saga: Soumission & Domination 267
GP de France (suite)
Dimanche
Réveil difficile ! Je traine et suis le dernier à passer sous la douche !
J'enfile à toute vitesse un café très serré et engouffre un froissant tout en me faisant enfiler... ma combi par PH et Franck.
Samir et Ammed nous accompagnent et, non pas dans leur tenues habituelles : short cuir moulant, mais en jeans et polos.
Notre groupe navigue le long du circuit et, en block, envahi, entre les différentes courses, les " magasins ". Après 2/3 bières, les essayages sont chauds ! Nous faisons le spectacle alors qu'avec PH, Franck, Phil et Luc, combis sur les hanches malgré le temps plus que moyen, nous nous retrouvons torses nus pour enfiler chacun une bonne demi douzaine de t-shirts. Les deux vendeurs sont tendus le temps que Marc les assure qu'ils ne risquent rien. Nous faisons les mannequins puis quelques minutes plus tard nous achetons toutes les pièces que nous avons essayées. Ils ne sont pas déçus !
Dans une autre " boutique ", c'est Cédric, Louis et Kamal qui font le show. Ils nous imitent et nous kiffons bien leur manège. Les vendeurs sont plus cools et en rajoutent. Faut dire qu'un bel attroupement s'est constitué devant. Ils nous font même une ristourne sur le total. En 9 t-shirt j'en laissais quand même pour plus de 350€ !
Plus tard dans l'après midi, C'est PH qui attire mon attention sur Kamal bloqué devant l'étal d'un marchand de cuirs. Son regard s'est fixé sur un blouson noir assez " mauvais garçon ". Je le vois instinctivement tâter ses poches puis ses épaules tomber. Il n'a pas encore intégré sa nouvelle situation chez moi et l'augmentation du pouvoir d'achat que cela entraine.
Je passe mon bras sur son épaule et lui demande si c'est celui là qu'il veut.
Il est surpris et balbutie qu'il est trop cher. C'est sûr que c'est pas sur le circuit qu'on fait les meilleures affaires.
Sans le lâcher, j'attire l'attention d'un des deux jeunes vendeurs et lui demande le blouson dans la bonne taille.
PH a le temps de convaincre Kamal d'accepter le cadeau avant qu'il ne revienne avec deux exemplaires. C'est le plus petit qui lui va. Je comprends, alors que le vendeur fini de l'aider à l'enfiler, pourquoi il avait kiffé ce modèle. Une lanière en Y passe entre ses jambes et une fois clipsée devant, évite que le dos soit dénudé quand il se couchera sur une moto comme mon premier véritable blouson que Marc m'avait acheté. Sans compter que ça fait ressortir son paquet avec évidence !
Le vendeur le remarque et sans façon caresse la bosse mise en avant puis recule près de moi pour nous laisser admirer. Il me glisse à l'oreille que j'ai là un beau p'tit mâle bien craquant. Je rigole et passe le bras autour du cou de PH et lui dis que c'est celui là mon mec, l'autre c'est un petit ami en apprentissage des choses de la vie.
Le vendeur se démonte pas et me demande alors s'il peut lui aussi apporter sa pierre à l'édifice. Kamal qui nous a entendus, intervient alors et lui demande carrément ce que cela lui rapportera.
Le vendeur me regarde un peu surpris. Je lui dis qu'ils n'ont qu'à s'arranger ensemble mais qu'en tout état de cause ce sera sous kpote.
Ils s'isolent derrières deux portant au fond du stand. Bien que discrets, il est évident que ça baise au fond du stand !
L'autre vendeur a bien du mal à se concentrer sur les autres clients. Il fiat quand même en sorte qu'ils ne s'enfoncent pas trop et les devance quand ils veulent voir un article du fond. Nous l'aidons en bloquant l'autre allée.
Quand le vendeur ne peut retenir son " enthousiasme " lorsqu'il jouit, PH et moi en noyons l'expression par une quinte de toux.
Lors du passage en caisse, Kamal me dira qu'il avait négocié sa rondelle contre 20% du blouson. Le vendeur me le confirme et m'assure que c'était pas volé bien qu'il ne lui ait pas appris grand-chose !
Trop content, Kamal garde son nouveau cuir sur le dos et nous rejoignons les autres.
Il se fait bousculer, moquer alors qu'il parade entre nous. Comme Cédric et Louis le trouvent génial, Eric me demande où je l'ai acheté et nous rebroussons chemin.
Le vendeur qui nous voit revenir s'avance vers nous interrogatif.
Eric pousse alors Cédric et Louis devant nous et lui demande le même blouson pour ces deux là. Après discussion, ils l'auront avec 10% de remise mais sans intermède sexuel !
