Tumgik
#sol mi solete
zhouxiangs · 4 months
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i was so paranoid we'd get my mortal enemy this ep (we didn't) that i didn't even have time to worry about what they'd do about sol and i'm soooo happy with everything sdoifjdsf
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he's annoyed!!! and defensive!!! bc he doesn't like that he recognised joe in someone else!!! but bc he's a literal SUN this lasts 0.5 seconds
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littlepizpi · 5 years
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Terraza, solete, hamaca, colorida depresión, vivos trazos tenía la hamaca, no el bajón.
Terraza, depresión, bebe cantando esa canción, buscando recursos de meditación, condiciones perfectas para un día estupendo. Sol, verano calor. Pero no. Tu estas ahí, repitiendote desde hace años 'todo pasa, el tiempo lo cura todo'.
Tiempo hijo de puta, nunca apareciste.
Pero así, hasta me olvide de que estaba esperando a que tus manecillas girarán.
Y así, esperando sin saberlo buscando evadirme en cualquier nota de ese piano negro. Clin, llegó.
Llego el sentir, llego el crecer, llego..
No os ha pasado? Que eres tan feliz que hasta te da miedo morir.
No te lo has planteado alguna vez: la depresión dura, sabes que puede ser tu compañera un durante un largo camino empedrado. Pero y la felicidad, porque dudamos de que podemos ir de su mano por un sendero tranquilo, con vistas a la montaña, playa, regato, lo que quieras. Porque no nos paramos y la disfrutamos? . Porque tenemos miedo a que se desvanezca tan rápido.
Es que cojones, me explicas que es eso de llegar a casa después de tres días sin dormir, de que te duela el cuerpo de reírte de saltar y de gritar de lagunas profundas que esconden los mejores momentos. Que no puedas con tu puta vida y aún así quieras más y más, cojones que no te da la mente ni para pensar. Que estas agotada pero no quieres parar.
Pero lo haces, has Estado 72 horas rodeada de gente y ahora vuelves sola de camino a casa y sin saberlo lloras.
Y lloras sin saber porqué.
Por primera vez no es tristeza
Es cansancio?
Emoción?
Los efectos de una tortilla en mal estado quizá?
Pues no.
Es eso que sin saberlo te estaba esperando, es ese mundo que te pide por favor que empieces a comertelo de una puta vez. Que ni dieta ni hostias, que te lo comas a bocaos. Que el tiempo pasa de esperas y lo agarras o vuela.
Que como decía una sabía por ahí.. Una más y pa casa, que ya dormiremos cuando estemos muertas.
Y por esto solo me sale decir "yuju" , "yuju" por mi, por salir, por ti por ayudarme sin saberlo, yuju porque era hora, y porque sin recordar que te estaba esperando...te encontré .
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wehadtodayandstuff · 5 years
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3. Le jardin de la citadelle
Année 2219 - La Citadelle de l’Est, Nancy.
Ils l’ont fait. Ils l’ont finalement fait. L’urbanisation à outrance de notre monde, poussée à son paroxysme ces cinquante dernières années, a mis fin à toute forme de végétation sur Terre. Il ne reste plus aucune forêt, plus aucune campagne, plus aucun champ, plus un seul sol cultivable. Les jardins, les serres, les esplanades ; la flore, dans son ensemble, dans chaque lieu, chaque recoin, chaque habitation, a été décimée. Inutile de vous dire que la conséquence directe d’une telle tragédie est l’extinction, en parallèle, de la plupart des espèces vivantes de la planète. La grande majorité des lacs, mers et océans sont soient asséchés, soient contaminés à tel point qu’aucun organisme vivant ne peut y proliférer. La biodiversité, est un rêve lointain. La planète se meurt. On nous avait prévenus pourtant, encore et encore. Mais nos comportements n’ont pas changé, ou bien trop peu. Notre égoïsme et la sauvegarde de nos petits conforts personnels auront eu raison de l’humanité, rien que cela. La consommation à outrance, la pollution, la surpopulation, les causes sont nombreuses, et rien n’a jamais réellement été mis en place pour tenter de ralentir la catastrophe annoncée. Des paroles en l’air, des actions et décisions inadéquates et au final, une fuite vers l’avant qui se sera avérée fatale. Tant que cela ne nous concerne pas directement, on peut très facilement continuer à fermer les yeux. Le spectacle est désolant, à vouloir pousser la modernité toujours plus loin, mettre au point des technologies toujours plus perfectionnées, tout automatiser et nous rendre la vie plus facile au quotidien, l’humanité s’est construit une cage de pierre. Du béton, de l’acier, de l’aluminium, des buildings, des voitures, des avions ; tout est gris et neutre et moche. La planète bleue n’est plus bleue, et encore moins verte.
