Tumgik
#si lourde de sens
miung-dreamer · 2 years
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"Dans l'absolu, tout devrait vous concerner."
😭😭
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hedgehog-moss · 1 year
Note
do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poĂ©tesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
‱ Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’oĂč vient que l’ñme humaine est ainsi disposĂ©e, Que jamais ses regards troublĂ©s et mĂ©contens N’ont pu s’accoutumer Ă  la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posĂ©e Nous attriste. D’oĂč vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend Ă  voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos oĂč votre enfance Avez-vous souvenir, Ă  l’ñge oĂč tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, [
] Que, plus tard, cette voix rĂ©sonne Ă  votre oreille, De vos rĂȘves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitiĂ© d’avoir si mal jugé  Elle est la mĂȘme encor; mais vous avez changĂ©!
‱ Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comĂšte de 1861) [
] Ah ! quand tu reviendras, peut-ĂȘtre de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce sĂ©jour Si son Ɠil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe Ă©puisĂ© s'est Ă©teint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitiĂ© sur le thĂ©Ăątre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
‱ Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est nĂ© sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forĂȘt s'emperle, GrisĂ© d'odeur de source et d'haleine sylvestre. [
]
Et d'abord trĂšs souvent j'Ă©touffe dans moi-mĂȘme, Tout m'y semble Ă©triquĂ©, trop Ă©troit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
‱ Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rĂȘve, Une immense CitĂ© prĂšs d’une immense grĂšve, Avec des dĂŽmes d’or et des palais gĂ©ants, Des temples incrustĂ©s de mille diamants [
]
Plus tard j’ai repassĂ© devant cette citĂ©, Et voulant la revoir, je m’y suis arrĂȘtĂ©e; Mais Ă  peine mes pas ont foulĂ© sa poussiĂšre Que devant mes regards elle s’est tout entiĂšre ÉcroulĂ©e—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
‱ Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. HumanitĂ© sans force, endurante moitiĂ© Du monde, ĂŽ camarade Ă©ternelle, ĂŽ moi-mĂȘme ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cƓur si gros d’amour et si lourd de pitiĂ© ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure oĂč l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, OĂč je ne suis plus que poĂšte.
La seule heure d’esprit total, Celle oĂč, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-mĂȘme, vraie, Car je ne fus ce que suis, — PassionnĂ©ment — que les nuits.
‱ Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cƓur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimĂ© La lumiĂšre des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre oĂč la vie a germĂ©.
La forĂȘt, les Ă©tangs et les plaines fĂ©condes Ont plus touchĂ© mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyĂ©e Ă  la beautĂ© du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
‱ RenĂ©e Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme oĂč le dĂ©sir frissonne.
[
] VĂȘtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal Ă  l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des Ăąpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
‱ Valentine Penrose (1898-1978)
Notre PĂšre qui ĂȘtes aux cieux des doux matins bercĂ©s aux fleurs des laitues bleues, [
] que votre nom soit sanctifiĂ© ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volontĂ© soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre Ă©lançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchĂ©s de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillĂ©s [
]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraĂźche cuisine oĂč bourdonne une guĂȘpe, oĂč les fourmis montent leur noir petit chemin [
] Et pardonnez-nous nos offenses
 [
]
‱ Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cƓur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton Ăąme en mon automne, hĂ©las !
‱ AndrĂ©e Chedid (1920-2011)
Échappant Ă  l'enclume du temps L'Univers sĂšme ses formes VĂ©hicule ses songes S'invente des tumultes
[
] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
‱ Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimĂ©s Ne sont jamais derriĂšre mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une derniÚre fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
‱ Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant aprĂšs instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, Ă©tincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vĂȘtu de toile et d’eau, longtemps tĂ©nĂ©breux, maintenant Ă©talĂ© sur la nuit, croisĂ© une fois pour toutes par le crĂ©puscule, et qui entend les soleils cĂ©lĂ©brer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[
] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nĂ©cessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mĂ©moire?
‱ HĂ©lĂšne Dorion (1958 - ) (she's from QuĂ©bec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'Ă  la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'Ă©coute le monde qui bruit Ă  travers les arbres seuls comme des ĂȘtres occupĂ©s Ă  devenir leur forme singuliĂšre
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olympic-paris · 8 days
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saga: Soumission & Domination 274
Espagne - 2 soirées chaudes(2013)
Juan nous emmĂšne (PH, Ernesto et moi) sur la plage Ă  l'heure oĂč les Gogos des boites la parcourent Ă  la recherche de clients Ă  appĂąter.
Par 3 ou 4, dans leurs maillots blancs portés bas sur les hanches, tirés vers le sable par des sexes lourds, musclés comme sur des publicités pour protéines et bien sûr, tout bronzés, ils sont rapidement le point de mire de toute l'étendue de sable.
Nous jouons les indifférents mais le carré que nous faisons, avec nos petits culs musclés serrés dans nos maillots à la taille calculée au plus juste, attire leurs regards. Ils dévient vers nous et je vois se pencher au dessus de nous le plus beau gosse du groupe, tout sourire, dévoilant deux rangées de dents blanches. Il nous apostrophe en anglais nous proposant des entrées pour la soirée qui vient. Mes trois collÚgues se retournent et matent leur petit groupe. Comme on tarde à répondre, un des autres s'accroupi à nos cotés et ajoute que, pour nous, ils pourraient aller jusqu'à nous offrir  les boissons toute la nuit.
Comme il nous voit encore hésiter, il m'attrape le poignet et clipse son bracelet " tout compris ". Quand Ernesto leur demande le dress-code, ils nous répondent que nos maillots seront bien suffisants, les kpotes et le gel sont fournis en libre service. On leur garde un flyer et comme nous leur promettons d'y venir, ils bouclent le reste de mon groupe.
Nous rentrons Ă  la villa, tout contents. Nous racontons l'invitation Ă  nos mecs et que nous avons mĂȘme dĂ©crochĂ©s le sĂ©same conso. Ils rigolent, comme si nous n'avions pas les moyens de payer. Je leur dis que c'Ă©tait une question de principe. HervĂ© dit reconnaitre lĂ  ma façon de me vendre au plus offrant. C'est dit gentiment et je ne le prends pas comme une insulte. Sauf avec mes quatre amours (Marc, PH, Ernesto et Emma), je n'ai aucun scrupule Ă  faire payer trĂšs cher mes services.
Le reste de l'aprĂšs midi, nous prĂ©parons nos corps Ă  la dĂ©bauche du soir. Epilations et rasages, muscu et, pour mettre en valeur nos corps dĂ©jĂ  bien bronzĂ©s, petits massages au lait aprĂšs soleil. La pose des cockrings met en avant nos " atouts " et l'emballage du tout dans nos maillots ES de la collection 2013 complĂšte notre attractivitĂ©. J'en prĂȘte un en caoutchouc Ă  Juan. Son petit paquet prend tout de suite meilleur allure dans son Aussiebum. Quand nous nous prĂ©sentons Ă  Marc et HervĂ©, nous avons droit Ă  des sifflements approbateurs. Dans notre dos, nous parviennent ceux de Paco. C'est rien mais ça nous mets tous les 4 en joie. Ils nous disent qu'ils viendront aussi Ă  la soirĂ©e pour pouvoir nous surveiller un peu. Marc appelle Paco et lui dit qu'il devra nous accompagner pour surveiller son Juan et  ajoute que c'est lui qui offre.
Quand nous arrivons à la boite, nos " laisser- passer " font leur effet auprÚs du physionomiste et les euros agités par Marc assurent leurs entrées.
La musique est trop forte et il est quasi impossible de s'entendre parler. Par contre la population n'est constituĂ©e que des plus beaux gosses de la station balnĂ©aire. Physiquement ils paraissent tous entre 16 et 30/35 ans. Si nous tirons notre Ă©pingle du jeu, nous ne sommes pas les seuls beaux-gosses de la soirĂ©e. Ça Ă©vite d'attraper le melon !
