, tandis qu'un doux sourire se dessinaient sur ses lèvres, témoignant de rêves agréables. Elle était si plongée dans son sommeil qu'elle ne remarquait même pas qu'Ivana avait quitté l'espace douillet. Les draps s'étaient légèrement froissés là où Ivana avait été, mais Agatha, dans son monde de tranquillité, restait totalement inconsciente de cette absence. Les bruits du matin, doux et lointains, semblaient s'évanouir autour d'elle, ajoutant à la sensation de paix qui l'entourait.
Lorsque Agatha ouvrit doucement les yeux, la lumière du matin l'accueillit avec une douceur presque palpable. Elle cligna plusieurs fois des paupières, essayant de chasser la brume du sommeil qui enveloppait encore son esprit. En se redressant lentement, elle remarqua l'absence d'Ivana à ses côtés. Un frisson d'inquiétude parcourut son échine, et elle fronça les sourcils, son cœur se serrant à l'idée de ce qui avait pu se passer.
Agatha s'assit sur le bord du lit, les draps froissés glissant sous elle. Elle balaya la chambre du regard, cherchant des indices, des signes qui pourraient expliquer cette soudaine solitude. La panique commença à s'installer dans son esprit, alimentée par la peur que Ivana puisse regretter la nuit qu'elles avaient partagée. Des souvenirs de rires et de confidences lui revinrent, mais l'angoisse de l'incertitude assombrissait ses pensées. Elle se demanda si Ivana était partie par crainte ou par doute, et son cœur battait plus vite à chaque seconde qui passait.
Perdue dans ses pensées, Agatha flottait dans un océan de réflexions, son esprit vagabondant d'une idée à l'autre, sans prêter attention à son environnement. Les bruits de l'eau s'écoulant dans la salle de bain résonnaient doucement, mais elle était tellement absorbée par ses préoccupations qu'elle ne remarqua pas immédiatement qu'Ivana en était sortie.
Ce ne fut qu'un mouvement furtif dans son champ de vision qui attira son attention. Lorsque le regard d'Agatha se posa enfin sur Ivana, un frisson d'excitation parcourut son corps. Ivana se tenait là, radieuse, portant la chemise violette foncée d'Agatha, qui épousait parfaitement ses formes. La couleur mettait en valeur la douceur de sa peau et contrastait avec ses cheveux, créant une image à la fois familière et captivante.
Agatha observa Ivana avec admiration, ses lèvres s'humidifiant instinctivement alors qu'un sourire se dessinait sur son visage. Elle adorait voir Ivana vêtue de sa chemise, cela lui donnait un sentiment de proximité et d'intimité. La chemise, souvent associée à des moments partagés et à des souvenirs doux, semblait maintenant porter un nouveau sens, une sorte de lien entre elles. Agatha se sentit soudainement réconfortée, comme si la présence d'Ivana dissipait les nuages de ses pensées.
Agatha, avec une voix douce et mélodieuse, s'approcha d'Ivana, ses yeux pétillants d'une curiosité malicieuse. "Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres.
Ivana, surprise mais amusée, répondit en souriant, "Oui, une objection avec ça ?" Son regard pétillait de défi, comme si elle savait que sa réponse provoquerait une réaction.
Agatha se leva lentement, ses yeux ne quittant pas Ivana, admirant la façon dont la chemise épousait ses courbes. Elle se sentait comme si son cœur battait la chamade, chaque battement résonnant dans son être. Elle s'approcha d'Ivana, la chaleur de son corps la rapprochant encore plus. Puis, sans hésitation, elle l'embrassa tendrement sur les lèvres, un baiser chargé de passion et d'affection.
Après ce moment doux, Agatha murmura à l'oreille d'Ivana, "Malgré que j'adore cette couleur sur toi, je te préfère sans rien." Ses mots étaient chuchotés, pleins de tendresse et de désir.
Ivana, un sourire en coin illuminant son visage, répliqua avec malice, avant de l'embrasser à nouveau, cette fois-ci avec une intensité qui faisait vibrer tout son être. Leurs lèvres se rencontrèrent une fois de plus, scellant ce moment de complicité et d'amour partagé.
Suite au baiser, Agatha ne pouvait s'empêcher de poser son regard sur le cou d'Ivana, où se dessinait un suçon, une marque indélébile de leur passion. Elle s'approcha, ses doigts effleurant délicatement la peau d'Ivana, traçant des cercles doux autour de cette empreinte.
Ivana, amusée par l'attention d'Agatha, leva les yeux vers elle et dit avec un sourire espiègle : "Tu admires ton travail ?"
Agatha, un sourire en coin se formant sur ses lèvres, répondit avec une lueur malicieuse dans les yeux : "Au moins, les gens savent que tu es à moi. Te plains pas j'aurai pu poser une rune sur toi" Elle se pencha un peu plus près, ses mains se posant sur les hanches d'Ivana, accentuant leur connexion.
Ivana, mordant légèrement sa lèvre inférieure, répliqua avec un air provocateur : "Qui a dit que ça ne m'aurait pas plu ?" Son regard pétillait de défi, révélant une complicité pleine de jeu entre elles.
Agatha, sentant une vague d'excitation à l'écoute des mots d'Ivana, se mordit la lèvre, un sourire complice illuminant son visage. La tension entre elles était palpable, comme une douce promesse d'aventures à venir.
S'approchant encore plus près, elle laissa échapper un souffle chaud, chuchotant sensuellement à l'oreille d'Ivana : "Moi, j'adore l'idée." Sa voix était un murmure, chargé de désir et de complicité, créant une atmosphère intime autour d'elles.