Mais ne vous faites pas, l’espèce humaine survie. Et c’est bien le plus important, non ? Ça l’a toujours été. Oui, excepté le fait que sa population ait diminuée de trois-quarts sur la surface de la Terre. Des pans entiers de la planète sont désormais laissés à l’abandon, les populations ont migré vers les grandes villes, se sont rassemblées, ont essayé de se serrer les coudes pour survivre. Enfin. Il faut toujours attendre le dernier moment. Attendre qu’il soit trop tard. Et trop tard, nous y sommes. Nous avons dépassé le point de non-retour, l’humanité vit plus que jamais à crédit, ce n’est plus qu’une question de temps désormais. Les gens meurent de faim, les rationnements sont drastiques et tous ne peuvent y avoir accès. Sans surprise aucune, les plus riches s’en sont le mieux sortis. Et pour ce qui est de se serrer les coudes, ils sont bien au-dessus de ce concept. Au moment de devoir choisir entre le sort de leurs compatriotes et le leur, le choix a été vite fait. Dans quelques villes encore peuplées à travers le monde, les groupes de personnes les plus riches et influents ont fait construire des citadelles au cœur de celles-ci. Des fortifications en béton, en acier, des constructions tristes et désolantes, sans âmes, dont le but est de séparer les privilégiés de l’intérieur du petit peuple de l’extérieur. Des châteaux du temps de la monarchie, en soi, mais adaptés à notre époque moderne. Le contraste est saisissant entre l’intérieur de ces constructions modernes et majestueuses, au sein desquelles la vie suit son cours tant qu’elle le peut encore, et les paysages de destructions, de décombres, de gravats, d’immeubles effondrés ou tenant à moitié debout de l’extérieur, où l’humanité laissée pour compte tente de survivre. 
Je vous emmène désormais à Nancy, dans l’est de la France, ville dans laquelle a justement été érigée l’une de ces citadelles. C’est la seule de l’hexagone à exister en dehors de celles des trois plus grandes villes : Paris, Lyon et Marseille. Elle a ainsi été surnommée la citadelle de l’Est. Pourquoi Nancy ? Nous allons y revenir, mais intéressons-nous tout d’abord à ce qu’il se passe dans les sous-sols de cette citadelle, aux cachots. Vous allez rencontrer un dénommé Philippe, qui n’est pas en position des plus accueillante, puisqu’il est actuellement traîné de force dans l’un de ces cachots par la police du régime de la citadelle. Ici aussi, tout a été modernisé, les galeries souterraines ont été renforcées avec du béton et les cellules d’emprisonnement sont dernier cri : portes automatiques avec barreaux d’acier que l’on peut activer avec des télécommandes. Malgré tout, à l’intérieur, le confort reste très minimaliste, à savoir qu’il n’y a absolument aucune fourniture d’ameublement et rien pour répondre aux besoins de premières nécessités. Philippe est tenu par deux hommes et alors qu’ils approchent d’une cellule vide qui semble lui être destinée, ce dernier, dans un ultime élan d’espoir, essaie de se débattre et de s’enfuir. Mais rien à faire, il prend un coup de taser qui le fait tomber instantanément dans les vapes et est balancé sans aucune considération dans son nouveau logis. Le prisonnier ne va pas revenir à lui dans l’immédiat, ce qui me laisse le temps de vous en apprendre un peu plus sur cette citadelle de l’Est.
