#tolarde
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ecorutastravel · 5 years ago
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🇧🇷Espécies camelídeos que habitam áreas altas dos Andes e Puna, em terras de 3.200 a 4.800 metros. Nem todo animal pode suportar essas elevações, mas a vicunha o faz porque possui um grande coração e células sanguíneas de hemoglobina com maior afinidade para capturar oxigênio. Seu habitat é dominado por 6 tipos de vegetação: halófila, tundra pantanosa, estepes herbáceas, pastagens, estepes arbustivas, estepes arbustivas com tolards (plantas) e cactos de apoio. Mostrar preferência por áreas pantanosas ou pantanosas. Ao contrário de outros camelídeos, a vicunha precisa beber água diariamente, por isso requer viver em uma área com fontes de líquido fresco. 🇺🇲Camelid species that inhabit high Andean and Puna areas, on land of 3,200 to 4,800 meters. Not every animal can withstand these elevations, but the vicuña does because it has a large heart and hemoglobin blood cells with a higher affinity to capture oxygen. Its habitat is dominated by 6 types of vegetation: halophile, swampy tundra, herbaceous steppes, grasslands, shrub steppes, shrub steppes with tolards (plants) and support cactus. Show preference for swampy or wetland areas. Unlike other camelids, vicuna needs to drink water with daily, so it requires living in an area with sources of fresh liquid.#ecorutastravel #ecoatacama #ecorutaschile (en Desierto De Atacama, Chile) https://www.instagram.com/p/B46B4DppJ1t/?igshid=185o8dcjn2p4v
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Morceaux de vie  - 12/03/2017
Voiture 10 - place 66 intercité 100% éco Paris-Toulouse départ 10h29 Desservira les gares des Aubrais, de Chateauroux, de Limoge, De Brive la Gaillarde, de Cahors et de Toulouse son terminus.
J’ai toujours était fascinée par les gens dans les trains. J’ai l’impression d’être dans un magasin qui vend des idées de personnages : « Mon nom est personne » - magasin de personnages, groupes sociaux, clichés, répliques cultes, situation cocasse… - Malentendus et conflits à l’étage.
J’ai à disposition une large palette de morceaux de vie de gens tous plus authentiques les uns que les autres. C’est inépuisable et nouveau à chaque fois. Et pourtant, chose d’autant plus fascinante, j’ai souvent une impression de déjà-vu. Tiens par exemple là, dans ma cabine inter-cité où nous tenons à trois par banquette — ce ne sont même pas des sièges — il y a le jeune étudiant du Nord qui part faire son stage de fin d’étude à Toulouse, la dame qui se plaint de tout et de rien avec entrain, la parisienne qui s’est installée à Brive et qui tente de ne pas regretter parce que dans la vie il faut faire des choix et la jeune fille aux écouteurs qui ne dira pas un mot de tout le voyage et feindra de dormir. J’ai déjà croisé tous ces types de personnages mais j’aime à les retrouver sous des enveloppes plastiques différentes. Il reste une place de libre sur la banquette qui me fait face entre le jeune étudiant et l’ancienne parisienne. Ce vide nous sauve tous d’une proximité insoutenable. Dans les autres cabines, ils sont six et ça a l’air dur-dur. Je suis côté fenêtre, je m’estime heureuse malgré cette réduction d’espace vitale dont j’aurais du me douter d’après le bas prix de mon billet. J’ai sept heures de train devant moi. Sept heures dont je pourrais ô combien  me plaindre. J’ai du le faire, je suis comme tout le monde. Je m’en suis plainte c’est sûr. Je souhaitais que le monde sache que j’étais contrainte de passer sept dans dans trois mètres carrés avec des inconnus qui ont autant envie d’être avec moi que moi j’ai d’être avec eux. Passer cette période incompressible où j’ai transmis mes plaintes par textos à mes amis les plus proches, je m’attèle à ma seconde activité favorite : regarder le spectacle avec à l’affiche mes voisins de banquette. Je vais être obligée de conjecturer sur les prénoms car nous n’avons pas eu l’audace de nous les échanger malgré la discussion cordiale que nous avons partagée, moi et mes compères et consoeurs de wagon. À mon avis elle s’appelle Sylvie, la parisienne devenue à grand regret Brivoise, on dit Brivoise ? Le jeune étudiant lui, il doit s’appeler Julien, ou Antoine, ou Aurelien. Peut-être Aurélien, je vais prendre Aurélien. Madame je-me-plains-mais-au-fond-ça-va-franchement-ça-va, elle doit surement s’appelle