Ivana frissonna à ce contact, son cœur battant plus vite. Elle tourna légèrement la tête pour croiser le regard d'Agatha, ses yeux pétillant d'une malice partagée. "Ah vraiment ? Et qu'est-ce qui te plaît tant dans cette idée ?" demanda-t-elle, jouant avec la tension entre elles.
Agatha, amusée par la question, répondit avec un clin d'œil : " Que tu sois a moi et rien que a moi." Elle se recula légèrement, savourant ce moment, avant de se rapprocher à nouveau, prête à explorer ensemble les possibilités qui s'offraient à elles.
☆○o。 。o○☆
Belle se tenait dans la boutique de Gold, entourée d'un parfum délicat de bois poli et de bijoux scintillants. Les murs étaient ornés de miroirs qui reflétaient la lumière tamisée, créant une ambiance à la fois chaleureuse et mystérieuse. Pourtant, malgré la beauté du lieu, son esprit était en proie à un tourbillon de pensées. La révélation de Gold résonnait dans sa tête comme un écho, chaque mot pesant lourdement sur son cœur.
Elle se posait une multitude de questions, son regard scrutant les étagères chargées de trésors, mais son esprit était focalisé sur l'homme qui venait de lui confier un secret si lourd. Alors que Gold entra dans la boutique, une expression de mélancolie sur son visage, Belle sentit une vague d'angoisse l'envahir. Elle avait besoin de réponses, de comprendre ce qu'il avait caché si longtemps.
Sans dire un mot, elle posa son regard sur lui, ses yeux cherchant à percer le mystère qui l'entourait. Gold, conscient de son observation, évita son regard, comme s'il était en proie à ses propres démons. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant entre eux, remplie de non-dits et d'émotions refoulées. Belle savait qu'elle devait briser le silence, mais les mots restaient bloqués dans sa gorge, attendant le bon moment pour émerger.
Gold, le regard perdu dans le vide, finit par rompre le silence pesant :
« Dis-moi ce que tu as à me dire, Belle... je sens ton regard. » Sa voix était teintée d'une tension palpable, comme s'il redoutait la question qui allait suivre.
Belle, s'approchant de lui avec une détermination tranquille, répondit : « Je ne peux pas rester dans l'incertitude. Tu dois me donner des explications. Qu'est-ce qui se passe vraiment ? » Son ton était à la fois ferme et doux, cherchant à percer la carapace de l'homme devant elle.
Gold, sentant la pression de ses mots, serra les poings, sa frustration éclatant à la surface. « Il n'y a rien à dire. » Sa voix était rauque, presque désespérée, comme s'il tentait de se convaincre lui-même que le sujet était clos.
Belle, ne se laissant pas décourager, posa une main apaisante sur l'épaule de Gold. « Mais... il y a une chance que Lucillia soit ta fille ? » La question flottait dans l'air, chargée d'espoir et de crainte.
Gold se retourna brusquement, son visage marqué par la douleur. « Ma fille est morte. Cette Lucillia est une imposteur. »
Ses mots étaient tranchants, comme une lame, et la tristesse dans sa voix révélait l'ampleur de sa perte. L'atmosphère autour d'eux se chargea d'une intensité émotionnelle, chaque silence entre leurs échanges pesant lourdement de secrets et de chagrin.
☆○o。 。o○☆
Lilia était assise à la table en bois usé de Granny's, les rayons du soleil filtrant à travers les , créant des motifs délicats sur la table. Elle tenait une tasse de thé fumant entre ses mains, la chaleur réconfortante du breuvage contrastant avec le tumulte de ses pensées.
Son esprit vagabondait vers Regina et Lucillia, se demandant pourquoi Regina, qui avait toujours été perçue comme la méchante de l'histoire, choisissait d'aider Lucillia. Lilia plissa les yeux, une légère ride de frustration marquant son front. Elle n'aimait pas ce rapprochement, cette alliance inattendue .
Tout en sirotant son thé, elle observa les autres clients de Granny's, leurs rires et leurs conversations flottant dans l'air. Pourtant, elle se sentait isolée, perdue dans un tourbillon d'émotions contradictoires. La jalousie n'était pas son intention, mais l'idée que Lucillia pouvait trouver du soutien auprès de Regina la dérangeait profondément. Elle secoua la tête, comme pour chasser ces pensées sombres, mais elles revenaient sans cesse, comme une mélodie obsédante.
Lilia prit une profonde inspiration, essayant de se concentrer sur le goût du thé, sur la douceur du miel qui adoucissait l'amertume. Elle savait qu'elle n'avait pas à être jalouse, mais cette nouvelle dynamique entre les deux femmes la troublait. Elle se demanda si elle devait intervenir ou laisser les choses se dérouler, se sentant tiraillée entre son instinct protecteur et son désir de comprendre.
Lilia était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne remarqua pas l'arrivée de Lucillia. Elle était absorbée par le tourbillon de ses émotions, son regard fixé sur la tasse de thé, sans vraiment voir les autres clients de Granny's.
Soudain, elle sentit une présence familière en face d'elle. Lucillia s'installa doucement, le bruit léger de sa chaise glissant sur le sol en bois attirant enfin l'attention de Lilia. Lucillia, avec son sourire chaleureux, observa Lilia pendant un moment, notant l'air préoccupé de son amie.
« Eh, ça va ??? » demanda Lucillia, une note d'inquiétude dans sa voix.
