#recette brésilienne
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Galinhada
Le Sommaire Le Galinhada est un plat traditionnel brésilien, particulièrement populaire dans les régions du Minas Gerais et du Goiás. Ce plat rustique et copieux est un mélange de riz et de poulet, souvent préparé pour des rassemblements familiaux ou des fêtes communautaires. Voici quelques aspects clés de la Galinhada : Ingrédients Principaux Poulet : Généralement coupé en morceaux, parfois…
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#cuisine brésilienne#cuisine du monde#cuisine maison#cuisine rustique#dîner en famille#Galinhada#gastronomie brésilienne#plat familial#plat traditionnel#plats de riz#poulet et riz#recette brésilienne#recettes de poulet#recettes faciles#repas convivial
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Le Nouvel Art de Vivre @montecarlosbm dévoile trois nouvelles adresses contemporaines et enjouées pour une saison estivale festive, chic et glamour. Tout d’abord, sur la Place du Casino, le très attendu @amazonico_montecarlo et son rooftop de 1000 m2 niché sur le toit du nouveau Café de Paris, entièrement repensé et magnifié. Une ambiance survoltée brésilienne-latino, ses cocktails et ses plats à partager seront une véritable samba de saveurs et un carnaval de surprises, tout comme le décor rythmé de jungle et d’exotisme. Puis, à deux pas de la plage du Monte-Carlo Beach, Maona, une villa-terrasse posée sur les rochers clamera un « revival » de liberté et d’insouciance des années 60-70 incarné par les personnalités les plus iconiques de l’époque qui prenaient leurs quartiers d’été à Monaco. « Ma » comme Maria Callas et « Ona » comme Aristote Onassis (célébrités à l’origine du tout premier Maona. Le nouveau Maona Monte-Carlo sera un véritable cabaret d’été sous les étoiles à l’ambiance Riviera étonnante, qui mettra à l’honneur, non seulement la musique live, entre pianiste, Diva et DJ au fur et à mesure de la soirée, mais également le patrimoine culinaire familial monégasque avec des recettes authentiques de partage (Gambas flambées au pastis, Tagliolini au chapon, marjolaine et citron et une Pêche Melba hommage au grand Auguste Escoffier qui a marqué l’histoire gastronomique de Monaco). Et enfin, à partir de début juin, l’emblématique écrin de verdure posé sur la mer : La Pointe de la Vigie, ce petit paradis, retrouve son ADN originel pour devenir le nouveau rendez- vous des après-midis et sunsets festifs de la Riviera : Club La Vigie. Dans une ambiance élégante et effervescente, il combinera l’esprit beach club, restauration méditerranéenne, cocktails créatifs et programmation musicale pointue. L’été sera à la fête en Principauté avec les adresses exclusives de la @montecarlosbm un choix varié pour chacun et toutes les envies musicales et gourmandes du jour et de la nuit entre les nouveaux lieux et les déjà très plébiscités @coyamontecarlo @buddhabarmc @jimmyzmc #mymontecarlo #montecarlosbm #visitmonaco #cotedazurfrance #luxurylifestyle #monaco (à Café de Paris Monte-Carlo) https://www.instagram.com/p/Cow1RtbISXM/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Recette Authentique des Coxinhas de Bœuf : La Street Food Brésilienne Réinventée
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Cadeaux de Noël : sélection de coffrets pour la femme
Le jour de Noël approche et vous n'avez toujours pas trouvé le cadeau parfait ? Pas de panique, les marques de beauté ont vu les choses en grand cette année et nous proposent des coffrets pour la femme en tous genres. Ô Magazine vous facilite donc la tâche en vous présentant une sélection des meilleurs coffrets pour les fêtes ! Coffrets pour la femme : thés "Rêves d'Asie" des Thés de la Pagode Ce coffret découverte "Rêves d'Asie" fera plaisir aux amoureux du thé et sera une idée cadeaux originale et gourmande ! Il associe plaisir des yeux grâce à son élégant coffret et plaisir du palais avec sa sélection de saveurs parfaites pour une dégustation en famille ou entre amis. Offrir du thé est une petite attention délicate et innovante. Ce coffret de Noël sera donc un cadeau raffiné à offrir et ravira tous les palais grâce à ses cinq recettes bio uniques : thé blanc, thé vert, thé noir, rooibos et infusion. Le coffret comprend cinq sachets de chacune de ces cinq recettes, soit 25 infusettes au total. Le cadeau gourmand par excellence ! Pour d’autres idées gourmandes à offrir à une femme, nous vous conseillons de jeter un œil à cette sélection de cadeaux originaux pour une femme sur Canard.co, un site très sympa qui déniche de belles idées de cadeaux très originales pour femmes mais aussi pour les hommes ! (Prix de vente : 17,10€) Sélection de coffrets pour Noël © Jeanne BALLION Coffret make-up "Enchanted Beauty" de Too Faced Make-up addicts, ce coffret est fait pour vous ! Composé d'une palette de 12 fards à paupières, d'une duo illuminateur / blush, et d'un format voyage du mascara Damn Girl, ce coffret ultra fonctionnel est complet. Petit plus : la palette sent également les biscuits de Noël, parfait pour la saison des fêtes. Jouez donc avec l’éclat et les touches de couleur de ce sublime coffret pour un look glamour et lumineux ! (Prix de vente : 37€) Coffrets pour la femme : "Wild Extravaganza" de Sol de Janeiro Ce coffret réunit le summum de la beauté brésilienne. Il réunit quatre produits vous invitant à laisser votre corps exulter. Premièrement, il vous propose la légendaire crème Brazilian Bum Bum, objet de maintes récompenses, à la texture irrésistiblement onctueuse. Deuxièmement, vous y trouverez aussi le gel douche-crème hydratant Brazilian 4 Play, qui hydrate délicieusement votre peau sous la douche. Troisièmement, ajoutez à cela la brume parfumée pour le corps Brazilian Crush. Quatrièmement, le coffret inclut enfin le baume à lèvres au cupuaçu qui hydrate et adoucit. Ainsi, faites plaisir à votre peau et à vos sens avec ces produits faciles à transporter, qui vous emmèneront directement au Carnaval de Rio ! (Prix de vente : 56€) Coffret de soins cheveux "Mega Moisture" de Bumble and bumble Ces quatre super produits réunis forment le coffret de Noël idéal pour une hydratation XXL pendant les fêtes ! Ce maxi coffret est parfait pour les cheveux ternes : il ravivera leur douceur, hydratation et lumière. Petit plus : les produits sont infusés à l'élixir signature de chez Bumble and Bumble aux six huiles ultra-légères (argan, amande douce, noix de coco, noix de macadamia, graines de carthame et pépins de raisin) pour des cheveux instantanément doux et soyeux. Craquez donc pour ce coffret aux airs de miracle de Noël ! (Prix de vente : 47,50€) Coffret manucure semi-permanente "Maxi Macaron" du Mini Macaron Original et efficace, ce coffret va vous faire économiser du temps et de l'argent ! En effet, le salon de manucure débarque directement chez vous avec ce coffret complet composé des éléments suivants : une lampe LED Rose Gold avec port USB, deux mini vernis 3-en-1, un pousse cuticules, une grande lime à ongles, 20 patchs de dépose, et un mode d’emploi. Son principal atout en est la lampe LED grand format, qui permet de catalyser l'intégralité de votre main en une minute. Vous pouvez également l'utiliser partout grâce à son câble USB qui se branche sur tous les ordinateurs -- c'est tellement pratique ! Petit bonus : vous faites aussi des économies de temps grâce aux vernis 3-en-1. Résultat : grâce à ce kit complet, vous profiterez d'une manucure semi-permanente brillante et impeccable pendant 7 à 10 jours ! (Prix de vente : 59,95€) Coffrets pour la femme : gloss à lèvres "Glossy Posse" de Fenty Beauty Pour la saison des fêtes, parez vos lèvres d'une brillance explosive avec le célèbre et indispensable gloss Fenty Beauty, qui se décline désormais en quatre teintes inédites et très faciles à porter pour flatter toutes les carnations ! Procurez-vous donc sans tarder cette édition limitée (exclusivité Sephora) de 4 couleurs de mini Gloss Bomb : CAKE SHAKE (bronze scintillant), BABY BRUT (or scintillant), TAFFY TEA$E (corail scintillant) et RUBY MILK (prune intense scintillant). Avec ce coffret make-up, vos lèvres seront instantanément rendues pulpeuses sans adhérer, tout en restant hydratées grâce au beurre de karité présent dans la formule. Petit plus : les gloss ont une odeur de pêche et de vanille, beauty addiction garantie ! (Prix de vente : 32€) Coffret secrets de beauté au miel "Le Petit Geste" de Ballot-Flurin Ce mini pochon cadeau est le présent parfait pour les petits budgets. Ballot-Flurin y a réuni ses préparations en petit format pour un prix tout doux. C'est donc le "petit geste", ou la "petite attention" idéale pour vos proches. 100 % bio, vous retrouverez dans ce coffret cinq miniatures ultra-naturelles issues d'abeilles libres et fabriquées dans la Bee Factory des Hautes-Pyrénées de Ballot-Flurin. Shampoing, savon, baume, bonbons, tout y est pour offrir un cadeau sain et de qualité à la personne de votre choix ! (Prix de vente : 18€) Coffret soins visage "Hydratant Rose et Soja" de Fresh Pour les fêtes, offrez-vous le meilleur du soin visage avec ce coffret hydratant. Ce coffret réunit les best-sellers de chez Fresh, à savoir : le nettoyant au soja pour éliminer toute trace de maquillage, la lotion tonique et le masque à la rose offrant réconfort et hydratation, et enfin, le soin hydratant et le baume à lèvres également à la rose, pour une hydratation prolongée. Ainsi, ces cinq soins surpuissants s’unissent pour offrir à votre peau une action adoucissante et une hydratation intense en continu. Le cadeau cocooning par excellence ! (Prix de vente : 71€) Tes produit original: Le savon au lait de chèvre Enfin, en cette saison de fêtes, les marques n'hésitent pas à vous proposer des réductions. Alors, plus de raisons d'hésiter, craquez pour des coffrets pour la femme à Noël ! Read the full article
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après l'envoi 5 : vos réponses et nos échanges : des nouvelles de whats app et en réalité
Sur whatsapp :
20/ 04/ 2023 :
Eric : Bonjour, à tous et à toutes! mon envoi 5 est disponible en suivant la lien ci-dessous!
