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#politiquement comme juridiquement
dooareyastudy · 2 years
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sachez que la juriste en droit du travail de gauche que je suis meurt à petit feu à mesure que le gouvernement “““gère””” les grèves actuelles.
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aurevoirmonty · 5 days
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"Comme mythe politique, la « race » est la nation vivante, qui n'est pas plus enfermée dans d'abstraites limites juridiques et territoriales qu'elle ne se réduit à une simple identité de civilisation, de langue, d'histoire. Le sentiment « racial » est plus profond que tout cela ; de tout cela, il est à la racine ; il est inséparable d'un sentiment de continuité, il éveille des résonances profondes dans l'être humain. C'est cette vérité-là qui se reflète même dans la sagesse populaire, dans des expressions comme « la voix du sang », « la race ne ment pas », « il a de la race », « vengeance », « la faute du sang »."
Julius Evola, Synthèse de doctrine de la race (1941)
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lepartidelamort · 28 days
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Les Sages de Sion à l’origine de l’arrestation de Pavel Durov
Durov est la cible d’une cabale aux larges ramifications.
L’angle d’attaque de la « justice » française est basique : comme patron de Telegram, Durov est coresponsable de tous les crimes ou délits que des utilisateurs auraient pu commettre via son réseau social, partout dans le monde.
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Selon cette logique, le patron d’Orange devrait être arrêté pour avoir fourni internet à des criminels.
De même pour le patron d’Apple pour avoir fourni des smartphones à des criminels.
Macron, tout comme les juges à sa botte, n’est que l’instrument de commanditaires beaucoup plus puissants.
Il s’agit bien sûr du gouvernement américain.
Washington se sert des états croupions de l’UE pour faire ce que la loi américaine ne permet pas.
L’idée des juifs est de faire plier les réseaux sociaux qui seraient tentés de leur résister, même partiellement.
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Ces derniers temps, Durov n’était pas dans les petits papiers des juifs.
Haaretz :
Il y a quelques mois, des pirates informatiques étrangers ont réussi à s’introduire dans un ordinateur lié au ministère israélien de la justice. Des dizaines de milliers de fichiers classifiés et de courriels sensibles ont été divulgués. Des liens permettant à quiconque de télécharger ces fichiers ont été publiés sur Telegram, l’application de messagerie instantanée la plus populaire.
Cependant, ils ont rapidement commencé à disparaître. L’un après l’autre, les canaux Telegram des pirates ont été supprimés, leurs utilisateurs effacés et les messages contenant les liens de téléchargement disparus.
Selon un certain nombre de personnes bien informées, Israël mène une guerre numérique sur plusieurs fronts pour tenter d’endiguer la fuite apparemment sans fin de ses informations. Il s’agit notamment de surveiller le web et les sites de médias sociaux à la recherche de fuites et d’adresser des demandes de retrait légal à des entreprises technologiques telles que Google, Amazon, Meta et même Telegram, afin de les supprimer ou de les bloquer.
Depuis le 7 octobre et jusqu’à aujourd’hui, nous avons assisté à un effort concerté de cyber-attaques, dont certaines sont directement liées ou attribuées à des États ennemis et à des organisations terroristes, pour mener des « attaques de perception sous la forme de publication de fuites », explique Haim Wismonsky, directeur de l’unité cybernétique du bureau du procureur de l’État israélien, qui fait partie du ministère de la justice et qui est l’organisme chargé de déposer les demandes effectives auprès des entreprises technologiques.
« La publication de ces fuites a pour but de faire peur, d’inspirer la panique au public et de donner le sentiment que nous sommes exposés et pénétrables, mais elle vise également à causer des dommages économiques, voire à mettre en danger la vie des personnes dont les données personnelles sont incluses dans ces fuites », a expliqué M. Wismonsky à Haaretz.
Cette politique et la manière dont elle est mise en œuvre font d’Israël un cas unique. De nombreux pays, dont les États-Unis, prennent généralement des mesures pénales ou juridiques à l’encontre des auteurs de fuites, qu’ils soient étrangers ou locaux, mais s’accommodent de l’existence de la fuite en ligne. Israël, en revanche, utilise les règles internes des entreprises technologiques pour les inciter à retirer les produits piratés en son nom – et empêcher ainsi les données divulguées d’atteindre le public ou les journalistes, tant en Israël qu’à l’étranger.
Les plateformes, même celles qui sont considérées comme hostiles aux demandes des gouvernements, comme Telegram, ont mis en place des règles destinées à les défendre contre les ramifications juridiques de la conduite de leurs utilisateurs. Il peut s’agir de demandes de retrait pour violation des droits d’auteur ou de plaintes pour diffamation.
Les documents piratés entrent dans la catégorie générale des biens volés, de sorte que les politiques mises en place pour empêcher la diffusion de fichiers permettant de télécharger illégalement des films ou des séries télévisées peuvent également être utilisées pour retirer des documents piratés, volés sur des serveurs israéliens sans le consentement de l’utilisateur.
Ces derniers mois, par exemple, des demandes israéliennes signalant des violations des conditions d’utilisation de Telegram ont conduit à au moins dix suppressions d’utilisateurs et de canaux de groupes de pirates. Souvent, ce sont les mêmes groupes de pirates qui, sans se laisser décourager, ont ouvert un nouveau canal et posté de nouveaux liens vers les mêmes fuites.
Depuis le début de la guerre, Telegram s’est révélé être un défi de taille pour Israël. Alors que de nombreuses entreprises technologiques ont rationalisé les mécanismes par lesquels les États peuvent les contacter, Telegram est considéré comme le moins coopératif de tous.
Qui plus est, alors que de nombreuses plateformes de médias sociaux ont investi massivement dans la modération, permettant aux personnes et aux organisations d’aider à surveiller le contenu – par exemple, le retrait de contenu antisémite ou de messages incitant au terrorisme ou même le retrait de vidéos du massacre du 7 octobre – Telegram ne l’a pas fait. Les États et les utilisateurs disposent d’une adresse électronique unique à laquelle ils peuvent envoyer leurs griefs.
Telegram est apparu au début de la guerre comme une plateforme clé utilisée par le Hamas dans sa guerre de l’information contre Israël, une plateforme qu’Israël n’a pas été en mesure de traiter correctement, faute de capacités de surveillance et de compréhension de la plateforme. Préoccupés par la vague de contenus pro-Hamas, qui comprenait des vidéos de l’attaque elle-même ainsi qu’un flux constant de matériel de propagande, des Israéliens du secteur des hautes technologies ont tenté, à la fin de l’année 2023, de contacter le fondateur de Telegram, Pavel Durov.
Bien qu’ils aient réussi à contacter Durov, qui vit aux Émirats arabes unis, celui-ci s’est montré peu réceptif à ces demandes privées d’amélioration de la modération sur la plateforme. Bien que quelques pages liées directement à l’aile militaire du Hamas aient été bloquées localement par la suite, l’initiative privée n’a pas réussi à convaincre le fondateur de l’application. Des sources expliquent que Google ou Meta retireront une page s’il s’avère qu’elle est directement liée au Hamas et qu’Amazon supprimera un site web pour avoir hébergé du matériel terroriste.
Sur Telegram, le contenu ne peut pas être supprimé avec de tels arguments. Seules les marchandises manifestement volées seront retirées, ce qui fait des réclamations de contenu la seule voie efficace pour les autorités juridiques israéliennes. Les données parlent d’elles-mêmes : Selon les chiffres officiels fournis par Israël, le ministère de la justice a envoyé à Facebook plus de 40 000 demandes de retrait de « contenu illégal » qui ont été acceptées. Il ne s’agit pas de messages pro- ou anti-israéliens, mais de contenus illégaux au regard des normes occidentales. Même TikTok a retiré plus de 20 000 messages signalés par Israël. Sur Telegram, ce nombre est légèrement supérieur à 1 300.
Les juifs veulent faire main basse sur Telegram.
Si Durov veut pouvoir à nouveau faire le tour du monde avec des prostituées slaves, il va devoir donner aux juifs ce qu’ils veulent.
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zorume-star · 2 months
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GRÈVE DE LA FAIM D’UNE USAGÈRE DE LA PSYCHIATRIE EN COLÈRE, EXTÉNUÉE MAIS PAS (DU TOUT) À COURT D’ESPOIRS
REVENDICATIONS
Liste complète sur g1graine.fr !