Je me fais draguer par un mec dans les 25-30 ans parmi les plus musclĂ©s avec un maillot bien rempli, mĂȘme s'il bande un peu dĂ©jĂ . Il n'y a pas Ă©tĂ© par 4 chemins. Ses mains sur mes fesses, il me plaque tout contre lui pour que je sente bien son " intĂ©rĂȘt " pour moi grandir. Je pose mes mains sur ses pecs. Il les contracte pour m'en mettre plein la vue. Ok, ils sont bien Ă©pais, tout comme la barre que je sens se dĂ©velopper contre ma hanche. Il va vite mais nous avons toute la nuit devant nous. Je l'entraine vers le bar et me commande une biĂšre. Le mec annule ma demande et me dit m'offrir du champagne. Le serveur qui a vu mon poignet, me fait signe d'accepter. Il sort une bouteille de champagne français que l'autre rĂšgle avec un billet de 500€ tout neuf sorti de son slip. Je prends une coupe alors qu'il s'enfile le reste de la bouteille. Je me dis alors que ce plan ne va pas tarder Ă  me filer entre les doigts ! L'alcool et le sexe c'est rarement compatible. Pour le moment il reste bien raide. Alors que je sirote la coupe, je jette un coup d'oeil pour voir oĂč sont mes amis. Marc entreprend un p'tit mec tout mignon alors qu'HervĂ© s'approche d'une copie conforme d'Ernesto. On se refait pas !
Quand je reviens Ă  mon " cas ", la bouteille est vidĂ©e mais pas d'effets visible sur le comportement du mec. Il bande toujours, son Ă©locution est nette et le regard bien clair. Nous nous dĂ©plaçons sur la piste et sautons avec tous les autres au rythme de la musique. Il me colle un peu trop. Je lui dis qu'il est pas mal mais que j'ai pas encore fait mon choix. Ça le dĂ©grise, je pense qu'il avait cru que c'Ă©tait du tout cuit et qu'il m'en avait mis plein la vue avec sa grosse coupure. Du coup il me lĂąche et s'attaque Ă  une autre proie. Je retourne au bar et le mec qui nous avait servi me dit que si je continu sur le mĂȘme rythme, je serais invitĂ© toute la durĂ©e de mon sĂ©jour. Il est Ă©tonnĂ© quand je dis que cela ne m'intĂ©resse pas. Je sens alors contre mes fesses se plaquer une grosse bite et des mains sur mes hanches qui la compresse. Je me retourne c'est le mec de tout Ă  l'heure. Il commande une 2Ăšme bouteille et comme je proteste, il me dit de laisser faire, que cela ne l'empĂȘchera pas de bander.  Avant qu'il la finisse, je l'entraine dans les WC. Ils sont dĂ©jĂ  bien occupĂ© mais il dĂ©niche le dernier mÂČ de libre et me colle au mur avant de me rouler un patin. Contrairement Ă  ce que craignait, sa bouche est fraiche et sa langue agile. Entre deux pelles, il me dit qu'il m'avait remarquĂ© dĂšs mon entrĂ©e dans la boite, que mon corps musclĂ© et huilĂ© l'avait attirĂ© et que quand il avait eu mon cul sous ses mains, il s'Ă©tait dit que j'Ă©tais pour lui. Je le remercie de tant de compliment et pousse un peu pour voir jusqu'oĂč il serait capable d'aller. Comme nous parlons espagnol depuis le dĂ©but, je lui fais croire que je suis sans travail. Il me propose aussitĂŽt de m'aider un peu. Je fais semblant d'hĂ©siter, lui dit que je ne suis pas vĂ©nal et que j'ai jamais fait ça. Il me dit me croire mais reste trĂšs pressant contre mon bassin. Finalement il me propose de sortir de la boite et de finir la soirĂ©e chez lui. Comme il me plait bien, je lui dis que c'est d'accord mais que je dois prĂ©venir un copain d'oĂč je serais. Nous nous approchons d'Ernesto (autant prendre le plus massif pour l'impressionner un peu) et alors que je lui dis que j'accompagne ce monsieur Ă  son hĂŽtel, ce dernier lui donne son nom et l'adresse. C'est Ă  deux pas de la boite et nous passons l'accueil sans autre remarque qu'un clin d'oeil appuyĂ© du standardiste.
Il occupe une suite assez grande. Le lit King-size n'attend que nos Ă©bats. Je me jette dessus et le mec me rejoint. Il me caresse, prenant un temps infini pour parcourir le moindre cmÂČ de ma peau dĂ©couverte. Sa langue remplace ses mains. C'est assez bon. ArrivĂ© au bord de mon maillot, il finit de dĂ©nouer le lacet et pousse le rebord sous mes couilles. Quand il voit mon cockring en or, il me questionne sur qui me l'a offert. LĂ , j'invente un " service " rendu Ă  un prince arabe. Je le vois avaler l'imposture et ça lui rappelle qu'il m'avait attirĂ© financiĂšrement. Il se relĂšve et va chercher dans le coffre au fond du placard, un paquet d'Euro. Il en dĂ©tache quelques billets et les pose sur la table basse sous le cendrier en verre. Il en compte 5 de 200, me regarde et en ajoute 2 autres avant de me demander si c'est suffisant. Je fais l'impressionnĂ©. J'ouvre de grands yeux en lui demandant ce qu'il fait. Quand il me dit ĂȘtre Trader, je lui dis en riant qu'il aurait pu arrondir. Il me regarde Ă  nouveau ajoute 3 billets et me dit que je vais devoir quand mĂȘme les mĂ©riter. Alors que j'avais remontĂ© mon maillot, je fais quelques dĂ©hanchements avant de le retirer en lui tournant le dos et en me penchant pour bien mettre mon cul devant ses yeux. Je sens aussitĂŽt ses deux mains se poser sur mes fesses et il me dit de ne plus bouger. Je me laisse guider. Il pousse sur mes chevilles pour me faire comprendre d'Ă©carter les pieds. Je sens alors sa bouche se poser sur ma peau et sa langue sinuer sur ma fesse droite jusqu'Ă  se poser sur ma rondelle. C'est un pro du lĂ©chage de cul. Il me travaille la rondelle un bon moment”. Il me fait me poser sur le lit le cul en l'air et les Ă©paules sur le matelas. Il fait ça trop bien. Limite qu'il me ferait jouir avec sa langue ! De temps en temps il aspire mes boules dans sa bouche pour les faire rouler sur sa langue. Je bande Ă  en avoir mal. Quand il me lĂąche, j'ai la rondelle ouverte Ă  trois doigts ! A mon tour de jouer. Il est debout et je caresse son corps. Mes mains s'attardent sur ses muscles qu'il bande les uns aprĂšs les autres. A genoux devant lui, je lui retire son boxer de bain dĂ©formĂ© par son excitation. J'avais bien estimĂ©. Se dresse devant mes yeux un sexe d'environ 22cm bien Ă©pais, dans les 6,5. Blanc par rapport au reste de son corps bien bronzĂ©, circoncise, sa bite est bien droite lĂ©gĂšrement courbĂ©e vers le bas. Son gland rose vif est aussi gros que ses boules. Ces derniĂšres, rasĂ©es, pendent bas en dessous, au moins Ă  5/6cm. Je ne me dĂ©gonfle pas et lui prouve que lĂ  aussi il a bien investi son argent.
Je me penche en avant et doucement m'enfile sa bite dans la gorge ne m'arrĂȘtant que quand mes dents se sont posĂ©es sur son pubis. J'ai senti que ça lui faisait de l'effet alors qu'il avait du mal Ă  rester debout ! Je recule, respire un bon coup et remets ça. LĂ , ses mains sur ma tĂȘte accompagnent ma plongĂ©e. Il est impressionnĂ©. Je l'entends se dire en anglais qu'il s'est trouvĂ© une sacrĂ©e bonne pute. Je fais semblant de ne pas comprendre, ça pourra me servir plus tard.