Marie-Christine, qu’on me coupe les pointes des cheveux s’il en est autrement. La jeune fille aux écouteurs, c’est Léa … hum … non Laetitia. Tout commence juste avant l’arrêt Limoges. Jusque là, seule Marie-Christine avait ouvert la bouche par bribes courtes pour exprimer sa satisfaction à se faire contrôler. Oui, parce que ça la rend folle d’acheter son billet, de ne pas se faire contrôler et de rendre compte qu’elle aurait pu voyager gratuitement. Rhalala elle n’aime pas du tout du tout. Ce qui est sûr, c’est qu’elle fera une sieste en arrivant parce que rhalala, on est pas confortable. Je dois lui accorder qu’on est moins confortable que dans une voiture. Elle m’a dit « Ce qui est différent du covoiturage, c’est qu’ici on est pas obligé de se parler alors on s’endort plus vite ». Elle n’a pas dit ça dans un contexte. J’ai commencé une interprétation du sous-texte de cette réplique. Sous-entendait-elle que je m’étais endormie et que j’aurais pu avoir l’amabilité de discuter avec elle ou bien appréciait-elle ce silence partagé et consenti entre notre club des cinq ? Quand je suis dans une proximité semblable à celle-ci avec des inconnus je me pose systématiquement la question suivante : « Est-ce qu’on pourrait survivre ensemble s’ils nous arrivaient une catastrophe nous isolant du reste du monde ? »  Je n’ai jamais eu à éprouver la réponse jusqu’à présent, ouf. En tout cas Marie-Christine a envie de parler. Je dois lui céder qu’elle n’est pas dans la catégorie des gens qui ne se rendent pas compte qu’ils parlent tout seul et qu’on aimerait mieux qu’ils se taisent. Marie-Christine a toute sa tête, n’a pas envie d’étaler son blabla sur nos valises. Elle veut juste briser en douceur ce silence qui lui pèse. L’occasion se présentera juste avant son départ. Avec les adieux viennent les confidences. Aurélien et Sylvie vont sortir du train à Limoges pour fumer une cigarette. Marie-Christine, elle, a arrêté il y a maintenant quatorze mois. Marie-Christine est assise au centre de la banquette avec à sa droite Laetitia et moi à sa gauche. Elle a en face la banquette des fumeurs. Bien droite sur son siège, elle leur explique comment sa vie a changé depuis qu’elle a arrêté de fumer. Sa peau n’est plus grise, ses dents sont plus blanches, elle dort mieux, elle a retrouvé sa liberté. J’avais l’impression de voir une ex-tolarde expliquer à deux prisonniers en quoi c’est formidable de sortir de prison. Ils acquiesçaient — que pouvaient-ils faire d’autre ? — Limoges approche, l’envie de fumer et la culpabilité aussi. Sylvie, qui nous expliquera après le départ de Marie-Christine les raisons de son départ en province, se résigne à accepter le fait que par déduction, elle a la peau grise, elle n’a plus des dents blanches, elle dort mal et elle n’est pas libre. Aïe. Elle ne dit rien bien sûr, il n’y aura pas d’esclandre dans cette histoire. J’en parle parce que ce n’est pas la première femme que je croise dans un transport en commun dont les yeux disent « je regrette mais j’assume ». Pour être honnête, cela m’inquiète un petit peu. Serais-je aussi alerte à ces cris silencieux si je n’étais pas moi même une femme qui a peur de se tromper dans ses choix ? La réponse est dans la question mesdames et messieurs. Quoi qu’il en soit, les faits sont là, Sylvie regrette. Sylvie regrette Paris, qu’elle a mis tant de temps à quitter. Il lui aura fallu cinq ans à faire des aller-retours entre Paris et Brive La Gaillarde pour entretenir sa relation de couple sans renoncer à sa vie parisienne. Mais voilà, au bout de cinq ans, il fallait faire un choix, Paris ou l’amour. Qui disait que Paris était la ville de l’amour ? Et bien, pour Sylvie, la ville de l’amour c’est Brive La Gaillarde et pour ça elle a du renoncer à son amour pour Paris. On dirait pas comme ça, mais Sylvie est une héroïne. C’est notre héroïne de tragédie cornélienne du wagon 10, cabine 60-66 et personne ne le sait. Elle a des beaux yeux bleus électriques et des cheveux noirs corbeau. Je me demande combien de temps elle va tenir. Ou plutôt, combien de temps la Corrèze va la retenir ? Je n’aurai jamais la fin de cette histoire. Moi je pense qu’elle partira un jour pour retourner sur Paris. C’est une histoire de balance. Quand son amoureux n’en vaudra plus la peine, elle pourra partir. Je l’aime bien Sylvie, c’est une guerrière qui a quand même besoin qu’un homme l’aime. On ne se refait pas, on a besoin d’amour.