Lilia leva les yeux, surprise, comme si elle sortait d'un rêve. Elle cligna des yeux, réalisant que Lucillia était là, juste en face d'elle.
« Oh, Lucillia ! Je... je ne t'avais pas vue arriver. » Sa voix était un peu tremblante, trahissant son trouble intérieur.
Lucillia pencha la tête, ses yeux pétillants de curiosité. « Tu sembles préoccupée. Qu'est-ce qui se passe ? »
Lilia ne savait pas quoi répondre. Les mots se bousculaient dans sa tête, mais elle ne pouvait pas dire la vérité. Dire qu'elle était jalouse de Regina serait trop difficile à avouer, même à Lucillia. Elle fronça les sourcils, son esprit en proie à des pensées conflictuelles, et prit une gorgée de son thé, essayant de trouver un peu de réconfort dans la chaleur de la tasse.
En plongeant son regard dans celui de Lucillia, elle ressentit une vague d'honnêteté. Lilia savait que son amie méritait la vérité, mais sa peur de blesser ou de paraître faible la retenait. Après un moment de silence, elle se décida à parler, sa voix délicate et hésitante.
« Je me demande quelles sont les intentions de Regina, » dit-elle finalement, ses mots flottant dans l'air comme une plume.
Lucillia l'observa attentivement, ses yeux reflétant une compréhension profonde. « Je comprends, Lilia. Regina peut sembler... méchante.. Mais je pense qu'il y a plus en elle que ce qu'on voit je t'assure quelle est vraiment gentil avec moi. »
Lilia hocha la tête, mais l'inquiétude persistait. « Je sais, mais il y a quelque chose qui me dérange. Comme si elle avait un plan, quelque chose que nous ne comprenons pas encore. »
Lucillia se mit alors à sourire, un sourire qui illuminait son visage et apaisait l'atmosphère tendue. Voir que Lilia était inquiète pour elle était tout simplement parfait à ses yeux. Cela prouvait à quel point leur amitié était forte, même dans les moments de doute.
« Je t'en prie, fais-moi confiance, » dit-elle doucement, sa voix empreinte de sincérité. Elle se pencha légèrement en avant, ses yeux pétillants d'une lueur encourageante.
Lucillia savait que sa demande était importante, et elle espérait que Lilia ressentirait la profondeur de son engagement.Lilia, bien que touchée par l'attention de son amie, ne pouvait s'empêcher de froncer les sourcils.
« Je te fais confiance, » répondit-elle, sa voix un peu plus ferme, « je ne lui fais tout simplement pas confiance. »
Les mots étaient sortis plus brusquement qu'elle ne l'avait prévu, mais la vérité était là, palpable. Elle se leva légèrement, comme si elle voulait s'éloigner de la tension qui s'était installée entre elles.
Lucillia s'approcha lentement de Lilia, son cœur battant légèrement plus vite. Avec une délicatesse infinie, elle posa sa main sur celle de Lilia, ses doigts effleurant la peau douce et chaude de son amie. Ce contact, bien que simple, était chargé d'une tendresse palpable.
Elle commença à caresser doucement le dos de la main de Lilia, un geste qui semblait suspendre le temps. Les mouvements étaient lents et apaisants, comme une brise légère qui caresse un champ de fleurs. Lilia, surprise par cette attention, se mit alors à sourire. Ce geste si simple envoyait des frissons dans son corps, une chaleur réconfortante qui se r��pandait de sa main jusqu'à son cœur.
Lucillia, perdue dans ce moment, n'avait pas envie de bouger. Elle se laissa emporter par la douceur de l'instant, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Ses yeux brillaient d'une lumière douce, reflétant la complicité et l'affection qu'elle ressentait pour Lilia.
Leurs regards se croisèrent, et Lilia pouvait lire dans les yeux de Lucillia une promesse silencieuse de soutien et de compréhension. Ce simple contact, cette connexion, semblait créer un cocon autour d'elles, les protégeant des inquiétudes du monde extérieur.
Lucillia continua de sourire, heureuse de voir que son geste avait apporté un peu de réconfort à son amie. Dans ce silence partagé, elles savaient toutes deux que leur amitié était un refuge, un espace où elles pouvaient se comprendre sans mots.
Après un petit moment de silence, Lucillia, sentant la tension dans l'air, décida de briser le calme. Elle se pencha légèrement vers Lilia, son regard sincère et apaisant.
"Je te promets de faire attention...", dit-elle d'une voix douce, presque comme un murmure.
Lilia, touchée par la promesse de son amie, se mit à sourire délicatement. Elle baissa les yeux sur leurs mains, unies par ce contact tendre. Ses pensées se bousculaient, mais elle trouva le courage de relever le regard vers Lucillia.
"J'ai juste pas envie de te perdre," avoua-t-elle, sa voix tremblant légèrement, trahissant l'inquiétude qui l'habitait.
Lucillia, voyant la vulnérabilité de Lilia, sourit doucement, un sourire qui réchauffait le cœur. Elle prit une grande inspiration avant de répondre avec assurance :
"Tu ne me perdras jamais, Lilia. Je suis là, et je le serai toujours."
Lilia hocha la tête, se sentant réconfortée par la certitude de son amie. "Merci, Lucillia. " murmura-t-elle, un sourire sincère se dessinant sur son visage.
Leurs mains restèrent enlacées, symboles d'une promesse indéfectible, tandis qu'elles partageaient ce moment précieux, enveloppées dans une bulle de confiance et de compréhension mutuelle.