En attendant il apprĂ©cie au plus haut point l'hĂ©bergement de son gros gland dans ma gorge. Je le laisse mener ses coups de reins. J'ai l'impression qu'il cherche Ă  voir combien de temps je peux tenir en apnĂ©e car il reste de plus en plus longtemps tout au fond de ma gorge, ses mains maintenant ma tĂȘte contre lui. Comme j'ai une bonne expĂ©rience de cette pratique et une bonne cage thoracique, il prend sont pied Ă  me malmener un peu. Ses propos virent cotĂ© " salope " et " chienne ", " bouche Ă  bite " et " pute " reviennent souvent dans sa bouche.
Il se retire avant de juter. Il me repousse et me regarde fixement. Sans m'inquiĂ©ter, je m'interroge sur ses motivations. Il me demande alors de tourner doucement devant lui, pour se repaitre de mon physique. Il me demande quels sports je fais et ne s'Ă©tonne pas quand je lui dis faire beaucoup de muscu. Lui me dit qu'il passe 1h2/2 par jours Ă  la salle. Je m'Ă©merveille et ajoute que cela lui fait un corps superbe. Il boit mes paroles comme du miel ! J'ai l'impression qu'il jouit d'un Ă©go surdimensionnĂ© ! Il me le prouve aussitĂŽt en prenant des poses faisant ressortir ses diffĂ©rents groupes musculaires. Ok je dois admettre qu'il Ă  toutes les raisons d'ĂȘtre fier de lui. Son corps est harmonieusement trĂšs musclĂ© et sa bite de 22cm ne parait pas ridicule pour autant.
En Espagnol il me demande comment je le trouve. Je continu sur le mode " mon dieu qu'il est beau ". Je m'approche et caresse son corps. Il ne demandait que cela, trouver un jeune mec à impressionner. Il me quitte soudain et fouille dans son coffre et ajoute une liasse de billets à ceux déjà sur la table basse. Il me dit qu'avec la prime qu'il s'était fait cette année, il pouvait me couvrir de billet qu'il lui en resterait encore suffisamment. J'aime ce genre de propos.
Il revient vers moi, me caresse et pousse ses doigts entre mes fesses. Comme il me trouve resserré, il me pousse sur le lit et me demande de prendre mes jambes sous les genoux pour relever mon cul et écarter mes fesses. Il se couche alors et ventouse ma rondelle. Sa langue refait merveille. Il salive un max et je laisse mon sphincter se déplisser. Il fait entrer sa langue et lÚche les 2/3 premiers cm de mon ampoule anale. C'est bon surtout qu'il salive beaucoup et pousse cette derniÚres dans mon trou.
Je ne me branle pas car ça me ferait juter direct. J'ai perdu la notion du temps quand je le sens se redresser, passer son torse entre mes cuisses et m'Ă©crasant, me donne sa langue Ă  tĂ©ter. Bien que lubrifiĂ© et prĂ©parĂ©, je sens son gland chercher ma porte arriĂšre. Pas de Kpote, je serre mon anneau et il bloque. Ça le surprend. Je lui glisse dans l'oreille que je suis une pute mais de celles qui se font prendre avec Kpote. Il fouille sous son oreiller et s'Ă©quipe rapidement. Je me dĂ©tends et le laisse entrer. Pour lui donner plus de plaisir et en prendre aussi ma part, je maĂźtrise sa vitesse de pĂ©nĂ©tration en variant ma pression anale. Quand il arrive Ă  coller son bassin Ă  mes fesses, il a l'air d'avoir gravi l'Everest ! Je continu mon jeu de jeune impressionnĂ©. Je lui dis " c'est trop bon ", " je ne me suis jamais pris une bite aussi belle " et il me croit !
Il s'agenouille et ses mains me prennent les hanches pour initier s'enculage.
Je fais le fier mais il est réellement bon à ce petit jeu.
Il me baise comme une reine. J'ai l'impression quand mĂȘme de visiter tout le Kamasoutra. RĂ©guliĂšrement il change nos positions. J'ai beau pulser de ma rondelle, il tient le choc grave. Je suis plus d'une fois Ă  la limite de juter mais il s'en aperçoit et cesse alors tout mouvement le temps que la pression redescende.
Pendant ces moments lĂ , il m'embrasse et nos langues se battent entre elles.
Il me baise comme ça pendant presque 2h avant d'exploser dans sa kpote. Nous sommes alors assis tous les deux, moi plantĂ© sur sa queue bien sĂ»r. Il me fait sauter dessus, ses mains sous mes aisselles me soulevant aussi facilement que si j'Ă©tais une poupĂ©e gonflable. Au moment oĂč il jouit, il pousse sur mes Ă©paules pour se planter encore plus loin en moi. je me laisse aller Ă  juter Ă  mon tour et lui en fout des litres, jusque dans les cheveux.
Je bascule sur le cotĂ© et m'Ă©loigne avant qu'il ne dĂ©bande. Je tĂąte ma rondelle, il l'a bien Ă©largie le salaud ! À lui tout seul il me l'a dĂ©foncĂ©e comme lors des touzes maison oĂč je me fais sauter par une bonne demi-douzaine de mecs dont Eric !
Sur le dos, il me demande si je serais encore libre durant la semaine. J'hésite puis lui réponds que non. Il me demande alors si je n'aurais pas quelques amis qui pourraient le dépanner comme je venais de le faire.
Je glisse jusqu'Ă  la table basse et m'empare des billets et les compte. Il y en avait pour 2 000 avant qu'il ne fasse le rajout. LĂ  maintenant j'en compte 10 de 500 en plus. MĂȘme si le jour se lĂšve, se faire 7 000 € en une nuit et avec un seul mec, je ne crois pas avoir jamais gagnĂ© cela moi-mĂȘme.
Je lui demande s'il sera aussi généreux. Il me répond que si mes amis sont aussi bons que moi, ce sera oui.  Je cogite vite et pense que mes deux Escorts lutteurs Espagnols feraient bien son affaire. Je lui prends son numéro de portable et lui promet de le rappeler avant midi.
Quand je rentre à la villa, j'apporte des churros frais trouvés sur le chemin. Ils dorment tous. Je pose mon salaire sur la table de chevet et m'endors aux cotés de mon PH et de Marc.
Jardinier
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coolvieilledentelle · 1 year
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Avec le temps, vous comprendrez que les plus belles vacances peuvent se trouver sur une paire de lĂšvres ; qu'il y a de l'hiver en Ă©tĂ©, de la poĂ©sie en automne et que toutes les fleurs ne naissent pas au printemps. Vous apprendrez aussi que rien n'est Ă©ternel, mais que certains moments sont proches de l'ĂȘtre ; que les cicatrices sur l'Ăąme ne guĂ©rissent pas, que les promesses expirent, que les rĂȘves changent, que les plans changent et que les gens déçoivent ; qu'il y a de la douleur derriĂšre les sourires, de l'amour derriĂšre un "prenez soin", des raisons et des regrets derriĂšre les silences. Que les meilleurs baisers que vous ayez jamais reçus sont cachĂ©s dans les regards et que les bras sont sans aucun doute le meilleur abri, celui qui vous dĂ©barrasse vraiment du froid. Avec le temps, vous comprendrez la valeur d'un je t'aime, d'un comment vas-tu, d'un merci, d'un pardon et d'un je t'ai manquĂ©, et que, bien que ce soient des mots, certains sont si lourds qu'ils ne sont pas emportĂ©s par le vent ; vous comprendrez l'importance d'un sourire, d'une accolade, d'un bonjour, d'un baiser sur le front, d'un repas Ă  l'ancienne, d'un cafĂ© avec des amis et d'une lettre inattendue dans la boĂźte aux lettres. Avec le temps, vous changerez vos prioritĂ©s, votre façon de penser, de rire, de vous habiller, de rĂȘver, vous changerez votre numĂ©ro prĂ©fĂ©rĂ© pour celui d'un rendez-vous, votre chanson pour une bande originale dans le silence d'une paire de bras, votre couleur prĂ©fĂ©rĂ©e pour celle de ces yeux ? Vous changerez tant de choses
 Le temps vous fera aussi pleurer, crier de rage, vous mettre en colĂšre, tomber amoureux, dĂ©sirer quelque chose
 Mais il t'apprendra qu'il n'y a pas de regrets, qu'il faut prendre des risques, qu'il y a des erreurs, des regards, des baisers et des moments qui sont les seuls Ă  donner un sens Ă  tout cela.