J’y ai mis des textes de philosophie (Nietzsche, Spinoza, Jankélévitch), d’art contemporain (Blistène avec ses Mondes Nouveaux), et de musicologie(Rosset) pour trouver une attitude lucide face au réel ! Avec aussi de l’humour et de la magie ! Et on y retrouvera l’hybridation-métamorphose utilisée dans l’art contemporain le plus récent dans Monde nouveau numéro 7! et pleins d’autres choses en poésie (char, neruda, éluard, cheng, mallarmé, sapho) , en esthétique (hansen lowe), en art (Vermeer, Frida Kalo) !
J'ai aussi essayé d'y mettre aussi vos derniers apports sur whatsapp et en réalité sur les beautés, de la troupe de théâtre avec des acteurs handicapés, Bataya, du dernier Bjork atopos, dont vous nous aviez parlé, des films de Claire Denis, et Laetitia Masson, sur la lumière et l’ombre, de la harde qu’on a vu, du spectacle du grand R, Furia de la brésilienne Lia Rodrigues et plusieurs choses si belles qui nous sont arrivés avec vous (avec vous, vos enfants...). Vos apports sur les manifestations, sur la danse avec techno, sur les LGBT + et pleins d’autres choses feront partie de l’envoi 6 ou des suivants
Bonne découverte.... J'espère que çà va vous plaire...Voici le lien : https://essai-collectif.tumblr.com/
19/ 04/ 2023 :
13h28 :
Eric : Bonjour à tous, voici le lien vers mon nouvel envoi, le 5, sur tumblr.! Bonne découverte à tous et à toutes. Je pense à vous beaucoup et nous avons eu la chance de rencontrer certains d'entre vous et c'était un grand plaisir de discussion et de Fête! J'espère bientôt vous revoir aussi pour ceux qu'on n'a pas pu encore ! et Profitez bien de ces premiers jours de printemps! Bonne découverte de mon envoi 5 ! Eric Voici le lien : https://essai-collectif.tumblr.com/
17h04 :
Rebonjour, j'ai aussi mis à jour sur tumblr : après l'envoi 4 : vos réponses et nos échanges : des nouvelles de whats app et en réalité ! Vous pouvez y accéder en suivant le même lien, en faisant défiler le fil vers le bas!
18h41 :Dimi met un cœur pour montrer qu’il a bien vu
20/ 04/ 2023 :
11h55: Eric: Merci pour ton coeur, Dimi ! j'espère que l'envoi 5 va te plaire ! Bonne découverte à toi notre ami ! Eric
11h57: :Dimi��: J'attends le bon moment pour pouvoir être bien focus dessus 😉
11h59: Eric: Ok, prends tout ton temps... j'ai confiance en toi pour recevoir ce nouvel envoi
20h58: Marie: Merci Éric pour ton nouvel envoi. Je vais prendre le temps de m'y plonger dès que j'aurai un peu plus de temps. Je t'embrasse
21h09: Eric: Je suis content de voir ton message, Marie! Tu vas voir que j'ai écrit et mis des images du site Bataya... dont tu nous avais parlées! Prends tous ton temps..., j'espère que l'envoi 5 te plaira!
21/ 04/ 2023 :
16h03: Emilie : Merci Eric pour le partage du très beau morceau de piano de Ma, avec les oiseaux qui accompagnent. J'aime beaucoup. Je n'ai pas lu tout ton écrit en profondeur, manque de temps et parfois complexe. Mais les mots magiques sont à ma portée. 😉 Bise
16h29: Eric : Bonjour Emilie, je suis content de voir que tu aimes ce passage avec l'enregistrement de Ma et les oiseaux ! Je sais que ton travail te demandes beaucoup de temps. Peut être pourras-tu trouver d'autres mots magiques encore dans mes envois? Mais je n'ai pas le recette miracle! J'essaierai encore et encore.
29/ 04/ 2023 :
16h03: Christophe : envoi une vidéo du concert d’Helen Allien !
30/ 04/ 2023 :
15h29: Eric: Merci à toi Christophe pour ta vidéo que tu partages sur le groupe!
Eric: Avec Ma et Christophe, on a été voir en concert Helen Alien en concert à Nantes ! c’est une légende de la techno de Berlin qui mixe depuis 30 ans ! c’était super ! Très intense ! Qui te fait te dépasser Physiquement et mentalement !
20h04: Christophe : Suis tombé dessus,en faisant le tri des photos,ça m'a fait un aller retour sur l'émotion du moment ! Et j'étais bien heureux !!
20h16:Eric: Oui! on a passé un très bon moment nous aussi ! avec toi, avec la musique, avec la fête... çà donne envie de vivre encore des moments forts à plusieurs!
20h22: Christophe : C'est tout à fait ça 😍
24h21: Maryse : Super live avec Ellen Allien. Je confirme. Et envoi deux videos !
01/ 05/ 2022 :
13h18: Marie Claude : envoi une photo de la manif à Perpignan avec un drapeau CGT !
16h57 : Maryse : manifestation importante à la roche sur yon. Tranquille, marché d'une heure demi. Éric est à Nantes avec une toute autre ambiance !!
21h05:Eric: Merci à Marie Claude pour ton partage sur la manif d'aujourd'hui! Et à Maryse aussi.
Eric: Je vous envoie une vidéo, prise par erreur : je quittais la zone chaude à cause de trop de lacrymo et la vision des CRS qui allaient charger, car j’étais au milieu d’une des zones de replis des BlacksBocks ! on entend et on peut ressentir ce chaos avec toutes ses nuances. Mon prochain envoi porte sur la révolte. j’ai parlé de plusieurs points importants dans le monde et en France. Là çà rajoute presque comme une blague: moi qui voulais m’occuper des révoltes , je tombe par hasard en plein bazar à Nantes le 1er mai.
02/ 05/ 2022 :
en réalité : on va essayer de voir la chouette avec Ma ! Mais elle n’est plus là, par deux fois, on ne la voit pas. On réessayera...
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Coupe du monde 2022: Neymar ne sera pas présent jusqu'à la finale
Coupe du monde 2022: Neymar ne sera pas présent jusqu’à la finale
Par Stanley Léandre Pas de recette miracle pour Neymar Junior victime d’une entorse à la cheville gauche ligamentaire, il ne sera pas de retour au temps prévu. Selon The Mirror, l’attaquant vedette de la sélection brésilienne ne serait disponible pas avant la finale de la Coupe du monde 2022. Alors que les premières informations ont donné la certitude que la star brésilienne devrait être apte…
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Vegan Burger & Peri Peri Sauce 🍔🌶🌿 Un combo qui satisfera votre palais! La sauce épicée Peri Peri est utilisée dans la cuisine portugaise, africaine et brésilienne. Piri-piri est un mot africain pour le piment oiseaux🌶Cette recette très rapide et facile à faire avec comme ingrédient principal les tendres carrés aux petits pois et courgettes bio, vegan et délicieux de chez @cereal_france_ 😉 Voici la recette 👇à vous de jouer 😘🤘(Recipe in english in the comments) . . Burger sauce Piri-Piri (2 personnes) Ingrédients : .2 @cereal_france_ Tendres carré de blés aux petits pois et courgettes .2 petit pains à burger .2 tranches épaisse d’oignon rouge .2 càc de mayonnaise .Feuilles de salade Ingrédients pour la Sauce Piri-Piri : .1 Poivron rouge grillé .3 càs de graine de tournesol .1 càs d’huile d’olive .2 càs de levure de bière en paillette .1 pincée d’oignon en poudre .1 pincée d’ail en poudre .1 pincée de paprika en poudre .1 pincée de piment en flocon .Le jus d’ un demi citron .2 càs d’eau .Sel et poivre à votre goût Méthode 👉1. Préparez la sauce Piri-Piri. Passez au blender tous les ingrédients afin d’obtenir un mélange onctueux. 👉2. Faites griller les Tendres carré de blés aux petits pois et courgettes @cereal_france_ avec les 2 tranches d’oignon rouge à la poêle, jusqu’a ce qu’ils soient dorés. 👉3. Assemblez les burgers avec mayonnaise, salade, Tendres carrés de blé, sauce Piri-Piri, tranches d’oignons, parsemez d’herbes (par exemple de coriandre), c’est prêt! 🤝 Bon appétit 😊 #recipe #burger #saucepiripiri #periperisauce #add #partenariatrémunéré #veganeats #recettecéréalbio #recettecerealbio #desgrainesetdugout #vegan #foodshare #veganfood #food #foodporn #foodpic #foodpics #yummy #instagood #healthyfood #eathealthy #instahealth #healthylifestyle #whatveganseat #vegansofig #govegan #plantbased #vegetalien https://www.instagram.com/p/CBvB_zMDYbR/?igshid=1u7g76zmh7rq8
#recipe#burger#saucepiripiri#periperisauce#add#partenariatrémunéré#veganeats#recettecéréalbio#recettecerealbio#desgrainesetdugout#vegan#foodshare#veganfood#food#foodporn#foodpic#foodpics#yummy#instagood#healthyfood#eathealthy#instahealth#healthylifestyle#whatveganseat#vegansofig#govegan#plantbased#vegetalien
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foie de veau à la brésilienne #foie #foiedeveau #veau #cuisinemaison #cuisine #food #homemade #faitmaison N'hésitez pas à nous demander la recette, nous la publierons dans notre blog https://ift.tt/1q7mxub https://ift.tt/2YsgyTq
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Les meilleures recettes de cocktails au champagne
Les meilleures recettes de cocktails au champagne
Les meilleures recettes de cocktails au champagne Découvrez les meilleurs recettes de cocktails au Champagne fait par le chef Arnaud. Vous trouverez de nombreuses recettes de cocktail au Champagne avec une touche brésilienne. Arnaud, créateur du Comptoir de Toamasina est le spécialiste français de la vanille. Vous allez trouver des cocktails qui vont de la recette la Plus classique que tout le…