Lucillia s'approcha doucement de Lilia, un sourire délicat illuminant son visage. Ses yeux brillaient d'une tendresse sincère, comme si chaque éclat de lumière reflétait son affection profonde. Elle se pencha légèrement, cherchant à établir un contact visuel qui ferait fondre les inquiétudes qui pesaient sur leur amitié.
Après un instant, Lucillia se leva avec grâce, ses mouvements fluides et empreints d'une douceur palpable. Elle s'avança vers Lilia, et sans hésitation, elle l'enveloppa dans ses bras. Le contact était chaleureux et réconfortant, un geste qui parlait plus que des mots. Lucillia serra délicatement Lilia contre elle, comme si elle voulait lui transmettre toute sa force et son soutien.
"J'ai besoin de toi dans ma vie," murmura Lucillia, sa voix à peine audible, mais chargée d'émotion.
Elle pouvait sentir le cœur de Lilia battre contre le sien, un rythme rassurant qui lui confirmait que son amie était là, qu'elle était en sécurité. Elle se recula légèrement pour regarder Lilia dans les yeux, s'assurant que son regard était empreint de bienveillance. Lilia, touchée par cette déclaration, ressentit une vague de chaleur l'envahir. Elle savait à quel point leur lien était précieux et combien ces moments de connexion étaient essentiels. Dans les bras de Lucillia, elle trouva un réconfort inestimable, un rappel que, quoi qu'il arrive, elles seraient toujours là l'une pour l'autre.
☆○o。 。o○☆
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Belle était assise à une petite table dans la bibliothèque, entourée par le calme habituel de l'endroit. Devant elle, le livre d'Henry reposait ouvert, ses pages anciennes et jaunit portaient les histoires du royaume enchanté. Elle feuilletait les pages avec une attention frénétique, ses doigts tremblant légèrement à chaque passage d'un conte familier.
Chaque page semblait contenir une pièce du puzzle du passé, mais aucune n'offrait les réponses qu'elle cherchait. Elle lut rapidement les récits de héros, de reines déchues et de malédictions brisées, mais rien, absolument rien, ne parlait de ce qui était arrivé à la fille de Rumplestiltskin.
Elle s'arrêta sur une page où une illustration détaillée de Rumplestiltskin la fixait, sombre et imposante. Belle fronça les sourcils et murmura pour elle-même :
« Pourquoi il manque cette partie de ton histoire ? Pourquoi tout est là, sauf elle ? »
Elle referma le livre d'un geste brusque, le bruit résonnant dans la pièce vide.
Belle resta un long moment immobile, perdue dans ses pensées. La pièce autour d'elle semblait plus froide, plus vide, comme si le poids de l'absence de réponses l'écrasait. Mais elle n'était pas du genre à abandonner, surtout quand il s'agissait de quelqu'un qu'elle aimait.
Elle se releva, déterminée, et se dirigea vers l'étagère où étaient rangés d'autres ouvrages. Si le livre d'Henry ne contenait rien, peut-être qu'un autre en savait plus. Elle tira un volume lourd et poussiéreux sur les lignées familiales du royaume enchanté et le posa sur la table.
Elle tourna rapidement les pages, cherchant un indice, un nom. Hela , était mentionnée. Mais aucune trace de leur fille. Pas même un mot. Comme si elle n'avait jamais existé.
Un frisson de colère et de tristesse la traversa. Pourquoi effacer une vie, une histoire ? Était-ce si terrible qu'on devait la cacher ?
La porte de la bibliothèque s'ouvrit brusquement, et Belle sursauta. Rumplestiltskin se tenait là, son expression sombre et scrutatrice. Il avait ce regard qu'il prenait toujours lorsqu'il savait que quelque chose allait être dit, ou découvert, qu'il aurait préféré garder enterré.
« Belle, » dit-il doucement, mais avec une pointe d'inquiétude. « Qu'est-ce que tu fais ? »
Elle referma le livre devant elle, mais ne le quitta pas des yeux. « Je cherche des réponses, Rumple. Des réponses sur ta fille. »
Un éclair de panique traversa son visage, mais il se reprit aussitôt. Il entra lentement dans la pièce, ses pas résonnant comme un écho de la tension entre eux.
« Tu sais que certaines histoires... n'ont pas besoin d'être racontées, » dit-il, sa voix lourde de sous-entendus.
Elle se leva, les poings serrés. « Et tu sais que je ne peux pas accepter ça. Pas après tout ce qu'on a traversé. Pourquoi elle n'est nulle part dans ce livre, Rumple ? Pourquoi tout ce que je trouve sur toi est clair, sauf ce chapitre ? »
Il baissa les yeux, évitant son regard, ses doigts se tordant nerveusement. « Parce que c'est ma douleur, Belle. Pas la tienne. »
« Tu crois vraiment que je peux t'aimer sans comprendre ce qui t'a brisé ? » Sa voix se brisa légèrement, trahissant l'émotion qu'elle tentait de contenir. « Je veux savoir ce qui est arrivé. Pas pour te juger, mais pour t'aider. Pour te soulager de ce fardeau que tu portes seul. »
Il resta silencieux, ses traits se crispant sous le poids de ses propres souvenirs. Finalement, il leva les yeux vers elle, et elle vit dans son regard une tempête d'émotions : douleur, regret, et une peur profonde.
