#la bibliothèque des âmes
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Bilan février 2024 : 6 lectures
Congés obligent : voici mon bilan de février publié un petit peu tardivement... Vous ne m’en voudrez pas… ? En février (avec une semaine de vacances), j’ai lu une Bande Dessinée, trois romances, un récit historique et un roman français contemporain. Cela représente 1636 pages, deux fois moins que le mois précédent. En deux mois, cela équivaut quand même à 15 livres sur les 88 que j’ai prévus de…
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#Bandes Dessinées#Besson#coup de coeur#Hazelwood#Hoover#Hug#Je suis au-delà de la mort#L&039;homme étoilé#La bibliothèque ambulante des Appalaches#Là où se cachent les âmes soeurs#Reminders of Him#Richardson#Romances société et les autres#The love Hypothesis#Un soir d&039;été
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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English books but french titles (part1?) :
This Winter - Cet Hiver (Alice Oseman)
Solitaire - L'année Solitaire (Alice Oseman)
Radio Silence - Silence Radio (Alice Oseman)
They Both die at the end - Et ils meurent tous les deux à la fin (Adam Silvera)
If this gets out - Si ça s'apprend (Sophie Gonzales & Cale Dietrich)
Only Mostly Devastated - Un si joli désastre (Sophie Gonzales)
Miss Peregrine's home for peculiar children - Miss Peregrine et les enfants particuliers (Ransom Riggs)
Library Of Souls - La bibliothèque des âmes (Ransom Riggs)
A Map of Days - La Carte des Jours (Ransom Riggs)
The Conference of the Birds - La Conférence des oiseaux (Ransom Riggs)
The Desolations of Devil's Acre - Les Désolations de l'Arpent du Diable (Ransom Riggs)
#mphfpc#books titles#book#french#osemanverse#alice oseman#sophie gonzales#ransom riggs#adam silvera#they both die at the end#Other books titles ? Some books keeps the english names and other just don't have a french translation
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(via 1816 : L’Année sans été – Cataclysme climatique, réveil de l’occulte et sources d’inspiration pour les créateurs)
L'Année sans été offre un cadre unique pour aborder des récits où les personnages marginalisés – qu’ils soient femmes, personnes LGBTQIA+, ou figures spirituelles – jouent un rôle central, souvent en défiant les attentes de leur société ou en trouvant leur force dans la solidarité.
Voici quelques amorces de scénarios qui pourraient enrichir vos parties :
Le Cercle de la Lumière Cachée
Une petite communauté de femmes guérisseuses et de figures marginalisées se forme discrètement pour survivre à l’hiver qui ne finit pas. Ce cercle cache bien des secrets, car il s’agit d’un groupe où des femmes qui aiment d'autres femmes et des personnes trans cherchent refuge. Ensemble, elles doivent utiliser leurs talents – qu’il s’agisse d’herboristerie, de magie ancienne, ou de rituels de protection – pour préserver leur village des forces obscures. Mais un prêtre itinérant commence à les suspecter de sorcellerie, et les joueurs devront décider jusqu’où ils sont prêts à aller pour protéger leur secret et leur communauté.
L’Auberge de l’Espoir Caché
Une auberge isolée, perdue dans les montagnes suisses, devient un point de rencontre pour les voyageurs pris au piège par le froid. Parmi eux, un jeune poète androgyne en fuite, accusé à tort de blasphème, et une aventurière au passé mystérieux qui prétend être un homme pour parcourir le monde en toute sécurité. Alors que d’étranges événements se produisent autour de l’auberge, les joueurs devront découvrir comment ces âmes perdues peuvent s’unir pour repousser des créatures qui semblent se nourrir de la peur et des préjugés.
Les Érudites de l’Ombre
À Genève, un cercle d’intellectuelles – composé de femmes qui ne peuvent publier leurs travaux sous leur propre nom et de jeunes hommes désireux d’explorer leur identité de genre dans une société étouffante – se réunit en secret pour discuter de philosophie et d’alchimie. Mais lorsque l’une des membres commence à avoir des visions prophétiques, qui semblent liées aux ténèbres qui enveloppent le monde, les joueurs sont entraînés dans une enquête qui les mène jusqu’aux bibliothèques interdites et aux rituels oubliés. Un équilibre doit être trouvé entre la quête de savoir et la préservation des identités de chacun.
