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#suspens destruction
sandy34090 · 8 months
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"Échecs et malt" - Chapitre 1 (on Wattpad) https://www.wattpad.com/1422310691-%C3%A9checs-et-malt-chapitre-1?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_reading&wp_uname=Sandy34090 Bruno, un quadragénaire versatile acariâtre et égocentrique, réside dans un village tranquille près de Montpellier, avec son épouse Joanna, une aide-soignante douce et altruiste, et leur fillette de 10 ans, Célia. Mariés depuis plus de vingt ans, les balbutiements de cet amour fougueux plein de promesses ont laissé place à une indifférence profonde et tenace. La vie de cette famille désunie se trouve ternie par des conflits incessants, des incompréhensions dévastatrices et les ombres du passé mystérieux de cet homme difficile à cerner. Alors que le chemin de ces âmes perdues semble tout tracé, un évènement va venir bouleverser leurs existences et, sans que personne ne s'y attende, redistribuer les cartes.
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kilfeur · 11 months
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Mon avis sur ML special Paris (my opinion about ML Special Paris)
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Je l'ai pas mal apprécié dommage que j'ai pu trouvé la version anglaise et non la version française. Bien que la performance de Cristina Vee Bryce Papenbrook sortent du lot. Mais ce special a des points forts que j'apprécie. Par exemple la relation entre Toxinelle et Griffe Noire qui sont alliés que par un concours de circonstance et semblent plus professionnels malgré leurs disputes. Croyant que leurs pouvoirs viennent de la chance ou de la destruction qu'autre chose. Il y a aussi le moment où Toxinelle est en proie en doute quand Betterfly essaie de les convaincre de rejoindre sa résistance. Où quand elle lit le journal de son alter ego, qui elle semble avoir une meilleure vie qu'elle au premier abord. Au début je pensais que sa vie était assez isolé et peut être même qu'elle connaissait pas ses parents. Mais en fait elle est belle et bien isolé, pas de mamam aimante, pas de petit ami ou de meilleur ami. Toute seule subissant le harcèlement de Chloé et c'est là que je trouve que l'idée du Suprême est intéressante. Car c'est justement ce genre de profil que ces organisations s'intéressant pour ensuite les convaincre et les recruter. Le suprême était l'espoir pour Toxinelle jusqu'à ce qu'elle découvre la surutilisation du Lucky Charm et le souhait qui peut pas être utilisé. Mais Marinette lui parle de sa propre expérience, disant que ça n'a pas été facile mais qu'elle a quand même essayé encore et encore. En voulant changer et évoluer, elle a pu changer ce qui l'entoure et avoir une vie où elle peut souffler un peu malgré les difficultés.
Griffe Noire est plus intrépide voulant jouer les cools mais aussi un poil suicidaire. Le fait qu'il se cataclysme lui même en est un peu la preuve, se montrant plus violant que son alter ego. Et ne supportant pas sa partenaire, le cafard qu'il adore appeler. Surtout que son cataclysme semble être plus puissant que Chat Noir ! Toutefois toute sa colère, cette haine cache une certaine douleur. Il veut ramener sa mère et croit que son père n'en a rien à faire. Alors que tout ce qu'il souhaite c'est la revoir or il y a un prix à payer et Adrien lui fait bien comprendre qu'elle n'aurait pas voulu. De plus j'ai bien aimé le fait qu'Adrien s'ouvre un peu concernant sa douleur aussi mais l'utiliser pour aider son alter ego. Et réconforte sa partenaire qui est en proie en désarroi quand elle n'a pas de plan. Il se pose des questions sur ses pouvoirs mais ça l'empêchera de faire ce qui est bon pour aider les gens.
Alya joue aussi un grand rôle en étant l'aide et aussi le soutien morale de sa meilleure amie. Ça n'a pas dû être évident une fois qu'elle a du faire la passerelle dans les autres mondes. Mais cela montre une fois encore que le personnage d'Alya a été important pour Marinette et que peu importe ce qui se passera, elle sera toujours à ses côtés pour l'aider. Aussi la scène où elle essaie de se cacher et où elle enregistre le plan de Monarque est bon. Quand Betterfly, je sens venir les gens dire que les scénaristes essaient de montrer que Gabriel est quelqu'un de bien. Et il l'est dans un autre univers ! Il a aussi ses fautes, lui même le dit. Vu qu'il était avec le suprême (d'ailleurs je me demande quel genre de relation il avait Toxinelle et Griffe Noire avant) mais son monde est différent, les miraculous sont gardés en tant que secret. Le suprême a un système corrompu et c'est probablement la mort d'Emilie qui l'a fait réalisé donc c'est pour ça qu'il a fondé la résistance en voulant garder l'espoir. Je trouve qu'il est solide en tant que perso bien que j'aurai aimé un peu plus sur son passé ou bien plus d'interactions entre lui et le mauvais duo. Quand à Monarque, je pense qu'ils l'ont fait exprès de ne pas les faire interagir pour montrer la différence entre ces deux là. Et puis c'est agréable d'entendre la voix de Keith Silverstein du côté des héros pour une fois.
Après il y a pas mal de questions en suspens comme le suprême, comment le système a été mit en place pour cibler des personnes fragiles et ainsi de suite. Bien que vers la fin avec Monarque tu sens que l'équipe s'est amusé à tabasser à répétition Monarque dans chaque univers qui est sympa mine de rien. Mais c'est pas plus mal un peu de mystère, raconter tout de A et Z est un peu ennuyeux je trouve. Mais bon ça peut toujours être exploré en fanfiction.
I enjoyed it quite a bit, too bad I was able to find the English version and not the French one. Although Cristina Vee Bryce Papenbrook's performance stands out. But this special does have its strong points, which I appreciate. For example, the relationship between Toxinelle and Griffe Noire, who are only allied by circumstance and seem more professional despite their arguments. Believing that their powers come from luck or destruction rather than anything else. There's also the moment when Toxinelle is plagued by doubt when Betterfly tries to convince them to join his resistance. Or when she reads the diary of her alter ego, who seems to have a better life than she does at first sight. At first I thought her life was pretty isolated, and maybe she didn't even know her parents. But in fact she's quite isolated, with no loving mum, boyfriend or best friend. She's all alone, suffering Chloé's harassment, and that's where I think the idea of the Supreme is interesting. It's precisely this kind of profile that these organizations are interested in convincing and recruiting. The Supreme was Toxinelle's hope until she discovered the overuse of the Lucky Charm and the wish that can't be used. But Marinette tells her about her own experience, saying it hasn't been easy but she's still tried again and again. By wanting to change and evolve, she has been able to change her surroundings and have a life where she can breathe a little despite the difficulties.
Griffe Noire is more intrepid, wanting to play it cool, but also a little suicidal. The fact that he cataclysms himself is proof of this, proving to be more violent than his alter ego. And he can't stand his partner, the cockroach he loves to call. Especially as his cataclysm seems to be more powerful than Chat Noir! However, all his anger and hatred conceal a certain pain. He wants to bring his mother back, and thinks his father doesn't care. All he wants is to see her again, but there's a price to pay, and Adrien makes it clear that she wouldn't have wanted it. I also liked the fact that Adrien opens up a little about his pain, too, but uses it to help his alter ego. And comforts his partner who's in disarray when she doesn't have a plan. He wonders about his powers, but that will stop him from doing what's right to help people.