Les transports en commun sont une mine de pépites de morceaux d’humanité. Et moi je suis un mineur … on dit une mineuse ? Oui, on dit une mineuse, au pire si on le dit pas, on dira que c’est une licence poétique féministe. Je suis une mineuse à la recherche de diamants aux milles facettes, tantôt touchantes, déconcertante, consternante, drôle, révoltante ou encore rayonnante. Ou, peut-être tout simplement que je m’ennuie dans le train et qu’il faut bien passer le temps.
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amourdantan · 5 years ago
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1er janvier 1948 : la chambrée est exempte de "tolards"
1er janvier 1948 : la chambrée est exempte de “tolards”
Périgueux le 1er janvier 1948
Mon petit Trésor chéri
“Je te la souhaite bonne et heureuse”. Pour ne pas changer la tradition sûrement pendant des siècles encore cette même phrase viendra apporter au seuil des années verbalement les bons présents de l’amitié.
Pour moi c’est en pluie de souhaits que mes plus intimes pensées viendront rejoindre mon cher petit Amour; que ne désirerait-on pas pour…
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omg-david-lumet-blog · 7 years ago
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Dear Rich People
Dear Rich people,
 Je vous en prie, cet été lorsque vous ferez votre petit marché soyez vigilant. Ne vous laissez pas abuser par une ligne de stat alléchante enjolivée par un tableau Excel bicolore, imprimé sur papier glacé et servi par un agent aussi avide que gominé. Le foot ce n’est pas ça.
Attention je suis loin de faire mon Mélenchon de base, je ne critique pas le fait de dépenser de gros sommes d’argent, je critique simplement le manque total de discernement dont vous faites trop souvent preuve au moment des transferts. C’est vrai qu’avec autant d’argent à disposition on peut se permette n’importe quoi. Mais ce n’est pas une raison pour faire n’importe quoi. Comme Robinho, successeur de Pelé le temps d’un été, acheté 42 millions par Manchester City. Était-ce vraiment raisonnable ? Ou Dmitro Chygrynskiy, acheter 25 millions d’Euros. A Barcelone ils ont à peine eu le temps d’apprendre à prononcer son nom qu’il était déjà rentré en Ukraine.
Chers riches du football, méfiez-vous. Rarement on a vu une bourrique boiteuse finir la course en tête. Ce n’est pas parce qu’un joueur fait une belle saison qu’il va obligatoirement recommencer. Si c’était le cas, un gars comme Antony martial vaudrait 80 millions d’euros. Se serait dingue, non ? Faudrait être complètement fou pour dépenser autant d’argent pour un gamin de 20 ans après une seule bonne demi-saison au plus haut niveau. Et pourquoi pas 180 million pour Kylian Mbappé ? Hein ? C’est fou non ? Non ? Bon ….
 Allons chers clubs riches, soyons sérieux. Si vous ne le faites pas pour vous faites-le pour les petites gens du football. Faites-le pour ceux qui n’ont pas les moyens de se payer des brésiliens peroxydé, tatoués et affrioleur de midinettes post-pubères. En payant aussi cher pour un joueur, tout exceptionnel soit-il, vous faites grimper les prix. Du coup le pauvre petit club de province se retrouve à devoir surpayer lorsqu’il s’offre les services d’un brésilien, pas peroxydé, pas tatoué et qui n’affriole personne. Pas même les vieux libidineux ex-tolards et membres du syndicat des femmes de chambres.
Certes ce n’est pas votre problème, mais il en va de votre responsabilité. Pensez aux conséquences. Chaque mercato devient une chasse aux « british pigeon ». Combien de joueurs sont poussés dehors par leurs clubs ? Où se trouve la raison sportive ? Il n’y a plus que du business. Pourtant l’argent ne garantit pas le résultat. On ne passe pas de Nancy à Stoke City comme ça, bon sang ! Vous n’imaginez pas ce que c’est pour un attaquant Stéphanois de devoir joué à Bournemouth. Dans un championnat où les attaquants doivent marquer des buts ! Imaginez le choc culturel ! Et je ne parle même pas de ces néo-grand espoir ex-futur grand joueur, type Anthony Le Tallec ou Florent Sinama-Pongolle. Eux ils ont carrément filés à Liverpool, le club de Michael Owen et Robbie Fowler. C’est dramatique pour ce genre de jeunes joueurs qui n’ont pas suffisamment d’expérience pour assumer leurs transferts. Bien souvent cela se termine prématurément par un prêt ou rupture de contrat. Bon nombre de carrières prometteuses sont alors brisées. Et même pour des joueurs plus aguerris cela reste difficile. Quand Manchester City se construit la défense la plus chère de l’histoire, le club fait venir Eliaquim Mangala pour 54 millions d’euros, il ne s’impose pas et quitte Manchester pour Everton. Pour un coût de  685000 euros par match, à ce niveau ce n’est plus de l’investissement, c’est de la bêtise.