B/ ️ POUR LA NEURODIVERSITÉ, LA FIN DES DISCRIMINATIONS, L’INCLUSION DE TOUS-TES : “Rien sur nous sans nous”
🔎 Constat : les personnes neurodivergentes / en situation de souffrance psychique sont encore bien trop souvent stigmatisées par la société. Les associations censées défendre leurs droits sont pour une grande partie d’entre elles tenues par des aidant-es et non pas par les personnes directement concernées, Au même titre que les autres oppressions, la psychophobie se cumule avec d’autres systèmes de domination : seule une approche intersectionnelle globale est en mesure d’aider toutes les personnes directement concernées sans distinction, sur des principes d’égalité.
🎯 Objectifs : il faut impérativement changer les représentations et discours sur la neurodiversité pour qu’ils cessent de stigmatiser, voire d’inciter à la haine. Les personnes directement concernées par les problématiques de santé mentale doivent rester unies et solidaires dans les luttes pour leurs droits, malgré les tentatives de séparation entre “bons” et “mauvais” malades, les hiérarchisations, etc. La société dans toutes ses parties et dans tous les domaines doit favoriser l’inclusion des personnes neuroatypiques / en situation de handicap psychique / souffrant de troubles psychiques.
☑️ A mettre en place
Reconnaissance des discriminations psychophobes comme des délits discriminatoires 
Sensibilisation de toute la société et tout le corps médical ainsi que la police (avec formations obligatoires) sur les violences exercées sur les personnes en situation de handicap psychique
Création de campagnes de prévention et d’information inclusives sur la santé mentale et contre la psychophobie (faites par les personnes directement concernées elles-mêmes)
Meilleure éducation sur le sujet par les personnes directement concernées à toutes les échelles de la société (école, travail, culture, médias…)
Fin de la pathologisation des personnes queer (trans, non-binaires, homosexuelles, bi, pan, asexuelles, intersexes, etc)
Prise en compte des dynamiques intersectionnelles dans les violences psychophobes et dans la prise en charge en santé mentale en général (par exemple : inégalités quand on est une femme, quand on est racisé-e, etc dans l’accès aux diagnostics et leur attribution)
Prise en compte de la parole des psychiatrisé-es/neuroatypiques lorsque sont signalées des VSS (violences sexistes et sexuelles)
Meilleur accompagnement des personnes psychiatrisées souhaitant devenir parent-es (fin de l’omerta sur cette question de la parentalité chez les personnes psychiatrisées, meilleur accès à l’information et arrêt des entraves plus ou moins implicites dans le processus)
Meilleure représentation des personnes handicapées dans tous les domaines de la vie publique et professionnels (y compris en politique et dans les médias)
Mise en place d’un système scolaire inclusif pour les personnes neuroatypiques ou ayant des problématiques en santé mentale
Abolition de la mise sous tutelle et de la privation de capacité juridique (cela doit être remplacé par un système assisté pour permettre aux personnes directement concernées de faire leurs propres choix)
Gestion plus participative des MDPH, en incluant des personnes directement concernées dans les décisions et les administrations 
Arrêt des discours eugénistes sur les handicaps psychiques
Remise en question profonde du diagnostic HPI, des tests de QI, de l’étiquette empruntée à la médecine nazie “Asperger” ; fin des hiérarchisations des personnes sur la base d’une prétendue “intelligence” (toujours très mal définie ou trop restrictive au demeurant) ou sur l’utilité sociale
Arrêt des distinctions plus ou moins tacites entre les “malades légers” et les “malades sévères/profonds/irrécupérables”
Arrêt des représentations édifiantes, fétichisantes, paternalistes, dévalorisantes, déshumanisantes, diabolisantes du handicap psychique
Meilleure aide à l’enfance et prise en compte des violences intra-familiales qui se déploient de manière systémique dans toute la société 
Plus d’inclusion des personnes directement concernées dans les processus de soins, les établissements de santé, les métiers de la santé mentale
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Toutes les revendications → https://g1graine.fr/ Signe la pétition → https://www.change.org/p/pour-la-neurodiversit%C3%A9-la-sant%C3%A9-mentale-et-une-grande-r%C3%A9forme-de-la-psychiatrie
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lounesdarbois · 1 year
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L'ordre public?
L'ordre public a eu le temps ces 20 dernières années de démontrer qu'il est pire que l'émeute de primitifs enragés: il est plus avilissant, plus déshonnorant, plus violent, beaucoup plus mortifère par suicides et obstacles à la reproduction que l'explosion sporadique de mugissements des cités. L'ordre public c'est quand les Blancs portent et nourrissent les non-Blancs occupés à chier sur eux. L'ordre public c'est de dépenser de la compassion pour des faux-mendiants qui une fois rétablis se vengent sur vous de vos largesses. L'ordre public c'est tolérer ce qui vous tue, c'est épargner ceux qui vous tuent. Mais soyons très concrets. L'ordre public c'est l'exploitation des Blancs catalysée pour engraisser, panser, favoriser des gens comme ça :
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des gens comme ça :
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des gens comme ça :
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Des "gens" qui ne rapportent rien aux vrais hommes, qui occupent des places sans améliorer les places, qui obtiennent les places par la pitié des vrais hommes et ne leur rendent aucune pitié une fois en place.
La république ce sont les franc-maçons. On se libère de la république seulement si l'on se libère des franc-maçons.
Les Décombres de Rebatet regorge d'exemples désastreux de restauration ratée par une bourgeoisie efféminée, crédule et parcimonieuse qui fait faire le travail par les autres. Or les rares réformateurs qui se lèvent aujourd'hui sont à deux doigts de recommencer tout ce qu'il ne faut pas faire.
L'ordre public? Éteindre des pétards pour que millions de répugnantes gueunons puissent à nouveau digérer au calme, dans un calme obtenu à nos frais, c'est cela le programme de sécession ? Tous les débats de civilisation depuis soixante ans en reviennent toujours à cette cochonnerie de "place de la femme" parce que la dondon artémisienne hurleuse qui a ses lunes est le vrai Surmoi de tous ces pseudos réformateurs de l'impossible quoi qu'ils en disent. La vraie réforme commence par une grande tarte dans la gueule aux Idoles de ce monde et déchéance de Personnalité Juridique selon les antiques lois des sagesses européennes. Réforme hors ces prémices minimales est chevalerie à la rose courtoise pour cocu materné content de l'être, sous cheftaine intrusive, sous vingt mille lieues sous les *.
Le féminisme n'est pas une idéologie mais une ontologie (Félix Niesche). Notre religion c'est la victoire du Père Éternel sur Mama Africa la sorcière et son écrasement en public dans sa crasse vaudou dont elle n'aurait jamais dû sortir, tout le reste c'est du compromis 50-50 "renégociable" pour cocu bientôt 10-90. C'est toute l'histoire de la Belgique par exemple et de son "l'union fait la force" entre catholiques et libéraux. On a vu comme le 50-50 à tourné en quelques années !
Une réforme sérieuse ? Alors évaluez le degré de méchanceté politique que devra assumer l'équipe de terrain "sale boulot" pour que les braves gens puissent vivre en paix. Évaluez le nombre de hiérarques des médias, des partis, des banques, des loges, des lobbys, des Parquets, des officines culturelles... qui devront "réintégrer l'arc républicain" lui-même "réajusté". Évaluez le nombre de livres scolaires qu'il faudra refaire, le nombre de bouches inutiles qu'il faudra licencier, le nombre de parasites qu'il faudra exposer en public aux travaux forcés, le nombre de colons qu'il faudra remigrer, le nombre de bobos gauchistes qu'il faudra détrousser de ce qu'ils ont volé, le nombre de putes qu'il faudra exiler dans un territoire-poubelle à définir outre-mer où elles iront vivre selon les vœux de leurs mœurs privées (grand moment de Justice), le nombre d'incapables qu'il faudra virer d'emplois où elles n'ont rien à faire, le nombre de "mariages" contre-Nature qu'il faudra annuler, le nombre de "normes" urbaines et sanitaires qu'il faudra supprimer, le nombre de parents de racailles qu'il faudra verbaliser puis dégager du pays, le nombre de panneaux descriptifs qu'il faudra ériger pour rééduquer la mémoire de la très dangereuse masse indifférente des cons et des inertes, le nombre d'écoles de commerce qu'il faudra fermer, le nombres de turbines à vent qu'il faudra démonter avec leurs antennes et leurs radars alentours, le nombre de "plate-formes de logistique" vastes comme trois villages qu'il faudra démanteler pour les regrouper de 10 en 1 seule, et enfin le nombre de volontaires qu'il faudra pour accomplir ce travail, sachant qu'il est juste un pré-requis à une possibilité d'embellissement.