Et avec le temps, vous comprendrez qu'il n'y a plus de temps. Que c'est aujourd'hui et maintenant qu'il faut agir.
Mais seulement
 Vous ne réaliserez qu'avec le temps

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chifourmi · 5 months
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Comment je n'en PEUX PLUS de ma mĂšre. Je vais Ă©crire ce texte Ă  chaud je le supprimerai peut-ĂȘtre plus tard. On lui a offert son cadeau de la fĂȘte des mĂšres vendredi pcq aujourd'hui on Ă©tait pas dispo tous les 4. Comme d'hab elle Ă©tait pas contente?? Alors qu'on lui a offert des fleurs comme elle rĂ©clame tout le temps. MĂȘme la derniĂšre fois sans occasion particuliĂšre on s'est ramenĂ©s avec des fleurs mon pĂšre et moi et elle n'Ă©tait pas contente pcq c'Ă©tait un bouquet de la fleuriste et qu'elle aimait pas la compo??????? Comment on peut ĂȘtre aussi capricieuse???? En plus elle ne nous l'avait jamais dit donc on pouvait pas savoir. Vraiment j'en peux plus elle s'en blc de l'intention et ok tu peux ne pas aimer mais elle te le fait savoir TOUTE LA JOURNÉE. Elle s'isole, fait des phrases passives agressives, des sous-entendus de merde. Vraiment c'est invivable. Et OK elle a vĂ©cu un cancer et lĂ  elle est en pleine reconstruction de sein mais on essaye de faire TOUT pour elle. DĂšs qu'elle demande quelqu'un, dans la seconde y a quelqu'un qui accourt. On se bousille pour son bonheur et c'est hyper normal je sais bien mais quand t'as que de l'ingratitude comme rĂ©ponse c'est juste pas possible, elle ne nous remercie jamais, ne se remet jamais en question. C'est tellement lourd on est bassinĂ©s de nĂ©gativitĂ© et j'imagine mĂȘme pas Ă  quel point ce qu'elle traverse est dur mais ça l'est pour nous aussi parce que combien de fois on a eu peur de la perdre et en plus de ça elle nous fait subir le pire. Vraiment je suis Ă  bout, je sais mĂȘme plus ce que je dois faire pour qu'elle soit heureuse, elle nous en demande beaucoup beaucoup trop. Et en mĂȘme temps je ne me sens mĂȘme pas lĂ©gitime de me plaindre pcq elle a vĂ©cu tellement d'opĂ©rations et c'est toujours pas fini, ça fait 3 ans, et j'imagine mĂȘme pas dans quel dĂ©sespoir elle doit ĂȘtre. Mais voilĂ  lĂ  j'en peux tellement plus et j'ai besoin de me plaindre aussi. J'ai tellement hĂąte que tout ça se finisse putain cette merde de cancer est complĂštement en train de dĂ©truire notre famille.
(Je SAIS que c'est ELLE qui vit des Ă©preuves atroces et que je peux mĂȘme pas imaginer ce que ça fait, je l'ai bien compris, donc si y a quelqu'un qui ose me dire que j'ai pas le droit de me plaindre je le bloque mdr)
(12/05/2024)
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alicedusstuff · 1 year
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais Ă©coutĂ© les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre Ă©tait contrĂ©e par une pensĂ©e heureuse. Chaque avertissement Ă©tait balayĂ© d'un revers de la main, effacĂ©e d'un baiser, soufflĂ©e d'un cĂąlin, ou Ă©poussetĂ© de l'idĂ©e d'un idĂ©al incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du lĂ©gendaire roi singe Ă©tait ignorĂ© de la plus belle des maniĂšres. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincĂ© dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejetĂ© et dĂ©sirĂ© Ă  la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'Ă©coute pas
" rĂ©alisa Macaque. 
Et l'idĂ©e mĂȘme que cette rĂ©alitĂ© se rĂ©pĂšte Ă  nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'Ă©tait certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidĂšle et aimant qu'il regrettait avoir assassinĂ©. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brĂ»lant qui l'avait forcĂ© Ă  tout nier pour se laisser consumer jusqu'Ă  la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincÚrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'Ă©taient plus harmonisĂ©s de la mĂȘme façon qu'avant. La diffĂ©rence entre ces deux faits Ă©tait aussi fine et confuse que la diffĂ©rence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélÚre. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer Ă  dormir. MalgrĂ© tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensĂ©es parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en Ɠuvre pour faire disparaĂźtre les pensĂ©es sombres Ă©tait conclue par une vague encore plus forte de pensĂ©es obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cƓur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitĂšrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait rĂ©ellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrĂȘta, uniquement pour Ă©couter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier Ă©tait bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent Ă  l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passĂ© de temps Ă  autre. Et c’était si rĂ©el que Macaque avait du mal Ă  les diffĂ©rencier de la rĂ©alitĂ©. Mais ces derniers siĂšcles, il avait Ă©tĂ© seul quand ces manifestations vocales lui Ă©taient arrivĂ©es. 
Le souffle de Wukong Ă©tait rĂ©gulier, et lourd. Sa peau Ă©tait chaude. Et bien que Macaque adorait se coller Ă  cette fourrure qui sentait le soleil; il Ă©tait, lĂ  maintenant, bien trop concentrĂ© Ă  s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgrĂ© le fait Ă©vident que son compagnon n’avait pas pipĂ© mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'Ă©tait rĂ©veillĂ© Ă  l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis Ă  l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'Ă©brouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installĂ©, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiĂ©tudes par le battement de cƓur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac

Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agitĂ©, laissant Ă©chapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incomprĂ©hensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-ĂȘtre mĂȘme que ce n’était rien de plus que les mots Ă©chappĂ©s tout droit des rĂȘves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisĂ© l’ancien nom de Macaque. Il avait
Wukong a
il aimait
il
!
Le cƓur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son rĂ©veille Wukong. Oh par pitiĂ©, faites que Wukong ne se rĂ©veillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il Ă©tait incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe Ă  la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait Ă  Wukong? et Macaque n’était pas prĂȘt Ă  ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si dĂ©shonorĂ©, si Wukong dĂ©couvrait Ă  quel point des mots aussi simples avaient excitĂ© le singe Ă  ses cĂŽtĂ©s. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prĂȘt Ă  tuer Wukong, plutĂŽt que de lui avouer combien une simple phrase avait Ă©tĂ© efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir Ă  nouveau.  Dieu! Macaque dĂ©testait tellement Wukong! Ce crĂ©tin Ă©tait beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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nvminnd · 9 months
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Je suis la seule à m'inquiéter pour Perceval dans la suite de Kaamelott ?
Pas dans le sens oĂč j'ai peur qu'il meure dans les prochains films (honnĂȘtement, je verrais pas l'intĂ©rĂȘt sur le plan scenaristique) mais dans le sens oĂč j'ai l'impression que son personnage prend les pires directions
De base, Perceval représente la pureté de l'enfance. Un personnage naïf et maléable, avec un fort potentiel, qui peut donc tout devenir. Et jusqu'au livre IV (en gros), Perceval se laisse parfois entraßner sur une mauvaise pente par Karadoc, mais il est surtout beaucoup influencé et motivé par Arthur. Il admire Arthur par dessus tout, et Arthur le tire vers le haut en l'éduquant, en validant ses passions et reflexions étranges, en le rassurant, etc.