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★|★▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ PANTIN IN DA TROPICS ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬★|★ AFRO VIBES ÷ LATIN BEATS ÷ CARIBBEAN RIDDIMS ÷ BRAZIL GROOVE ۞ VEN. 29 JUILLET ۞ BAR GALLIA (Pantin) ۞ 19H-0H ۞ ENTREE LIBRE #afro #brésil #latino #caraïbes #tropical #world #groove #pantin #gallia PANTIN IN DA TROPICS by Le Bal Tropical de Paname revient au BAR GALLIA !! Voyage prévu le vendredi 29 JUILLET vers les sonorités groovy et calientes des Caraïbes, le Brésil, l'Amérique Latine et l'Afrique avec les Djs de Groovalizacion Radio ! ❉|❉ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ L I N E U P ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ❉|❉ ★ DJ ÇARAVA (Brasil & Afro-Tropical sounds) ★ Brésilien, avec un coeur d'un vivant du monde. Originaire de Bahia et basé Paris, il faut un mélange de musique brésilienne du samba, MPB, forro, axé, Norte et Nordeste jusqu'aux sonorités électro et baile funk ! Ayant mixé dans des lieux tels que L'International, Favela Chic, One More et dans des soirées privées, Çarava a fait toujours bouger les amants des rythmes et de la musique tropicale ► https://www.facebook.com/DjayCarava/ ► https://www.mixcloud.com/ZeKalik/ ★ DJ SAB (Latino/Afro/Brésil/Caraïbes) ★ Après avoir vécu plusieurs années au Mexique, l'une de ses principales sources d’inspiration musicale, DJ S.A.B écume les bars, boîtes et squats de la capitale depuis quelques années avec une recette infaillible : l’alternance et le mélange entre sonorités latines traditionnelles endiablées et rythmes urbains ; le tout scrupuleusement sélectionné et soigneusement enchaîné pour un cocktail détonnant de musique ensoleillée, saupoudré de turntablism. ►https://soundcloud.com/sabri-fabrice-sayhi ►https://www.mixcloud.com/sabri-fabrice-sayhi/ ►https://www.facebook.com/DJ-SAB-1308982965797979/ #djayÇaraváperformance #parisianstyle #tropicalsongs #latinmusic #latingroove #brazilianjazz #musicinparis #brazil #dj (à Gallia Paris) https://www.instagram.com/p/CgRbU8JoNBp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#afro#brésil#latino#caraïbes#tropical#world#groove#pantin#gallia#djayçaraváperformance#parisianstyle#tropicalsongs#latinmusic#latingroove#brazilianjazz#musicinparis#brazil#dj
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via 101Celebrations.com : Le meilleur endroit pour trouver des idées de fête, du matériel de fête, idées célébrations, DIY et des recettes.
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Cadeaux de Noël : sélection de coffrets pour la femme
Le jour de Noël approche et vous n'avez toujours pas trouvé le cadeau parfait ? Pas de panique, les marques de beauté ont vu les choses en grand cette année et nous proposent des coffrets pour la femme en tous genres. Ô Magazine vous facilite donc la tâche en vous présentant une sélection des meilleurs coffrets pour les fêtes ! Coffrets pour la femme : thés "Rêves d'Asie" des Thés de la Pagode Ce coffret découverte "Rêves d'Asie" fera plaisir aux amoureux du thé et sera une idée cadeaux originale et gourmande ! Il associe plaisir des yeux grâce à son élégant coffret et plaisir du palais avec sa sélection de saveurs parfaites pour une dégustation en famille ou entre amis. Offrir du thé est une petite attention délicate et innovante. Ce coffret de Noël sera donc un cadeau raffiné à offrir et ravira tous les palais grâce à ses cinq recettes bio uniques : thé blanc, thé vert, thé noir, rooibos et infusion. Le coffret comprend cinq sachets de chacune de ces cinq recettes, soit 25 infusettes au total. Le cadeau gourmand par excellence ! Pour d’autres idées gourmandes à offrir à une femme, nous vous conseillons de jeter un œil à cette sélection de cadeaux originaux pour une femme sur Canard.co, un site très sympa qui déniche de belles idées de cadeaux très originales pour femmes mais aussi pour les hommes ! (Prix de vente : 17,10€) Sélection de coffrets pour Noël © Jeanne BALLION Coffret make-up "Enchanted Beauty" de Too Faced Make-up addicts, ce coffret est fait pour vous ! Composé d'une palette de 12 fards à paupières, d'une duo illuminateur / blush, et d'un format voyage du mascara Damn Girl, ce coffret ultra fonctionnel est complet. Petit plus : la palette sent également les biscuits de Noël, parfait pour la saison des fêtes. Jouez donc avec l’éclat et les touches de couleur de ce sublime coffret pour un look glamour et lumineux ! (Prix de vente : 37€) Coffrets pour la femme : "Wild Extravaganza" de Sol de Janeiro Ce coffret réunit le summum de la beauté brésilienne. Il réunit quatre produits vous invitant à laisser votre corps exulter. Premièrement, il vous propose la légendaire crème Brazilian Bum Bum, objet de maintes récompenses, à la texture irrésistiblement onctueuse. Deuxièmement, vous y trouverez aussi le gel douche-crème hydratant Brazilian 4 Play, qui hydrate délicieusement votre peau sous la douche. Troisièmement, ajoutez à cela la brume parfumée pour le corps Brazilian Crush. Quatrièmement, le coffret inclut enfin le baume à lèvres au cupuaçu qui hydrate et adoucit. Ainsi, faites plaisir à votre peau et à vos sens avec ces produits faciles à transporter, qui vous emmèneront directement au Carnaval de Rio ! (Prix de vente : 56€) Coffret de soins cheveux "Mega Moisture" de Bumble and bumble Ces quatre super produits réunis forment le coffret de Noël idéal pour une hydratation XXL pendant les fêtes ! Ce maxi coffret est parfait pour les cheveux ternes : il ravivera leur douceur, hydratation et lumière. Petit plus : les produits sont infusés à l'élixir signature de chez Bumble and Bumble aux six huiles ultra-légères (argan, amande douce, noix de coco, noix de macadamia, graines de carthame et pépins de raisin) pour des cheveux instantanément doux et soyeux. Craquez donc pour ce coffret aux airs de miracle de Noël ! (Prix de vente : 47,50€) Coffret manucure semi-permanente "Maxi Macaron" du Mini Macaron Original et efficace, ce coffret va vous faire économiser du temps et de l'argent ! En effet, le salon de manucure débarque directement chez vous avec ce coffret complet composé des éléments suivants : une lampe LED Rose Gold avec port USB, deux mini vernis 3-en-1, un pousse cuticules, une grande lime à ongles, 20 patchs de dépose, et un mode d’emploi. Son principal atout en est la lampe LED grand format, qui permet de catalyser l'intégralité de votre main en une minute. Vous pouvez également l'utiliser partout grâce à son câble USB qui se branche sur tous les ordinateurs -- c'est tellement pratique ! Petit bonus : vous faites aussi des économies de temps grâce aux vernis 3-en-1. Résultat : grâce à ce kit complet, vous profiterez d'une manucure semi-permanente brillante et impeccable pendant 7 à 10 jours ! (Prix de vente : 59,95€) Coffrets pour la femme : gloss à lèvres "Glossy Posse" de Fenty Beauty Pour la saison des fêtes, parez vos lèvres d'une brillance explosive avec le célèbre et indispensable gloss Fenty Beauty, qui se décline désormais en quatre teintes inédites et très faciles à porter pour flatter toutes les carnations ! Procurez-vous donc sans tarder cette édition limitée (exclusivité Sephora) de 4 couleurs de mini Gloss Bomb : CAKE SHAKE (bronze scintillant), BABY BRUT (or scintillant), TAFFY TEA$E (corail scintillant) et RUBY MILK (prune intense scintillant). Avec ce coffret make-up, vos lèvres seront instantanément rendues pulpeuses sans adhérer, tout en restant hydratées grâce au beurre de karité présent dans la formule. Petit plus : les gloss ont une odeur de pêche et de vanille, beauty addiction garantie ! (Prix de vente : 32€) Coffret secrets de beauté au miel "Le Petit Geste" de Ballot-Flurin Ce mini pochon cadeau est le présent parfait pour les petits budgets. Ballot-Flurin y a réuni ses préparations en petit format pour un prix tout doux. C'est donc le "petit geste", ou la "petite attention" idéale pour vos proches. 100 % bio, vous retrouverez dans ce coffret cinq miniatures ultra-naturelles issues d'abeilles libres et fabriquées dans la Bee Factory des Hautes-Pyrénées de Ballot-Flurin. Shampoing, savon, baume, bonbons, tout y est pour offrir un cadeau sain et de qualité à la personne de votre choix ! (Prix de vente : 18€) Coffret soins visage "Hydratant Rose et Soja" de Fresh Pour les fêtes, offrez-vous le meilleur du soin visage avec ce coffret hydratant. Ce coffret réunit les best-sellers de chez Fresh, à savoir : le nettoyant au soja pour éliminer toute trace de maquillage, la lotion tonique et le masque à la rose offrant réconfort et hydratation, et enfin, le soin hydratant et le baume à lèvres également à la rose, pour une hydratation prolongée. Ainsi, ces cinq soins surpuissants s’unissent pour offrir à votre peau une action adoucissante et une hydratation intense en continu. Le cadeau cocooning par excellence ! (Prix de vente : 71€) Tes produit original: Le savon au lait de chèvre Enfin, en cette saison de fêtes, les marques n'hésitent pas à vous proposer des réductions. Alors, plus de raisons d'hésiter, craquez pour des coffrets pour la femme à Noël ! Read the full article