Alternative : l'ordre public vers lequel on retourne tout droit, encore pour des années.
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alainverdi · 1 year
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Corse: Mafia or not Mafia? Un sommaire des articles déjà publiés
En Mars 2022, j’ai débuté la publication d’une série d’une trentaine d’articles, sur le blog du site mediapart,  pour tenter de répondre à une question : existe-t-il une Mafia corse ?  La somme de ce travail entend, en partie, fournir un maximum d’éléments de réflexion autour du thème des mafias. Nous retrouvons, ici, un sommaire avec des liens menant à ces articles. D’autres articles pourraient suivre.
            Alain Verdi  7 Avril 2023                       
   Autant l’écrire, tout de suite, la réponse à une question aussi délicate est loin d’être évidente. Après des années de réflexion et d’enquête, une seule certitude s’impose : décider de l’existence d’une Mafia, n’est pas le résultat  d’une simple réflexion intellectuelle et/ou juridique.  L’exemple de l’Italie est là pour illustrer, de jure,  le long travail mené par plusieurs instances de la société italienne.
Le mot Mafia, apparait dès la seconde moitié du 19ème siècle. Pourtant, des lois s’insérant dans un corpus législatif cohérent, ne seront votées qu’au début des années 1980. Il s’agit d’un choix politique. C’est logique, puisque les mafias sont des objets politiques. C’est ce que nous verrons, tout au long de mes articles.
En d’autres termes, cela veut dire qu’une Mafia peut exister  -in vivo-   sans être désignée comme un danger à abattre pour protéger la société. C’est exactement ce qui c’est passé, en Italie, durant un siècle.
Cela étant dit, la reconnaissance  -de jure- d’une Mafia et l’application de lois répressives, à son encontre, n’a pas à ce jour débouché sur son éradication. Le phénomène mafieux est profondément inscrit dans certaines sociétés, ce qui rend la séparation entre Légal et Illégale particulièrement difficile. L’exemple de la Mafia japonaise (yakuza), que j’aborde dans un des articles, est une illustration presque caricaturale de l’intégration d’une Mafia dans une société humaine.  
De plus, l’évolution des sociétés et le tri, compliqué, entre la légalité et l’illégalité, ont accentué le développement de « zones grises ». D’où une très grande confusion.
Nous pouvons dire, aujourd’hui, que les méthodes mafieuses semblent se généraliser. Nous observons ainsi une « mafiosisation » sans Mafias.
A moins que cela ait été toujours le cas et que les moyens contemporains de communication et l’échange d’informations nous rendent l’importance de cette « mafiosisation » plus visible.
Le contenu des articles, déjà mis en ligne, peuvent être complétés en fonction de nouveaux articles et/ou de nouvelles informations que je pourrai découvrir, au fur et à mesure de ma réflexion. 
Vous trouverez, ci-dessous, les liens vers les différents articles.
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Autonomie de la Corse : les réalités cachées et les intentions non exprimées
20 mars 2022
Qu’est-ce qui déclenche l’ouverture de discussions politiques sur le principe d’un statut d’autonomie de la Corse ? En apparence, ce sont les émeutes, dans l’île, consécutives à l’agression (2 Mars 2022) contre Yvan Colonna, l’assassin du préfet Claude Erignac. Il reste à donner un contenu au mot « autonomie ». Les partenaires ont eu des dizaines d’années pour y réfléchir, et pourtant…
L' AUTONOMIE DE LA CORSE : REALITES CACHÉES ET INTENTIONS NON EXPRIMÉES-SUITES
25 mars 2022
Dans mon article du 20 Mars, j’ai négligé quelques points. Notamment la répartition des rôles entre les politiques insulaires nationalistes et la classe dite « traditionnelle ». De plus, un constat apparait : le débat se focalise sur un statut « plus particulier » au moment où la société corse ressemble le plus au « modèle français » rejeté par certains. Les contradictions ne sont qu’apparentes.
Corse: quelle économie pour une autonomie?
5 avril 2022
Quelle est la situation économique et sociale de la Corse ? Répondre à cette question peut aider à ouvrir des pistes pour un statut d’autonomie. Une autonomie aide-t-elle une région à se développer ? Pour se faire une idée, j’ai essayé de comparer certaines données économiques et sociales de plusieurs régions autonomes méridionales. Il n’y a pas de réponse tranchée. Chaque île doit s’adapter.
 Corse : un si long dimanche de fiançailles
8 avril 2022
Après trois articles longs et difficiles à digérer, il faut laisser l’esprit se reposer. En attendant, des articles, également longs et aussi difficiles, je vous propose un conte sur le thème : La valse hésitations dans les rapports entre le gouvernement et la Collectivité De Corse. Pour plagier Marivaux, il pourrait s’appeler « De la double inconstance ».
La « 6ème République » sans changer la constitution Essai sur l’impuissance politique
23 avril 2022
Le 1er tour des présidentielles confirme une série d’évolutions: Pour la 3ème fois en vingt ans, l’extrême droite remplace la droite républicaine. Les partis « de gouvernement » explosent et se dirigent vers une « refondation ». Face au libéralisme triomphant, les idéologies sont toujours présentes. Comment en sommes-nous arrivés là ? Est-ce un « tournant » ou un habillage ?
Corse: mafia or not mafia? Décoder pour comprendre
10 août 2022
Une session de l’Assemblée de Corse, consacrée au « phénomène mafieux dans l’île» devrait se tenir en Octobre 2022 (finalement, elle se tiendra le 18 Novembre). Voir article, plus loin.  Ce débat est réclamé par une partie de la société civile et du monde politique. Avant la tenue de ce débat, je vais publier une série d’articles sur le phénomène mafieux. Ils sont issus d’un travail que je mène depuis plusieurs années sur le thème : Corse, mafia or not mafia ?
Une Mafia corse ? D’abord, définir le terme
13 août 2022
Corse, Mafia or not Mafia? Le premier article d’une longue série consacrée à ce thème, porte sur la définition d’une Mafia. Principal constat : sa pérennité. En France, l’idée qui prédomine est que ce serait une « super criminalité organisée en bandes… éphémères. En Italie, le droit reconnaît deux types de criminalité, le droit français un seul. L’ambigüité commence là.
Efficacité des lois anti-mafia et indépendance des magistrats, France-Italie
14 août 2022
L’Italie est le seul pays de l’UE à posséder un arsenal judiciaire « anti-mafia ». Ce dispositif montre une certaine efficacité, mais rencontre une opposition du monde politique. En France, les Procureurs n’ont pas le niveau d’indépendance statutaire des Italiens. Les deux pays manquent de moyens, mais la Justice italienne reste efficace contre les mafias, avec des limites et jusqu’à quand ?
 Mafias et affaires criminelles : juger avec ou sans jury ?
18 août 2022
Les jurys populaires sont-il compétents pour juger des affaires de grande criminalité ? Des magistrats français demandent leur remplacement par des cours composées de juges professionnels. Cela fait suite à une série d’acquittements dans des procès, notamment sur des « dossiers corses ». Ces échecs ne viennent-ils pas, aussi, de la faiblesse de l’appareil juridique français? Le débat est ouvert.
Confiscation des biens mafieux : intérêt et limites
19 août 2022
A l’exemple de l’Italie, la France saisit les avoirs de la grande criminalité. Ces organisations se voient touchées « au portefeuille ». Les mafias sont affaiblies par ces confiscations, mais la gestion des biens saisis par les Justices n’est pas aisée. Seule une petite partie des immenses valeurs est utilisée. Les mafias trouvent des solutions pour limiter les conséquences des confiscations.
Italie, un régime de « prison dure » pour les mafieux
21 août 2022
L’Italie possède un régime spécial d’incarcération pour les mafieux et les terroristes. C’est l’article 41bis du code carcéral. Les détenus sont placés en isolement sévère. L’État italien a fait construire plusieurs prisons équipées en ce sens, elles comptent plusieurs centaines de détenus. Plusieurs fois saisie, la justice européenne ne condamne pas, entièrement, ce « régime dur ».
Étude comparée des statuts des « repentis »
22 août 2022
Cet article porte sur les limites de la protection des collaborateurs de Justice, en France et compare les lois françaises à celles des pays qui possèdent un statut plus développé : Italie, USA, Canada. Article publié en 2017, j’ai tenté de l’actualiser. Le droit français continue à contenir des lacunes dans les moyens juridiques accordés. Une certaine frilosité politique semble dominer.