« Elle était tout pour moi. Mais je l'ai perdue... à cause de ma propre faiblesse. »
Belle sentit son cœur se serrer. « Tu veux dire que tu l'as laissée partir ? »
Il secoua la tête. « Non. Je veux dire que c'est moi qui ai causé sa mort. »
Ces mots résonnèrent dans l'air comme une gifle, laissant Belle figée sur place. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais il leva une main, comme pour la faire taire.
« Je croyais pouvoir la protéger, comme je crois toujours pouvoir tout contrôler. Mais mes choix... mes choix ont détruit tout ce que j'aimais. » Sa voix se brisa, et il détourna le regard.
Belle s'approcha de lui, sa colère remplacée par une compassion infinie. Elle posa une main douce sur son bras.
« Tu ne peux pas continuer à fuir, Rumple. Cette douleur, ce regret... tu ne peux pas les garder pour toi seul. Laisse-moi t'aider. Laisse-moi comprendre. Peut être que ta fille n'ai pas morte. »
Il ferma les yeux, une larme solitaire coulant sur sa joue. Pour la première fois, il sembla prêt à baisser sa garde, à partager ce qui le hantait depuis si longtemps.
« Très bien, » dit-il finalement, sa voix à peine audible. « Mais sache que certaines vérités sont plus cruelles qu'on ne peut l'imaginer. »
Belle hocha doucement la tête, prête à affronter cette vérité à ses côtés, peu importe à quel point elle pourrait être sombre.
☆○o。 。o○☆
La nuit était sombre, enveloppée d'une brume épaisse qui semblait absorber le moindre son. Mary-Margaret se tenait au centre de la clairière, ses mains tremblant légèrement tandis qu'elle déposait les dernières fleurs de sang sur le sol. Un cercle rougeâtre commençait à s'illuminer autour d'elle, pulsant faiblement sous la lumière de la lune.
Elle murmurait des mots anciens, une incantation qu'elle avait dénichée dans un grimoire oublié, enterré au fond de la bibliothèque interdite. La peur et la colère dansaient dans ses yeux, une combinaison dangereuse qui la poussait au bord du précipice moral.
Lorsqu'elle prononça les dernières syllabes, un souffle glacé balaya la clairière. Le sol devant elle se fissura, et un grondement sourd résonna, comme si la terre elle-même protestait.
Puis, lentement, une silhouette émergea du sol. D'abord une main osseuse, puis un bras recouvert d'un manteau noir déchiré. Une fois debout, la figure sombre s'avança, sa démarche fluide et éthérée. Rio Vidal, la Mort personnifiée, se tenait devant elle.
Sa silhouette était à la fois terrifiante et fascinante : un mélange d'ombre et de chair, son visage voilé par une capuche, ne laissant apparaître que des yeux brillants d'un éclat rougeâtre.
« Qui ose m'appeler ? »
Mary-Margaret déglutit difficilement, mais se força à garder son calme. Elle leva le menton, déterminée.
« C'est moi, Mary-Margaret. J'ai besoin de tes services. »
Rio Vidal inclina légèrement la tête, un sourire imperceptible se dessinant dans l'ombre de sa capuche.
« Mes services ? » répéta-t-elle avec amusement. « Peu osent m'invoquer. Moins encore survivent pour en parler. Qu'est-ce qui te pousse à prendre un tel risque, petite reine ? »
« Il y a une femme. Ivana. Elle doit mourir. »
Rio Vidal éclata d'un rire profond, presque moqueur.
« Ah... Toujours des morts à réclamer. Et pourquoi devrais-je exécuter ce caprice, Mary-Margaret ? »
Elle fit un pas en avant, ignorant le frisson glacé qui parcourait son échine.
« Elle représente une menace. Pas seulement pour moi, mais pour ma famille. » Sa voix trembla légèrement, mais elle continua. « Je ne peux pas risquer de la tuer moi-même. Pas cette fois. Mais toi, toi, tu peux le faire sans laisser de traces. »
La Mort resta silencieuse un moment, semblant la jauger.
« Et qu'es-tu prête à offrir en échange ? » demanda-t-il enfin, ses yeux brillant plus intensément.
Mary-Margaret sentit un poids s'abattre sur ses épaules. Elle savait que cette question viendrait, et elle avait préparé sa réponse.
« Tout ce que tu veux, » dit-elle, sa voix basse mais résolue.
Rio Vidal s'approcha lentement, si près qu'elle pouvait sentir un froid mortel émaner d'elle
« Tout ce que je veux ? » murmura-t-il. « Es-tu sûre de comprendre ce que cela implique ? »
Elle détourna les yeux un instant, mais se força à soutenir son regard.
« Oui. »
La Mort sembla réfléchir, puis tendit une main vers elle. Une main à moitié osseuse, à moitié humaine, tendue comme une invitation.
« Très bien, Mary-Margaret. Je te donnerai la mort que tu réclames. Mais en échange... » Elle marqua une pause, laissant planer une tension insupportable. « Je prendrai un fragment de ton âme. Un morceau suffira... pour l'instant. »
Elle hésita, sachant que cela laisserait une marque sur elle, un vide qu'elle pourrait ne jamais combler. Mais elle pensa à Ivana, à la façon dont David la regardait, à la menace qu'elle représentait.
Finalement, elle tendit sa main et la plaça dans celle de Rio Vidal.
Une douleur vive la traversa, comme si une partie de sa lumière intérieure lui était arrachée. Elle tomba à genoux, haletante, tandis que la Mort se redressait, son aura encore plus sombre et puissante.