Bien sûr pour les clubs vendeurs les sommes engagées sont trop belles, impossible à refuser. Ce n’est pas une excuse. En 2005 le Bayern Munich qui refuse de vendre Michael Ballack. Bon, il part libre un an plus tard, mais tout de même. Quand on veut, on peut.  Même dans le cas des pauvres présidents chouineurs de ligue 1, il y a moyen d’éviter la grande braderie annuelle. Malheureusement beaucoup d’entre eux préfèrent assurer la médiocrité de leurs clubs plutôt que de prendre le risque de l’excellence. Sans être totalement perdant, ils ne sont pas véritablement gagnant dans ce système totalement dérégulé et en constante inflation.
 Dans ce contexte je prônerais l’instauration d’un organisme indépendant de régulation du marché des transferts, avec une cotation évolutive des joueurs. Certes, quand on sait que l’on parle d’être humain ce n’est pas très moral, bien que pour les clubs les joueurs sont devenus depuis bien longtemps des actifs. Pour preuve ce nouveau genre de projet sportif affiché, type Monaco ou Lille. Uniquement basé sur la spéculation. Parier sur la revente avec plus-value d’un joueur de façon totalement décomplexée, c’est là que se trouve la réelle immoralité du système. Une instance de régulation ne ferait que maitriser le marché et éviter à des joueurs de se perdre. Dans le meilleur des mondes, on interdirait les transferts. Un joueur ne pourrait pas rompre son contrat et aller immédiatement joueur ailleurs, les gamins de 18 ans auraient le temps de grandir dans clubs poupons. Le monde serait moins cynique et la passion du football, plus pures.
Comme ce monde n’existe pas, je vous le demande cher riches, faites attention.
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cristian-randieri · 7 years ago
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Est-ce qu'une relation a une sorte d'obsolescence programmée, comme une machine à laver...? Est-ce que, si on est trop ensemble, on l'use..?
— Une Tolarde (@UneTolarde) August 17, 2017
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kurtsappy · 7 years ago
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VII. Vidé
Laissez moi hors de mes démons. Laissez moi m'échapper. Ou dites lui de me rattraper. Mais moi j'en peux plus. Je veux tout lâcher une fois pour toute. Je ne veux plus. J'en ai eu marre d'espérer que j'irais mieux. Quelqu'un d'autre mais pas moi. Laissez moi retourner dans ces univers. Ces films d'animation pour enfant. Ou tout à l'air si simple. Avec ces chansons qui sont belles, Et te rappellent la beauté de la vie. Vie si courte. Je n'en peux plus. De toutes ces voix, cette rage, De la nuit, des quais, du passé. Je n'y crois plus. Et parfois dans ses bras j'y retrouve une s'étendre. Ce réconfort. Elle qui apaise tous ces sentiments mauvais. Alors je n'entends plus mon passé revenir. Me hanter. Un jour avec un peu de chance, j'aurais le courage. Ce putain de courage. De raconter mon passé sur papier. Ou lui parler avec mon coeur, à Elle. Qui m'a sauvé et qui continue. Ce passé qui reste. Avec toutes ces marques. Comme celles d'un ancien tolard. Et un jour ce courage je l'aurais. J'attendrais plus que les gens devinent. Un putain de sourire collé à la gueule. Et dans ses bras, j'oublie tout. Je comprends pas qu'elle arrive à ce point, À tout me faire oublier. Y compris mon passé. Me faire voyager sans bouger d'un pouce. Comme un pansement sur toutes mes blessures. Un pansement trop petit pour tout ce sang perdu. Tous ces coups que j'ai prit dans la gueule. Tous ces coups durs de la vie à encaisser. Un pansement doux et qui apaise tout. Il est pas suffisant, mais il me fait du bien. Dans ce monde dans lequel j'étouffe. Évaporés.
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ge-rh-expert · 7 years ago
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Hôtel Cauchemar
Hôtel Cauchemar
  Hôtel Cauchemar est un court métrage / comédie musicale de 18 min autoproduit, avec des vrais gens et des marionnettes…
  Synopsis: Deux personnages, un homme un peu naif et un ex tolard tout juste sorti de prison, se retrouvent confrontés à leur cauchemars et rêves respectifs a l’intérieur d’un hôtel à priori banal. Régulierement leur conscience un peu malade apparaît sous la…
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labtelier · 8 years ago
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La tolard shirt!!
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zoedelplanque · 9 years ago
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NOP I did not kill anyone and NOP I am not just getting out of jail ! 💥🔫 #new #passport #tolarde #face
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