Criminalités comparées, Corse-mafias, suite du programme
3 sept. 2022
Après la description juridique des mafias italiennes et l’analyse des systèmes judiciaires français et italiens, voici venu le temps de faire connaissance avec certaines mafias (Italie, Japon…). En attendant d’observer le « cas corse », nous regarderons les conséquences politiques économiques et sociales des criminalités mafieuses et non mafieuses dans plusieurs régions du monde.
‘Ndrangheta, la puissance d’une mafia
4 sept. 2022
Avec cet article sur la ‘Ndrangheta, débute une série de descriptions de différentes mafias. L’organisation calabraise est de plus en plus citée. La comparaison avec la criminalité corse a ses limites. Nous allons tâcher de voir si nous pouvons extraire des éléments de la situation en Calabre, pour mieux comprendre le « cas corse ».
Yakuza, la Mafia du Pouvoir japonais
11 sept. 2022
Les yakuzas sont connus, car leurs activités criminelles sont quasi « officielles ». Les observateurs parlent de « liens organiques » avec les Pouvoirs politiques et économiques. Les yakuzas font la synthèse entre gangstérisme, nationalisme, extrême droite et gouvernements. Plusieurs clans avaient leurs bureaux, connus de tous. Les temps changent, mais le poids ce cette puissante Mafia demeure.
Banditisme, Mafia: la Sardaigne un cas à part ?
16 sept. 2022
La Sardaigne n’a pas de Mafia endogène. Cela n’empêche pas l’Île de posséder SA criminalité « ordinaire » et même une criminalité « typique » dans une des cinq provinces de la région. Cette criminalité peut-elle se transformer en Mafia ? C’est une question que posent les autorités italiennes en charge de la lutte contre les délits mafieux. La Sardaigne est située à 20 Km de la Corse.
Baléares : pas de mafia locale, mais gare à la corruption
20 septembre 2022
Les Baléares, un archipel pauvre devenu riche. Le moteur du développement économique est le tourisme. Les Baléares n’ont pas de Mafia endogène, mais le marché immobilier qui accompagne le développement touristique attire des mafias étrangères qui veulent blanchir leur argent. Ce constat n’est pas sans effet sur le niveau de corruption.
Délits financiers, criminalité : les arrangements avec les États
24 septembre 2022
Les États ont une position ambigüe avec les organisations criminelles. Idem pour les malversations financières, quand des banques sont impliquées. Les amendes pleuvent, mais les condamnations pénales sont rares. Les banquiers profitent de cette zone grise. Le système a besoin de l’argent sale. Protéger les banques, c’est aussi protéger les mafias. Un renvoi d’ascenseur politique et économique.
Deux Italie : extrême droite, division politique et économique Le terreau des mafias
26 septembre 2022
Comment s’étonner du résultat des élections italiennes de ce mois de Septembre 2022 ? La victoire d’une coalition Droite-Extrême Droite est la conséquence d’un pays, de longues dates, divisé en deux : d’abord sur le plan économique et social (Nord-Sud) et par conséquence sur le plan politique. Une division qui favorise la grande criminalité.
État Italien-Mafias : tractations secrètes et liens inavoués
11 octobre 2022
Je poursuis, ici, la série d’articles sur les rapports ambigus entre des organisations criminelles et les Pouvoirs. Cet article aborde des « négociations » inavouées entre l’État italien et des boss mafieux (fin années 80-début 2000). Cette période a particulièrement défrayé la chronique, mais ces liens ambigus semblent consubstantiels à l’Italie, de sa création à nos jours.
Unité des pays européens : l’exemple italien, vraiment hors-normes ?
23 octobre 2022
Au 19è siècle l’Allemagne et l’Italie deviennent des États unifiés. Seule la péninsule héritera de mafias. Motif : « une étatisation manquée ». Ces organisations criminelles sont en « symbiose » avec une partie de la société. Des élites politiques et économiques forment un triangle avec la criminalité. On les retrouve au sein de loges maçonniques « dévoyées », dans une clandestinité… apparente.
Misère en Italie, grande pauvreté en Corse – Criminalité » et pauvreté
2 novembre 2022
Aujourd’hui, la Corse demeure la plus pauvre des régions françaises métropolitaines. Cependant, les indicateurs économiques la situent en meilleure place que certaines régions italiennes. Du 19è siècle à aujourd’hui, plusieurs régions du Mezzogiorno souffrent d’une véritable misère. La présence de mafias conforte cette situation. Nous observerons l’intérêt d’une comparaison et ses limites.
La criminalité en Corse, une illustration de la situation méditerranéenne ?
10 novembre 2022
La criminalité, en Corse, est-elle d’un genre « original » ou bien s’inscrit-elle dans le droit file de ce qui se passe dans les « régions mafieuses » du Mezzogiorno, particulièrement en Sicile ? L’éloignement de l’État, la présence de familles délinquantes, sont des points semblables. Mais le niveau de violence et les conditions socio-économiques sont dissemblables.
Criminalité en Corse. 1è partie : connaître l’Histoire pour comprendre l’actualité
14 novembre 2022
En Corse, selon des médias, l’association voyous, Politiques, entrepreneurs serait « nouvelle ». Un coup d’œil dans le rétro dément cette assertion. Déjà, entre le 19è et 20è siècle, des journaux faisaient souvent des impasses. Le vieux système claniste a-t-il ouvert la voie à un système mafieux, comme en Sicile par exemple ? Le monde change.
Criminalité en Corse. 2è partie : le clanisme, un pas vers la Mafia ?
16 novembre 2022
Le clanisme n’est pas une organisation criminelle. Mais il s’appuie parfois sur la violence. Il ne défend pas, officiellement, une idéologie et s’adapte au Pouvoir du moment. Il peut critiquer un projet national et le récupérer localement. Le système est, à la fois, dans l’Histoire et en marge de celle-ci. Mais le monde change, le clanisme est-il toujours efficient ?
Pas de Mafia corse. A défaut, la CDC reconnait une « dérive mafieuse »
20 novembre 2022
La séance de l’Assemblée de Corse, consacrée à la Mafia, attendue depuis des mois, s’est finalement tenue, fait remarquable, sans heurts majeurs. Comme prévu, il n’y a pas eu de surprises. Les élus se sont exprimés, de manière convenue. La session fut cathartique, les coups furent retenus. L’État en a pris pour son grade, le plus élevé, car lui seul peut réellement régler le problème.
Criminalité en Corse. 3è partie : du 20ème au 21ème siècle
16 décembre 2022
La criminalité corse remplit une fonction. Elle est instrumentalisée et instrumentalise. Ce faisant, l’État donne le mauvais exemple. Après avoir bien servi dans les colonies, le Milieu est rentré vivre et travailler au pays, toujours en partie « protégé ». De la French Connection au « Petit Bar », le principe semble, presque, le même.
Corse : Rapport du SIRASCO, Mafia ou « méthodes mafieuses » ?
20 décembre 2022
Un rapport « confidentiel » du SIRASCO (Service d'Information, de Renseignement et d'Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée) a « fuité » dans les médias. Les enquêteurs parlent de « 25 équipes criminelles » qui sévissent en Corse. Cet ensemble représente-t-il une Mafia, ou bien s’agit-il d’une criminalité atomisée ? Finalement, cette nuance est-elle si importante ?
Criminalité en Corse. 4è partie : nationalisme, violence et banditisme
23 décembre 2022
La violence politique en Corse est souvent associée à la grande criminalité, qu’en est-il ? Les autorités ont longtemps combattu la violence politique et minimisé, voir « protégé » le Milieu. Des « nationalistes » ont alimenté la confusion. Que veut l’État ? Les autonomistes sont au pouvoir régional, d’éventuelles négociations divisent le mouvement « nationaliste ». Est-ce l’heure des choix ?
Entretien avec Gilles Simeoni Président de l’Exécutif de Corse
23 décembre 2022
Mafia et violence politiques sont-ils des obstacles à des négociations entre le gouvernement et les dirigeants de l’Assemblée de Corse ? Quid d’une « Mafia » et quels sont les freins à un statut d’autonomie, suggéré par le ministre de l’Intérieur ? Pour le président de l’Exécutif régional : « Il n’y a pas d’autre chemin que celui du dialogue, que celui d’un processus au bon niveau, qui réussit ».
Alain VERDI 7 Avril 2023
    Vous pouvez lire cet article et les autres, sur le blog de Mediapart:
je vous signale que vous pouvez envoyer un avis et/ou une question en  cliquant sur l’onglet Posez vos questions et remarques en cliquant sur ce lien.