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« Brigadeiro » ou le dessert traditionnel brésilien . « L’extraordinaire se trouve sur le chemin des gens ordinaires. » #PauloCoelho . Symbole de la cuisine brésilienne, le « Brigadeiro » est une gourmandise forte en cacao, recouverte de vermicelles au chocolat. . Véritable star des fêtes brésiliennes, le « Brigadeiro » se décline de bien des manières en fonction des familles que ce soit aux fruits, comme la fraise, par exemple. _____________________________ À l’occasion de la fête nationale brésilienne, j’ai le plaisir d’offrir à @latendresseencuisine dans « Cuisiner Pour La Paix », cette recette qui me vient de chez ma douce Jessica M. qui a eut la gentillesse de me confier sa recette de famille. _____________________________ Ingrédients (10 pièces) : – 1 boîte de lait concentré sucré (397g), – 3 à 4 cuillères-à-soupe de cacao non sucré, – 2 cuillères-à-soupe de beurre, – 1 pot de vermicelles aux chocolat. ___________________ La suite en commentaire ___________________ #Blogger #RecetteSimple #CuisineSimple #Citation #CitationDuJour #FeedFeed #FoodInstagram #InstaFeed #Funn #EasyRecipe #TheFeedFeed #InstaYummy #Eaaats #InstaGood #InstaFood #Foods #InMyKitchen #FoodOfTheDay #Blogueuse #RecetteFacile #Foodies #InstaPic #Brazil #Bresil #Chocolat #ChocolatAddict (à Brazil) https://www.instagram.com/p/CE2Q9MzI9uG/?igshid=wrztk5p5pf79
#paulocoelho#blogger#recettesimple#cuisinesimple#citation#citationdujour#feedfeed#foodinstagram#instafeed#funn#easyrecipe#thefeedfeed#instayummy#eaaats#instagood#instafood#foods#inmykitchen#foodoftheday#blogueuse#recettefacile#foodies#instapic#brazil#bresil#chocolat#chocolataddict
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RKK BRASIL ► Le Grand Remix [2]
PUISSANCE DE LA MUSIQUE BRÉSILIENNE
C’était à l’aube de la décennie 80. Roberto Drummond, journaliste à Canja, une de ces éphémères revues musicales de l’axe Rio-São Paulo, a rassemblé ses souvenirs, jeté un œil sur les deux décennies précédentes, et a énoncé une thèse lumineuse : « Au Brésil, de 64 jusqu’à maintenant, c’est le P.M.P.B. qui, dès le début, a porté le drapeau de l’antifascisme. » le P.M.P.B. ? un sigle enregistré nulle part et inconnu des services de police. Par contre, il existe bien un P.M.D.B. Parti du Mouvement Démocratique Brésilien, unique structure d’opposition tolérée (et encore !) par les militaires depuis le coup d’état de 64, et à présent candidate principale à la prise du pouvoir aux élections de novembre 82. D’autre part, les nouveaux courants musicaux apparus vers la moitié des mêmes « anos sessentos » ont reçu l’appellation générique de M.P.B., Musica Popular Brasileira.
Alors, il existerait un Parti de la Musique Populaire Brésilienne ? voici quelques questions posées par le même Roberto Drummond, pour sortir de la nébuleuse : « Existe-t-il au Brésil un leader populaire qui exerce sur les foules une fascination aussi grande que Roberto Carlos ? Existe-t-il un héros de la résistance antifasciste aussi aimé, aussi respecté et avec un impact aussi fort sur le peuple brésilien, que Chico Buarque de Hollanda ? Existe-t-il une leader féministe, qui réussisse, à faire passer un message de vie aussi libertaire, du point de vue des habitudes, et qui transmette un message aussi fort, incendiaire et irradiant que Rita Lee ? Existe-t-il une direction politique qui reçoive un écho aussi immédiat auprès des damnés de la terre, des éternels laissés-pour-compte du Brésil, que les chanteurs populaires du Sertão ? »
Questions certes simplistes, à la limite du manichéisme, mais de bon sens. Drummond répond lui-même « non ». Il a raison. Ça n’existe pas. Ce parti informel, sans ligne, sans bureau politique et évidemment sans députés est pourtant la voix cacophonique et discordante dans laquelle un pays sous l’éteignoir s’est reconnu, depuis dix-sept ans.
QUAND LE ROCK EST LÀ, LA BOSSA S’EN VA...
Le Brésil n’a plus de figure charismatique, et ça ne date pas de 64. L’ultime à avoir fait recette est Getúlio Vargas, mythe du latino-populisme tellement rétro que plus grand-monde n’ose se réclamer de son héritage (d’ailleurs passablement fameux). Après lui, plus de leader de dimension nationale. dans un pays qui fonctionne aisément sur le mode « idoles », les artistes du football ont toujours un piédestal à portée de but, mais le ballet est muet, et quand un Pelé se mêle d’articuler quelques propos sur le terrain politique, ce n’est guère spectaculaire... Restent les artistes de la clé de sol. Dans leur presque totalité nés (musicalement) après 1964. Nés de 64, serait plus exact.
Car la dictature a appris aux enfants des sixties, pêle-mêle, l’insouciance, la ruse, la haine et l’indifférence. Les autorités militaires ont fait taire les politiciens, mais n’ont pas pensé à clouer le bec aux baladins. D’ailleurs, la censure, qui avait le ciseau bien aiguisé, pour « blanchir » les journaux, n’a commencé à ouvrir ses oreilles qu’en 66, et à vraiment sévir qu’en 68. Trop tard, la chanson avait dit son mot, on ne pouvait plus mettre en prison dièses et bémols. Bien mieux, alors que les moyens d’information étaient rendus dociles, le boom de la télévision et la nécessité de remplir les fréquences radio par quelque son que ce soit (des chansons « fixent » davantage les auditeurs que des cris de singe ou des discours de généraux), ont bombardé la musique dans toutes les têtes et devant tous les yeux, surtout par le biais des festivals.
1964 marque pour le Brésil une conjonction étonnante que seuls les esprits manichéens ont relevée, avec un esprit d’assimilation hâtif : les militaires rayent de la carte géo-politique le populisme gauchisant-errant de Goulart, et le rock des Beatles et autres Rolling Stones déferle sur le monde entier, donc sur le Brésil. Les galonnés ont la sympathie (euphémisme !) des américains, et le rock anglophone pollue les espaces auditifs internationaux. Thèse pour le moins simpliste mais qui ne va cesser de planer sur la presque double décennie à suivre. Dramatique et classique malentendu qui consiste à voir en le rock un impérialisme culturel bouffeur de particularismes, pour déféquer un rock-ersatz pseudo-national et laquais des maîtres du monde.
L’analyse est peut-être plausible dans certains pays. Au Brésil, l’équivoque n’a duré que le temps d’une Celly Campello (yé-yé pré-coup d’état, en 62), d’un Roberto Carlos, minet qui emprunte à Bobby Darin, l’américain joufflu, son premier « hit », Splish Splash, ou de quelques Jett Blacks, Renato e seus Blue Caps, ou Ronnie Cord, copies maladroites du guimauve-rock u.s.
Dès 65, le rock, pardon le iê-iê-iê, a son courant, « Jovem Guarda » (la jeune garde, rien à voir avec celle des Bolcheviks), son programme télé, ses fans, côté jeunesse aisée, et son King : Roberto Carlos. un Elvis, tendance ballade-sirop, mâtiné de Richard Anthony. Il n’est pas un adepte du borborygme sur fond de guitares saturées, et ne s’aplatit pas sur la scène. Il parle à sa tranche d’âge avec ses propres mots : « Salut les Copains » – milieu des sixties un peu plus ensoleillé. Ça ne fait pas de tort à un régime qui installe sa loi de fer, au contraire, ça distrait la jeunesse. Même si ça froisse le prude nationalisme de certains gardiens de la morale chrétienne. Mais ça fait bouger du monde, et ça prépare le terrain pour ce qui va suivre.
Du coup, la bossa nova, sensuelle urbanité du début des années soixante, est quelque peu mise au rancart par la jeunesse piaffante. João Gilberto bat en retraite devant le iê-iê-iê et va se réfugier... à New York, où la bossa nova (nouvelle vague, en anglais new wave !) va gagner sa qualité de « légendaire ».
La Jovem Guarda vit de brèves riches heures. elle va succomber en 67, victime d’une conjonction déferlante : les festivals de la chanson, télévisés dans une bonne partie du pays, et leur lot de talents neufs, avec de fortes personnalités ; son manque d’inspiration neuve et d’idées post-acné ; le durcissement progressif du régime militaire, qui étouffe la vie quotidienne, donc les accès de ras-le-bol d’une partie de la jeunesse. Seul ou quasiment règnera, et règne encore « o rei Roberto Carlos », assagi et adulé de toutes les générations. Un monument vivant à la mièvrerie, qui ne verra même pas passer les années dures.
LES DEUX CHANSONS QUI FIRENT FLAMBER LE BRÉSIL
À partir de 66, les chaînes de télévision, Record, Excelsior puis Tupi, se livrent une concurrence frénétique sur le front des festivals de chanson ; ce ne sont pas les interprètes, mais les chansons elles-mêmes qui concourent, d’éliminatoires régionales en finales nationales retransmises en direct. En moins de deux ans, Chico Buarque de Hollanda, Geraldo Vandré, Caetano Veloso, Gilberto Gil, Edu Lobo, Jaïr Rodrigues, Milton Nascimento, Rita Lee, finalistes parmi les trois ou quatre mille inscrits, vont gagner une stature nationale, au milieu d’un tohu-bohu passionnel digne des meilleurs Fla-Flu (derby des deux grands clubs de football de Rio, Flamengo et Fluminense).