« L'accord est scellé, » déclara Rio Vidal d'une voix solennelle. « Ivana ne verra pas la prochaine lune se lever. »
Elle disparut dans un souffle de vent glacé, ne laissant derrière elle que des traces noires sur le sol.
Mary-Margaret resta là, à genoux dans la clairière, un mélange de soulagement et de terreur dans le cœur.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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JAEHYUN - DANDELION [VOSTFR]
Traduction en français faite par moi! Merci de ne pas reprendre ou republier mes traductions sans autorisation ou attribution appropriée.
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Artiste : JAEHYUN de NCT
Chanson : DANDELION
Album : J
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Pissenlit dans le ciel
Il est difficile de voir
Quand le soleil m'éblouit
Peut-être que c'est l'aveuglement
Comment t'es-tu retrouvée toute seule sur la route ?
Quoi qu'il en soit, on s'en sortira très bien
Je murmure et à cet instant, oh là là
On vole très haut
Tu es mon petit pissenlit
Dans un instant fugace, on danse
Récitant de la poésie comme un poète romantique
Pour toi, j'achèterai
Un bateau pour traverser l'Atlantique
Je plongerai dans les profondeurs
Pour trouver les clés de l'Atlantide
Il n'y a aucun endroit où je préférerais être que
Là où tu es assise à côté de moi
car tu me donnes ma gravité
Tu me ramènes à la réalité
Le simple fait d'entendre ta douce voix
s'harmoniser avec la mienne
est la raison pour laquelle j'ai un sourire sur les lèvres (c'est toi !)
Pissenlit dans le ciel
Il est difficile de voir
Quand le soleil m'éblouit
Peut-être que c'est l'aveuglement
Comment t'es-tu retrouvée toute seule sur la route ?
Quoi qu'il en soit, on s'en sortira très bien
Je murmure et à cet instant, oh là là
On vole très haut
Tu es mon petit pissenlit
En flottant, incapable de saisir ce que je cherche
Mon esprit est plus fort que moi
Mes pieds sont sur le sol
Un baiser comme si on dansait en parfaite harmonie
Peut-être que je suis juste dans un nuage
Ramène-moi sur terre
Il n'y a aucun endroit où je préférerais être que
Là où tu es assise à côté de moi
car tu me donnes ma gravité
Tu me ramènes à la réalité
Ta voix délicate, maintenant
Chantant en harmonie,
Avec le doux sifflement de ma respiration (avec toi !)
Pissenlit dans le ciel
Il est difficile de voir
Quand le soleil m'éblouit
Peut-être que c'est l'aveuglement
Comment t'es-tu retrouvée toute seule sur la route ?
Quoi qu'il en soit, on s'en sortira très bien
Je murmure et à cet instant, oh là là
On vole très haut
Tu es mon petit pissenlit
Dans le ciel
Tu es le soleil qui brille dans mes yeux
Oh là là
Uh oui
Ooh, pissenlit
Tu es mon petit pissenlit
———————————————————————————
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"Si je me demande aujourd’hui quand nous trouvions le temps de lire tous ces livres, alors que nos journées étaient déjà si remplies par nos heures de classe et nos leçons particulières, je me rends parfaitement compte que cela se faisait au détriment de notre sommeil et donc de notre fraîcheur corporelle. Bien que je dusse me lever à sept heures, jamais il ne m’arrivait de fermer mon livre avant une ou deux heures du matin – mauvaise habitude, d’ailleurs, que j’ai alors contractée pour la vie : même quand la nuit est déjà fort avancée, je lis encore une heure ou deux. Ainsi je ne puis me souvenir d’avoir pris le chemin de l’école autrement qu’à la dernière minute, dévorant ma tartine de beurre tout en courant ; il n’y a rien d’étonnant à ce qu’avec notre intellectualité nous ayons tous eu le visage maigre et vert comme un fruit mal mûr et des vêtements passablement négligés. Car chaque sou de notre argent de poche, nous le dépensions en billets de théâtre ou de concert, ou encore en livres, et nous étions d’autre part peu soucieux de plaire aux jeunes filles : nous aspirions à en imposer à de plus hautes instances. Se promener avec des jeunes filles nous semblait une perte de temps car, avec notre arrogance intellectuelle, nous jugions d’emblée l’autre sexe bien inférieur en esprit et nous ne voulions pas gaspiller nos heures précieuses en bavardages oiseux."
Stefan Zweig, Le Monde d’hier, trad. Serge Niémetz, 1941.
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Aimer une femme signifie
être partout en elle.....💞✨
Si tu peux, ferme son esprit,
un labyrinthe à éviter...✨
Cette imprudence,
cela pourrait vous coûter la raison...
Aimez-les sans vouloir les comprendre,
mais écoute-les avec ton cœur,
comme si c'était une fleur,
et vous vivrez ignorant mais heureux.
Et si tu veux être parfait,
n'oubliez pas de les câliner,
parce que les femmes ne sont pas que des mères,
épouses et amantes, elles sont aussi des enfants éternels......💞✨🥀
(Michele de Paolis)
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Flufftober 2024 : "Ça file les chocottes", "Vraiment ?"
12 octobre
« Ça file les chocottes », « Vraiment ? » ("This is spooky", "Really ?")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Octavio n'arrêtait pas de glisser ses doigts dans sa frange humide pour la repousser sur le côté. Ophélie n'était pas sûre de l'avoir déjà vu aussi désemparé: même quand ils s'étaient fait attaquer par le Sans-Peur, dans la ville basse noyée par la tempête de poussière et son tigre à dents de sabre, il était en territoire connu et donc, maîtrisait son environnement. Les rues pavées et vallonnées, les grosses flaques d'eau d'Anima, dues à la pluie froide qui tombait sans discontinuer depuis trois jours, devaient sacrément le dérouter. Il n'avait jamais appréhendé ces climats autrement que par les livres.