À partir du livre V, Perceval suit Karadoc dans leur clan autonome. Il s'Ă©loigne de l'influence bĂ©nĂ©fique d'Arthur pour ne plus frĂ©quenter que Karadoc. Et Karadoc, qui n'a jamais aucun recul sur lui-mĂȘme, tire Perceval vers le bas. C'est Karadoc par exemple qui lui a appris sa botte-secrĂšte, certes trĂšs marrante, mais complĂštement anti-pĂ©dagogique qui empĂȘche Perceval d'enrichir son vocabulaire. C'est Karadoc qui "apprend" Ă  Perceval qu'il vaut mieux paraĂźtre cultivĂ© pour "pas passer pour un glandu" plutĂŽt que d'accepter ses erreurs et Ă©voluer.
Je comprends l'idĂ©e de vouloir faire prendre de l'indĂ©pendance Ă  Perceval pour qu'il s'emancipe d'Arthur et qu'il devienne sa propre personne...mais lĂ , sa propre personne commence sĂ©rieusement Ă  ressembler Ă  un comic relief chiant et bruyant. Et si en plus il suit les conseils de Karadoc, Ă  couvrir son manque de culture Ă  coup de bottes secrĂštes et de mots de vocabulaires pompeux dont il ignore le sens...disons qu'il se rapprochera plus de Loth que d'Arthur. Et j'avoue que je ne comprends pas du tout ce choix de dĂ©veloppement de la part de AA ? J'ai l'impression qu'il privilegie le fan service pour les fans lourds (les fameux fans de Kaa mecs blancs trentenaires qui pullulent qur FB) qui s'arrĂȘtent Ă  "mdr Perceval et Karadoc ils sont cons" et qu'il met de cĂŽtĂ© toute la poĂ©sie qu'il y avait dans le personnage de Perceval.
Perceval devient juste un idiot comme les autres, et il perd de sa richesse et de son capital sympathie. Sachant qu'il n'y a pas vraiment eu de scĂšne marquante entre Arthur et Perceval dans KV1, je crains que son personnage n'Ă©volue plus du tout par la suite, ou pire qu'il Ă©volue dans le mauvais sens...
(De maniÚre générale de toute façon je trouve que le développement des personnages, à part quelques exceptions genre Arthur, Lancelot ou Bohort, c'est pas le fort de la série, sûrement parce que AA écrit un peu en mode cadavre exquis et que les personnages ont plus l'air de se coller au plot que l'inverse)
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girafeduvexin · 1 year
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Pour ĂȘtre trĂšs claire, sans ĂȘtre sarcastique, aimer analyser des mĂ©dias, ça ne veut pas dire dĂ©tester des choses simples, qui ne se veulent pas plus profondes que ça. La qualitĂ© d'un mĂ©dia ne se juge pas Ă  sa profondeur mais (selon moi) Ă  son efficacitĂ© Ă  transmettre quelque chose.
Je n'aime pas Proust parce que c'est super profond, j'aime Proust parce que c'est aussi Ă©mouvant que drĂŽle. Le message de Proust, il est ultra simple : l'art seul nous survivra. C'est tout. Ce qui est intĂ©ressant Ă  analyser, c'est le style, la façon dont il dĂ©peint ses personnages, la narration etc mais le message en lui-mĂȘme, il se rĂ©sume en une phrase.
Il m'arrive de dĂ©tester des Ɠuvres qui sont plus "intellectuelles" (ou qui prĂ©tendent l'ĂȘtre) et qui ne me parlent pas, parce que le message est mal transmis, il est trop lourd, trop "intello" justement. C'est un reproche que je fais parfois Ă  Nolan : je ne dĂ©teste pas ses films mais je trouve que parfois, il les complexifie pour rien, pour "faire intelligent" alors qu'en soi, le propos en lui-mĂȘme est intĂ©ressant mais se perd un peu dans la mise en scĂšne, typiquement Tenet (et mĂȘme parfois Oppenheimer). À l'inverse, j'aime beaucoup Lynch, parce que mĂȘme si ses films ont l'air absurde, l'Ă©motion est vivante, presque violente, t'as soudain une scĂšne oĂč tu es Ă©mu sans avoir besoin de tout comprendre (la scĂšne du Silencio dans Mulholland Drive...) La narration est Ă©trange, complexe mais l'Ă©motion est brute.
J'adore PrĂ©vert, qui prĂ©fĂšre la simplicitĂ©, parce que ses poĂšmes sont efficaces dans ce qu'ils veulent dire, et ça ne les empĂȘche pas d'avoir du sens, d'ĂȘtre forts, d'ĂȘtre mĂ©morables. "Barbara", ça dit que la guerre, c'est mal, point. Ce qui est intĂ©ressant, c'est les rimes, les sonoritĂ©s, et l'impression d'avoir un texte ultra simple qui est en rĂ©alitĂ© trĂšs intelligemment construit.
Analyse profonde =/= simplicitĂ© de l'Ɠuvre, et c'est pour ça que dire qu'un film populaire "qui ne se prend pas la tĂȘte" n'a pas besoin d'ĂȘtre analysĂ© est une absurditĂ©. Les meilleures comĂ©dies sont ultra malines, dans l'Ă©criture, le rythme, le propos, il faut vraiment comprendre ce qu'est l'humour pour Ă©crire quelque chose de drĂŽle. Kaamelott, c'est trĂšs intelligent, les Inconnus, c'est trĂšs intelligent, Key and Peele sont des gĂ©nies.
Pareil pour les films d'action : les meilleurs sont chorĂ©graphiĂ©s, rĂ©flĂ©chis, des gens dont c'est le mĂ©tier se prennent vraiment la tĂȘte pour que ce soit bien rythmĂ©, alors, non, non, on va analyser les Avengers comme on analyse À la recherche du temps perdu, avec la mĂȘme rigueur et la mĂȘme exigence, merci bien.
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e642 · 2 months
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Plus je grandis, moi je trouve des attaches lĂ  oĂč les autres en trouvent. Je suis de moins en moins quelqu'un de matĂ©riel. Je m'ennuie beaucoup. Je passe le temps Ă  le passer. Je ne me maquille plus. Je ne sors plus. Je n'achĂšte quasiment plus rien. Je ne vois pas grand monde qui serait important pour moi. Je ne suis pas vraiment enfermĂ©e dans ma relation mais elle ne me plaĂźt pas. Toujours Ă  me demander pourquoi je reste. Je dois l'aimer quelque part, je dois trouver ça dur de partir, je dois avoir peur de la douleur de l'autre, je dois ĂȘtre lĂąche. On ne partage pas grand chose et j'essaie de me convaincre que ça ne sera pas toujours comme ça et que je ne suis juste pas avec la bonne personne mais en fait, peut-ĂȘtre que c'est ça les relations; un jour t'as plus rien Ă  dire. J'ai souvent plus rien Ă  dire avec les gens. Je ne sais pas de quoi parler. Il n'y a pas grand chose Ă  dire. Je vais ni mal, ni bien, j'existe et je trouve ça dĂ©jĂ  trĂšs compliquĂ©. L'angoisse n'est jamais loin peu importe ce que j'entreprends. Je suis fatiguĂ©e, c'est trĂšs insidieux, je me sens lourde et lasse. Les choses qui intĂ©ressent les autres ne m'intĂ©resse pas. J'ai du mal Ă  voir autre chose que de la dĂ©mesure dans le discours, le comportement, les actes des gens. J'ai du mal Ă  comprendre toute cette malveillance et cette haine. Je suis extrĂȘmement calme mais ça ne me rassure pas pour autant, si calme que trop peu de chose m'Ă©branle ou peut-ĂȘtre que je fais comme si ça ne m'Ă©branlait pas. Je fais beaucoup comme si parce que c'est plus facile. Et Ă  la fois, c'est plus difficile. Je n'ai plus de compte Ă  rendre, je raconte plus grand chose, j'ai pas les mots, je ne sais pas comment dĂ©crire tout ça. Ça me file le bourdon cette vie. Je ne comprends pas comment on peut tant ĂȘtre attachĂ© Ă  l'existence, apprĂ©cier ça, s'accrocher Ă  ça. J'ai jamais eu de joie de vivre parce que je ne trouve pas ça joyeux, vraiment pas, on avance juste jusqu'Ă  plus pouvoir. J'ai ce cĂŽtĂ© nihiliste et fataliste qui me colle aux baskets depuis que je suis petite, il me faut faire beaucoup d'efforts pour entrevoir ce que les gens trouvent Ă©vident. Peut-ĂȘtre que le fait de ne jamais rien attendre me paralyse et m'empĂȘche de casser des cercles vicieux ou ouvrir des portes. Pourquoi partir ou changer quelque chose quand j'en ai rien Ă  foutre au fond ? Pourquoi partir ou changer quand c'est neutre ? Pourquoi partir ou changer quand j'aspire Ă  rien d'autre quand j'ai pas d'autres envie quand j'ai pas la sensation de me priver de quoi que ce soit ? Je suis mĂȘme pas frustrĂ©e d'ĂȘtre dans une relation de merde avec quelqu'un qui m'aime pas vraiment et ne considĂšre pas ma valeur, ni frustrĂ©e des relations de merde que j'ai avec tout le monde mĂȘme mes parents, ni frustrĂ©e de pas savoir quoi faire, frustrĂ©e de rien, je trouve pas ça gĂ©nial pour autant, j'en ai juste plus rien Ă  cirer, je ressens pas grand chose seulement une sorte de torpeur moite, comme de la transpiration qui suinterait de toutes mes structures internes.