En 66, le Brésil s’enflamme. En finale du festival de T.V. Record, deux chansons sont favorites : A Banda, de Chico Buarque, rythme bien samba mais exercice de style littéraire tout en trompe l’œil, et Disparada (la fuite), de Geraldo Vandré, défendu par Jaïr Rodrigues, ballade-épopée d’une cavale dans le sertão nordestin.
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Marcus Pereira, qui deviendra plus tard producteur de disques, témoigne : « Le Brésil entier a commencé à se sentir concerné par la musique. Les trois demi-finales, retransmises en direct, atteignirent une audience jamais vue pour un programme musical (...). Personne, rigoureusement personne, ne demeura à l’écart. Il se forma des camps autour des deux musiques vite apparues favorites. Le choix était réellement difficile. Pour finir, j’ai choisi le parti de Disparada, et j’ai commencé à débiner les défenseurs de A Banda, à coup de on dit et de calomnies, sur leur honnêteté personnelle et familiale. »
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Le jury, sans doute par peur d’une apocalypse télévisée en direct du palais des sports de São Paulo, les classe premiers ex-aequo. le Brésil entier fredonne les deux airs. Leurs auteurs ne tarderont pas à avoir droit à la sollicitude particulière de messieurs les Censeurs.
Les festivals suivants vont déplacer les enjeux. Deux années de confusion, un souffle neuf venu de Bahia qui va monter en ligne et ferrailler tous azimuts : « Garde-toi à gauche », contre les penseurs rationnels, les adeptes de tout poil du marxisme scientifique et une bonne partie du mouvement intellectuel, « Garde-toi à droite », contre les militaires, tenants de l’ordre moral. et, comme si ça ne suffisait pas, « Garde-toi derrière », contre les nationalistes invétérés de la double-croche. rude bataille d’où va émerger la frange la plus flamboyante de ce nébuleux P.M.P.B.. Et toujours sous l’œil papillotant des téléspectateurs « hipno-T.V.-tizados », comme les appelle l’écrivain Augusto de Campos.
LES TROPICALISTES : DES EMPÊCHEURS DE PENSER DROIT
On les appelle Baianos, et bientôt Tropicalistes. Concept opaque dont ceux qui s’en trouvent affublés profiteront pour y glisser tous leurs délires. Les figures marquantes de ce non-mouvement sont Caetano Veloso et Gilberto Gil, venus de Salvador da Bahia fouiner du côté de São Paulo, la grande métropole du sud. Avec eux des musiciens, des artistes plastiques, des poètes, un grand cinéaste (Glauber Rocha). Ensemble, ils apportent une image, une expression et une pensée neuves, qui contourne un champ politique chaque jour plus cartésien, et un champ musical plutôt pauvre et passablement coincé.
Caetano et Gil ont déjà, en 65 et 66, placé quelques couplets acides, dans une certaine indifférence. Voilà que lors de l’édition 1967 du festival de T.V. Record, Gilberto Gil monte sur scène en compagnie d’un groupe délibérément rock de São Paulo, Os Mutantes (dont la chanteuse s’appelle Rita Lee), et que, sur un rythme nordestin où les guitares électriques répondent au berimbau, il attaque Domingo No Parque, un fait divers surréaliste aux couleurs choc. Ébahissement général.
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À Gil succède Caetano Veloso, lui aussi accompagné d’un groupe rock, style jeune garde, Beat Boys. Veste blanche, chemise rouge, cravate noire à pois rouges, grosses lunettes fumées, Caetano a la dégaine d’un punk un peu chic, dix ans avant l’heure. il entonne Alegria, Alegria :
« Déambulant le nez au vent, Sans mouchoir, sans papiers, Au soleil de décembre ou presque. J’y vais. Le soleil s’émiette en crimes, Navires spatiaux ou guérillas, En Cardinaux tout beaux, J’y vais. En têtes de présidents, En baisers fous d’amour, En dents, en jambes, en drapeaux, En bombes, en Brigitte Bardot, Le soleil sur les kiosques Me rend allègre et paresseux, Qui donc lit toutes ces nouvelles ? J’y vais. »
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La suite est dans le même esprit. les teenagers acclament surtout l’esprit vaguement rock. et virent tout ce qui s’en écarte. Gil et Caetano terminent placés (2e et 4e), leurs propos n’ont pas fini de faire des vagues. La joie de vivre, le nez en l’air, le j’men- foutisme, alors qu’on tue, qu’on torture dans les commissariats, que les prisons sont archi-pleines d’opposants, et que certains ont même pris les armes contre l’armée ? Les Baianes sont des empêcheurs de penser droit. On leur lance les mêmes anathèmes que les Communistes aux Surréalistes dans les années 25.
VESTIGES DU PURITANISME RADICAL
1968 : le ton monte au même rythme que la tension dans les rues. Geraldo Vandré, émouvante figure solitaire, s’accompagnant de sa seule guitare, est le chantre des étudiants radicaux, avec Pra Não Dizer Que Não Falei De Flores (pour qu’on ne dise pas que je n’ai pas chanté les fleurs), resté jusqu’à ce jour l’hymne de tout protestataire ; le symbole d’une marche obstinée dans un paysage dépouillé. des chansons sans fioriture musicale, des mots simples, sans double sens ; l’esprit rural de Vandré a les faveurs des radicaux urbains.
Les vandréïstes intolérants virent Gilberto Gil et sa chanson à double sens Questão De Ordem (question d’ordre), sifflent et huent Caetano qui leur a dédié fort à propos E Proïbido Proïbir : « Je dis oui, je dis non à non, je dis qu’il est interdit d’interdire. » La provoc’ importée du mai 68 français rend fous les radicaux, qui brandissent des posters de Che Guevara devant la scène. Quelques jours plus tard, on stigmatise les frasques de Caetano, pendant la manif de 100 000 étudiants qui traverse Rio. lors d’un autre festival de T.V. Record, la même année, Caetano, hué au point d’en être inaudible, parvient à lancer à ses détracteurs : « C’est ça, la jeunesse qui dit vouloir prendre le pouvoir ? Vous ne comprenez rien à rien. Si vous faites de la politique comme de l’esthétique »... Le reste se perd dans le brouhaha et les jets de tomates pourries.
Les Tropicalistes vont tenir en première ligne jusqu’à la fin 68. sans avoir même eu le temps de se demander ce qu’ils peuvent bien faire de ce pouvoir qu’ils se sont approprié, mais qu’ils n’ont pas envie d’exercer. Car voilà Caetano, Gil, Gal Costa, Rita Lee et ses Mutantes, Rogerio Duprat (un chef d’orchestre qui s’est infiltré dans ce délire), et encore Capinam, Torquato Neto, Rogerio Duarte, des poètes-auteurs, réunis sur un disque qui s’appelle Tropicalia.
Ce qui n’est qu’une aventure en commun est immédiatement interprété comme un manifeste. Les intéressés ont beau récuser le fait, quelques-unes des chansons synthétisent bien l’esprit du moment. tel ce Parque Industrial, de Tom Zé, que tous entonnent en final de l’album :
« Qu’on retouche le ciel indigo, Qu’on accroche les banderoles, C’est la grande fête dans tout le pays, Qu’on exhorte à l’aide de prières, Le progrès industriel qui annonce notre rédemption, Au programme, fille à propagande, Gamine qui vole et tendresse, Regarde donc au-delà des murs, Je redeviens gai sur l’instant, J’ai le sourire plutôt figé Voilà déjà étiqueté, prêt à réchauffer et consommer, Le produit Made in Brasil. »
« BARBARES, CRÉDULES, PITTORESQUES ET TENDRES... »
Là où ils piétinent très joyeusement tous les usages, on les accuse de se limiter à chanter la débilité : « Artistiquement, c’est un fait, et un fait important, mais politiquement, avouons-le, ça n’est rien d’autre qu’une plaisanterie », écrit un journaliste, à l’époque. Diagnostic certes méprisant, mais pas faux. Les images priment sur le discours, le patchwork des couleurs sur le concept. Ce qui permet tous les flous, toutes les assimilations hâtives. Toutes les errances aussi.
Ainsi José Celso, un autre de la bande. Il est un des rares audacieux créateurs, dans le théâtre du Brésil : « Moi-même, qui n’étais qu’un metteur en scène de théâtre, je suis devenu un personnage créé par les media, complètement excentrique, tenant des propos que je n’avais jamais tenus auparavant, et, pour ajouter au folklore néo-colonial, on a inventé pour moi le rôle de représentant de la contre-culture. Ignorant de ces mécanismes, à l’époque, je me suis surpris à trouver scandaleux ce personnage qu’on avait inventé et qui n’était autre que moi. »
D’autant que dans le vide ambiant et à côté de la parole stéréotypée des oppositions, les Tropicaux s’agitent, on leur donne une émission de télé sur T.V. Tupi. Là, c’est le summum. Leur délire s’introduit dans les foyers, c’est parfois hermétique, toujours impertinent, et ça a des airs de carnaval improvisé. Au moment même où la guérilla urbaine commence à enlever et séquestrer des ambassadeurs étrangers ! À l’heure, aussi, où les « politiques » sont réduits au silence.
Cette occupation forcenée de tous les terrains possibles, et notamment des espaces médiatiques (même Chacrinha, animateur populaire et amuseur de la T.V., une espèce de Jacques martin fardé, proclame qu’il est le premier des Tropicalistes !), agace de plus en plus les bien-pensants, les orthodoxes de tout acabit. « Barbares, crédules, pittoresques et tendres », la définition édictée par Oswald de Andrade lors d’une semaine d’art moderne, date de 1922 ! Elle s’appliquait à l’esprit brésilien, à travers un « Manifeste Antropophagique ». entreprise traînée dans la boue, à l’époque, mais dont les fondements n’ont rien de rétro quasiment un demi-siècle plus tard.