Vous pouvez retrouver une série d’articles sur différents thèmes, en lien avec la Corse, sur mon ’autre blog de Tumblr,: E Pericoloso Sporgersi
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claudehenrion · 2 years
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Un triste ''mondial'' de football
    Dans une semaine, aura lieu, au Qatar, la cérémonie d'ouverture du ''Mondial'' de football, cette Coupe du Monde de la FIFA.  Cet événement fait scandale depuis déjà douze ans, depuis l’attribution de l'organisation de cette compétition à cette petite (et richissime) monarchie du Golfe qui n’a aucune des qualités objectives qui justifieraient un tel choix. Pas un jour n'est passé, depuis, sans que quelqu'un ne pose la question : ''Comment ce scandale a-t-il été possible ?''. Sans surprise, le mot ‘’corruption’’ revient le plus souvent, en réponse à cette question... intéressée.
Que l’on soit amateur de ‘’foot’’ ou non, éclairé ou pas, joueur soi-même, vrai fan ou tiède, la Coupe du monde est intéressante à plusieurs titres. Le temps d’un mois, des nations vont s’affronter devant des foules enthousiastes, dans un sport qui jouit d'une popularité unique, dans tous les pays. Cette grande fête du sport permet de découvrir un pays, promu pour un mois ''grand temple des dieux du stade'', comme les Jeux Olympiques. Et pourtant --et ça, c'est... une grande première qui se répète très, trop souvent-- les ingrédients ne semblent pas être réunis pour que cette Coupe du monde 2022 soit un triomphe footballistique : le pays-hôte, le Qatar, a une histoire très récente et un intérêt culturel très limité... mais là n'est pas la cause du ''désamour'' annoncé : c'est le contexte, qui est présenté comme très lourd...
Il ne fait de doute pour personne que le Qatar a acheté son organisation auprès des instances de football et de certains chefs d’État. Si les dessous de table sont légion en matière d’attribution de compétition, ici, l’organisation de ce tournoi prestigieux dans un territoire 3 fois plus petit que la Normandie relève de l’absurde... et d'une corruption ''XXL +''. En outre, cette ''grande fête du football'' (comme il faut dire, en jargon journalistique) se déroulera sur un cimetière, celui de milliers, dit-on, de travailleurs venus du Népal, d’Inde, du Pakistan et du Sri Lanka, morts dans ou pendant la construction des infrastructures sportives. En détournant le mécanisme juridique d’adoption islamique (la ''kafala''), la monarchie qatarie a exploité des milliers d’êtres humains d'une manière qui s’apparente à l’esclavage.  Et s’ajoute une donnée qui déplaît aux amateurs de ballon rond : le Qatar n’est pas un pays ''de foot'', comme, par exemple, Allemagne, France, Italie, Brésil ou Argentine.
Et, cerise sur le gâteau, en plein dans cette période d’obsession pathologique pour ce que certains appellent ''Ecologie' (qui n'est qu'une nouvelle iso-religion, animiste mais ''intégriste-issime''), l’organisation de cette Coupe du monde se fait dans un pays où il a fallu climatiser les stades et les terrains, affréter des ‘’monstres pour croisières’’ pour les spectateurs (faute de nombre suffisant d’hôtels) et n-tupler les avions de ligne et les fameux ''jets privés'', cauchemar de nos faux écolos / vrais jaloux égalitaristes … A l’heure de la sobriété énergétique, des pull-over à col roulé de nos clowns-politiciens (NDLR : en cachemire, tout de même : on n'habite pas l'Elysée pour rien ! Se conformant à ses propres recommandations, notre Président a ''traversé la rue'' pour trouver un déguisement qui fasse croire qu'il est prêt à assumer les conséquences de ses décisions, plus poutinophobes qu'ukrainophiles --ce blocus inutile va nous faire cailler tout l'hiver et nous priver de tout... pour rien. Mais est-ce de sa faute si, de l'autre côté de sa rue, il y a Hermès ? Nous devrons en reparler), ces éléments paraissent être en contradiction insultante avec toutes les initiatives pseudo-environnementales à la mode, auxquelles il est obligatoire de dire qu'on sacrifie, et avec les souhaits sans lendemain qui vont être ''égrenés'' à Charm el-Sheikh dans les comptes-rendus de la COP 27 (dite ''de la dernière chance'', comme toutes celles qui l'ont précédée et toutes celles qui la suivront)... qui resteront lettre morte tant que le problème climatique sera posé d'une manière plus politique (voire ‘’iso-religieuse’’) que scientifique, ce qui le rend insoluble...
Et il reste le chapitre délicat des fameux ''droits de l'Homme'', qui deviennent de plus en plus, en Occident, des ‘’droits’’ (?) des féministes pathologiques, des homosexuels militants, des bi-, des trans-, et des ''Q'' (sic !)… ces ''fourre-tout'' faussement victimaires mais vraiment anti-démocratiques (puisque priorisant la tyrannie de n'importe quelle minorité au détriment de toute majorité digne de ce nom) qui sont, toutes, difficilement compatibles avec l’islam officiel qatari. (NDLR : les pays occidentaux, d’ordinaire si prompts à se sur-mobiliser sur des ''droits-de-l'hommisme pourvu qu'ils soient dévoyés'', réagissent plus vite, d'habitude, de peur d'être accusés de ''quelque-chose-o-phobie'' ! Mais là... il y a tellement de ''wadi'' (c'est le pluriel de ''oued'') de dollars qui ruissellent, que c'est ''Silence dans les rangs'' ! Primum vivere, deinde... parler de ses soi-disant grands principes pervers)
Il faut reconnaître que le Qatar, en obtenant l’organisation du Mondial et en passant entre les mailles du filet de tous les scandales, a fait preuve d’une capacité étonnante à défendre ses intérêts. Après avoir fait main basse sur des biens économiques, puis culturels, et acheté des clubs de football comme le Paris-Saint-Germain ou le Sporting Clube de Braga (''Clube'' n'est pas une faute de frappe, c'est du portugais !), le pays s’est offert là une vitrine exceptionnelle en vue de lisser son image en dépit de ses rapports controversés (avec juste raison) avec les pires organisations islamistes, les plus infréquentables, les plus criminelles. 
Mais au fond, il est logique que le Qatar mette ses richesses naturelles au service de son influence dans le monde. Et il a encore plus raison de ''tenir bon'' en maintenant, contre les progressistes enragés, ses ''fondamentaux'' en matière religieuse, morale et civilisationnelle : ce n'est pas parce que nous, occidentaux, ne savons plus que ''baisser notre pantalon'' –pardon pour l'expression, mais je n'en vois pas d'autre !-- depuis une décennie, que les autres devraient s'aligner sur notre indignité, copier notre infamie et imiter notre lâcheté : ce n’est pas le Sheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir du Qatar, qui est en tort, mais tous ceux qui courbent l’échine devant lui et lui passent tous ses caprices… quand ils ne pratiquent pas une collaboration active et bien rémunérée pour lui permettre d’atteindre ses buts.
Face à face, nous avons donc, d'un côté, le flux d'argent rarement atteint d'une stratégie qatarie qui s'appuie sur une super-méga-corruption –mais quel Etat est vierge et pur, dans ce domaine ?-- débouchant sur une ''Coupe du monde du scandale''... et de l'autre côté une caricature de morale redéfinie par un Occident en pleine décadence intellectuelle –ou plus exactement une somme de mauvaises idées mortelles pour tous, reposant sur une redéfinition à contre-role de ce qui fut ''la Démocratie'' –ce régime pire que tous les autres, mais le meilleur qu'on ait inventé, disait à peu près Churchill... Les fausses bonnes âmes (qui font pire, souvent, mais ''pour leur bonne cause'') hurlent à la mort, oubliant que leurs idées sont, elles, déjà bien mortes. Quant au foot... qui en parle, à part Deschamps ?
H-Cl.
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portfolioplatform · 11 months
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Bankman-Fried, une marionnette au pays des cryptos ?
Sam Bankman-Fried, le fondateur de la plateforme d’échange de cryptomonnaies FTX, vient d’être jugé, et son procès a été un événement marquant dans l’industrie crypto et au-delà. Son procès s’est déroulé dans un tribunal de Manhattan suite à son extradition volontaire des Bahamas. Bankman-Fried a été confronté à un procès pour fraude après la faillite de FTX, qui avait déposé le bilan.