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uneessencesensible · 3 months
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N°1641 – Jeudi 06 fĂ©vrier 2020
Comme toujours, de toute façon. Tu prĂ©fĂšres ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able au lieu d'admettre que je peux ĂȘtre bien ailleurs.
Tu me fais en quelque sorte payer le fait que tu sois seule avec lui dĂ©sormais. Mais j'y suis pour rien dans le fond. J'ai vingt six ans. Je dois faire ma vie. MĂȘme si je ne me suis pas comportĂ©e comme il le fallait, quand il s'agissait de te dire pour l'appartement, je fais tout pour te montrer que je suis toujours lĂ  et que je suis bien. Me sortir des phrases comme tu peux le faire, ce n'est pas cool. Au contraire. Tu ne peux pas me dire que je ne suis pas amoureuse, que nous ne sommes pas amoureux et me dire que ce n'est pas mĂ©chant. Si c'est mĂ©chant. C'est blessant. C’est vexant. C’est tout ce que tu veux. Tu ne veux pas accepter ma relation, OK. Tu ne peux pas accepter que je sois partie, OK. Mais cesse de me dire les mĂȘmes phrases. Moi, je me sens bien. Moi, au moins, je peux parler avec lui. Il m'aide beaucoup. Il s'implique dans notre relation et au sein de notre appartement. Je sais qu'il m’aime. Et je sais que je l’aime aussi. Je sais aussi que tu prĂ©fĂ©rais que je rentre. Tu ne veux pas que cela dure. Tu voudrais que ça ne marche pas. Or, je ferai tout pour et je sais que cela fonctionnera pour un long moment. J’ai ce petit quelque chose inexplicable qui me fait comprendre que cela marchera. Que tu le veuilles ou non.
J'ai la sensation que rien ne va. Jamais. Il ne vient pas avec moi, ça pose problĂšme. Il vient avec moi, ça pose aussi un problĂšme. Il m'aide quelque part, ça ne va pas. Il fait l'inverse, c'est la mĂȘme histoire. C'est bon. À force, ce n'est plus possible. Tu t’énerves et me dis que je me braque. Oui. Bien sĂ»r que je me braque. Parce que j'en ai marre. Qui ne se braquerait pas Ă  force ? Je t'aime trĂšs fort. Mais parfois, c'est lourd comme situation et cela me donne pas mal d'anxiĂ©tĂ©. Cela me rend mal parce que je ne veux pas que tu aies de fausses idĂ©es. Je ne veux pas que tu crois en des choses qui ne sont pas rĂ©elles. Je comprends entiĂšrement ta position, mais cesse. Cesse de dire ce genre de phrases et laisse faire le temps. Laisse-moi te montrer que tu te trompes.
Edit : Cela bien changé depuis, fort heureusement. Je ne me suis pas laissée démontée et je vis ma plus belle relation.
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ngrgds · 1 year
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In French we don't say '' I'm sad'' but
Et d'un coup, tout l'atmosphĂšre est devenu lourd. Mes Ă©paules se sont affaissĂ©es, ma vue s'est embrumĂ©e. J'ai perdu pied comme si le sol se derobait. Plus rien n'avais de sens Ă  part se sentiment de tristesse qui Ă©mane de tout mon corps. Souffle court, image trouble, tĂȘte en vrac. Plus rien ne comptait, moi je disparaissais sous une tonne incommensurable de mauvaises sensations. Des Ă©motions beaucoup trop familiĂšre et frĂ©quente face Ă  un simple tracas du quotidien ou parfois devant une montagne d'Ă©vĂ©nements traumatisant. Je ne sais plus gĂ©rer, je me laisse doucement dĂ©pĂ©rir en espĂ©rant ĂȘtre repĂȘcher par le bonheur ou quelques rire.
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claudehenrion · 6 months
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, Ă  l'opposĂ© complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment oĂč finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu Ă  une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette rĂ©vĂ©lation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandĂ©mie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hĂ©las, de la malveillance, intentionnelle Ă  en ĂȘtre vicelarde et qui paraĂźt parfois ĂȘtre ''par systĂšme''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais trĂšs coupables, mĂšnent le pays Ă  sa perte. Immigration, Ă©cologie, Europe, dĂ©mographie, dette, fiscalitĂ©, paix civile et sĂ©cutitĂ©, Ă©cole, etc... la bĂȘtise de chacune de leurs dĂ©cisions crĂšve les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermĂ©s''. La dĂ©monstration –si besoin Ă©tait-- de leur inaptitude chronique Ă  trouver de bonnes solutions aux problĂšmes qu'ils devraient rĂ©soudre vs. les mauvaises solutions qui semblent ĂȘtre les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'ĂȘtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient dĂ©tenteur d'une autoritĂ© qu'aucun d'eux ne mĂ©rite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement Ă  venir de l'Histoire, et la totalitĂ© de ses contemporains (ravalĂ©s au rang de sujets traitĂ©s en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont Ă©tĂ© imposĂ©es ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre dĂ©but d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protĂ©gĂ©s par une immunitĂ© ''de systĂšme'', elle aussi. DĂ©cidĂ©ment, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncĂ©e en titre de cet Ă©ditorial se rĂ©vĂšle ĂȘtre une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volontĂ© de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activitĂ© et de la pensĂ©e : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les rĂ©fĂ©rences doivent sauter pour soi-disant permettre Ă  leur rĂȘve cauchemardesque d'un hypothĂ©tique ''homme nouveau'', indĂ©fini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idĂ©es mortelles et sans le moindre sens vont donc ''dĂ©tricoter'' l'un aprĂšs l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activitĂ© humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionnĂ© plus haut le covid, mais les mĂȘmes stratĂ©gies de recherche d'absurde Ă  tout prix se retrouvent partout, de l'atome Ă  l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excitĂ©, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagĂ©s''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'ElysĂ©e, de l'Europe Ă ... l'Europe (car lĂ , avec la mĂšre von den truc, on est dans la folie au carrĂ© !), de l'industrie Ă  l'agriculture ou du soi-disant ''sociĂ©tal'' Ă  la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volontĂ© de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bĂątit sans cesse, transmet, s'amĂ©liore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maĂźtres-Ă -penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalitĂ© française (NDLR - MĂȘme s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modĂšle ancien existe encore !) est incapable de savoir Ă  quoi ou Ă  qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le mĂȘme promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est Ă  peu prĂšs tous les kilomĂštres) sur une superbe Ă©glise ou sur une de nos sublimes CathĂ©drales, il ne saura pas trop Ă  quoi peut bien servir ce grand bĂątiment ou Ă  quoi correspond le drĂŽle de nom dont on l'a affublĂ©...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet Ă©ditorial, permettez-moi, s'il vous plaĂźt, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontanĂ© donc raisonnĂ© des ventes de vĂ©hicules Ă©lectriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir Ă©tĂ© l'un des trĂšs rares –et un des tout premiers-- Ă  prendre dĂšs le dĂ©but une position trĂšs risquĂ©e sur ce sujet Ă©colo-politique, et Ă  vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siĂšcle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en ĂȘtre aveugles, ont subventionnĂ© dans des proportions insensĂ©es les achats de voitures Ă©lectriques, on a pu croire Ă  un succĂšs de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prĂ©rogatives !