Toutes les citadelles à travers le monde sont gérées de manières différentes, politiques internes aux pays, aux régions, aux villes, bref, je vous en épargne les détails. Mais de manière générale, il y a une règle universelle respectée de partout, qui énonce que les fondateurs de la citadelle, en sont ses dirigeants. Et que cette position s’hérite de génération en génération. La citadelle de Nancy a été fondée par un certain Dr Mathieu Langlet, médecin très aisé, originaire de la capitale. Et s’il a fait le choix de l’est pour monter sa fortification, c’est à cause de madame. Clotilde Langlet, qui aime que l’on réfère à elle sous le titre de Dame de l’Est, a convaincu son mari de s’installer dans la ville de Nancy, à cet endroit exact, puisque c’est à cet emplacement qu’existait il y a encore peu de temps, un magnifique jardin public. Venue en vacances étant plus jeune, Clotilde Langlet était tombée amoureuse de celui-ci. Elle a ainsi émis le caprice de le posséder pour elle seule lorsque l’occasion s’est présentée. Parce que oui, je nous vous ai pas tout dit. Il n’y a plus aucune végétation à la surface de la planète ; sauf dans certaines citadelles ! Les personnalités qui ont la mainmise sur le monde ont pu sauvegarder quelques espèces de plantes et quelques petits jardins existent encore, dans quelques coins du monde, jalousement protégés et monopolisés par les dirigeants de citadelles, et quelques autres personnes proches d’elles. Madame Langlet a ainsi pu récupérer quelques graines et racines qui résistaient encore dans l’ancien jardin public et monter le sien. Petit, cultivant peu d’espèces différentes, mais représentant malgré tout, de nos jours, l’une des merveilles du monde. Et c’est ce même jardin qui est responsable de la désagréable situation dans laquelle se trouve actuellement notre Philippe.
Philippe Solet, 43 ans, ancien chercheur en botanique, n’a pas eu le privilège de se retrouver du bon côté des murs lorsque l’humanité a commencé à se désagréger. Originaire de Nancy, il n’a rien pu faire pour éviter la construction de la citadelle, et Dieu sait qu’il a essayé. Il n’a jamais cessé d’essayer. Essayer d’empêcher cette séparation de l’humanité tout d’abord. Puis essayer d’aider l’humanité à survivre tant bien que mal. Et désormais, depuis qu’il a entendu les rumeurs du jardin secret de la citadelle se propager, essayer de redonner espoir à l’humanité. Sans aucune assurance de l'existence réelle de ce jardin miraculeux, Philippe a dédié sa vie à cette seule mission de faire éclater la vérité. Il a pour cela monter une organisation à laquelle il a donné le nom symbolique de “Green Hope”. Au fil des années, de nombreuses personnes l’ont rejoint et ensemble, ils ont donné leur temps et leur énergie pour récolter le plus d’informations possibles sur la citadelle de l’Est. Sa structure, son organisation, son fonctionnement, la composition de sa police, son activité, les plans détaillés du lieu. Tout ceci dans un seul but : préparer une mission d’infiltration pour révéler les vérités au grand jour et surtout, pouvoir offrir à l’humanité un espoir tangible en ramenant quelque chose de ce jardin. Cette offensive a été pensée et préparée durant des mois, voir des années, en vue du jour J ; à savoir aujourd’hui. Philippe et quatre de ses camarades les plus proches et les plus importants et doués de l’organisation Green Hope se sont lancés dans l’entreprise la plus importante et significative de toute leur vie. Bien préparés et renseignés, ils ont pu atteindre sans grabuge le fameux jardin. L'émerveillement et la joie dans leurs yeux étaient sans pareils. La vérité était là, l’ultime espoir à bout de bras. L’équipe a malheureusement rapidement déchanté lorsqu’ils ont compris qu’ils n’étaient pas les seuls à avoir des informations et qu’ils étaient attendus. Piégés et encerclés, les quatre compagnons de Philippe ont été victimes d’une force de police sans foi ni loi, et ont violemment succombé à la pluie de balles qui s’est abattue sur eux. Philippe a été épargné. Il comprendra plus tard, peu avant sa propre mort, qu’il a été maintenu en vie juste assez longtemps pour être torturé et interrogé sur l’organisation qu’il a fondé et mettre fin à toute autre tentative de rébellion.