Alya also plays a big role in being her best friend's helper and moral support. It can't have been easy once she had to make the transition to the other worlds. But it shows once again that Alya's character has been important to Marinette, and that no matter what happens, she'll always be by her side to help. Also the scene where she tries to hide and records Monarque's plan is good. When Betterfly, I can feel people coming up and saying that the writers are trying to show that Gabriel is a good person. And he is in another universe! He also has his faults, as he himself says. Since he was with the Supreme (I wonder what kind of relationship he had with Toxinelle and Griffe Noire before), his world is different, the miraculous are kept as a secret. The Supreme has a corrupt system and it was probably Emilie's death that made him realize this, so that's why he founded the resistance, wanting to keep hope alive. I think he's a solid character, although I'd have liked a bit more on his past or more interaction between him and the bad duo. As for Monarque, I think they did it on purpose not to make them interact to show the difference between those two. And it's nice to hear Keith Silverstein's voice on the heroes' side for once.
After that, there are quite a few unanswered questions, such as who is supreme, how the system was set up to target vulnerable people and so on. Although towards the end with Monarque, you get the feeling that the team had fun repeatedly beating up Monarque in each universe, which is nice, by the way. But there's something to be said for a bit of mystery. Telling everything from A to Z is a bit boring, I find. But you can always explore it in fanfiction.
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xthewhiteravenx · 1 year
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Fanfic Ideas I Probably Will Never Write (9/?)
SUMMARY: While at an antique store, you and colby accidentally both touch the same clock, throwing you both into a loop of endless day and night. The only thing that will save you is a violent act of you both driving into the antique store building. But while the antique store lays in ruins, something else was built between you two.
Rating: Teen and Up
The decision hung heavily in the air, a palpable tension that seemed to stretch time itself. You and Colby stood before the ruins of the antique store, the remnants of shattered glass and splintered wood like fragments of a shattered reality. The relentless loop of day and night had pushed you to the brink, and now, the only way out lay in the violent act of crashing your car into the heart of the store.
The car's engine rumbled with an eerie anticipation, a reflection of the turmoil within both of you. The gravity of what you were about to do weighed down on your shoulders like a leaden cloak. The sun dipped below the horizon, casting a crimson hue across the sky, as if the universe itself was holding its breath, awaiting the outcome of this endeavor.
As you and Colby exchanged glances, the flares of the car's headlights danced in your eyes, casting flickering shadows that mirrored the uncertainty in your hearts. The moment was charged with a mingling of determination and fear, an unspoken understanding that the consequences of this action were unknown, the outcome a high-stakes gamble.
"Ready?" you asked, your voice a blend of resolve and vulnerability.
Colby's gaze met yours, their expression a mélange of courage and trepidation. "As ready as we can be, I guess. It's now or never."
The words hung in the air like a declaration of defiance, a refusal to bow to the chains of the temporal anomaly any longer. With a shared nod, you both stepped into the car, hands gripping the steering wheel tightly, knuckles turning white under the pressure. The engine's growl swelled to a roar as the wheels lurched forward, propelling you toward the gaping maw of the antique store's ruins.
The impact was jarring, a cacophony of shattering glass and splintering wood that seemed to reverberate through your very bones. Time seemed to slow as the car plowed through the wreckage, each shard of debris a testament to the strength of your will to break free. The world around you blurred into a symphony of chaos and destruction, the very fabric of reality bending and warping.
As the dust settled and the car came to a stop amidst the wreckage, a tense silence enveloped you both. The store, once a holder of history and nostalgia, now lay in ruins, a stark reminder of the lengths you were willing to go to escape the relentless cycle. Breathing heavily, you turned to Colby, your eyes searching for any sign that the gamble had paid off.
Colby's lips curled into a wry smile, a mixture of relief and disbelief playing across their features. "Well," they began, their voice laced with a flirty edge, "I guess that's one way to make an entrance."
You couldn't help but laugh, the tension of the moment releasing in a wave of emotion. "And here I thought we were just going for a leisurely drive."
The flirty exchange was a lifeline, a reminder that amidst the uncertainty and danger, your connection with Colby remained unbreakable. But it was the confession that followed that truly shattered the lingering uncertainty.
Colby's gaze held yours, their eyes revealing a depth of emotion that words alone couldn't capture. "You know, when we were stuck in that endless loop, there was something I wanted to say..."
Your heart raced, anticipation mingling with the weight of the situation. "What is it?"
A breath exhaled shakily, as if they were releasing a secret they had held onto for far too long. "I realized that life is too short—or maybe, in our case, too long—to keep things unsaid. So, here it is: I've always had feelings for you."
The confession hung in the air, a moment suspended in time as the world around you seemed to fade into insignificance. In the midst of chaos and destruction, amidst the uncertainty of survival, the raw honesty of Colby's words formed a fragile bridge between your souls.
As you reached for their hand, fingers intertwining in the aftermath of the tumultuous journey, you couldn't help but smile through the uncertainty. "Well, then I guess crashing into a building to break a time loop is as good a time as any to say... I feel the same way."
The tension that had gripped you both gave way to a shared sense of understanding, an unspoken promise that no matter the outcome, the connection you had forged was unbreakable. The wreckage around you held not just the remnants of a store but also the echoes of a confession that defied the bounds of time itself.
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blickarmenie · 3 days
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Jour 7
Ce jour, je le plonge dans le revers, je gratte et écaille le décor immaculé.
Elle s'appelle Sara. Elle a 11 ans. Aujourd'hui c'est la rentrée. Tous les enseignants de toutes les écoles ont reçu un bouquet de fleur remis par les parents ou les élèves. L'ambiance est plutôt joyeuse autours des écoles. Les enfants portent tous une chemise blanche reflétant la propreté impeccable. Les filles ont des froufrous et des dentelles en rehaut. Sara m'emmène chez elle, dans le quartier de Kond, le quartier tout pourri de type de bric et de tôles rouillées. Nous quittons donc l'avenue bruyante et surpeuplée de voiture désordonnée pour grimper un fort escalier. En haut, un dédale circulaire sinue entre les abris pour humain. De jolies peintures se façadent. Il semblerait que des artistes s'activistent par ici. J'ai repéré une organisation qui réclame le droit à la culture. Ce serait eux je suppute. Des murs briquetés de travers sont recouverts de bien jolis fresques.
Les ruelles étroites se cabossent.
Sara pousse une porte toute tordue. Encore un couloir pourrave et puis une courette où nous attend sa maman, Rozan, debout, digne et impeccable. 
Surmaquillée, les seins et les lèvres refaits, toute propre, elle m'offre un café dans son intérieur où je ne remarque au début que les entrelacs de fleurs décoratives et les canapés recouverts de tissus rouges brodés.
En vérité, ils sont 4 à vivre dans cette petite pièce. Elle, sa mère, sa grand-mère et puis son fils de 14 ans.
Sara a sa chambre juste à côté, derrière un rideau, avec un gigantesque ours en peluche.  En vérité, un débarras où la famille entassé le rien qu'ils possèdent. Tout est recouvert de plastique. 
Le problème ici, c'est la pluie.
Je remarque alors le mur qui menace de pondre un effondrement sous peu. Il a plus que gonflé, il a éclaté. Rozan lutte avec de la mousse expansive mais les fissures baillent bien au delà que du rationnel. Je remarque alors toutes les flaques sombres au plafond, au dessus de chaque lit.
Oui, l'hiver quand il pleut, c'est compliqué.
... J'imagine qu'ils doivent tous passer la nuit assis sur la table et puis se relayant pour vider les bassines....
Rozan est divorcée. Lui il est parti vivre sa vie ailleurs.
Rozan reste digne.