DĂšs que l'actualitĂ© a rendu obligatoire l'arrĂȘt de toute urgence des conneries absolues, la vĂ©ritĂ© a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un Ăąne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (trĂšs attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs rĂ©guliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai trĂšs bientĂŽt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin Ă©tait-- que ''La Vraie bĂȘtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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geologieuqam1987-blog · 18 days
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Voici un beau texte Ă©cris avec mes trippes et...."ChatGPT" :-)
37 ans ont passĂ©, et pourtant, en franchissant la porte de ce resto oĂč nous avions convenu de nous retrouver, c’était comme si le temps s'Ă©tait arrĂȘtĂ©. Les visages avaient changĂ©, marquĂ©s par les rides du temps et les Ă©preuves de la vie, mais les sourires, eux, restaient intacts, empreints de cette mĂȘme complicitĂ© que nous avions partagĂ©e sur les bancs de l'universitĂ©.
C'Ă©tait un mĂ©lange d'excitation et d'Ă©motion, un saut dans le passĂ© qui nous ramenait Ă  une Ă©poque insouciante, oĂč nos plus grandes prĂ©occupations Ă©taient les examens et les projets de fin d’annĂ©e. Chacun avait sa propre histoire Ă  raconter. Les carriĂšres, les voyages, les familles... Nos chemins avaient pris des directions parfois inattendues, mais ce soir-lĂ , toutes ces trajectoires individuelles semblaient converger Ă  nouveau.
Nous avons Ă©voquĂ© des souvenirs que certains pensaient avoir oubliĂ©s. Des moments drĂŽles, des soirĂ©es interminables, des discussions passionnĂ©es sur un monde que nous voulions changer. Ces anecdotes nous ont fait rire aux Ă©clats, comme si les dĂ©cennies Ă©coulĂ©es n’étaient qu’un rĂȘve, et que nous Ă©tions encore ces jeunes idĂ©alistes, remplis d’ambitions et d’espoirs.
Puis, il y a eu ces silences, lourds de sens, quand nous avons parlĂ© de ceux qui ne pouvaient plus ĂȘtre avec nous. Le temps avait pris des amis, des amours, et cette rĂ©alitĂ© nous frappait de plein fouet. Mais mĂȘme dans ces instants, la tendresse et la chaleur du groupe restaient palpables.
Et alors que la soirĂ©e avançait, chacun s'est rendu compte que cette rencontre Ă©tait bien plus qu'une simple rĂ©union d'anciens camarades. C’était la redĂ©couverte d’une partie de soi, un rappel des rĂȘves que nous avions formĂ©s ensemble et de la façon dont, malgrĂ© les alĂ©as de la vie, une amitiĂ© authentique rĂ©siste Ă  tout.
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Éloge de la fatigue
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Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, qu'avec cette vie que je mĂšne je me ruine, que l'on ne gagne rien Ă  trop se prodiguer. Vous me dites enfin que je suis fatiguĂ©. Oui je suis fatiguĂ©, Monsieur, mais je m'en flatte j'ai tout de fatiguĂ©, la voix, le cƓur, la rate, je m'endors Ă©puisĂ©, je me rĂ©veille las. Mais grĂące Ă  Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas ou quand je m'en soucie, je me ridiculise. La fatigue souvent n'est qu'une vantardise on n'est jamais aussi fatiguĂ© qu'on le croit ! Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ? Je ne vous parle pas des tristes lassitudes qu'on a lorsque le corps harassĂ© d'habitude, n'a plus pour se mouvoir que de pĂąles raisons
 Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon lorsque l’on n’a rien Ă  perdre, Ă  vaincre, ou Ă  dĂ©fendre cette fatigue-lĂ  est mauvaise Ă  entendre ; elle fait le front lourd, l'Ɠil morne, le dos rond et vous donne l'aspect d'un vivant moribond. Mais se sentir plier sous le poids formidable des vies dont un beau jour on s'est fait responsable, davoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains, savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain, savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source, aider une existence Ă  continuer sa course, et pour cela se battre Ă  s'en user le cƓur
 cette fatigue-lĂ , Monsieur, c'est du bonheur. Et sĂ»r qu'Ă  chaque pas, Ă  chaque assaut qu'on livre, on va aider un ĂȘtre Ă  vivre ou Ă  survivre et sĂ»r qu'on est le port et la route et le quai, oĂč prendrait-on le droit d'ĂȘtre trop fatiguĂ© ? Ceux qui font de leur vie une belle aventure marquent chaque victoire, en creux, sur la figure et quand le malheur vient y mettre un creux de plus parmi tant d'autres creux il passe inaperçu. La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste, c'est le prix d'une journĂ©e d'efforts et de luttes c'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit, non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit c'est le prix d'un travail, d'une journĂ©e remplie, c'est la preuve aussi qu'on marche avec la vie. Quand je rentre la nuit et que ma maison dort, j'Ă©coute mes sommeils, et lĂ , je me sens fort je me sens tout gonflĂ© de mon humble souffrance, et ma fatigue alors est une rĂ©compense. Et vous me conseillez d'aller me reposer !Mais si j'acceptais lĂ , ce que vous me proposez, si je m'abandonnais Ă  votre douce intrigue mais je mourrais, Monsieur, tristement, de fatigue. Robert Lamoureux
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plexussolaire · 9 months
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisiÚme semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixiÚme réunion.
La plus belle réunion depuis la premiÚre.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bĂ©nĂ©fiques. Je dors le mĂȘme nombre d’heure mais la qualitĂ© de mon sommeil s’est significativement amĂ©liorĂ©e, si l’on exclue les rĂ©veils nocturnes causĂ©s par le chat. Je me sens calme, reposĂ©e, mon humeur s’est stabilisĂ©e : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entiĂšrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colĂšre, je ne panique pas dĂšs qu’un problĂšme se prĂ©sente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessĂ© d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix Ă  porter, si lourde sur mes Ă©paules, le lendemain d’une simple biĂšre lĂ©gĂšre.
Je suis mĂȘme heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrĂȘter la thĂ©rapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, oĂč tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intĂ©rĂȘt que je portais Ă  la vie, le dĂ©sir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongĂ© aprĂšs, mais c’était la premiĂšre fois de ma vie que je me sentais lĂ©gĂšre et joyeuse, durablement. J’ai passĂ© un temps infini Ă  livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, mĂȘme quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en Ă©crivant et rĂ©flĂ©chissant Ă  mon rapport Ă  l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place Ă  l’alcool dans notre vie, mĂȘme quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est prĂ©sent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptĂŽmes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre systĂšme et nous met des bĂątons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement luttĂ© pour dĂ©passer la honte et la culpabilitĂ© d’ĂȘtre alcoolique, que j’ai dĂ©veloppĂ© Ă  force d’obstination et de persĂ©vĂ©rance, des attitudes trĂšs saines pour compenser cet excĂšs morbide. J’apprenais Ă  lire tous les jours, Ă  faire du sport rĂ©guliĂšrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayĂ© des choses, reportĂ©, recommencĂ©, pendant des mois, Ă  installer des habitudes pour bien vivre. J’ai luttĂ© pour ma santĂ© mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : aprĂšs tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrĂȘter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face Ă  la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais Ă  rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retirĂ© l’alcool de ce mĂȘme quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevĂ© le bĂąton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. ArrĂȘter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrĂȘter de boire.