Le parti pris est certes nationaliste, mais avec comme corollaire l’idée que pour imposer un espace, il faut batailler sauvagement ; tout est bon pour signifier que... tout n’est pas bon ! La guerre est philosophique, esthétique, mais aussi politique. Justement, en cette année 68, José Celso monte, au théâtre, « O Rei Da Vela » de... Oswald de Andrade, et Glauber Rocha présente son dernier film, « Terra Em Transe ». Tropicalia, le disque collectif, est le pendant musical de ce bouillonnement artistique. Beaucoup d’artistes, surtout de chanteurs, qui ont suivi en s’essoufflant, prennent leurs distances.
L’EXCEPTION ET L’EXIL
Le pouvoir militaire va sévir : il instaure en décembre un état d’exception (AI-5), qui réglemente les libertés. La pire période de la dictature s’ouvre. À la veille de Noël, Caetano Veloso chante un classique, « Anoiteceu » (tombée de la nuit) avec un flingue à la main. Même si les caméras évitent l’arme, ce chant de gloire à la nuit tombante appelle la contre-offensive bestiale : quatre jours plus tard, Gil et Caetano se retrouvent dans la nuit blafarde d’une cellule. Quelques mois de prison puis résidence surveillée, avant de prendre le chemin d’un exil londonien.
Arrestations parmi tant d’autres. Le pays entier est sous état de siège. La galaxie tropicaliste disparaît, elle n’aura pas eu son crépuscule. Glauber Rocha, lui aussi, s’exile. Rita Lee se retrouve, elle le confessera plus tard, « à moitié orpheline ». José Celso, revenu à son cher Brecht, crache sur les cendres encore tièdes du Tropicalisme, « si vite consumé que j’en ai perdu ta tête ».
Les « politiques », étouffés, bâillonnés, font entrer Caetano et Gil dans la martyrologie déjà conséquente. et on s’aperçoit, mais un peu tard, que ce Tropicalisme irrationnel et insaisissable était en fait très politique : « Il riposte à la fois aux discours libéral, totalitaire et de gauche », écrit Gilberto Vasconcellos, dans son livre « De Olho Na Fresta ». Il délimite les champs clos de la musique-de-protesto : « Le thème essentiel de la chanson engagée est le jour qui viendra, et la confiance en des jours fatalement meilleurs. Qui a la foi doit m’attendre, chantait solennellement Geraldo Vandré. »
Les lendemains ne vont pas chanter, et l’heure de la rédemption sociale est en panne. Face à ce noir-et-blanc sinistre, les tropicaux, avec leurs couleurs fortes sur trait léger, se sont attaqués au conformisme, donc aux fondements de l’état. Guérilla des mots et des sons qu’ils ne pouvaient pas gagner, face aux militaires rédempteurs. Cette « ligne évolutive » de la M.P.B., comme l’appelle Caetano Veloso, est provisoirement au rancart. Pourtant elle sera une référence dans les années qui vont suivre. Pour le moment, la chanson en a trop dit. Comme le chante Caetano dans « Enquanto Seu Lobo Não Vim » (Pendant que monsieur le loup n’y est pas) :
« Allons défiler dans la rue où Mangueira est passé, Allons sous les rues, sous les bombes, sous les drapeaux Allons sous nos pas, sous les roses du jardin, Allons sous la boue, allons sous le lit. »
Autrement dit, les fanfarons et les pleutres, les grandes gueules et les timides sont dans le même sac. Musique étonnamment prémonitoire. Le Brésil ne s’arrête pas de vivre, mais beaucoup vont rester sous le lit pendant quelques années.
LE MURMURE DE DIX MILLE BOUCHES COUSUES
Cette vertigineuse année 68 a sonné le glas du délire politico-poétique, les années qui suivent vont balayer la moindre voix qui tente de se faire jour. D’abord, les censeurs se trouvent une âme de mélomanes, et taillent dans le vif ; couplets, refrains, chansons entières valsent au gré des ciseaux, et selon les aigreurs d’estomac. Exemple parmi tant d’autres, la saignée à chaud de Dia De Graça, une chanson de Sergio Ricardo (auteur de la musique de Deus E O Diabo Na Terra Do Sol - Le Dieu Noir Et Le Diable Blond), au quatrième festival de T.V. Record, en 68 : on lui communique d’abord l’interdiction de l’ultime vers, « Je ne dis pas que je chante pour mentir le 1er avril ». Au moment de monter sur scène, on lui annonce que la chanson entière est interdite (sans doute les censeurs ont-ils ajusté leurs binocles). Que faire, devant les caméras et le public ? Il l’entonne, les lèvres fermées, dans le silence d’abord pesant d’une audience médusée, qui va se joindre à lui, en un chœur étonnant de dix mille bouches cousues !
Le climat est spécialement lourd, vers la fin des années soixante ; l’armée et la police entament une chasse sanglante à la guérilla, en ville comme dans les zones rurales. Même dans une telle atmosphère, le Brésil tout entier ne sombre pas dans la morosité ni la déprime. On continue de composer, enregistrer des disques, faire des shows. Mais comme la musique est susceptible de concentrer les esprits rebelles, on l’épluche, on la quadrille, on l’attendrit, on l’interdit, du côté des services de censure, un secteur en pleine expansion. C’est d’abord le problème des auteurs, qui s’épuisent souvent à ruser. Le public, lui, qui n’écoute que ce qui a réussi l’examen de censure, ne se rend pas tellement compte de cette épée de Damoclès, à moins de se retrouver à la porte d’un show interdit à la dernière seconde, devant un cordon de la Police militaire...
Par contre, les festivals de la chanson périclitent à l’aube de la décennie suivante : en partie à cause d’une censure versatile qui conduit Chico Buarque, Vinicius de Moraes, Tom Jobim et d’autres à se retirer du jury, Milton Nascimento, Caetano Veloso, Baden Powell, à quitter la compétition. Mais sans doute plus encore à cause de l’indigence chaque fois plus manifeste des festivals, qui tournent à la foire internationale de la variété dégoulinante. Les Mike Brant, Hervé Vilard, Demis Roussos et les autres Romuald, stars éphémères du hit parade ou gagnants de pacotille de l’Eurovision, s’en vont représenter la France au pied du Pain de sucre.
Les tripatouillages, bidonnages et trucages, qui favorisent souvent les sous-produits européens finissent par fatiguer le public et bien souvent humilier les concurrents brésiliens. Cette concurrence tapageuse que personne n’ose plus défendre, si ce n’est les idéologues du développement touristique, va assécher la richesse de la compétition, et en précipiter la conclusion. La section brésilienne de l’internationale-chansonnette se démantibule à jamais en 72. Depuis 69/70, déjà, on ne se passionne plus pour l’entreprise. le mercantilisme a chassé l’esprit « bataille d’Hernani ». La situation politique s’est tendue, la ritournelle mièvre ne fait plus recette.
À EN PERDRE LE GOÛT DE CHANTER...
Il est temps de passer à une autre étape, plus frondeuse. D’autant que ceux qui ont ouvert un espace qui leur ressemble, leur espace, les Milton Nascimento, Gil, Caetano (qui reviennent en 72 de leur exil londonien !), Chico Buarque et pas mal d’autres, vont y marquer fortement les années 70, et trouver un souffle serein, à l’aube des années 80.
Pourquoi avoir tant insisté sur cette période 66-68 ? En fait elle explique tout ce qui suit. Surtout les 10 années noires pendant lesquelles cet état d’urgence va conditionner toutes les expressions. donc la musique.
Parmi les créateurs, il y a quatre catégories : d’abord, ceux qui font comme si la situation ne comptait pas, et qui pondent leurs petites chansons sans risque de se faire châtrer, Roberto Carlos, par exemple. Lui n’a pas besoin de s’autocensurer, ses benêtes histoires d’amour n’ont rien de suspect. Ceux qu’on a provisoirement écartés, Caetano Veloso ou Gilberto Gil, qui profitent de leur exil londonien pour humer l’air du rock (et faire des albums) ; ceux qui sont en liberté très surveillée, dont on épluche les textes, dont on interdit tout ou partie des spectacles, souvent à la dernière seconde. Chico Buarque en est l’exemple extrême ; enfin, et là, ce n’est plus une catégorie, c’est un bonhomme tout seul, celui qu’on va briser au point de lui ôter le goût de chanter pour longtemps, et sans doute pour toujours : Geraldo Vandré.
Les militaires n’ont pas encaissé que ses chansons soient devenues des hymnes de la contestation. Oh, ils ne lui casseront pas les doigts, ils ne le tortureront pas à mort comme Victor Jara au Chili, ils vont l’interdire : plus de shows, plus de disques, avec en prime des menaces et intimidations. Vandré, un moment parti en Europe, disparaît de la vie publique pour longtemps, on le retrouvera bien plus tard, modeste avocat au barreau de São Paulo.
On continue, en 82, à chanter Vandré dans les meetings et les usines en grève, c’en est désuet, mais après tout, le Brésil de ces vingt dernières années n’a jamais eu qu’un protest singer, et « Caminhando... » colle toujours mieux au contexte que les chants internationalistes révolutionnaires bolcheviks, de couleur désespérément sépia !
RUSES POUR DÉJOUER LA CENSURE
Pour les autres, c’est la ruse. L’humour caustique de la rue, celui des réflexions dans les queues d’autobus, les boulangeries ou les cafés, se retrouve souvent tel quel dans les chansons de Chico Buarque, Paulinho da Viola, João Bosco, ou de nouveaux venus comme Gonzaguinha, Fagner. À condition que la censure laisse passer. Là, c’est l’arbitraire le plus total. Les shows sont raccourcis de la même manière que les quotidiens sortent avec des colonnes blanches. Quant aux disques, il faut les remplir, et ça prend parfois du temps.