"Je peux faire plus que ce que peut faire un homme. Je sais faire le béton, l'électricité.... Je n'ai pas besoin des hommes. Ils ne font que mentir. Et puis il faut toujours les attendre. Moi, j'élève seule mes 2 enfants. Je n'attends rien, ni de mes proches, ni des voisins."
... Pourtant, ces murs mitoyens gorgés d'eau qui vont éclater... Le quartier, en suspens de destruction pour le besoin d'un avenir rayonnant de hautes tours, ce quartier si gorgé en pauvreté que là le chacun pour soi surveille sa limite et dénonce les fissures des autres.
Mais où vont ils aller quand les pelleteuses vont arriver?
Rozan et son groupe de famille de femmes peinent à peine à survivre, surtout grâce à la minuscule retraite de la grand mère. Elle, elle bénéficie d'un minimum social. Pour l'instant, elle ne peut pas travaillé. Elle est intoxiquée. A l'école d'esthéticienne où elle apprenait l'art d'allonger les ongles, elle est devenue intolérante aux produits et puis ses yeux se sont infectés. Elle a du mal en sa vie. Non. Elle n'est pas d'humeur à chantonner. Non.
"Je voudrais dire aux hommes qu'ils évoluent. Qu'ils comprennent le concept d'avoir un enfant. Et de la responsabilité que cela engendre. Un enfant, c'est la perle de la vie. S'il grandit sans parent, c'est une tragédie. Je voudrais que les hommes cessent de mentir. Alors, il y aurait moins d'orphelinat. Voilà ce que j'ai à dire."
...
Je demande si je peux faire leurs portraits. A nouveau, les fleurs brodés des tissus et tapis reprennent le dessus visuel. L'ambiance se démoisit.
...
Sara et Rozan sourirent largement en découvrant ledits portraits. Ce petit désenclavement des lèvres, c'est sûrement bien meilleur que la boîte de chocolat que je leur ai apporté.
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SAMEDI 11 MAI 2024 (Billet 3/3)
« LA PLANÈTE DES SINGES : Le Nouveau Royaume » (2h 25min)
Un film de Wes Ball, avec Owen Teague, Freya Allan, Peter Macon…
Le pitch : « Plusieurs générations après le règne de César, les singes ont définitivement pris le pouvoir. Les humains, quant à eux, ont régressé à l'état sauvage et vivent en retrait. Alors qu'un nouveau chef tyrannique construit peu à peu son empire, un jeune singe entreprend un périlleux voyage qui l'amènera à questionner tout ce qu'il sait du passé et à faire des choix qui définiront l'avenir des singes et des humains... »
Vous l’aurez deviné, JM est allé sans Marina voir ce film jeudi après-midi. Il avait déjà vu les 9 épisodes précédents de la série. Les 2 derniers, surtout le dernier, ne l’avaient pas beaucoup emballé. Mais « Le Nouveau Royaume », précédé de bonnes critiques, a excité sa curiosité. La bande annonce… et la présence dans la distribution d’une jeune et belle « humaine », Freya Allan, ont achevé de le décider.
Il n’a pas été déçu, il lui donne ❤️❤️❤️,5 sur 5.
JM se doute que quasiment aucun des lecteurs/abonnés n’est intéressé par ce genre de film mais… au cas où… que celui ou celle qui serait tenté(e) par l’aventure regarde la BA ci-dessus et lise l’article ci-dessous.
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« La Planète des singes - Le Nouveau Royaume » : une série B fun et excitante
En mêlant récit initiatique, grand film d’aventure multipliant les scènes ébouriffantes et film d’infiltration nerveux, Wes Ball réussit son pari.
Au début des années 2010, Rupert Wyatt avait décidé de relancer la franchise Planète des singes. A des années-lumière du chef-d’œuvre matrice de 1968 (avec Charlton Heston), ce reboot suivait un jeune chimpanzé (César) qui allait se transformer au fil de trois films en leader du peuple simien. La trilogie était un récit des origines expliquant comment on en était arrivé à la suprématie des singes sur la Terre. Donc bien avant l’arrivée de Charlton et sa découverte de la Statue de la liberté ensevelie sur une plage… 
« Le Nouveau royaume » s’impose dès le début comme un nouvel élan. Nous sommes quelques siècles après les événements de la saga de Wyatt et Reeves. Les hommes ont été réduits à l’état sauvage, César est mort. A la place, un nouveau chef est apparu, Proximus, un bonobo tyrannique et cruel. Il règne sur les singes par la violence et la destruction. D’ailleurs c’est là-dessus que s’ouvre ce film. Noa est un jeune chimpanzé qui vit en paix avec son clan quand Proximus débarque et ravage son campement. Pour tenter de sauver les siens, Noa va alors entamer un long périple et croiser en chemin une étrange humaine… 
Bien que parfois spectaculaire, la précédente trilogie était souvent très théorique. Chaque film affichait l'ambition d'un traité d'histoire politique et philosophique tirant l’ADN de la saga vers une métaréflexion - digne en cela de l’original. Car en 68, en adaptant Boulle, Peter Schaffner réfléchissait évidemment au conflit vietnamien et à la prolifération nucléaire.   
Ce « Nouveau Royaume » est signé Wes Ball. Le cinéaste s’était distingué en réalisant le très nerveux premier volet du « Labyrinthe ». Sa version de la « Planète des singes » possède des décors et des effets spéciaux impressionnants. Dès le début, on voit que l’ambition est clairement d’en mettre plein la vue. Le monde où évoluent les singes est fabuleux, étrange, un peu comme l’univers de Pandora (« Avatar 1 et 2 »).L’inventivité visuelle, les plans en surchauffe (la destruction du camp), le suspens… tout transpire d’une énergie nouvelle.
Finie la métaphore, place à l’action. A la fois récit initiatique (on suit Noa à la découverte du monde), grand film d’aventure multipliant les scènes ébouriffantes et film d’infiltration nerveux (Noa doit pénétrer une base secrète), ce « Nouveau Royaume » rappelle au fond que le film de 1968 était une réflexion politique mais aussi une véritable série B, fun et excitante. C’est cette dernière option qu’a retenue Wes Ball.