Nous prenons quand même le temps de regarder les courses. L'ambiance est chaude même si elle est très différente de celle des 24h moto. Personne ne fait de remarque sur nos façons de nous tenir (correctes quand même : bras autour du cou ou dans les reins).
Pas pressés, nous trainons sur le circuit alors que la masse des spectateurs en part.
Nous sommes attablés devant des bières quand nous sommes abordés par 4 mecs d'environ 20/25ans qui nous demandent si nous restons sur place ce soir encore.
Réponse positive de Marc. On discute des courses puis d'où nous sommes. Eux sont de Bordeaux. Y'en a un pour nous demande comment on a fait pour rester aussi " frais ". Marc leur dis que nous avons loué un gîte à deux pas d'ici. Ils n'en avaient pas eu l'idée et le regrettent vu le confort limité du couchage sous tente !
Celui qui me semble le plus jeune nous demande si nous serions suffisamment cool pour leur permettre de se laver chez nous.
Eric nous regarde tous avant de leur faire remarquer que s'ils n'ont pas peur de se faire violer, c'est tout à fait possible.
Celui qui nous avait posé la question l'assure que vu la brochette de beaux mecs que nous faisons, ils seraient " cons " de ne pas profiter de ça aussi.
Au moins ça le mérite d'être clair ! La conversation devient tout de suite plus " amicale " et, finalement, nous décidons de rentrer au gîte. Allez savoir pourquoi un tel empressement.
Avec PH je les accompagne à leur tente. Nous comprenons mieux. Deux petites tentes deux places entourées de 2 ZX10R de 2012 et 2 R1 de la même année.
Ph rigole devant les motos et explique qu'ils ne pouvaient plus me plaire avec ces modèles là. Ils font vite leurs sacs. Je leur dis de démonter aussi leurs tentes à moins qu'ils ne veuillent vraiment passer une nuit de plus dans l'humidité.
PH ajoute que nous leur ferons une petite place sur les 20m² de lits du gîte. Ils ne relèvent pas mais plient aussitôt le reste du matériel.
Ils nous suivent jusqu'à nos propres motos. Ils admirent les nouveaux modèles et je leur dis de nous suivre. 10 mn plus tard nous les béquillons au milieu des autres.
Ils sont quand même surpris par l'ambiance. Les combi sont toutes accrochées et tout le monde déambule en slip ou shorty et même jock pour Cédric et Kamal.
Marc leur dit de se mettre à l'aise et PH et moi montrons l'exemple en quittant nos combis. Ils quittent leurs cuirs. Effectivement les douches ne seront pas du luxe. J'emmène un couple avec moi et PH l'autre jusqu'aux salles de bain. Je suis le premier à les voir à poil. Plus que corrects ! Musclés suffisamment même si moins que moi, peu poilu et bien entretenus (torses et aisselles rasés, couilles idem et pubis tondu).
Ils sont ravis des installations et se font tout beaux, je fais de même.
Propres et changés nous rejoignons le séjour. Les mecs remercient Eric et Marc alors que nous attaquons l'apéro. Ce dernier leur demande, en nous montrant tous, si la variété des mecs leurs convient. Y'en a deux qui rougissent grave alors que les deux autres éclatent de rire.
L'apéro s'éternise quand Kamal et Cédric attaquent les deux plus " mâles " de nos invités. Faut dire que depuis quelque temps déjà, ça bandait dur dans les slips !
C'est le signal de départ pour la dernière touze du WE. Marc attrape le plus jeune de nos invités et l'invite à se pencher sur son cas ou plutôt sur sa bite.
Nous n'avons pas fait le mauvais choix. Ils sont chauds comme la braise et il ne faut pas longtemps pour qu'ils se retrouvent à poil comme nous tous.
Je ne laisse pas passer mon tour et m'octroi d'autorité, avec PH, le jeune que j'avais accompagné à la douche. Sa langue se bat bien avec la mienne et il me laisse pousser mes doigts dans son cul. PH m'aide bien en lui faisant une pipe dont je connais personnellement l'efficacité !
Quand je sens une langue contre mes doigts, je jette un oeil. C'est Louis que nous a envoyé Franck. Mes doigts remontent sur ses pecs et alors que je joue avec, j'ai le plaisir de l'entendre gémir.
Quand Louis me dis qu'il lui semble prêt, PH m'encapuchonne et je me glisse derrière notre invité pour l'honoré comme il faut. Avec moins de circonvolutions, je l'encule grave !