SBF coupable de 7 chefs d’accusation
Le procès s’est conclu par sa condamnation pour avoir commis une fraude en volant au moins 10 milliards de dollars à des clients et investisseurs. Ce verdict a été rendu par un jury new-yorkais et, en conséquence, Bankman-Fried est désormais confronté à la possibilité de passer des décennies en prison.
Ce procès a été une affaire très médiatisée, car son parcours incluait des témoignages devant le Congrès et des aspirations à un avenir politique, qui se sont soldés par une chute spectaculaire. Suite au verdict de culpabilité, il a été reconnu coupable de sept chefs d’accusation criminels de fraude et de conspiration. Cette affaire n’est pas seulement une tragédie personnelle pour Bankman-Fried mais aussi un moment significatif pour le monde de la crypto-monnaie, qui continue de faire face à un environnement juridique complexe même après ce procès.
Bankman-Fried tombe mais Bitcoin pump
Le jugement de Sam Bankman-Fried a apparemment soulevé une interrogation plus vaste : est-ce que l’industrie des cryptomonnaies elle-même se trouvait implicitement jugée ?
Reconnu coupable de délits de fraude et de complicité dans des manœuvres de blanchiment de capitaux, cet évènement dans l’arène judiciaire coïncide avec une période où le bitcoin s’élève à des niveaux sans précédent depuis plus d’un an.
La décision de justice n’a pas principalement porté sur le jugement de la technologie crypto, mais plutôt sur la personne de l’accusé lui-même. Ce dernier, qui se trouvait dans une méconnaissance totale des normes régissant le secteur financier, a reconnu avoir engagé les capitaux de ses clients dans des opérations qui sont désormais considérées comme frauduleuses. L’image qu’il avait publiquement construite s’est effritée sous le poids des arguments du procureur, révélant que Bankman-Fried n’était pas le « génie désorganisé » qu’il prétendait être, mais plutôt qu’il faisait preuve d’un amateurisme fautif et répréhensible.
Qui est responsable de ce cataclysme qui a frappé FTX?
Doit-on imputer la responsabilité à l’ensemble du secteur des crypto-monnaies ou uniquement à l’individu concerné ?
Bien que le procès se soit focalisé sur la mauvaise gestion des fonds clients à des fins personnelles, il n’a pas pour autant remis en question la fondation même de la technologie blockchain. Néanmoins, il a mis en lumière des préoccupations sérieuses quant à la réglementation du marché des cryptomonnaies, soulignant le besoin potentiel d’un cadre de contrôle plus strict pour prévenir de tels agissements.
Cette affaire souligne plusieurs éléments problématiques concernant la figure de Sam Bankman-Fried (SBF) et son entreprise, FTX. Elle révèle que SBF, malgré son statut de fondateur de FTX, avait une connaissance très limitée, voire inexistante, du secteur crypto et de la réglementation financière. Cela pourrait être interprété comme une indication que sa capacité à diriger une plateforme d’échange de crypto-monnaies était fondamentalement compromise.
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growthgateway · 11 months
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Bankman-Fried, une marionnette au pays des cryptos ?
Sam Bankman-Fried, le fondateur de la plateforme d’échange de cryptomonnaies FTX, vient d’être jugé, et son procès a été un événement marquant dans l’industrie crypto et au-delà. Son procès s’est déroulé dans un tribunal de Manhattan suite à son extradition volontaire des Bahamas. Bankman-Fried a été confronté à un procès pour fraude après la faillite de FTX, qui avait déposé le bilan.
SBF coupable de 7 chefs d’accusation
Le procès s’est conclu par sa condamnation pour avoir commis une fraude en volant au moins 10 milliards de dollars à des clients et investisseurs. Ce verdict a été rendu par un jury new-yorkais et, en conséquence, Bankman-Fried est désormais confronté à la possibilité de passer des décennies en prison.
Ce procès a été une affaire très médiatisée, car son parcours incluait des témoignages devant le Congrès et des aspirations à un avenir politique, qui se sont soldés par une chute spectaculaire. Suite au verdict de culpabilité, il a été reconnu coupable de sept chefs d’accusation criminels de fraude et de conspiration. Cette affaire n’est pas seulement une tragédie personnelle pour Bankman-Fried mais aussi un moment significatif pour le monde de la crypto-monnaie, qui continue de faire face à un environnement juridique complexe même après ce procès.
Bankman-Fried tombe mais Bitcoin pump
Le jugement de Sam Bankman-Fried a apparemment soulevé une interrogation plus vaste : est-ce que l’industrie des cryptomonnaies elle-même se trouvait implicitement jugée ?
Reconnu coupable de délits de fraude et de complicité dans des manœuvres de blanchiment de capitaux, cet évènement dans l’arène judiciaire coïncide avec une période où le bitcoin s’élève à des niveaux sans précédent depuis plus d’un an.
La décision de justice n’a pas principalement porté sur le jugement de la technologie crypto, mais plutôt sur la personne de l’accusé lui-même. Ce dernier, qui se trouvait dans une méconnaissance totale des normes régissant le secteur financier, a reconnu avoir engagé les capitaux de ses clients dans des opérations qui sont désormais considérées comme frauduleuses. L’image qu’il avait publiquement construite s’est effritée sous le poids des arguments du procureur, révélant que Bankman-Fried n’était pas le « génie désorganisé » qu’il prétendait être, mais plutôt qu’il faisait preuve d’un amateurisme fautif et répréhensible.
Qui est responsable de ce cataclysme qui a frappé FTX?
Doit-on imputer la responsabilité à l’ensemble du secteur des crypto-monnaies ou uniquement à l’individu concerné ?
Bien que le procès se soit focalisé sur la mauvaise gestion des fonds clients à des fins personnelles, il n’a pas pour autant remis en question la fondation même de la technologie blockchain. Néanmoins, il a mis en lumière des préoccupations sérieuses quant à la réglementation du marché des cryptomonnaies, soulignant le besoin potentiel d’un cadre de contrôle plus strict pour prévenir de tels agissements.
Cette affaire souligne plusieurs éléments problématiques concernant la figure de Sam Bankman-Fried (SBF) et son entreprise, FTX. Elle révèle que SBF, malgré son statut de fondateur de FTX, avait une connaissance très limitée, voire inexistante, du secteur crypto et de la réglementation financière. Cela pourrait être interprété comme une indication que sa capacité à diriger une plateforme d’échange de crypto-monnaies était fondamentalement compromise.
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aurevoirmonty · 11 months
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La reine von der Leyen qui décide seule du «soutien incontrôlé à Israël» irrite de plus en plus au sein de l'UE.
Dans une - rare - pétition (https://www.marianne.net/monde/europe/une-petition-des-fonctionnaires-europeens-reproche-a-von-der-leyen-son-soutien-incontrole-a-israel), 850 fonctionnaires de l’UE se disent «surpris par la position adoptée par la Commission européenne» et sa présidente, qui a aveuglément pris parti pour Tel Aviv.
Un soutien qui «s’exprime de manière incontrôlée» et qui se double d'une «apparente indifférence manifestée par notre institution à l’égard du massacre actuel de civils dans la bande de Gaza».
Et, ô surprise, qui s'aligne parfaitement (https://t.me/kompromatmedia/4253) sur la position de Washington, qui vient de mettre son veto à une «pause humanitaire» à Gaza.
Profitant de l'inanité des gouvernements nationaux, von der Leyen est en train de réussir son coup d'Etat silencieux, en définissant seule l'orientation politique de l'UE.
Ce qui juridiquement ne devrait pas être de son ressort, mais en cette période d'effondrement généralisé, les opportunités totalitaires s'ouvrent et les masques tombent.
«Elle se comporte de plus en plus comme une reine», constatait déjà démuni il y a quelques jours un diplomate auprès de Politico (https://www.politico.eu/article/eu-governments-fume-at-queen-ursula-von-der-leyen/).
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yespat49 · 24 days
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Allemagne : L’AFD a remporté une élection régionale et progresse encore
Michel Festivi  Malgré les coups bas, les tentatives de dissolution, les attaques permanentes juridiques et politiques, les manifestations massives des « antifas », les désinformations continuelles et les dénigrements systématiques des partis dits de « droite » comme la CDU, l’AFD poursuit sa course en avant. Des élections régionales avaient lieu ce 1er septembre en Saxe et en Thuringe, pour…
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gulshanwhydonate · 1 month
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Soutenez la Communauté LGBTQ+ Grâce au Crowdfunding
Soutenez la communauté LGBTQ+ grâce au financement participatif LGBT est l’abréviation de lesbienne, gay, bisexuel et transgenre. Il peut également désigner toute personne non hétérosexuelle ou non cisgenre, plutôt que de se rapporter uniquement à celles qui sont lesbiennes, gays, bisexuelles ou transgenres. Une variante populaire, LGBTQ+, ajoute la lettre Q pour les personnes qui se définissent comme queer ou qui se questionnent sur leur identité sexuelle ou de genre, afin de favoriser cette inclusion.