(Source : « premiere.fr »)
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pdj-france · 1 year
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Image: HoYover Jingliu a fait parler de lui dans la communauté Honkai: Star Rail, car les fans l'ont repérée dans une bande-annonce de jeu. De plus, des fuites sont sorties des boiseries, expliquant ses capacités et fournissant des informations sur une date de sortie pour ce personnage mystérieux. Continuez à lire pour apprendre tout ce que vous devez savoir sur Jingliu, y compris la date de sortie, le personnage, les matériaux, etc. Date de sortie de Jingliu pour Honkai: Star Rail Au moment d'rédiger ces lignes, il n'y a pas de date de sortie confirmée pour Jingliu dans Honkai : Star Rail. Alors qu'une date de sortie officielle est en suspens, des fuites ont suggéré que Jingliu serait un personnage 5 étoiles avec un élément de glace et un chemin de destruction. De plus, des fuites ont couvert les capacités de Jingliu, que nous examinerons dans la section suivante ci-dessous. Capacités et kit Jingliu à Honkai: Star Rail Affinity 2.0 est un leaker crédible dans la communauté Honkai: Star Rail, et récemment son compte Twitter a été suspendu. Ainsi, le Daily Jingliu a collecté des informations d'Affinity 2.0 et les a publiées, que vous trouverez dans le tweet ci-dessous. Le kit qui a fui pour Jingliu a l'air sympa ! Vous trouverez ci-dessous toutes les capacités de Jingliu, telles que mentionnées par Affinity 2.0. Attaque de base - Inflige des dégâts de glace égaux à un pourcentage de l'attaque de Jingliu à une seule cible et gagne une pile de Nouvelle Lune. Capacité - Infligez des dégâts de glace égaux à un pourcentage de l'attaque de Jingliu à une seule cible et gagnez deux charges de Nouvelle Lune. Ultime - Inflige des dégâts de glace égaux à un pourcentage de l'attaque de Jingliu à une seule cible et inflige des dégâts de glace égaux à un pourcentage de l'attaque de Jingliu aux cibles adjacentes. Si Jingliu est dans l'état de Transcendance, gagnez deux cumuls de Clair de Lune ; si Jingliu n'est pas dans l'état de Transcendance, gagnez deux cumuls de Nouvelle Lune. Talent - Quand Jingliu a quatre piles de Nouvelle Lune, Jingliu entrera dans l'état de Transcendance et gagnera un tour supplémentaire. Dans l'état de Transcendance, New Moon sera converti en Moonlight, par la suite Jingliu gagnera une nouvelle capacité, "Moon on Glacial River". Lors du lancement de cette capacité, un pourcentage des PV max des alliés sera consommé et converti en attaque de Jingliu en fonction d'un pourcentage de la consommation totale des PV des alliés. Technique - En entrant dans la bataille, Jingliu gagnera un certain nombre de piles de New Moon. Capacité améliorée – Inflige des dégâts de glace égaux à un pourcentage de l'attaque de Jingliu à une seule cible et inflige des dégâts de glace égaux à un pourcentage de l'attaque de Jingliu aux ennemis adjacents. Consommez une quantité précis de piles de clair de lune. En relation: Honkai Star Rail Dan Heng Imbibitor Lunae: date de sortie, bannière, matériaux et kit Jingliu Eidolon à Honkai : Star Rail En dehors des capacités de Jingliu, des fuites crédibles ont détaillé les six Eidolons du personnage. Découvrez les six ci-dessous. La lune offense la cour céleste - Quand Jingliu lance un ultime ou une capacité, si une seule cible est attaquée, les dégâts initialement infligés aux cibles adjacentes seront cette fois infligés à la cible, infligeant des dégâts de glace égaux à un pourcentage des dégâts de la cible adjacente d'origine. . Septenrion of the Moon Rings – En état de Transcendance, le bonus d'attaque obtenu en consommant des HP de coéquipiers est égal à un pourcentage de la consommation Max HP de tous les alliés, et le bonus d'attaque Max est augmenté d'un certain pourcentage. Crescent Moon Compels Hope - Ultimate Lv +2 jusqu'à un maximum Lv 15. Talent Lv +2, jusqu'à un maximum Lv. 15. Tenir la lune – Dans un état de transcendance, les dégâts causés par Jingliu seront augmentés d'un certain pourcentage en fonction des charges maximales de Moonlight. Infiltration de l'escalier vers le ciel – Capacité Niv.
+2 jusqu'à un niveau maximum. 15. Attaque de base +1, jusqu'à un maximum de Lv 10. Désintégration dans le creux - Quand Jingliu entre dans l'état de transcendance, le nombre de piles converties en Moonlight et les piles Max de Moonlight seront augmentées d'un certain nombre de piles. C'est tout ce qu'il faut savoir sur Jingliu jusqu'à dernièrement. Gageons que nous aurons plus de fuites dans le futur ou une confirmation de HoYoverse à la date de sortie de Jingliiu. Jusque-là, nous pouvons être enthousiasmés par les nouvelles capacités et le style de jeu unique que le nouveau personnage apportera au jeu ! - Ce post a été mis à jour le 13 août 2023 A propos de l'auteur Christian a rédigé Attack of the Fanboy pendant environ un an et a couvert Shadows of Rose, Witcher 3, Wild Hearts, Redfall et Remnant 2; son genre préféré est Survival Horror. Il a un diplôme en commerce mais a ressenti le besoin de transmettre son amour pour les jeux vidéo à la communauté des joueurs. En dehors de l'écriture, vous pouvez le trouver en train d'écouter tous les types de podcasts, en particulier Always Sunny Podcast et Morbid True Crime. En savoir plus sur L'Attaque du Fanboy :
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cerulane · 2 years
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Lanawyn a promis à Lah’saa de trouver le moyen de changer les elfes Noirs Lea’yn et Feda’yn en elfes Rouges. Alors que le lien qui l’unit au crystal bleu semble de plus en plus distendu, elle et ses alliés doivent affronter mille périples afin que puisse renaître la dynastie Rouge. Mais dans l’ombre, certains se sont ligués et ont engagé la compagnie Noire pour les empêcher d’accomplir leur dessein.
Lanawyn, accompagnée de deux elfes noirs ancien rouges, cherche à faire renaître l’ancienne race détruite.
Le tome est sympathique à lire. J’ai bien aimé Turuk, le beau gosse mi-orc mi-elfes. Des questions restent en suspens : pourquoi les humains ont-ils commandité la destruction des elfes rouges ? Pourquoi s’opposer autant à leur renaissance 1000 ans après ? La suite s’annonce intéressante.
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sous-le-saule · 3 years
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Le progrès / Veux-tu connaître la fin du film ?
- Oh, éteins ça. Ça me déprime. 
- Tu veux pas connaître la fin du film ?
- Tout le monde la connaît, la fin de ce film ! C'est quasi un documentaire. Il y a autant de suspens que dans celui sur la collision du Titan-IX avec un astéroïde.
- Je comprends pas pourquoi tu prends ça tellement à coeur. 
- Excuse-moi de trouver que la destruction d'une planète et la disparition d'une civilisation, c'est du gâchis !
- Oui mais bon, ils l'ont mérité. Ils ont eu des décennies de récits sur les dangers du progrès, et ils ont quand même foncé tête baissée dedans. "Rien n'arrête le progrès !" "Si on peut le faire, on doit le faire !" Et puis, tout le monde le sait, que c'est une mauvaise idée de ne pas écouter les scientifiques. Tous les films catastrophes le montrent.
- Mais ils ont compris, à un moment...
- Ouais mais trop tard. Et tu sauves pas une planète à coup de pailles en carton. 
- C'est là où je veux en venir ! Tu peux pas blâmer leurs citoyens de base. C'était la faute des "multinationales".
- Oui, enfin, dans le film on voit que les gens se rebellent pas des masses contre tes fameuses "multinationales", hein.
- Mais ça, c'était à cause de leur religion, là, le "capitalisme".
- Ah, nous y revoilà !
- Quoi ?
- T'es complètement parano depuis que ce Jeff Bezos a débarqué. Je les trouve pas si mal, moi, ses idées. 
- Je vais te dire une bonne chose, Hjmd-4g3, on ferait bien de se méfier de ce type.
(15/08/21)
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carolinedejoie · 4 years
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Les sorcières ne sont pas des femmes
Proposition de performance Exposition « Sorcières d'aujourd'hui » MPAA Bréguet Sabin Automne 2019
PROTOCOLE :
Selon la sorcière et plasticienne Camille Ducellier, la sorcière est celle qui occupe l’entre-deux, qui reste en suspens et en mouvement permanent. Cela participe à expliquer le statut singulier qu’elle occupe partout, sa marginalité voire son exclusion (parfois volontaire, souvent subie) de tout groupe ou communauté qu’elle traverse. La sorcière semble incarner un point d’équilibre entre deux états, deux lieux que nos sociétés binaires opposent. La sorcière explore les états-frontières, occupe des espaces considérés comme des lieux de passage, où l’on ne s’attarde pas, que l’on ignore souvent (la forêt, la rivière...). Elle occupe aussi des états d’entre-deux du corps (biologique ou social) : entre féminin et masculin, entre enfant et adulte, entre vivant et mort. En ce sens elle est une figure queer et intersectionnelle puissante. Elle peut même explorer la fusion entre différentes formes de vies, humaine, animale, végétale, machine... et s'apparente alors à la figure de la cyborg (Donna Haraway).