Le partage de P. Hier en rĂ©union parlait de ça. Pour certains, on arrĂȘte pour les autres, pour retrouver un travail, rĂ©cupĂ©rer son permis, son appartement
 mais c’est seulement quand on comprend qu’on mĂ©rite d’arrĂȘter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extĂ©rieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrĂȘte de boire seulement quand on se met Ă  penser qu’on le mĂ©rite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord ĂȘtre aimĂ©s par nous mĂȘme, comme nous aurions aimĂ© ĂȘtre aimĂ© au dĂ©part. Toutes les personnes que je croise en rĂ©union ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’ĂȘtre parmi les siens. D’ĂȘtre parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se dĂ©truire parce qu’on n’a pas trouvĂ© d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvĂ© de soutien ni de raison, dĂ©jĂ  tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvĂ© du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais Ă©coutĂ© nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, Ă  part les lieux sombres de leur addictions, leurs dĂ©mons, leurs joies aussi dans leur rĂ©tablissement, m’ont apportĂ© plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était NoĂ«l. Un Ă©vĂ©nement tellement dĂ©sacralisĂ© et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passĂ© de diffĂ©rent, mais j’ai mis deux semaines Ă  m’en remettre, Ă  me sentir terriblement vide, blessĂ©e, profondĂ©ment malheureuse, dĂ©vastĂ©e, dĂ©primĂ©e. Je n’arrivais plus Ă  sortir de ce marasme d’idĂ©es noires, jusqu’à me dire mais Ă  quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passĂ© lĂ -bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abĂźmĂ©e ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de cĂąlin, pas mĂȘme une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognĂ©s derriĂšre des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs Ă©motions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vĂ©ritĂ©. Des mots vides, rĂ©pĂ©tĂ©s cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements dĂ©biles, des moqueries, des humiliations mĂȘme parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant mĂȘme de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait rĂ©flĂ©chir. La puissance supĂ©rieure des AA, c’est la puissance supĂ©rieure que nous avions placĂ© dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la dĂ©placer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends Ă  dĂ©construire Ă  prĂ©sent grĂące au programme, une croyance que l’alcool va m’aider Ă  ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider Ă  m’extirper de ma dĂ©pendance affective. J’ai dĂ©placĂ© en quelque sorte, ma dĂ©pendance dĂ©sastreuse Ă  ma famille, vers une dĂ©pendance dĂ©sastreuse Ă  l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondĂ©ment, NoĂ«l me l’a montrĂ©. Renoncer Ă  l’alcool, c’est aussi renoncer Ă  cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer Ă  mes dĂ©pendances, c’est m’accorder enfin la libertĂ© de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce rĂ©confort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop prĂšs.
Les personnes dĂ©pendantes cherchent Ă  jamais la nourriture affective dont ils ont manquĂ©, cherchent Ă  jamais la sĂ©curitĂ© affective et l’attention qu’on leur a refusĂ©. Jusqu’au jour oĂč ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possĂšde la mĂȘme essence que ce poison d’abandon, que le dĂ©pit familial. Consommer Ă  outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idĂ©es noires, Ă  rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apportĂ© cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient aprĂšs ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une rĂ©ponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une Ă  deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inĂ©branlable, inconditionnel. Une drogue de rĂȘve que j’ai dĂ©sespĂ©rĂ© de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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jeanchrisosme · 7 months
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Tu es la derniĂšre raison pour laquelle je crois Ă  nouveau en l’amour, alors j’espĂšre que tu ne me laisseras jamais tomber. Vous savez combien de fois j’ai souffert dans le passĂ©, et vous savez aussi que mon cƓur a Ă©tĂ© brisĂ© encore et encore par ceux que je pensais me rendre heureux. Certaines parties de moi ont du mal Ă  guĂ©rir. Parfois, les cicatrices dans mon cƓur me font Ă  nouveau mal. Mais je suis content de t’avoir rencontrĂ©. Tu rends tout plus supportable pour moi, mĂȘme les choses qui me faisaient me sentir si lourde. Je vous suis reconnaissant de m’avoir trouvĂ©. Je ne savais pas qu’il me serait encore possible de ressentir Ă  nouveau quelque chose de spĂ©cial pour quelqu’un aprĂšs avoir traversĂ© beaucoup de chagrins d’amour auparavant. J’ai construit de hauts murs et j’ai gardĂ© mon cƓur contre quiconque pourrait me blesser Ă  nouveau. Mais ces murs se sont effondrĂ©s instantanĂ©ment quand tu t’es prĂ©sentĂ© devant moi. Vous n’avez mĂȘme pas essayĂ© d’escalader ces murs ou de les dĂ©truire. Beaucoup de gens ont essayĂ© cent fois de les briser juste pour avoir la chance d’ĂȘtre avec moi, mais je n’ai baissĂ© ma garde que lorsque tu es venu. Tu es en effet une personne trĂšs prĂ©cieuse pour moi qui peut me faire perdre le contrĂŽle de mes Ă©motions. Mais je dois admettre que vous me faites aussi peur des choses qui pourraient arriver un jour. Et parce que tu es si prĂ©cieuse pour moi, je sais que cela signifie aussi que tu es capable de me faire du mal un jour, ce que j’aimerais ne jamais arriver. Mais malgrĂ© toutes mes craintes, je suis toujours lĂ , Ă  Ă©crire pour vous, juste pour vous dire Ă  quel point je vous apprĂ©cie. La plupart de mes journĂ©es n’étaient que des jours tristes ou des jours de survie. Parfois, je suis si malheureuse, et d’autres fois, je me sens tellement vide. Mais mes jours sont devenus heureux depuis que tu es venu. Merci d’avoir rendu mon cƓur heureux ; Vous n’avez aucune idĂ©e de ce que cela signifie pour moi. La vĂ©ritĂ©, c’est que mĂȘme la simple pensĂ©e de t’avoir dans ma vie suffit Ă  me rendre heureux. Il y a des choses qui ont changĂ© depuis que tu m’as trouvĂ©e, comme la façon dont j’ai commencĂ© Ă  regarder avec impatience la vie aprĂšs avoir Ă©tĂ© si dĂ©sespĂ©rĂ©e pendant trĂšs longtemps. J’étais tellement fatiguĂ©e de tout, et j’ai toujours voulu disparaĂźtre, mais maintenant tu me donnes envie de vivre plus longtemps juste pour avoir la chance d’ĂȘtre avec toi. Et malgrĂ© tous les traumatismes, les trahisons et la douleur que j’ai traversĂ©s, tu m’as quand mĂȘme donnĂ© envie de croire Ă  nouveau en l’amour. Tu m’as donnĂ© envie de croire qu’il y a encore quelqu’un qui sera digne de mon amour, et j’espĂšre que cela ne finira jamais par me rendre triste un jour. Je tiens sincĂšrement Ă  vous rappeler que, tant que vous resterez, je vous chĂ©rirai et vous apprĂ©cierai toujours. Je ne veux jamais perdre une occasion de vous montrer que vous comptez tous les jours. Et peu importe ce que vous pensez de vous-mĂȘme, je veux que vous sachiez que j’adorerai toujours tout ce qui vous concerne. Je ne sais pas ce que nous sommes, mais je suis heureux quand vous ĂȘtes lĂ . Tu me manques souvent beaucoup, et je crois que j’ai dĂ©jĂ  peur de te perdre. Mais je prie sincĂšrement pour que tout ce que je ressens et toutes les choses que je fais ne soient pas pris pour acquis simplement parce que je m’en soucie trop Ă  nouveau. Tu es la raison pour laquelle j’ai recommencĂ© Ă  croire en l’amour, et je suppose que je n’y croirai plus jamais si jamais je te perds. C’est peut-ĂȘtre trop difficile Ă  demander, mais j’aimerais que tu restes toujours comme quelqu’un qui rend mon cƓur heureux, pas comme quelqu’un qui laisserait une autre cicatrice dans mon cƓur un jour.
Shiori X
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