Grâce au financement participatif, vous pouvez soutenir la communauté LGBTQ+ et contribuer au financement de diverses initiatives et projets. Vous pouvez choisir de soutenir un aspect spécifique de la communauté LGBTQ+, tel que le soutien juridique ou une initiative de santé pour les personnes LGBT.
Créez une campagne qui met en avant l’importance et l’impact de votre cause. Vous pouvez utiliser les réseaux sociaux, créer un blog ou un site web dédié pour faire connaître vos efforts.
Promouvez votre campagne sur différentes plateformes pour atteindre vos objectifs et inspirer d’autres personnes à y faire des dons. Plus il y a de personnes qui soutiennent votre cause, plus il est probable que vous puissiez atteindre votre objectif.
La communauté LGBTQ+ : Qui sont-ils ? La communauté LGBTQ+ est composée de personnes ayant diverses orientations sexuelles et identités de genre. Le terme "LGBTQ+" inclut un éventail d'identités qui ne se conforment pas aux normes hétérosexuelles et cisgenres traditionnelles. La lettre "Q" dans LGBTQ+ représente les personnes qui s'identifient comme Queer ou en Questionnement leur identité de genre ou orientation sexuelle. Le "+" symbolise l'inclusion d'autres identités non couvertes par les lettres précédentes.
Les enjeux de la communauté LGBTQ+ Les membres de la communauté LGBTQ+ rencontrent souvent des discriminations fondées sur leur orientation sexuelle ou leur identité de genre. Ces discriminations peuvent se manifester dans divers contextes, y compris le lieu de travail, l'éducation, et les soins de santé. Les préjugés et la marginalisation peuvent également mener à des taux plus élevés de dépression, d'anxiété, et d'autres problèmes de santé mentale au sein de la communauté.
L'importance du soutien à la communauté LGBTQ+ Le soutien à la communauté LGBTQ+ est essentiel pour promouvoir l'égalité et l'inclusion. Ce soutien peut prendre de nombreuses formes, notamment l'éducation sur les questions LGBTQ+, la création d'espaces sûrs et inclusifs, et le plaidoyer pour des politiques anti-discrimination. Les alliés, qu'ils soient membres ou non de la communauté LGBTQ+, jouent un rôle crucial en défendant les droits et en sensibilisant le public aux défis auxquels cette communauté est confrontée.
Les Droits des Communauté LGBTQ en France
En France, les droits LGBT ont bénéficié d’un traitement parmi les plus favorables au monde. En 2017, le pays est devenu la première nation au monde à dépénaliser l’état de dysphorie de genre. Dès lors, les individus sont autorisés à modifier leur sexe légal sans passer par une supervision médicale.
Malgré le fait que la majorité des Français soutiennent le mariage homosexuel et l’adoption par les couples gays, il y existe encore beaucoup de personnes qui s’y opposent. Raison pour laquelle, la communauté LGBTQ peut se tourner, sans effort aucune, vers les plateformes de crowdfunding lors de leurs urgences financières.
Qu’est-ce qu’une parade des fiertés et pourquoi est-elle célébrée?
Une parade des fiertés (également appelée marche des fiertés, événement des fiertés ou festival des fiertés) est un événement en plein air célébré par la communauté LGBTQ ou LGBT pour son acceptation sociale et personnelle, ses réalisations, ses droits légaux et sa fierté. La communauté LGBTQ célèbre la parade des fiertés pour montrer ses droits légaux, y compris le mariage entre personnes de même sexe. Dans certains pays, cet événement a lieu chaque année au mois de juin, en mémoire des émeutes de Stonewall de 1969 à New York. Pendant la parade de la fierté, les LGBT ou LGBTQ cherchent également à ajouter de nouveaux membres à leur communauté pour gagner encore plus en nombre et en notoriété.
WhyDonate Fundraising Stories
Performance-théâtrale-Unravel
Unravel est une performance interdisciplinaire avec du théâtre, du chant et de la danse inspirée par les expériences personnelles de jeunes LGBTQ+. Le spectacle a été conçu par Anysha Bharos et Nazrina Rodjan et il consiste à encourager les jeunes à dévoiler leur propre identité et leur histoire, car beaucoup d’entre eux ne se voient pas assez souvent dans des sujets difficiles à aborder comme le fait d’être homosexuel. Le but de ce type de spectacle est de briser les tabous, discuter de différentes croyances et résultats, mais aussi être un environnement qui reconnaisse et accepte chacun ou chacune comme il ou elle se présente en tant qu’individu.
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Richard and Sebastian Want a Surrogate baby
Richard and Sébastian, are crazy about each other and children. Their greatest wish is to be parents. It may be clear that this is unfortunately not possible biologically, and therefore they need help to have children. Their lawyer will guide them through the process in Canada. The start is actually a major cost item: entering into the process internationally under the supervision of a lawyer. 
Nearly 77 donors collected more than €1.827 for Surrogacy.
WhyDonate Fundraising Stories
Joseph a rêvé d’aider les réfugiés LGBTQ
Joseph travaille comme volontaire en Grèce pour aider les mères célibataires et les réfugiés LGBTQ. L’un des premiers habitants parmi les réfugiés était Carmel, originaire du Congo. Lafortune, du Cameroun, explique que Joseph prend en charge les problèmes des autres comme s’il s’agissait des siens, afin de les résoudre. « Personne ne choisit d’être un réfugié », dit Joseph avec sérénité. Il explique sa motivation en disant: « Parfois, quand je vois les situations que j’ai vécues, qui sont tellement douloureuses, ce serait au moins bien de ne pas voir quelqu’un d’autre passer par ces mêmes situations ». Après le meurtre brutal de sa maman et de sa sœur, étant donné qu’il est gay, Joseph a fui l’Ouganda en 2017. Son voyage l’a conduit en Grèce où il est bénévole pour aider les mères célibataires et les réfugiés LGBTQ. Il a maintenant une chance d’investir son avenir en étudiant l’Informatique dans une Université.
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Unravel est une performance interdisciplinaire avec du théâtre, du chant et de la danse inspirée par les expériences personnelles de jeunes LGBTQ+. Le spectacle a été conçu par Anysha Bharos et Nazrina Rodjan et il consiste à encourager les jeunes à dévoiler leur propre identité et leur histoire, car beaucoup d’entre eux ne se voient pas assez souvent dans des sujets difficiles à aborder comme le fait d’être homosexuel. Le but de ce type de spectacle est de briser les tabous, discuter de différentes croyances et résultats, mais aussi être un environnement qui reconnaisse et accepte chacun ou chacune comme il ou elle se présente en tant qu’individu.