Que se passe-t-il lorsqu’un corps change d’état ? Y a t-il un moment où le corps n'est pas en train de changer ? La sorcière semble avoir la capacité d’occuper en permanence l’étape liminaire, étape intermédiaire et cruciale de tout rite de passage (van Gennep) : période trouble, indéterminée, correspondant à l’auto-transformation performative du sujet, qui passe mystérieusement d’un état à un autre. La sorcière se distingue par son refus de transitionner d’un statut à un autre, elle choisit de rester dans l’état liminaire, transitionnel, elle reste sur le pont, performe un rite de passage qui n’en finit pas de passer, refuse de traverser.
La sorcière est métamorphe, elle traverse les époques et les cultures, multipliant les visages, s’adaptant et se transformant en permanence. Elle se réinvente constamment, mute, elle est multiple, en devenir perpétuel. Sa capacité à occuper l’entre deux, à refuser la binarité, la stabilité et l’immobilité, provoque le système hétéro-patriarcal en place, fondé sur une hiérarchisation strictement verticale des genres, races, classes, etc. Or la sorcière est fluide, plurielle, une et tou.te.s à la fois, symbole de queerness et également de sororité voire d’adelphité [pendant neutre de fraternité (masc) et sororité (fém)].
Pour toutes ces raisons la figure de la sorcière est envisagé comme symbole de liberté et de lutte via un processus de réappropriation du terme sorcière – construit originellement comme une insulte, une marque d’infamie – qui peut, dans un contexte où les chasses aux sorcières n’existent plus, devenir marque de fierté et de rassemblement des minorisé.e.s (c'est le cas dans les 60's et à nouveau aujourd'hui). Le philosophe Paul B. Preciado nous dit qu’il faut « établir une alliance transversale et universelle des corps vivants qui veulent s’extraire de ces normes. » Nous pensons que la sorcière peut être le symbole de cette nouvelle révolte des corps vivants, notamment parce qu’elle peut incarner l’hybridation de toutes les formes de vie (humaine, animale, végétale, minérale, astrale, machine…). Cette révolte suppose l’horizontalité, l'égalité (même plus : la fusion) des différentes formes de vies, et intervient dans la continuité et la résurgence des luttes écoféministes des années 1980-90, qui identifiaient l’oppression systémique des femmes et la destruction organisée de la nature comme deux effets d’un même système patriarcal.
Je propose d’expérimenter le devenir continuel propre à la sorcière en performant ma transition, mon passage d’un état d’humainE à celui d’autre chose, sorte d’assemblage hybride d’autres formes de vies. Le temps de la performance/rituel est celui de ma transformation, cet état liminaire que je tenterai d’étirer au maximum (10-15 minutes), pour évoquer son éventuelle éternité et l'infinité du devenir.
Sur scène, dans un cercle de sel, à l’aide de toute sorte de matériaux préparés en amont (branchages, fleurs, poils, plumes, animaux empaillés, argile, peinture, paillettes, film plastique, scotch, prothèses en plâtre ou papier mâché…….) je m’hybride, j’explore l’état frontière, je deviens autre. Rite de passage qui ne finit jamais – j’arrive habillée (état préliminaire), puis étends le plus possible l’état liminaire (me déshabiller = j’abandonne mon statut de femme ; puis me transformer = je deviens autre chose), il n’y a pas d’état final, la transition n’est jamais complètement finie, je suis en perpétuel devenir, je reste dans l’entredeux, mi femme mi homme mi bête mi plante mi machine etc. Autre chose qu’une femme, surfemme, ogresse, monstre.sse, cyborg, figure puissante sœur de la sorcière, partageant avec elle un fort lien à la nature, la dangerosité, la marginalité, la capacité de muter et de lutter pour le droit à une identité fluide et instable, libre de toute binarité et stabilité restrictives et stériles, capable – on espère – de faire trembler les fondations du patriarcat.
Vous trouverez plus bas une ébauche de texte (en cours de travail) qui sera préalablement enregistré et diffusé pendant l'action.
RÉFÉRENCES ET INSPIRATIONS :
TEXTES : Camille Ducellier, Starhawk, Paul B. Preciado, ïan Larue, Donna Haraway, Judith Butler, Anne Creissels, Valeska Gert, Adel Tincelin….
OEUVRES :
Ana Mendieta
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Olivier de Sagazan
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Rébecca Chaillon
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Rebecca Horn
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Collectif Art orienté objet
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Moon Ribas
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TEXTE  :
« (...) Vous ne renoncez pas à ce flottement mystique au-dessus de l'eau. Vous êtes restée sur le pont avec sérénité. Ils vous disent insaisissable, entre deux, en suspens constant. C'est étrange comme vous ne vous êtes jamais attardée dans aucune communauté, comme repoussée sans cesse à l'extérieur par une force inconnue. Vous êtes joueuse et c'est pire qu'avant. Vous voilà désormais à vous balancer impunément, à provoquer votre vertige, giflée par les vents contradictoires. »
Camille Ducellier, Le guide pratique du féminisme divinatoire
“J'ai la peau qui gratte. J'ai des boules qui poussent sur les épaules et sur les cuisses. On dirait qu'il y a quelque chose qui demande à sortir de moi. Mon corps se transforme ou en tous cas demande à devenir autrement. Ca me démange, je gratte le vernis sur les ongles, regarde j'ai des bourgeons qui poussent au bout des doigts ! Sous la peau, les écailles, sous la jupe les poils, l'écorce, la sève et la peau d'agrumes. Jeudi j'ai trouvé un essaim d'abeilles dans mon chignon. Hier soir encore il a percé mon front et une corne en est sortie. N'est pas licorne qui veut mais sur le coup ça m'a fait bizarre j'avoue. Je me transforme je transitionne je deviens autre chose et sans trop savoir ce que c'est j'aime bien ça me chatouille sous la peau et peu à peu je prends plus de place. C'est agréable de m'étendre, de me répendre, de laisser s'éloigner les limites de mon corps. Je crois que c'est parce que j'ai beaucoup lu ces derniers temps.
Simone m'a dit qu' « on ne naît pas femme mais [qu']on le devient ». Je ne voyais pas trop le rapport avec moi jusqu'à ce que je décide de laisser pousser mes poils sous mes aisselles, et puis un jour des plumes en sont sortis, j'étais un peu estomaquée. Parlons en de mon estomac. Clairement quelque chose ne va pas ça bouge dans tous les sens et ça circule en forme de spirale. Je mange je mange je mange c'est peut être pour ça que je déborde de partout ? Ma peau ne suffit plus à contenir tout mon dedans, jamais je n'aurai pensé être aussi grande, la peau s'étire et se craquelle au dehors pour laisser grossir le dedans.
Judith m'a expliqué qu'en fait le terme femme renvoie lui-même à un processus, un devenir, une expression en construction dont on ne peut pas, à proprement parler, dire qu'il commence ou qu'il finit. Alors c'est ça ? On ne finit jamais de devenir une femme ? Devenir est une activité prenante et qui dure toute la vie pour toutes les filles, et même pas que les filles, d'après Judith (et je la crois car elle n'est pas n'importe qui), on deviendrait toustes quelque chose en permanence. Elle appelle ça la performativité. Performer notre devenir perpétuel, jouer le jeu du genre auquel on nous a assigné.e, ou bien un autre, ou bien plusieurs, ou bien tout mélanger.