Mais pour le moment, l’ancien biologiste est encore en vie, livré à lui-même dans sa cellule. Il revient lentement à lui et se redresse en position assise, le dos appuyé contre un mur. Dès qu’il reprend pleinement conscience et que les souvenirs de ce qu’il s’est passé remontent, il ne peut s’empêcher d’être abattu et d’avoir une pensée pour ses camarades. Il réalise soudain quelque chose et plonge instinctivement la main dans une couture intérieure de son pantalon. Son expression change alors et on peut y déceler un certain soulagement lorsqu’il réalise que l’objet qu’il cherchait est toujours avec lui. Il laisse échapper un petit sourire alors qu’il ouvre la main. Au creux de sa paume, repose un petit iris bleu.
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ilblogdelbasilico · 3 years
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Ieri è stata una domenica fantastica, con la partecipazione straordinaria di @feriaveganabcn, @el_horno_del_silenzio e @servbenjamin (seguite le loro pagine!). Mi sono ricordata quale dev'essere il mio "propuesto" di vita! 😛 Link in Bio, su ilblogdelbasilico.com e qui sotto. https://ilblogdelbasilico.com/2022/02/21/buoni-propuesti/ #solete #sol #sole #paesaggiurbani #Barcellona #Barcelona #Urquinaona #RondaSantPere #unrayodesol (presso Ronda de Sant Pere, Barcelona) https://www.instagram.com/p/CaPRhVOIYd4/?utm_medium=tumblr
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jazzy-dope · 3 years
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El Sol me quema la piel Porque meo en el océano. Más detalles de mi última obra, esta vez la cara y de regalo: un erizodemar, un pez y un solete sonriente 💥 _ _ #figurativeart #artefigurativo #pintura #pinturafigurativa #arteemergente #ilustracion #artemadrid #pintorfigurativo #dibujo #nuevafiguracion (en Madrid, Spain) https://www.instagram.com/p/CR4cLaNKHRS/?utm_medium=tumblr
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escupelo · 4 years
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17:08
Ayer paso una cosa linda. No quería que quedase en el olvido. Estábamos cenando con mis amigos, y decidimos, o empezamos no se muy bien por qué, a decir por qué nos casaríamos con el otro. Acabo siendo un momento sentimental de decir por qué cada uno valoraba al otro. Aran me dijo que sabía escuchar y que siempre tenía un buen consejo para dar. Me pareció precioso, me encanta que mis amigos sientan eso de mi. Luis dijo que yo tenía dos caras y que las sabía llevar muy bien. En el buen sentido. Que tenía mi cara súper divertida de pasarlo bien, pero que cuando querías hablar en serio conmigo también podías, que me centraba y podías tener cualquier conversación. A lo que Sol respondió que ella nunca me había visto como sería. Alba dijo que era un descubrimiento, que tenía algo especia, que no sabía muy bien como ponerlo en palabras. Pero fue muy bonito. Y ahora llegan mis favoritos. Fati dijo que yo siempre escuchaba y que nunca dejaría que ella olvidase quien es. Dijo que se me daba muy bien recordarle quien era y que no se cayera. A lo que Sol respondió que yo era muy motivadora y que eso era totalmente cierto. Me encantó. Es que me encantó. Me sentí feliz. Por último, Solete, que al terminar su ronda llegó a mi. Pensó, y dijo, “Mica es atenta”. Y el atenta vino con un tono y una connotación potente. Dijo que no conocía persona más atenta que yo.
Me siento realizada. Que suerte tengo. Cuanto los quiero.