« Je comprends mieux pourquoi tes cheveux sont comme ça, commenta le Visionnaire à sa façon unique de plaisanter, l'expression neutre mais un léger rictus au coin des lèvres. Est-ce qu'il pleut constamment sur ton arche… hum, dans ton pays ? My, j'ai l'impression que l'eau s'est infiltrée jusque dans mes bottes. »
C'était vrai que l'écharpe ne s'illustrait pas particulièrement par ses capacités à tenir un parapluie parfaitement à la verticale. Il valait pourtant mieux que ce soit elle qui s'en charge plutôt qu'Octavio. Il était tellement habitué à manier les ombrelles, sous le soleil brûlant et les vols de perroquets de Babel, que son amie et lui se prenaient toutes les rafales de pluie dans le visage.
Le soleil commençait à baisser au-dessus des toits des maisons mais, comme on était encore que le 12 octobre, il ne disparaîtrait pas complètement avant deux bonnes heures. Ophélie avait le temps de montrer à Octavio la façon dont les Animistes célébraient l'une des fêtes les plus anciennes et les plus étonnantes de leur arche: les Tous Saints. À cette occasion, les objets les plus chouchoutés, appréciés et valorisés de chaque famille d'Anima étaient revêtus d'étoles blanches et décorés d'une petite bougie à la flammerole bleue tremblotante. Ça les changeait un peu et illustrait leur appartenance à une même grande, longue et fantastique histoire, issue de siècles d'objets animés par leurs talentueux propriétaires.
Pour autant, comme ils avaient tous l'habitude des tables de billard, machines à chocolat et autres rubans à chapeau doués d'un tempérament et de comportements détonants, la jeune fille ne s'attendait pas au commentaire tranquille qui émana de son compagnon de promenade :
« Ça file les chocottes.
-Vraiment ? s'étonna-t-elle. »
Un parapluie couleur citrouille était en train de tournoyer dans une flaque, devant eux, l'étole reliant chaque de ses douze extrémités lui donnant l'air d'émaner un halo d'éther blanc. La bougie dans sa poignée refusait obstinément de s'éteindre, malgré les gouttes d'eau qui trempèrent une nouvelle fois les bottes ailées d'Octavio. Le jeune homme s'écarta et, comme l'écharpe voulut continuer de l'abriter avec leur propre parapluie, son amie reçut une giclée de pluie sur les lunettes. L'autre extrémité de l'écharpe se mit aussitôt en tâche de les retirer de son nez pour les essuyer.
« Mais ce n'est pas désapprobateur, précisa le Visionnaire en tendant un mouchoir à Ophélie pour qu'elle s'essuie le front. In fact, c'est plutôt fascinant. Spooky. Un mélange d'effrayant et de mignon, je suppose.
-Depuis quand apprécies-tu ce qui est effrayant ? s'étonna son amie en récupérant ses lunettes sur son nez.
-Depuis que mon esprit s'est élevé à de nouvelles compréhensions. Il y a plus de mondes que ce que nous pouvons percevoir. C'est effrayant. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a aucune trace de bonté, de valeur ou de cuteness à l'intérieur, au contraire. C'est probablement pour ça que vos ancêtres célébraient cette fête de cette manière. »
Ophélie sourit et Octavio tourna brièvement la tête vers elle pour lui rendre son expression chaleureuse. Elle aimait la façon dont elle comprenait mieux le monde lorsqu'ils se promenaient ensemble.
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N°1753 – Jeudi 11 février 2021
Beaucoup croient que le bonheur vient de l'extérieur. Beaucoup pensent qu'il suffit de posséder des biens matériels pour arriver à se sentir bien. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il se leurrent. Le bonheur ne vient pas si nous possédons plus que le voisin. Il ne vient pas quand on ne fait aucun effort de notre côté et que l'on en demande beaucoup des autres.
« Le bonheur vient de la capacité à ressentir profondément, à apprécier simplement, et à penser librement. »
- Storm Jameson -
Les biens matériels contribuent au bien être à un certain degré. Dire le contraire serait un mensonge. Ceci dit, chacun y voit à sa façon. Il y a des personnes qui vont se sentir bien avec beaucoup d'objets, quels qu'ils soient, et d'autres vont se sentir plus léger, plus libre s'ils possèdent peu. Pourtant, miser tout son bonheur là-dessus, c'est risqué. Au cas échéant, nous ne sommes pas satisfaits et nous en voulons toujours plus, jusqu'au jour où nous devenons comme lassé. C'est un peu comme si, sur une course de chevaux, nous misons tout sur le même cheval. Cela réduit nos chances de gagner. Là, c'est pareil. Nous risquons et nous diminuons nos chances d'être heureux, si nous misons que sur notre bien-être matériel pour cela. Le jour où tout disparaît, que nous reste-t-il ?