Quand j'ai lu ça j'ai tenté d'abandonner le rôle de femme auquel je commençais pourtant à m'habituer. On s'habitue à se ratatiner. J'ai d'abord redoublé la couche de mascara jusqu'à ce que mes cils m'en tombent, puis j'ai constaté qu'à la place de mes cils, des branches de cerisier ont poussé, et quand au printemps mes cils ont fleuris, je n'y voyais plus grand chose mais j'ai trouvé ça joli.
A force de marcher pieds nus j'ai de la corne sous les talons. Rien d'anormal me direz-vous alors je ne me suis pas inquiétée mais l'autre matin j'ai constaté que des racines avaient poussé sous mes pieds. Enracinée, j'ai failli m'offusquer du cliché : une belle plante. Mais plantée dans ma moquette et sous la terre deux étages plus bas, et les bras écarquillés vers le ciel imaginaire de mon plafond, j'ai senti un drôle de truc : j'étais pile entre les deux. J'étais comme la fleur qui puise l'énergie de la terre en même temps qu'elle capte celle du soleil. Au bout de quelques jours même si des fourmies me grimpaient sur les hanches et que mon menton bourgeonnait pas mal, j'ai développé quelques beaux pétales tout autour de la tête.
Ma peau s'ouvre, elle est poreuse comme jamais, et si je pense à m'arroser régulièrement j'aurai bientôt toute une pelouse sur les mollets. Les limites de mon corps s'étendent, et même en me concentrant j'arrive à toucher du bout des branches le coeur des autres. Niveau vulve je surveillais, j'avais hâte de voir les changements, jambes ouvertes devant mon miroir de poche. Au début j'avais espéré des lys à la Georgia O'Keefe, j'y croyais encore quand j'ai vu la tige mais au final j'ai eu un gland. Un très beau gland. Rond et brillant, rose écarlate et tendu vers le monde, plein d'électricité. Une merveille ! Ma voix aussi a changé : j'ai mue. Jusqu'ici haut perchée et couverte par le bruit du vent et des hommes qui m'expliquent la vie, elle gagne en fermeté, neutralité et universalité. J'ai la voix qui part en sucette. Ca part du ventre et ça n'a pas de tête. Une voix hachée, désincarnée, une voix sans bouche ou avec toutes les bouches. Ce n'est plus tout à fait ma voix, j'aime à penser que c'est la notre, à nous toustes.
Avec tout ça j'ai compris que ma transformation allait au-delà d'un soi-disant retour à la nature. Retour vers quand ? Monique me dit « fais un effort pour te souvenir », mais je veux aller ailleurs. Nature de quoi ? Ça n'avait pas beaucoup de sens depuis le début, ma chatte n'est pas un potager à cultiver et j'étais déjà cocotte poulette bécasse chienne cochonne et féline à la fois merci pour ça. Non je ne veux pas être Gaïa ou une de ses jumelles parce que j'ai bien écouté quand Donna a dit qu' « il vaut mieux être cyborg que déesse ». Je suis cyborg. Je suis hybride. Je suis plurielle. Je suis tout à la fois. J'ai abandonné la condition de femme parce qu'elle était incompatible avec nos libertés. Je renonce à m'objectifier, je m'animalise, me végétalise, me masculinise, me démasculinise, me minéralise, me robotise, me défiminise, me reféminise, me surféminise. Je ne choisis pas. Je prends et je ne jette rien alors forcément je gonfle un peu mais comme ça on me voit mieux. Je te montre que ça n'a aucun sens puisque je vais dans tous les sens. Je m'indigne, je pleure et je suis allongée par terre, je m'étends partout, je répands mes liquides, je suis en train de devenir autre chose. Je mêle mon désir d'horizontalité à mes envies d'hybridité. Je mute, je lute pour me sortir de ta binarité qui me fait mal aux yeux qui me fait mal au dos et écrabouille mon plexus solaire. Je m'articule à toi et à toustes les autres, humains et non humains.
Paul B. pense qu'il faut « établir une alliance transversale et universelle des corps qui veulent s'extraire des normes. » J'ai porté mon corps volontaire pour participer à amorcer cette alliance. Mi femme mi homme mi bête mi plante mi pierre mi machine mi tout. Je reste là, sur le pont, entredeux, entre plus que deux en fait. Je ne choisis plus de côtés et c'est tant mieux. Comme ça je suis plus grande et on m'entend mieux quand j'appelle mes soeurs sorcières sirènes centaurEs fantômettes méduses amazones et putains en tout genre. Toustes ensemble on mute, on précipite l'apocalypse et tant mieux : qu'il meurt ce monde fatiguant ! Qu'il laisse nos multitudes kaléidoscopales éclore et s'exhiber, s'exciter toutes seules et toutes ensemble, exercer leur puissance trans, briller sans retenue, déblatérer leurs histoires pas encore écrites ou bien jamais écoutées, et vivre.”
Caroline Dejoie
Je vous remercie de votre attention.
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rainbowtheque · 4 years
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Le Prieuré de l'Oranger
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Titre : Le Prieuré de l'Oranger
Autrice : Samantha Shannon
Roman de fantasy
Maison d’édition : De Saxus
Disponible en version numérique et papier - Nombre de pages : 992
Âge conseillé : adulte
Résumé
La maison Berethnet règne sur l'Inys depuis près de mille ans. La reine Sabran IX qui rechigne à se marier doit absolument donner naissance à une héritière pour protéger son reinaume de la destruction, mais des assassins se rapprochent d'elle... Ead Duryan est une marginale à la cour. Servante de la reine en apparence, elle appartient à une société secrète de mages. Sa mission est de protéger Sabran à tout prix, même si l'usage d'une magie interdite s'impose pour cela. De l'autre côté de l'Abysse, Tané s'est entraînée toute sa vie pour devenir une dragonnière et chevaucher les plus impressionnantes créatures que le monde ait connues. Elle va cependant devoir faire un choix qui pourrait bouleverser son existence. Pendant que l'Est et l'Ouest continuent de se diviser un peu plus chaque jour, les sombres forces du chaos s'éveillent d'un long sommeil... Bientôt, l'humanité devra s'unir si elle veut survivre à la plus grande des menaces.
Identités représentées :
Une femme bie et une femme lesbienne racisée parmi les personnages principaux.
Un couple gay en personnages secondaires.
Thématiques présentes :
Dragons, prophétie, magie, religion, complot, société secrète, politique, féminisme, reine
TW : scènes de sexe
Avis de Adélina
Je m’attendais vraiment à un roman déjà vu, style Game of Thrones ou Le Seigneur des Anneaux, avec un schéma type. Erreur de débutant : c’était super ! L’histoire est très bien menée, avec du suspens à souhait, pile ce qu’il faut de romance, de l’action, des énigmes et de la magie. Je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer, même si j’avoue que je me suis un peu perdue entre les nombreux personnages. C’est un vrai sans faute de la part de Samantha Shannon qui prouve son talent. En bref, c’est un roman de fantasy qui prône la tolérance, et ça c’est génial.