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skinthinks · 7 years
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Martes que son menos martes cuando se recibe pedido de @skinthinks: 🔹Loción Snail Bee High Content de Benton: la tenía en la wishlist, pero fue vérsela a @isisguerrera y decidirme 😁 Tiene unos ingredientes estupendos, así que estoy casi segura de que me funcionará genial. 🔹Y... mascarillas. Me resulta imposible hacer un pedido a @skinthinks y no pedirme unas cuantas. Tiene tantas... Han caído variadas y de diferentes marcas: Holika Holika, Neogen, Innisfree, Enature, Missha, Etude House... Además de una mascarilla extra de A'pieu (ya sabéis que si pasáis de 25€ en el pedido la tenéis), muestritas y una mascarilla extra con una nota que me ha emocionado. Qué voy a decir de la persona que está detrás de @skinthinks que no haya dicho ya: Macarena es una profesional como la copa de un pino además de ser un sol y muy detallista. Por eso para mi @skinthinks no tiene rival, porque Macarena tampoco lo tiene. #pedido #order #skinthinks #welovemasks #snailbeelotion #benton #mascarillas #sheetmasks #holikaholika #neogen #innisfree #enature #missha #etudehouse #apieu #samples #muestras #kbeauty #koreanbeauty #abcommunity #skincare #sheetmaskjunkie #sheetmaskaddict ( #📷 @lafoir via @latermedia ) Qué grande @lafoir ! No se te puede querer más!! 😍😍 Qué buena selección de mascarillas! Olé y olé! Un besazo solete!!😘😘 #meencantanlasfotosdelospedidos #ponunafotodetupedido #alas12cuelgotufoto #skinthinks
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decuadrosyrayas · 7 years
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Buenísimas tardes mi gente😜😜!!! Ya estoy de vuelta🙊🙊. ¿😇Cómo fue vuestro finde🙄? Yo relax 🤗🤗. ¿Qué planes tenéis para estos días de vacaciones🗞? Yo sol, playa, mar, relax y una @desperados_es 🍻. En último lugar estudiar un pelín 😊😆😆, a disfrutar del solete mi gente😘😘😘😍😘😍😘😍😘😍 #ulanka (en La Coruña, España)
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porlapuertatrasera · 7 years
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DÍA 2 del #AnaPisaVarsovia - "No mires Varsovia buscando belleza. Busca historia". "No mires Varsovia buscando belleza. Busca historia". Mi amiga Rosa, que vive en Berlín desde hace más de una década y es una gran enamorada de Polonia, me dijo esta frase nada más enterarse de que iba a venir a Varsovia. Hoy he entendido a la perfección por qué. He caminado casi 16 kilómetros para comprobarlo (¡ya os podéis imaginar las agujetas!). A Varsovia uno no viene a quedarse boquiabierto por lo que ve. Lo que alucina más es qué no puedes ver y por qué, o cómo esta ciudad tuvo que ser completamente reconstruida para que hoy podamos seguir paseando por sus calles. Probablemente no me equivoque si digo que es una de las ciudades europeas que más dramatismo esconde. Una ciudad destruida prácticamente en su totalidad tras la revuelta nazi en la II Guerra Mundial y reconstruida después para que recuperase su aspecto anterior. > Un poco de historia Varsovia se fundó en el s. XVI, pero en realidad no se convirtió en una población importante hasta la invasión sueca del s.XVII. Aunque esta época fue paradójicamente un periodo catastrófico para toda Polonia, Varsovia experimentó su momento de mayor esplendor. Pero claro... la alegría duró poco. En 1795, tras el reparto de Polonia, quedó reducida a una ciudad de provincias del Imperio Ruso. La cosa no mejoró un poco hasta tiempos de Napoleón, quien de camino a Rusia creó aquí el ducado de Varsovia y la ciudad recuperó la capitalidad. Pero en 1815 volvió a quedar bajo soberanía rusa. > La II Guerra Mundial. Varsovia arrasada. En 1939, la población de la ciudad era de 1'3 millones de personas, de los que casi 400.000 eran judíos. Las bombas alemanas empezaron a caer sobre Varsovia el 1 de septiembre de 1939. Sólo una semana después, la ciudad estaba sitiada y cayó en menos de un mes. Las tropas de ocupación alemana cumplieron a la perfección la consigna de Hitler de arrasar la ciudad tras el levantamiento de 1944, un levantamiento desesperado de la población civil que se debatía entre pertenecer al imperio nazi o a los comunistas rusos. >> UNA CIUDAD RESURGIDA