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embracethefilm · 3 years ago
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Despite some Audio issues, this week we take a look at a collection of tapes so indescribably terrifying…more so in that they document the violent acts of a killer that most have never heard of… The Terrifying Reality of The Poughkeepsie Tapes - Film Analysis https://youtu.be/cLOBV6cdDsY #embracethefilm #etf#oliverbuckley #thepoughkeepsietapes #thepoughkeepsietapesmovie #youtube #youtuber #youtubevideos #youtubers #youtubereview #moviereview #yourubepuppets #horrorpuppet #horrorreview https://www.instagram.com/p/CQR0_3Hl5q9/?utm_medium=tumblr
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ieatmovies · 7 years ago
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THE POUGHKEEPSIE TAPES (2007) Si on parle aujourd’hui de THE POUGHKEEPSIE TAPES, c’est grâce à son accès, duquel nous fûmes privés depuis sa première projection, il y a 11 ans: après sa présentation au Festival -indé- du film de Tribeca, MGM finit par annuler purement et simplement la sortie du long-métrage, considéré comme “extrêmement violent”. Un bref échappatoire se dessine en 2014, avec la magie de la VOD, pour au final se faire retirer des dites plate-formes: il faudra attendre 2017 pour voir enfin sa commercialisation en Blu-ray et dvd, avec tout le buzz médiatique putassier possible et imaginable. Bref, le réalisateur John Erick Dowdle a de quoi s’en foutre, vu qu’il remake REC. (2007) avec son QUARANTINE (2008), s’associe avec M.Night Shyamalan pour faire DEVIL (2011). Plus tard, l’homme nous livrera le très bon CATACOMBES (2014) -AS ABOVE, SO BELOW, pardon- et le moins connu et très choquant NO ESCAPE (2015), malaise thématique ultime starring Owen Wilson -on y reviendra dans une prochaine review-. Mais revenons à THE POUGHKEEPSIE TAPES et sa sulfureuse réputation: le film est-il réellement si violent que ça pour se faire interdire de sortie? N’oublions pas que ces dernières années furent surhypées, avec la promo ridicule d’un SINISTER (2012) nul à chier, ou d’un spin-off moisi, ANNABELLE (2014): faire peur au public, ça marche, et le long-métrage de Dowdle n’y échappe pas, en quelque sorte “béni” par son interdiction de diffusion passée. Faux documentaire mixé à quelques séquences de found-footage, la forme de THE POUGHKEEPSIE TAPES étonne peu, bien que pertinente: témoignages de flics, de victimes, et autres RARES scènes malaisantes, du fait qu’on nous montre le vilain serial killer en plein acte -et encore, ça passe-. Du coup, après être passé par les cases V/H/S (2012), REC. ou BLAIR WITCH (1999), que pouvons-nous retenir de mémorable quant à ce THE POUGHKEEPSIE TAPES? L’originalité de son histoire, avec ces 800 cassettes vidéo filmées par le tueur en personne? Non, on a déjà eu ça avec V/H/S, même si c’est bien fait. Le tueur en lui-même, vêtu comme les médecins de peste avec son masque blanc? Non plus, car aperçu à la va-vite et à l’explication sans grand charisme. On ne va pas aller plus loin et se rendre à l’évidence: THE POUGHKEEPSIE TAPES est lui-même la victime de sa réputation, et choquera sûrement les néophytes de SNUFF 102 (2007), A SERBIAN FILM (2010) et des deux premiers THE HUMAN CENTIPEDE (2009-2011). Attention, n’enlevons pas à ce film “maudit” ses qualités, on croit littéralement à l’image, happés par le mystère entourant le tueur de Poughkeepsie, véritable psychopathe qui ferait passer le jardin de Marc Dutroux pour une œuvre de jardinier hors-pair: la violence est ici morale, et le choc provient de cette attitude de la plus haute désinvolture dont fait part Ed, l’homme en question. “Quelle sera sa limite, arriveront-ils à le choper?“ sont le type de questions qui alimentent notre cerveau pendant le visionnage de THE POUGHKEEPSIE TAPES, plus documentaire/fausse enquête que pur film d’horreur. Ne crachons pas dans la soupe, il faut bien avouer que Dowdle a le talent pour nous river sur l’écran, titillant le voyeurisme qui sommeille -ou pas- en chacun de nous. Et pourtant, on se sort pas de THE POUGHKEEPSIE TAPES traumatisé, loin de là: à ceux qui pensent que le film est une compilation de torture-porn gratuite des exactions du tueur en série, vous vous trompez; à ceux qui pensent qu’il est LA référence en la matière de found-footage/fake documentary, c’est pareil. Disons que le parti pris est celui de l’horreur humaine, celle que vous croisez tous les jours et que vous ignorez, pauvres fous... et ça risque de vous tomber dessus à tout instant: facteur malchance, quand tu nous tiens... THE POUGHKEEPSIE TAPES est, objectivement, juste “pas mal”. Serait-ce la faute au temps qui passe, qui nous a exclu de ce long-métrage pendant 11 années et nous oblige à adopter ce point de vue presque blasé, ou alors THE POUGHKEEPSIE TAPES est-il un tout simplement un bon film sur-buzzé à outrance? Les deux. En tout cas, on sait Dowdle bon réalisateur, et ça nous suffit: sauf que depuis NO ESCAPE, rien sur les radars... Restons à l’écoute. En attendant, il serait bon que les studios publient A TEMPS les films une fois bouclés, parce que THE GREEN INFERNO (2013) a mis deux ans à être disponible, et que des interdictions stupides et abusives telles que celle de THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE (1974) nous privent de ce qu’on aime. Combien de projets ont subi un sort similaire pour des raisons équivalentes? Nous ne le saurons jamais, et on accueille donc avec douceur mais rancœur THE POUGHKEEPSIE TAPES comme un rescapé, loin de son époque, mais largement valable. On remercie Scream Factory pour la distribution de ce dernier, après avoir rendu grâce à FROM BEYOND (1986) il y a quelques temps. “C’est bon pour cette fois, vous êtes assez sadique pour qu’on vous accepte”.
V/H/S /20
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