Avis de Maevaeatsbooks
« Pour être la sœur d’un dragon, tu dois non seulement avoir une âme d’eau, mais aussi le sang de la mer, or la mer n’est jamais pure. Elle est complexe. Elle recèle des ténèbres, de danger, de la cruauté. Elle peut raser des cités entières sous le coup de la colère. » ⠀ Je vous annonce tout de suite la couleur : ce gros bébé de fantasy a frôlé le coup de coeur. Objectivement, il mérite un 5/5. Mais pour moi, c’est plus un 4/5 car certains éléments m’ont moins intéressée. Autrement dit, c’est une excellente lecture ! ⠀ Le Prieuré, qu’est-ce que c’est ? C’est un roman de fantasy pure et dure, très riche, prenante et sublimement construit. On suit plusieurs intrigues et quatre points de vue différents, ce qui permet pas mal de diversité et un horizon large sur le monde. J’appréhendais un peu de commencer (oui, les pavés m’effraient ahah) mais je n’aurais pas dû ! Étrangement, je suis rentrée dans le livre dès les premières pages. Ceux qui ont un peu peur de se lancer, le worldbuilding est top et expliqué petit à petit, donc on n’est pas perdu. Le gros point fort, qui est aussi une bonne partie de l’intrigue, c’est les personnages, leur développement et leurs relations. Au fur et à mesure qu’on apprend à les connaître, on les voit grandir et apprendre les uns des autres. J’ai surtout accroché avec trois personnages féminins : Ead, Tané et Sabran qui sont badass as hell et se soutiennent. Gros bonus pour une certaine relation lesbienne que je shippais comme jamais ! Je suis tombée amoureuse du respect des deux femmes, de leur soutien, de leur tendresse. J’ai trouvé la diversité de représentations absolument géniale et superbement glissée dans l’intrigue politique/magique du livre. J’ai également adoré le système de magie et de croyance avec le Prieuré, les légendes, les dragons et le sans-nom. C’est vrai que par moment le livre peut sembler long (surtout lorsqu’on accroche à 2/4 pdv uhuh) mais puisqu’on a une grande menace, elle agit comme une sorte de décompte et donc elle crée une tension haletante qui nous fait tourner les pages ! En résumé, un gros pavé de fantasy qui vaut le détour pour ses personnages et son système magique. Je recommande vivement !
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grain-de-rien · 5 years
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OATHBREAKER - RHEIA [ album ] L’horreur, l’art…
La souffrance se terre doucement où le cœur loge, l’étreint puis le comprime, maintient le corps en tension malgré l’âme morcelée; enfin, couvre ses victimes d’un suffocant linceul de souffrance.
Dans l’ombre, une petite fille pleure, se tait. Dans l’ombre, une petite fille tremble. Dans l’ombre, une petite fille est morte. 10:56
Rheia est le recueil de sa souffrance constrictrice et glaciale. D’abord malsain, vecteur d’une peur aiguë comme un regard dans l’obscurité, embusqué derrière les reflets, il dévoile les traits de l’effroi dans une clarté abrasive, quand il est d’ordinaire drapé d’obscurité, Needles in your skins…
Spectrale, une voix répand l’entier nuancier des couleurs froides, déchirante comme des hurlements, Second Son Of R. Ses murmures me hantent. Parfois, les gémissement plaintifs se tendent brusquement, puis s’épanouissent en bouquets vermeils couronnés de ronces, affutées par le souffle éthéré de larmes en tempête. Et puis,
Oathbreaker s’inflige le lent tempo du suspens, de la crainte, des insomnies où les silhouettes de la haine se dressent au-dessus du lit, où nous submerge un incommensurable dégout, jusqu’à la boue dans les veines, jusqu’aux entailles dans la chair. Écrasée sous le poids de ses vampires, elle s’enfonce où le silence sature, où les coups s’abattent depuis les regards étrangers dans un acte immoral de destruction. Rheia porte un trouble persistant comme un mauvais rêve, une souffrance hors du commun, dans une confession nauséeuse puis tendrement létale, une intraveineuse de peine.
Oathbreaker conjure sa malédiction, celle d’une jeune fille rêvant d’étoiles, devenue sorcière sous la torture. I’m Sorry, This Is. Une délicate libération par la mort, ou par l’acceptation, Begeerte.
 Discographie: 2011, Maelstrom, Album                        2013, Eros|Anteros, Album                        2016, Rheia, Album Grain de Rien, 2019 Facebook
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secretfeather · 3 years
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MON AVIS SUR :
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Titre : Ici Et Maintenant
Auteur : Ann Brashares
Date de parution : 08/04/2014
Maison D'édition : Gallimard
Nombre de pages : 314
Commencé le : 12/10/2021
Terminé : 25/10/2021
Résumé :
Le monde que j’ai fui est en ruines. Nous sommes ici pour préserver l’humanité de sa destruction. Si nous ne suivons pas les règles, tout ce qui compte disparaîtra : les amis, la famille, les rêves, l’amour. Ethan ne doit pas connaître mon secret. Que je ne viens pas d’un autre pays. Mais que je viens d’une autre époque.
Avis :
Après un début prometteur, la lecture se fait en douceur. Après quelques phases de suspens, quelques larmes de versées et beaucoup de passion, ma lecture touche à sa fin. Ici et maintenant nous immerge dans une temporalité semblable à la notre. L'amour et la peur sont au centre de ce roman. Quelques fois un peu maladroit sur certains passages, Ann Brashares a su nous emmener dans son voyage temporel.
Notes :
L'intrigue : ⭐⭐⭐⭐⭐
Les personnages : ⭐⭐⭐⭐⭐
Les péripéties : ⭐⭐⭐⭐❌
Le dénouement : ⭐⭐⭐⭐⭐
Note générale : ⭐⭐⭐⭐⭐
Coup de coeur : 🫀🫀🫀🫀🫀
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carabin-agathe · 3 years
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Cette production est en lien avec l'incitation "En équilibre instable, en suspens…". Dans mon cheminement créatif je suis donc partie du fait que ce déséquilibre pouvait tout aussi bien être mental que matériel. Ainsi à travers cette assemblage d'objets est représenté le mental, tous aussi déséquilibré que les éléments qui composent une figure de l'art qui n'est autre que Van Gogh, un peintre dont j'admire le travail.
Ces objets ne sont d'ailleurs pas choisit au hasard, ils représentent tous un aspect de la vie de l'artiste, la palette de peinture et les pinceaux pour le peintre, quelque éléments de ses plus grands chef d'œuvres. Sa pipe emblématique de son personnage, le rasoir, ainsi que l'oreille tranchée symbole d'une folie destructive qui à été grandement influencée par sa forte consommation d'absinthe. Vue l'importance de cet alcool sur sa santé, j'ai donc décidé de mettre cet élément au centre de la composition, une lettre pour représenter la correspondance entre Van Gogh et son frère qui lui était très cher, et enfin est représenté une bible aux fondements de la construction mais aussi de sa vie.
Un dernier élément, certes plus discret, permet d'identifier une personnalité parmi cet amas d'objets, en effet l'assemblage forme un profil, la pipe représentant le nez et les tournesols en guise de cheveux.
Format 40 par 60, crayons de couleur (le choix de la peinture aurait été certes plus judicieux mais ce travaille à été réalisé durant le confinement je n'avais pas à ma disposition le matérielle nécessaire).
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tma-du-taomapa · 5 years
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FIN DU BLOG : DEPART DE R.
Tout ce qui a un début ayant une fin, c’est de l’île de Lanzarote que l’équipier R. a décollé pour rejoindre ses pénates...