Car les censeurs ne traquent pas seulement l’allusion politique, ils sont aussi de vigilants gardiens de la morale chrétienne. Pour avoir écrit une chanson où il faisait un jeu de mots avec « sac », Chico Buarque se fait censurer pour « offense à la femme brésilienne » ! Chico, lui-même, avance, autour de 70, le chiffre de deux chansons censurées sur trois. Lui qui sortait habituellement un album par an, se retrouve en rade au bout de 18 mois : « Mes disques ont d’ordinaire dix chansons. Eh bien, à ce moment, je n’arrivais même pas à dix. J’ai été obligé de patienter plusieurs mois pour enregistrer. »
Plus tard, à propos de Construção, impressionnant château où les mots tiennent comme des cartes, il explique : « Il est évident que j’en suis à faire de l’autocensure. Mais à l’intérieur des limites que je me suis fixées, je crois qu’il existe encore un espace pour faire passer les choses. (...) Les chansons restent dans les limites de ce que, à mon sens, la censure peut laisser passer. S’ils m’obligent à reculer encore davantage, je m’arrêterai. »
Trois ans plus tard, en 74, après une série d’expéditions en Italie, Chico est en panne, pour de bon. Déprimé de devoir soit attendrir soit justifier le moindre de ses propos, las de ne pouvoir présenter des shows mutilés. Fatigué d’être sans arrêt questionné à propos de la censure : « Ça finit par être lamentable de se faire alpaguer dans la rue, et de s’entendre questionner à propos de la censure, et pas de mon travail. Comme artiste, je ne veux être jugé que sur mon travail. Faute de pouvoir travailler, j’ai perdu un an. »
Dépression passagère, mais Chico est un personnage « à cycles ». Quelque temps plus tard, il interprète plusieurs chansons d’un inconnu dénommé Julinho da Adelaïde, qui ont passé sans encombre la censure, et notamment une, très courte, presque une comptine, Jorge Maravilha, qui dit : « Vous ne m’aimez pas, mais votre fille, elle, m’aime. » Le Brésil entier s’esclaffe. Rien à voir avec une histoire de (belle) famille, la chanson reprend les propos d’un ministre en vue, contredits par l’aveu de sa propre fille. Quant à cet impertinent Julinho da Adelaïde, c’est en fait un élégant pseudonyme de Chico lui-même.
La ruse, l’arme du ridicule. Ces années noires sont une bonne école pour apprendre l’écriture entre les lignes. les Brésiliens sont prompts à déchiffrer, à dénicher un double langage. Mais de la même manière que le mano a mano des guérilleros urbains et des dictateurs n’obsède pas le pays entier, la musique n’a pas forcément un double langage contestataire. Ou alors la contestation change d’espace. La liberté finit par être un concept vague, et une certaine jeunesse, qui n’a pas oublié les Tropicalistes, se sent coincée par un ordre moral de ce siècle. Revendiquer un mode de vie devient une sinécure.
ZAZOUS DES TROPIQUES ET PATROUILLES IDÉOLOGIQUES
C’est là que les Novos Baianos, très tôt orphelins de Caetano et Gil, vont jouer un rôle de catalyseur : ils vivent en communauté, mettent du rock dans leur samba, leur bossa nova, leur chorinho et prétendent jouer là où ils en ont envie, sur un camion, sur une plage, sur une place, avec le décorum et le délire propres à Bahia. Difficile à contenir, ce mouvement, d’autant que la jeunesse urbaine s’y reconnaît. « On » peut toujours raconter qu’ils font l’amour en groupe, qu’ils se droguent, qu’ils ne se lavent pas. « On » peut même en arrêter un quelques jours pour une broutille mais « on » ne peut pas les faire taire.
D’ailleurs, ce qu’ils chantent n’est pas subversif au sens politique, et le groupe vénère la musique nationale. Cette génération, qui n’a connu que le pouvoir militaire, a décidé de vivre : « Acobou Chorare », les larmes, ça suffit, chantent les Novos Baianos. Zazous des tropiques mêlés d’un « peace and love » irrespectueux : la musique concentre ce mode de vie, et touche une jeunesse qui n’a que faire du champ politique.
À leur retour d’exil, les aînés des Novos Baianos, Caetano et Gil, ne sont pas à la fête. Une partie de la gauche, surtout parmi les intellectuels, leur reproche la confusion de leur pensée. Ils ne sont pas les seuls à faire l’objet de polémiques. Cinéastes, artistes de théâtre, poètes ou peintres sont sans arrêt sommés de « prendre position clairement ». La ritournelle tend à tourner à l’obsession.
Caca Dieguès, plus tard réalisateur de Bye Bye Brasil, invente un concept qui ne cessera de fleurir jusqu’à la fin de la décennie : celui de « patrouilles idéologiques ». Les polémiques vont bon train, entre les libres-penseurs et les porteurs de bannières rouges de tous acabits, culpabilisateurs et redresseurs de morale. « La soi-disant gauche d’ici n’a jamais eu le recul nécessaire pour regarder les choses d’un œil narquois », dira plus tard Caetano Veloso. « Ils n’ont aucune vision culturelle de l’histoire. Que des slogans et une morale figée. Quant à la fantaisie... »
LE RÉVEIL NOIR À BAHIA
Surgit aussi la revendication noire. Immense nébuleuse, et tabou ostensible, dans un pays où, selon tous les gouvernements successifs, la discrimination raciale est le mal des autres. Bien sûr, le Brésil n’est pas l’Afrique du sud, mais le « crioulo » costaud, rigolard et simple d’esprit est un cliché séculaire. Vers le milieu des années 70, à Bahia notamment, tout est bon pour affirmer la différence : pêle-mêle le carnaval, James Brown, le candomblé, les Black Panthers, Gilberto Gil, Cassius Clay. Beaucoup de musique dans ces références.
Là encore, dans les faubourgs noirs de Bahia, on n’idéologise pas, on crée un monde. « Le meilleur endroit du monde, c’est ici et tout de suite », chante Gilberto Gil. Waly Salomão, poète local, parle de « blackitude baiane » (en portugais dans le texte !). On dit du quartier de Liberdade qu’il est un « Harlem baiane », et le carnaval se réafricanise : les afoxés qui prolifèrent ne sont ni des clubs fermés ni des sectes mystiques. Simplement des regroupements de gens qui veulent regarder l’Afrique avec leurs yeux d’aujourd’hui, sans pour autant bâtir un système de pensée référentiel à l’Afrique (comme le Rastafarisme en Jamaïque). Pratiques de quartier pendant l’année, et qui ne s’affiche dans les rues que le temps du carnaval, à Bahia.
Antonio Risério, dans son très swingant livre, Carnaval Ijexa, décrit bien le phénomène : « Aujourd’hui, quand les afoxés et les blocs afro prennent en charge le carnaval baiane, ils nous montrent clairement que ce carnaval s’affirme comme un espace privilégié pour l’apparition et la revendication culturelle des noirs, avec les implications sociales et politiques qui en découlent. » et de citer Gilberto Gil : « Les noirs commencent à conquérir la possibilité de s’autogérer esthétiquement. »
Encore une fois, c’est la musique qui capitalise ce courant apparu vers 75, et qui n’a cessé de croître depuis. Le régime, là aussi, n’a pas saisi ce phénomène, il a tenté d’assimiler Black Rio, un mouvement culturel et très musical, à une tentative de « Black Panthérisation » importée des U.S.A., manipulée par des éléments radicaux. Assimilation primaire qui est restée sans suite.
DESSERRER L’ÉTAU
Mesdames-Messieurs, l’ouverture. « Abertura », le pain d’épice favori des militaires qui ont entrebâillé la porte. Le concept, sans doute inventé par le Général Golbery, conservateur éclairé et véritable penseur du régime, a fait recette, depuis 78. une forte pression internationale a poussé le gouvernement à se refaire une crédibilité. Par quel bout appliquer les beaux principes, quand on n’a jamais manié la démocratie ? En desserrant l’étau sur ce qui se voit le plus, le monde de la culture et du divertissement.
On réduit les effectifs de la commission de censure, on limite ses attributions, on n’interdit plus les shows, on autorise ce qui avait été prohibé dix ans durant. Chico Buarque vend 500 000 albums, avec Cálice, chanson mise à l’index par la censure pendant une bonne décennie. On ressort (en catimini, tout de même) un disque de Vandré le pestiféré, on accueille au bercail les exilés, volontaires ou forcés, on autorise des méga-shows dans des stades de 100 000 places et, paradoxalement, on revient aux grands festivals de la chanson qui avaient sombré en 72. Sur le mode médiocre et mercantile.
Que faire de ce mini espace ? Se le partager, d’abord, il y a la place pour tous, les Nordestins, les Mineiros, les Baianes, les Cariocas, etc. Ce qui bourgeonne depuis longtemps devient latent, les années-dictature ont été un vrai bouillon de culture. Les Tropicalistes quadragénaires, Caetano et Gil en tête, vendent plus de disques que jamais. La nouvelle génération des Moraes Moreira, Alceu Valença, Baby Consuelo, Simone, Pepeu Gomes, Fagner, a déjà passé le cap de la trentaine. Derrière, malheureusement, pas grand-chose à part Djavan. Les mômes et les adolescents n’ont pas beaucoup d’idoles de leur âge.
Et le personnel politique ? À part Lula, le leader du P.T., aucune figure nouvelle de stature nationale n’est apparue. On retrouve les mêmes qu’il y a dix ans, quinze ans. Là aussi, la relève se fait rare. La carrière politique est négoce ingrat en temps de crise et la population ne se passionne guère pour les feintes, dribbles et lobs de l’avant-élection, entre tenants du titre (gouvernement militaire) et challengers (opposition de gauche ou assimilée). La musique, elle aussi, subit la crise, et les lendemains qui déchantent (côté porte-monnaie) n’engendrent pas vraiment une créativité effrénée.