DE LAS CENIZAS, a lo "Ave Fénix" Al final de la guerra, Varsovia se encontraba en ruinas (sólo quedó en pie el 15% de la ciudad) y 800.000 personas (más de la mitad de su población) habían muerto. Fue ahí cuando se decidió poner en marcha un mastodóntico proyecto de reconstrucción. Se recuperaron los monumentos de mayor valor histórico. Entre 1949 y 1963, las obras se concentraron en la Ciudad Vieja y los edificios volvieron a alzarse como si nunca hubieran sido destruidos. Además hubo que levantar de cero una ciudad nueva que diese servicio a sus habitantes. Y ahí la arquitectura comunista mandaba. Por eso hoy gran parte de Varsovia es una curiosa mezcla entre el maravilloso centro histórico y las construcciones estalinistas de edificios de hormigón. > Yo, el solazo y el Stare Miasto Varsovia se ve pateando. He empezado a caminar esta mañana a las 9:30 buscando un café y sorprendiéndome del pedazo de día de sol que hacía. Tenía la Ciudad Vieja (Stare Miasto) a menos de 5 minutos caminando desde mi CukiPisoPolaco, así que he llegado a la plaza del Castillo Real y me he sentado cual lagarto al sol a darme un chute de cafeína de buena mañana. La mejor forma de conocer el Stare Miasto es callejeando. Yo he salido desde la plaza triangular del castillo (Plac Zamkowy), cuyos protagonistas son la Columna de Segismundo III y el Castillo Real. Aquí ya tienes una parada de un buen ratito viendo cosas. A pesar de que estaba rodeada de turistas, no he conseguido que la Columna de Segismundo llame mi atención más allá de ser un elemento que le da cierto toque curioso a la plaza. Tiene más de 22 metros de alto y fue construida por el hijo del monarca polaco en 1644. El Castillo Real es un edificio de ladrillo rojo por el que pasarás cien veces mientras visitas la ciudad. Fue durante años residencia real, después acogió a los zares y tras la independencia de Polonia se convirtió en la residencia del presidente. Dicen que la opulencia con la que está decorado hace que merezca la pena una visita el interior, pero de momento hoy paso. Si mañana tengo tiempo, ya me plantearé volver. Desde aquí, camino en dirección a la Catedral de San Juan, la iglesia más antigua de Varsovia y también arrasada durante la guerra. Y por fin llego a la preciosa plaza de la ciudad vieja, que para muchos es la más bonita de la ciudad. Está más o menos en el centro de la zona amurallada y bordeada de viviendas. Salvo dos fachadas, todas las demás tuvieron también que ser reconstruidas tras la guerra. Aquí me siento un rato a observar a las manadas de turistas y a la fauna polaca que intenta venderles paseos en coches de caballos o los atosiga con folletos de restaurantes en los que llenarse la barriga. Sigo a uno de esos coches de caballos, me asomo a una placita donde tengo unas vistas preciosas del río Vistula y de repente me todo con el Barbican, una torre defensiva de ladrillo rojo que hoy congrega a vendedores de arte y músicos callejeros. > La ciudad nueva Casi sin darte cuenta, al salir del Barbican entras en la ciudad nueva (nowe miasto) que a mis ojos sólo se diferenca de la vieja en que carece de murallas. Las calles, los comercios y las casas son prácticamente iguales. Llego hasta una plaza, me pierdo por un par de callejuelas más y voy a parar al monumento al levantamiento de Varsovia que, amén de que sea uno de los símbolos más importantes de la ciudad por lo que representa, es un conjunto escultórico en bronce que me parece horrorosamente feo. > Comer: cerveza y pierogi. Encuentro una terraza al solete y decido sentarme a comer. Rosa me ha recomendado probar los pierogi y ya sabéis que me gusta ser obediente :P Los pierogi son una especie de raviolis o gyozas "a la polaca", una pasta rellena en forma de media luna. Pueden pedirse hervidos o fritos, y yo decido hacer caso a la camarera que me recomienda unos fritos rellenos de espinacas y con queso por encima. ¿Y para beber? Pues, aunque la recomiendan, paso de la sopa de remolacha y me pido una Tyskie, una cerveza autóctona de la que hablan bien. >> LA VARSOVIA JUDÍA Con el estómago lleno, vuelvo hacia la ciudad vieja. He quedado con un grupo en la puerta del castillo para un free tour (https://freewalkingtour.com/es/varsovia/rutas/varsovia-judia/) en