Pour ceux qui voudraient visiter photographiquement l’île de Ténérife (et plus si affinité), vous pourrez entrer l’adresse URL suivante :
                                      www.tdmduthiwani.tumblr.com
Elle vous conduira au blog “TDM du THIWANI” rédigé par R. il y a 3 ans, quand, en compagnie de Pierre-Alain Roth sur son voilier THIWANI, il passait par là : plusieurs billets sont consacrés à ces 2/8 îles de l’archipel des Canaries ( 2 billets pour l’île de Lanzarote et 5 billets pour l’île de Ténérife)...
A présent, voici les réponses à certaines questions laissées en suspens...
- Réponses pour le billet CARTHAGENE (I/II) 0) : B.C. signifie B efore C hrist, càd avant Jésus Christ ; 1) Hannibal (celui qui traversa les Alpes avec ses éléphants) ; 2) Affaire de la disparition (à Paris) de l’opposant Marocain Ben Barka le 19/10/1965 ; 3) Scipion l’Africain ; 4) Les trois guerres entre Carthage et Rome, qui prirent place entre 264 B.C. et 146 B.C. et qui se soldèrent par la destruction de la ville de Carthage (dont les ruines sont visibles dans l’agglomération de Tunis) ; 5) (CE sar)/AU guste/TI bère/CAL igula/CLAU de/NE ron/GALB a/O thon/VI tellus/VE spasien/TI tus/DO mitien. César n’ayant jamais été empereur, le 7ème de la liste est Othon (empereur pendant environ 3 mois, de janvier à avril de l’an 69 après J.C... ; 6) Bronze = cuivre+étain+etc. ; Laiton = cuivre+zinc+etc. ; 7) F rédéric D ard ; 8) Le b), sans hésiter !
- Réponse pour CARTHAGENE (II/II) : dans les anciens grands voiliers avec équipages, l’ancre de miséricorde était stockée au pied du grand mât ; par très gros temps, et quand tout semblait perdu (fors l’honneur !, comme notre royal géant de deux mètres François Ier l’écrivait à sa cousine Louise de Savoie pour commenter sa défaite de Pavie...), elle était jetée à l’eau en dernier recours, alors que, pour rester en vie, les matelots n’avaient plus qu’à prier pour implorer la miséricorde divine...
- Réponses pour le billet EN ROUTE POUR LE R.C.N.A. :
1) 250x0,304 8 m = 7 620 m ; 2) 13x1,852 km/h = 24,076 km/h ; 3) 12h45
- Réponse pour le billet VISITE DU MUSEE MUNICIPAL DE MALAGA : B.P. n’a rien à voir avec la British Petroleum des stations d’essence ! Ce sigle signifie, dans un contexte archéologique “B efore P résent”, càd “avant l’époque actuelle” (càd avant J.C. moins environ 2000 ans si on veut être plus précis..., ce qui est inutile avec ces très longues durées géologiques où 2000 ans, c’est peanuts !).
- Réponse pour le billet MADERE (10) :  le NM de Funchal veut honorer la mémoire de Nelson Mandela
Pour terminer, voici quatre vues mémorables prises lors de cette belle croisière
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et
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et bien sûr
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sans oublier le côté ...
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BYE BYE TAOMAPA,  MAURICE & PATRICIA : QUE POSÉIDON ET ÉOLE VOUS SOIENT TOUJOURS FAVORABLES !
 R. remercie tous ceux qui ont bien voulu suivre ce blog qu’il a eu plaisir à rédiger
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Le dernier prophète - Léon A. Nicols Collection : détours romanesques Ft : 14,5 X 22,5 - 306 pages - 18 € Léon Colin est un Grand Maître International d’échecs sans envergure, sans charisme et sans grand avenir. Presque quarantenaire et solitaire, une carrière en demi-teinte derrière lui, sa vie ne se résume plus désormais qu’à des entraînements échiquéens quotidiens, des tournois occasionnels qui lui rapportent juste de quoi survivre, ainsi que la garde de son frère cadet : Colin Junior, un personnage énigmatique et impénétrable, incapable de parole ni de mouvement, qui passe sa vie sur internet. Leur quotidien si bien réglé bascule totalement le jour où, en pleine période de tension pré-électorale, Léon et son frère annoncent dans une vidéo la destruction prochaine de la tour Eiffel. Le lendemain, un terrible attentat meurtrier frappe la dame de fer. Simple coïncidence, machination machiavélique ou bien incroyable divination ? Traqué, manipulé, surveillé, Léon Colin sera propulsé bien malgré lui au cœur d’une vaste enquête d’intérêt national. Malmené du palais de l’Elysée jusqu’aux fins fonds des cités rouges de France, il n’en sortira pas indemne c’est certain. « Lorsque la tour Eiffel tremblera, la France s’éveillera » prédisaient les frères Colin. Ils avaient raison.
« Une chronique glaçante du monde obscur du pouvoir sous la 5ème république. » « Un roman captivant, une satire effrayante de la politique moderne et une enquête palpitante pour fin limier. Au-delà des réflexions intéressantes qu’il induit sur l’avenir de notre organisation sociale, c’est également un incroyable thriller plein de surprises, de retournements et de suspens. »
Né en France en 1978, Léon A. Nicols a étudié successivement l’économie, la gestion, les langues et l’informatique. Après avoir travaillé de par le monde dans le domaine de la gestion informatisée, cet originaire du Sud-Ouest dirige aujourd’hui une agence immobilière dans la station balnéaire de Khanom, sur le littoral du Golfe de Thaïlande. Il publie avec « Le dernier prophète » son tout premier roman à l’âge de 39 ans.
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Réalisation 25 mars 2018 - SUITE DE 5 images à votre demande
Thématique: L’effroi-l’horreur-l’angoisse
Explication du choix : Projection de nos traumatismes et/ou angoisses au travers d’une fiction. Pourquoi le film d’horreur fascine tant aujourd’hui ?
Choix de la mise en scène : démonstration de la diversité (architecture, perspective, paysage, personnages) Couleur dominante, le rouge pour matérialiser l’effroi et attirer notre regard.  
Première image : représentation de la création d’un univers et d’un personnage pour fuir la réalité. La maison abandonnée est un décor majeur du film d’horreur. L’écrivain assis est le célèbre “ Howard Phillips LoveCraft”, grand écrivain américain connu pour ses récits fantastiques d'horreur et de science-fiction. Au fur et à mesure de l’écriture de son oeuvre, un univers et un personnage se créent. 
Deuxième image : Allégorie des régions du cerveau sous la forme d’une ville. Les fantômes répartis sur l’ensemble de la ville représentent nos peurs. La lune est un oeil omniprésent qui observe nos rêves. La mer de sang s’écoulant dans la fosse exprime notre inconscient.
Troisième image : La pièce illustre une perturbation de notre environnement quotidien et sécurisant. La porte est un élément clef du film d’horreur car nous ne pouvons percevoir ce qui se cache derrière. Notre plus grande peur étant l’inconnu. Notre champs de vision se restreint ce qui développe notre sentiment d’angoisse. L’armature de la porte, en marbre, évoque la matière des tombeaux. Vous attacherez une attention particulière aux détails des poignées de la commode, les livres nous content une histoire, les coeurs nous dévoilent un suspens sur le contenu de cette commode. Les doubles rideaux similaires à ceux des théâtres nous laissent penser qu’il s’agit d’une fiction.
Quatrième image : représentation de la souffrance et de la destruction de l’homme par ses propres créations.
Cinquième image : La boule à neige. Elle stigmatise notre société sous la forme allégorique d’une boule de neige. L’adolescente aux mains coupées illustre la plaie la plus atroce que l’on pourrait m’infliger en me privant de m’exprimer par le dessin.
Technique : crayon à papier, stylo bille rouge, aquarelle, stylo blanc
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