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savoir-entreprendre · 1 month
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La gestion des risques est essentielle pour assurer la pérennité et la réussite de votre startup. En identifiant, évaluant et atténuant les risques, vous pouvez minimiser les impacts négatifs et maximiser vos chances de succès. Voici cinq stratégies clés pour gérer efficacement les risques au sein de votre startup. 1. Identifiez les Risques Potentiels Description : Identifier les risques potentiels est la première étape pour les gérer efficacement. Explication : Effectuez une analyse complète pour identifier les différents types de risques auxquels votre startup pourrait être confrontée, tels que les risques financiers, opérationnels, juridiques, et de marché. Utilisez des techniques comme les sessions de brainstorming avec votre équipe, les analyses SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces), et les consultations avec des experts pour repérer les risques potentiels. Une identification précoce vous permet de préparer des stratégies de gestion appropriées. 2. Évaluez les Risques Description : Évaluer les risques vous aide à comprendre leur impact potentiel et leur probabilité. Explication : Classez les risques identifiés en fonction de leur gravité et de leur probabilité d’occurrence. Utilisez des outils d’évaluation des risques tels que les matrices de risques ou les analyses d’impact pour quantifier les risques et prioriser ceux qui nécessitent une attention immédiate. Cette évaluation vous aide à allouer vos ressources de manière efficace et à vous concentrer sur les risques les plus critiques pour votre startup. 3. Développez un Plan de Gestion des Risques Description : Un plan de gestion des risques détaillé vous guide dans la mise en place de mesures préventives et correctives. Explication : Créez un plan de gestion des risques qui inclut des stratégies pour atténuer chaque risque identifié. Définissez des actions spécifiques, des responsabilités, et des délais pour chaque mesure de gestion des risques. Incluez des procédures d'urgence et des plans de continuité pour faire face aux situations imprévues. Un plan bien élaboré vous prépare à réagir efficacement et à minimiser les impacts des risques. 4. Mettez en Place des Contrôles et des Mesures Préventives Description : Les contrôles et les mesures préventives réduisent la probabilité d’occurrence des risques. Explication : Implémentez des contrôles internes, des politiques, et des procédures pour prévenir les risques. Par exemple, pour les risques financiers, mettez en place des systèmes de contrôle budgétaire et des audits réguliers. Pour les risques opérationnels, développez des processus de qualité et des plans de formation pour le personnel. Les mesures préventives réduisent la probabilité que les risques se matérialisent et assurent une meilleure gestion des opérations quotidiennes. 5. Surveillez et Réévaluez les Risques Régulièrement Description : La surveillance continue et la réévaluation des risques sont nécessaires pour s’adapter aux changements et aux nouvelles menaces. Explication : Mettez en place un système de surveillance pour suivre l’évolution des risques et l’efficacité de vos mesures de gestion. Réévaluez régulièrement les risques pour tenir compte des changements dans l’environnement économique, juridique, et opérationnel. Organisez des réunions périodiques avec votre équipe pour discuter des nouvelles menaces et ajuster vos stratégies de gestion des risques en conséquence. Une gestion dynamique des risques vous aide à rester proactif et à adapter vos actions aux réalités changeantes. Gérer efficacement les risques est crucial pour la réussite de votre startup. En identifiant et en évaluant les risques, en développant des plans de gestion, en mettant en place des contrôles préventifs, et en surveillant régulièrement les risques, vous pouvez minimiser les impacts négatifs et protéger la pérennité de votre entreprise. Une approche proactive et structurée vous aide à naviguer les incertitudes et à assurer la croissance durable de votre startup.
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toscan-sukima · 2 months
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Un jour, j'ai rencontré une personne qui affirmait avec un aplomb surprenant que la condition de la femme athénienne pendant la Grèce Antique était meilleure que lors du moyen âge en France. Elle affirmait cela comme un argument supplémentaire pour haïr "toutes les religions monothéistes" car elles nient quasiment la femme, alors que les polythéistes étaient plus respectueux.
Condition des femmes en Grèce antique (Athènes)
1.Statut juridique et social
- Les femmes étaient souvent considérées comme mineures légales sous la tutelle d'un homme (père, mari, ou tuteur).
- Elles n'avaient pas le droit de vote, de participer directement à la vie politique, ni de posséder de biens en leur nom propre.
- Les femmes de citoyens athéniens passaient la plupart de leur temps dans le gynécée, une partie de la maison réservée aux femmes, et leur rôle principal était de gérer le ménage et d'élever les enfants.
2.Éducation
- Les femmes recevaient peu d'éducation formelle et étaient principalement formées aux tâches domestiques.
- Cependant, les courtisanes éduquées, appelées hétaïres, pouvaient avoir une certaine influence sociale et intellectuelle.
3.Vie sociale et religieuse
- Les femmes participaient à certaines fêtes religieuses et cérémonies, mais leur interaction sociale était très limitée comparée à celle des hommes.
Condition des femmes au Moyen Âge en France
1.Statut juridique et social
- Les femmes étaient également souvent sous la tutelle de leur père ou de leur mari, mais certaines femmes, surtout dans la noblesse, pouvaient posséder des terres et exercer des droits seigneuriaux.
- Le droit de vote n'existait pas, mais certaines femmes exerçaient une influence indirecte par le biais de leur rôle dans la famille ou la cour.
2.Éducation
- Les femmes, notamment dans les classes supérieures, pouvaient recevoir une éducation religieuse et parfois même laïque.
- Les monastères et les couvents offraient aux femmes des opportunités d'apprendre et de jouer des rôles importants dans la société médiévale.
3.Vie sociale et religieuse
- Les femmes participaient activement à la vie religieuse, certaines devenant des abbesses avec une autorité considérable.
- Les femmes des classes inférieures travaillaient souvent aux côtés des hommes dans les champs, les ateliers et les marchés.
Conclusion...
-Liberté de mouvement
- Les femmes du Moyen Âge en France semblaient avoir plus de liberté de mouvement et d'interaction sociale que les femmes athéniennes, qui étaient souvent confinées à la maison, avec une quasi-interdiction de sortir du gynécée, comme une prison ou une cage, il fallait demander la permission aux hommes pour en sortir.
-Opportunités d'influence
- Les femmes au Moyen Âge pouvaient avoir des rôles importants dans les institutions religieuses et, dans certaines occasions, dans la gestion des terres et des biens, ce qui n'était généralement pas le cas en Grèce antique.
-Éducation et participation sociale
- L'éducation des femmes était limitée dans les deux contextes, mais les femmes médiévales avaient parfois des opportunités d'influence culturelle et intellectuelle, notamment par le biais de la religion.
En résumé, bien que les conditions des femmes dans les deux époques présentent des limitations et des inégalités significatives, les femmes au Moyen Âge en France semblaient avoir plus d'opportunités d'influence et de participation sociale que leurs homologues athéniennes.
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dooareyastudy · 3 months
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Dans la constitution il n’y a rien qui oblige le président à nommer un nouveau premier ministre après ces élections ?
Pas à ma connaissance ! La seule obligation juridique que le Président aurait de nommer un nouveau chef de gouvernement, c'est si le poste est vacant donc soit en cas de démission du PM actuel (la démission d'Attal a été, sans surprise, refusée par Macron au moins jusqu'à l'investiture des nouveaux députés - elle ne sera toutefois pas du tout automatique passée cette date : il faudrait qu'Attal la présente à nouveau, et que Macron l'accepte) ou en cas de motion de censure par l'Assemblée (ce qui ne pourra pas arriver avant l'investiture officielle des nouveaux députés, le 18 je crois).
Bien sûr, comme je l'ai déjà mentionné, il y a ""l'obligation"" politique de nommer un chef de gouvernement issu de la majorité parlementaire (pour éviter que le gouvernement ne bénéficie pas de la confiance de l'Assemblée, c'est-à-dire qu'elle ne le renverse par une motion de censure), majorité qui peine pour l'instant à se dessiner.
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entomoblog · 3 months
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Encyclopédie numérique › Qu’est-ce qu’un lieu de savoir ?
See on Scoop.it - Insect Archive
Comment les savoirs sont-ils produits ? Comment se transmettent-ils ? Quelle approche adopter pour apprendre à les observer ?
  Christian Jacob
OpenEdition Press
  Jacob, Christian. Qu’est-ce qu’un lieu de savoir ?. OpenEdition Press, 2014, https://doi.org/10.4000/books.oep.423.
"Qu’il s’agisse d’un laboratoire, d’une agora grecque, d’un jardin botanique, d’une table de travail ou d’une bibliothèque, chaque lieu de savoir possède une dynamique propre, conséquence de son histoire et de ses spécificités. En mêlant l’observation des pratiques à l’interprétation des méthodes de pensée, cet ouvrage étudie les lieux de l’activité savante dans une approche comparatiste. Construit comme une invitation à la réflexion, situé à la frontière entre histoire et anthropologie, cet ouvrage tente de baliser les hypothèses et les enjeux d’une nouvelle approche des savoirs humains. Il s’adresse à tous les lecteurs qui souhaitent s’engager dans des cheminements parallèles ; il déploie des pistes de réflexion pour les humanités d’aujourd’hui et de demain."
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Extrait
Savoir et savoirs
Première question : pourquoi « lieu de savoir » et pas « lieu de science » ? Et comment articuler « savoir » au singulier et « savoirs » au pluriel ?
  Nous considérons que les savoirs constituent un champ plus large que celui des sciences : ces dernières, en particulier les sciences qui se sont développées en Europe depuis le xviie siècle, représentent une forme de savoir parmi d’autres, même si elles occupent aujourd’hui dans notre culture et notre société une place privilégiée. Mais les savoirs scientifiques n’en coexistent pas moins avec les savoirs lettrés, les savoirs spirituels, les savoirs techniques et artistiques, les savoirs politiques et juridiques, les savoirs économiques et administratifs, comme avec les savoirs pratiques du quotidien.
  Cet ouvrage a été réalisé avec le soutien du Labex Hastec.
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