Ça commence à l'intérieur de nous. Gérer les doutes, les mauvaises réflexions. Arrêter de se rabaisser sans cesse et commencer à prendre, peu à peu, confiance en soi. Le but n'est pas de tout arrêter, car cela est presque impossible. Ne jamais douter, ne jamais avoir des pensées négatives, c'est comme nier le côté obscur qui se trouve en nous. Il vaudrait mieux l'accepter, apprendre à le gérer et aussi, augmenter tout ce qu'il y a de positif en nous. Tout ça, ça sera déjà un très bon début. Les efforts se feront connaître d'eux-mêmes. Le bien-être psychologique est une des choses les plus importantes, pour être heureux et bien dans ses baskets. Tout aussi important que la santé. Qu'elle soit mentale ou physique. En prenant son temps et en travaillant tous les jours, nous pouvons dompter notre esprit et acquérir une paix antérieure, qui nous est propre. Elle ne sera pas totale. Elle se fera avec le temps. Même si nous traversons des moments difficiles, cela ne veut pas dire que tout disparaîtra au moindre malaise.
Nous finissons au bout d'un moment par vivre une vie comme nous le souhaitons. Nous finissons par ne plus nous cacher derrière des biens matériels, ou même pire, derrière es illusions. Être soi-même est une des finalités. Elle permet de vivre et d'organiser son existence en fonction de nous et non de la société ou de notre entourage. Nous nous ne sommes plus influencés par qui que ce soit. Cela devrait faire partie de notre apprentissage. On devrait tous suivre des cours pour apprendre à nous connaître, durant l'adolescence, qui est une période si difficile pour beaucoup d'entre nous. Nous serions plus à même de faire face à la vie, qui n’est pas toujours aussi simple qu'on l'imagine. Ces cours nous permettraient de ne pas passer à côté de l'essentiel : S'écouter. S'aimer. Se faire confiance.
« Au fur et à mesure que je modifie mes pensées, le monde autour de moi se transforme. »
- Louise L. Hay -
Depuis plusieurs années, j'ai arrêté de penser que ce sera les autres qui m'amènerait le bonheur. J'ai arrêté de penser qu'il fallait que je me cache et que je me fonde dans la masse, au risque de m'en prendre plus dans la tête. Comme si c'était une protection sûre et fiable. J'ai arrêté de penser que les autres penseraient à moi, à ma place et que je pourrais m'occuper des autres, avant moi. J'ai arrêté de ne faire qu'exister, maintenant, je vis. Rien n'est parfait. J'ai des moments de doutes, des moments d'angoisses. J'ai des hauts et des bas, comme une grande partie de la population. C'est notre cerveau qui fait cela. Il a des mécanismes automatiques qui, parfois, nous font plus de mal que de bien. Cela peut se régler. Mais malgré cela, même si tout n'est pas rose, je me sens bien avec moi-même. Je me sens en paix avec la plupart des choses qui réside en moi. J'ai façonné mon esprit. J'ai changé sa façon de percevoir le bien-être. De voir qu'il peut venir d'ailleurs, notamment de l'intérieur. Je l'ai fait évoluer à fin qu'il regarde la vie, mon existence d'une autre manière. C'est tout aussi bien de voir les choses sous un autre angle. Nous pouvons prendre conscience de beaucoup de choses. Des choses qui ne sont pas toujours flagrantes de suite. Mon bonheur passe en priorité dans ce que je ressens. Mes envies réelles et fondées. Cela passe en priorité dans ce que je vis et avec qui. Désormais, grâce à tout ce travail, je pourrais rester seule avec moi-même. Cela ne me dérange pas. Même quand mes pensées négatives me submergent, je sais que, même si c'est très dur sur le moment, et que je n’ai personne à qui en parler, je pourrais y faire face.
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Récemment, j’ai été critiquée pour avoir parlé de la façon dont les femmes doivent donner des préliminaires aux hommes.
Pourtant, le besoin des hommes d’un toucher tendre pour les femmes est quelque chose dont je suis parfaitement consciente depuis que j’ai commencé à donner une thérapie tantrique aux hommes.
Au fil des ans, j’ai tenu les hommes dans leur tendresse et leur vulnérabilité, entendant souvent « Je n’ai jamais dit ça à personne auparavant... » et j’ai vu comment les hommes se transformer après avoir reçu un toucher tendre.
Nous, les femmes, nous nous plaignons de l’agressivité et de la rudesse des hommes, mais c’est la nature masculine.
C’est nous qui détenons le domaine de la tendresse, de la sensualité, de l’orgasme et du plaisir et c’est nous qui devons les initier.
Bien que se plaindre puisse être auto-gratifiant, c’est futile. Pour obtenir ce que vous voulez au lit en tant que femme hétérosexuelle, vous devez comprendre la nature des hommes.
Comprenez leurs peurs et leur anxiété, à quel point ils essaient de réprimer leurs émotions, à quel point ils subissent de la pression pour performer.
Comme ils sont frustrés quand ils arrivent enfin à avoir des relations sexuelles et que ce dont ils ont besoin, ce n’est pas d’une femme molle allongée et qui le prend, ce dont il a besoin, c’est d’une femme pour prendre le contrôle de son énergie sexuelle et le guider.
L’expérience masculine de l’énergie sexuelle est rude et superficielle. C’est nous qui pouvons l’introduire dans les royaumes de la félicité tantrique qui accompagne le sexe lent et profond.
Nous, les femmes, sommes les gardiennes.
Tout comme nos utérus introduisent de nouveaux esprits dans la dimension physique, nos chattes peuvent également introduire nos partenaires masculins dans les royaumes éthérés, si nous laissons notre énergie sexuelle naturelle, l’énergie de la tigresse, prendre le dessus.
Les femmes peuvent amener leur homme à leurs niveaux et l’initier à des niveaux plus profonds d’amour.
~L’art de la chambre à coucher
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