Bon et même Très Bon ! Un anneau bien serré entre deux fesses musclées je ne connais rien de mieux. PH installe Louis sous notre invité et profite de son cul. J'explore les capacités de ce nouveau trou. Il me prend bien en entier (mais je ne fait que 20 aussi !). Sa muqueuse colle bien à ma bite et sa rondelle me comprime bien. J'aime surtout quand il la serre avant que je ressorte mon gland totalement. Il apprécie quand je force pour entrer de nouveau et laisse échapper des grognements significatifs.
Rythme de croisière, mes mains ancrées sur ses hanches, je jette un coup d'oeil autour de nous.
J'aperçois 3 autres regroupements, chacun autour d'un des autres invités. Les gémissements vont bon train et dénotent des enculades efficaces.
Avec PH nous échangeons nos " culs ". Dans le mouvement, notre invité prend l'initiative de se mettre en 69 avec Louis, ce dernier tout content de se faire pomper à son tour.
C'est en se regardant dans les yeux avec PH que nous jutons après une bonne série de pénétrations profondes et parfois brutales. En dessous de nous, je vois qu'ils se sont bien recouverts avec leurs spermes respectifs.
Nous nous décollons les uns des autres. Deux autres " amalgames " se sont déliés aussi. Il ne reste que celui d'Eric et Marc avec le deuxième " jeune " du quatuor.
Ce dernier semble inquiet à l'idée de laisser l'énorme bite noire lui perforer l'anneau.
Nous nous approchons tous. Son mec lui dit qu'il n'aura pas l'occasion de rencontrer souvent un matériel pareil et qu'il devrait en profiter. Cédric se place devant lui et se laisse monter par Eric pour lui prouver que c'est possible. Kamal s'insinue et lui mange la rondelle pour la préparer alors que Phil ouvre son flacon de poppers pour aider.
Eric sort de Cédric et se kpote. Le p'tit mec est poussé à sur le dos, les jambes à la verticale et son mec se charge de le gazer au poppers. Tous, autour, nous l'encourageons. Son mec lui parle à l'oreille et le détend alors qu'Eric le défonce lentement mais sûrement.
L'enculé halète, snif et pleure en même temps.
Mon enculé ouvre de grands yeux devant l'exploit de son copain. Je lui glisse de bien regarder car après dîner c'est sûr que ce sera son tour. Il me regarde interloqué. Je lui dis qu'à par Marc, tous les autres se le sont déjà pris dans le cul et que nous n'en sommes pas morts.
En attendant, son pote commence à prendre son pied. Sous nos encouragements et surtout sous l'effet du glissement du gland d'Eric contre sa prostate, il explose littéralement et c'est un véritable geyser qui sort de sa queue. Chaque coup de rein d'Eric propulse le jet un peu plus haut. Il sort pour ajouter son sperme et le pauvre mec se retrouve recouvert de grandes traines blanches.
Bousculades sous les douches. Les 4 invités ne sont pas les derniers dans la mêlée.
Nous retournons à poil dans le séjour pour chercher nos sous vêtements. Ils sont surpris de la complicité qui règne entre nous tous. Ils le sont aussi par le diner que samir et Ammed ont rapidement mis en place.
Nous discutons de tout et de rien. Ils nous remercient encore pour l'ébergement. Ils sont tous les 4 étudiants en médecine à Bordeaux. Les deux plus âgés sont en en 6ème année alors que les deux plus jeunes finissent leur 2ème (ils n'ont que 19ans). Ils sont en coupe depuis deux ans seulement quand ils les avaient repérés/attrapés parmi les autres. Les jeunes nous disent que c'est grâce à eux (les plus vieux) qu'ils ont eu leur première année du premier coup. A bordeaux, ils vivent tous les 4 ensembles en colocation. L'un des plus vieux nous invite à venir les voir quand nous voudrons mais hors période d'exams. Marc leur dit que de toutes les manières c'est aussi le cas de tous les jeunes présents.
Ils sont vraiment sympas et avec PH nous sommes très partants pour les revoir. Marc nous dis que nous aurions qu'à trouver un gite sur le bassin d'Arcachon début juillet. Ça nous ferait une pause sur la route de l'Espagne.
Lors du couchage, nouvelle surprise pour nos invités quand ils voient la chambre " baisodrome " que nous avions organisé.
Je glisse à celui que j'avais bien défoncé qu'il allait maintenant tester les dimensions hors normes d'Eric.
Ce sera chose faite, non sans difficultés, quelque une heure plus tard, avec les encouragements de tous les autres, dont son mec !
Le lundi matin, après avoir remis en état le gîte, nous roulons ensemble jusqu'à Angers où nos routes se séparent.
Jardinier
~~
~~
17 notes
·
View notes
Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait), je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
12 notes
·
View notes