Ceux qui, comme Chico Buarque, incarnaient la ruse, le pied-de-nez ou le croc-en-jambe, et que la censure ne persécute plus, ne se sentent guère de donner dans le didactisme. Alors, ils voyagent : Chico se fait acclamer en Angola, au Mozambique, à Cuba ou au Nicaragua. Animateur et rassembleur, d’artistes donc de foules, il organise au Brésil des concerts de soutien : pour le syndicat des musiciens (le 1er mai 1981, à Riocentro, deux militaires d’extrême-droite se font sauter devant les portes avant d’avoir eu le temps de déposer dans la salle la bombe qu’ils transportaient), pour des musiciens en difficulté, et même pour des associations populaires de quartier ; en février 82, au stade Morumbi de São Paulo, 100 000 spectateurs en délire font fête à 20 artistes. Raccourci saisissant propre à l’époque, c’est la toute-puissante et quasi monopolistique T.V. Globo qui retransmet le show Canta Brasil dans tout le pays.
« CE QUE J’AIME CHEZ GEISEL, C’EST SON SOURIRE... »
La gauche intellectuelle, qui n’a visiblement pas compris l’histoire, a tendance à radoter, à ressasser les mêmes critiques qu’il y a quinze ans : Caetano Veloso et Gilberto Gil sont pressés de prendre position sur le nucléaire, choisir leur camp électoral. Gil, du temps de Geisel, le précédent Général-Président de la république, avait déjà lâché : « Ce que j’aime chez Geisel, c’est son sourire. » (Petit détail, Geisel était réputé pour son visage de marbre !) Ce genre de réponse devrait clore le bec aux contradicteurs. Eh bien, non ! ils reviennent à la charge. alors Caetano, Gil et les Tropicalistes ne répondent même plus.
Les chanteurs et musiciens, s’ils prêtent volontiers leur concours à des concerts de soutien (généralement en faveur de mouvements syndicaux, populaires, ou pour l’amnistie), ne sont guère tentés par la vie politique. Elis Regina s’était affiliée au P.T. de Lula. mais elle est morte au début de 82. Deux autres personnages de la M.P.B. se sont portés candidats aux élections de 82. Le vieux Luis Gonzaga, le roi du Baiao nordestin, comme postulant à la députation d’état, à la Chambre du Pernambouco... pour le P.D.S., parti du gouvernement : « Rien qu’avec mon accordéon, j’ai déjà obtenu pour Exu, ma ville, le téléphone, la télévision, une banque, un parc aux vachers, avec lycée professionnel, artisanat et école (...). Il n’y a que le gouvernement qui fasse quelque chose pour le Nordeste, le reste, c’est du baratin, de la frime, moins que rien. (11) » Dans une région encore passablement imprégnée du règne des « colonels », ces propriétaires terriens tyranniques, la candidature de « Gonzagao » est un coup de prestige du parti au pouvoir. Son fils, Gonzaguinha, jadis spécialement « gâté » par les censeurs, doit faire la gueule...
UN TOUT DE SUITE QUI CHANTE VAUT MIEUX QUE DES LENDEMAINS QUI...
Autre candidat, tout aussi surprenant : Galvão, âme, penseur et grande gueule des Novos Baianos, se présente pour le P.M.D.B. dans sa ville de Juazeiron, dans le nord de l’état de Bahia. Lui brigue la députation fédérale, à Brasilia. Son programme ne coïncide pas toujours avec celui de son parti : « Dans le P.M.D.B., il y en a qui ont une plateforme défendant les travailleurs. La mienne est une contribution de la vision des jeunes, qui ont toujours été exclus et n’ont jamais participé. (...) Les jeunes vont en prison parce qu’ils fument de l’herbe. C’est absurde. On envoie les jeunes en prison pour un rien, et en même temps, on laisse en vente les cigarettes parce qu’elles sont américaines, parce que l’État reçoit sa part de taxes. (...) Je suis dans un parti, et on m’y respecte. Les autres voient bien que je ne suis pas fou et que je vais dans le même sens qu’eux. Ils ont admis ma plateforme, ce qui n’est pas évident, qui aurait pu être combattue parce qu’elle était nouvelle. Certains des points que je défends sont taxés de crime par la droite et d’aliénation par la gauche. Pourtant, cette jeunesse marginalisée n’est pas aliénée. »
Propos guère surprenants dans une conversation, mais qui touchent au surréalisme quand ils sortent de la bouche d’un candidat à la députation d’une bourgade de l’intérieur Baiane. la génération des Novos Baianos n’en finit pas de surprendre. Gonzaga et Galvão restent des exceptions dans un monde politique qui mêle le rationnel à l’esprit.
Western. Fernando Gabeira, ex-guérillero, kidnappeur d’ambassadeur-prisonnier-exilé, à présent amnistié, de retour sur sa terre et qui vend des centaines de milliers de livres mêlant ses aventures et son regard aigu-sensuel, constate que les partis politiques, sans exception, se battent pour des causes dépassées (il n’englobe pas le credo de Galvão, proche de ses idées).
L’apprentissage de la démocratie passe trop souvent par une décalcomanie des vieux modèles occidentaux. Les politiciens feraient mieux de prendre exemple sur les tenants de cet imaginaire mais puissant Parti de la Musique Populaire Brésilienne : capable d’enflammer des dizaines, des centaines de milliers de gens avec une mélodie et quelques mots simples. un tout de suite qui chante vaut mieux que des lendemains qui, peut-être, quoique...
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Yooslim ~ plan de pilules de perte de poids
Manger des noix et des amandes
Yooslim : En outre, d'autres produits tels que les noisettes, les arachides et les noix de pécan aident à réduire le risque de développer une maladie cardiaque, qui est précisément l'un des dangers posés par un taux élevé de cholestérol dans le sang.
Cependant, lors de l'ajout de ces ingrédients aux repas, il est nécessaire de prendre certaines précautions. Il est essentiel de ne pas les remplir de sel, Yooslim de les recouvrir de sucre ou d’en abuser - une poignée suffit. Le nombre de calories dans ces aliments n'est pas faible: par exemple, 100 g d'amandes contiennent 578 calories, tandis qu'une même quantité de noix contient 654 calories et une portion de la même quantité de noisettes contient 628 calories.
Inclure les avocats dans les repas
Les avocats sont connus depuis longtemps comme sources Yooslim de graisses saines, ce qui constitue une bonne raison de les ajouter aux repas. Comme si cela ne suffisait pas, comme le montrent des recherches scientifiques, la consommation quotidienne d’un avocat contribue à faire baisser le taux de cholestérol LDL chez les personnes en surpoids ou obèses.
Mais méfiez-vous: pour que cela soit observé, il est nécessaire Yooslim que le régime alimentaire suivi par la personne soit plein d'aliments bons pour la santé du cœur et exempts d'aliments dommageables pour l'organe.
En outre, il faut faire attention à la manière dont Yooslim l'avocat est intégré au régime alimentaire. Ne le consommez pas pour accompagner les en-cas gras et caloriques, comme le suggère le guacamole, une recette typiquement mexicaine.
Idéalement, ajoutez l'ingrédient à des salades de Yooslim légumes crus ou à des sandwichs naturels. Il existe également une huile d’avocat, fabriquée à partir de pulpe située autour du noyau du fruit: vous pouvez l’utiliser à la place des huiles traditionnelles pour augmenter le cholestérol. Il va bien comme vinaigrette dans la vinaigrette et pour braiser les viandes et les légumes à feu moyen.
Avoir du thé vert
L'avantage du thé vert pour les personnes qui doivent Yooslim suivre un régime hypocholestérolémiant est qu'il contient un groupe d'antioxydants appelés catéchines, connus pour améliorer la pression artérielle et le taux de cholestérol sanguin.
Faites attention aux informations contenues dans l'emballage du produit.
Aujourd'hui, si vous vous promenez dans votre supermarché ou votre épicerie locale, vous trouverez sûrement des produits avec un emballage accrocheur Yooslim qui prétendent apporter peu ou pas de graisse totale et saturée.
Yooslim Cependant, avant de ramener chez vous quelque chose qui, à votre avis, n'augmentera pas votre taux de cholestérol, il est essentiel de consulter le tableau de la valeur nutritive, qui se trouve généralement au verso du produit, si ce que vous voulez vraiment acheter n'a pas. niveaux élevés de substances nocives pour contrôler le cholestérol.
N'oubliez pas que pour qu'un aliment soit classé comme faible en gras, il doit contenir au maximum 3 g de substance par portion.
En ne le faisant pas, vous courez le risque de trop Yooslim manger quelque chose que vous penserez être bon pour votre santé, alors qu’il est possible que ce ne soit pas aussi bénéfique qu’il le promet et même qu’il ne fait qu’aggraver la situation.
Diet for Gastritis - Nourriture, Menu et Astuces
Le style de vie rapide associé à des aliments trop élaborés et à une consommation excessive de caféine et d'alcool contribuent à une véritable épidémie de gastrite dans le monde entier.
Selon les données de la Fédération brésilienne de CLICK HERE, gastroentérologie, environ 70% de la population brésilienne est infectée par H. pylori, une bactérie pouvant provoquer une gastrite chronique. Malheureusement, le Brésil n’est pas le seul à avoir ces statistiques, deux milliards de personnes dans le monde souffrent d’une inflammation de l’estomac.
En plus d’identifier les causes profondes et de changer Yooslim votre mode de vie, les soins diététiques en adoptant un régime alimentaire contre la gastrite constituent un élément clé du traitement ou de la prévention de la maladie, car il a été prouvé qu’un régime alimentaire irrégulier peut aggraver les symptômes ou même empêcher le traitement de la gastrite.
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