el que empaparme de la historia más triste de Varsovia, la aniquilación de prácticamente toda la población judía en el guetto. > El gueto judío Antes de la IIGM, Varsovia contaba con una numerosa población judía (380.000, casi el 30% de los habitantes de la ciudad) que se concentraba en dos barrios: Mirów y Muranów. Aquí fue donde los alemanes crearon el guetto en octubre 1940. Lo hicieron cerrando con un muro de ladrillo de 3 metros de altura estos dos barrios. Más de 450.000 judíos llegaron a vivir dentro de estos muros. A mediados de 1942, antes de que empezaran las deportaciones, 100.000 habían fallecido de hambre o enfermedades. Desde el verano de 1942, 300.000 judíos fueron enviados desde aquí al campo de concentración de Treblinka. En abril de 1943, cuando sólo quedaban 50.000, los nazis empezaron su aniquilación total y, en un acto desesperado, los supervivientes se alzaron en armas, algo sin precedentes en los guetos europeos. Obviamente, podéis deducir que los judíos no tardaron en perder aquel levantamiento. Los alemanes lanzaron bombas, incendiaron los edificios, lanzaron gas venenoso dentro de los búnkeres y redujeron el gueto a ruinas. Unos 7.000 judíos murieron en aquella revuelta y otros 6.000 por los bombardeos e incendios. ¿Os acordáis cuando os decía al inicio que una de las cosas que más impacta de aquí es precisamente lo que no se puede ver? El gueto creo que es el mejor ejemplo. Fue arrasado por completo tras el levantamiento de 1943 y hoy no quedan más que calles y edificios de apartamentos baratos de la era comunista. > El Museo de la Historia de los Judíos Polacos Lo mejor para entender aquella barbarie es visitar el Museo de la Historia de los Judíos Polacos. Se inauguró en 2014, justo frente al Monumento a los héroes del gueto, otro monumento que rinde tributo a los que perdieron la vida en el levantamiento pero que me resulta profundamente feo. El edificio por fuera es una maravilla. Y dentro das un paseo terrorífico por uno de los peores episodios históricos de Polonia y de Europa. El Museo documenta la destrucción de la mayor comunidad hebrea de Europa. Cuenta cómo los judíos se convirtieron en blanco de la represión y su proceso de aislamiento de la sociedad fue algo sin precedentes. Los alemanes dictaron cientos de decretos que los despojaba progresivamente de sus derechos. Los obligaban a llevar brazaletes marcados con la estrella de David para identificarlos, cerraron sus escuelas y sinagogas, racionaron su comida hasta límites absurdos, les prohibieron pasear por ciertas calles, entrar en cafés, usar el transporte público o incluso sentarse en bancos. Los confinaron y los aislaron en un lugar donde sólo cabían la pobreza, el hambre y las epidemias. >> Irte a casa sin cenar y feliz Al salir del museo, tenía previsto ir hasta el Cementerio Judío pero reconozco que no he tenido ánimo. Revivir esa historia me ha revuelto las tripas y me ha puesto tan triste leer que, irónicamente, el cementerio es casi lo único que sobrevivió a aquella barbaridad (claro, en un cementerio no había judios que matar) que se me han quitado las ganas de verlo. Eran más de las 7 de la tarde, así que he vuelto a la ciudad vieja dando un largo paseo y haciendo una parada en los Jardines Krasinski. Ahí he buscado un café y he leido un buen rato "La jungla polaca" de Kapuscinski. Después, he callejeado un poco hacia el sur de la ciudad vieja, pero estaba tan cansada que he decidido dejar esa zona para mañana y poner rumbo al CukiPisoPolaco. Hoy he aprendido mucho. Conocer Varsovia es no ser capaz de entender la barbarie nazi contra los judíos que tuvo lugar aquí. La Segunda Guerra Mundial y el Holocausto cambiaron la ciudad para siempre, y las cicatrices no se van a curar nunca. Pero también he recordado algo interesante: hasta entre historias de aniquilamiento, surgen personalidades heroicas que luchan y ayudan a otros aunque no haya esperanza. Y eso es lo maravilloso. Son las 22:00, hace como una hora que llegué y me la he pasado escribiendo. Ahora voy a la ducha, cenaré un par de cosas que compré de camino ;-) y mi plan es ver "El pianista". Mañana más y mejor ;-)
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