L’Amour Maudit d’un Été Perdu
Une romance naissante entre deux personnages féminins (ou entre deux personnages de même genre) se développe en pleine Année sans été. Mais cette histoire d’amour est hantée par des ombres, littéralement : des entités qui semblent se nourrir de la culpabilité et des peurs qu’impose la société patriarcale. Les joueurs doivent aider les amoureuses à braver les préjugés de l’époque, tout en cherchant un moyen de bannir les spectres qui les poursuivent et qui symbolisent les jugements de leur entourage.
Le Gardien du Jardin des Cendres
Dans une campagne reculée, un domaine autrefois prospère est maintenant couvert de cendres et de plantes mortes. Le gardien du domaine, un ancien soldat trans qui a trouvé dans cet endroit un refuge loin des attentes de la société, fait appel aux joueurs pour comprendre pourquoi les terres dépérissent de manière si étrange. Le mystère s’épaissit quand il s’avère que le sol cache des reliques d’un ancien culte dédié à une divinité oubliée, et que les personnages doivent choisir entre réveiller les forces qui y sommeillent ou laisser le domaine mourir à jamais.
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Journal d’un photographe / mercredi 9 août 2023 /le bal des oubliées*.
"Une si longue absence, journal d'Auvergne".
Comment choisir la Photo lorsque il en faut…dix sur des semaines de travail! Pour le photographe que je suis, c’est un énorme dilemme que j’ai toujours du mal à assumer.
Je parle du projet de la BNF « Radioscopie de la France » , projet pour lequel j’ai été choisi avec cent quatre vingt dix neuf autres photographes. On parle déjà chiffres, mais dix photos quand même, ce n’est pas beaucoup. Ou peut-être beaucoup en fonction de la manière de travailler des photographes.
Alors dans ce journal estival, je suis allé à la recherche de ces photos non choisies, oubliées, par erreur ou-et mauvais choix de ma part, perturbé par le temps et le manque de recul sur le travail accompli. Les photos aiment jouer avec nous. Elles se cachent souvent pour réapparaître des années plus tard, lors de nouvelles recherches et une vision enrichie par l’expérience acquise.
Ce sont des photos vues mais non choisies que je vais publier en ce mois d’Août 2023, avec aussi certaines images supplantées par une voisine, qui elle aura été choisie, mais qui auraient aussi bien pu faire l’affaire !
« Errare humanum est », l’erreur est humaine, avais-je appris en classe de latin, mais « perseverare diabolicum », persévérer (dans son erreur) est diabolique…Donc je leur redonne une âme !
Voici un extrait de mon texte sur la journée du 29 mai 2022. Je suis à Allanche, dans le Cantal, magnifique département.
« Dimanche 29 mai.
Aujourd’hui c’est la montée aux estives. À pied, pour faire des photos. Mais quand on dit « montée », c’est bien une montée. Elle fera dix kilomètres.
J’écris un peu en m’arrêtant pour reprendre mon souffle.
Monter, monter, monter. J’ai l’impression que je n’y arriverais jamais. L’idée était de photographier les vaches, mais elles vont trop vite pour moi. Par moment je recolle au peloton, un peu comme au tour de France, puis ça repart. Une petite halte à Pradiers, à mi-parcours. Ravitaillement offert par des habitants, groupe de musique, danses, instruments de musique bizarres. Le maire chante « que la montagne est belle » de Jean Ferrat. J’en ai des frissons. La montagne est belle, la région est belle, les gens présents aujourd’hui sont beaux. C’est jour de fête.
Et ça repart. Retard à l’allumage, passé trop de temps à photographier les musiciens, les vaches ont déjà de l’avance sur moi.
Je suis, donc j’existe !
Un regroupement se fait avec un arrêt avant l’assaut final vers l’estive. Je rattrape, photographie, me fait à nouveau distancer. Pied dans une tourbe, une chaussure trempée.
C’est magnifique, on est au milieu de la nature, montagnes au loin, un autre monde !
La marche, ça fait du bien. Je suis bien. »
* Un clin d’œil au bal des rejetons !
Ce travail a fait l’objet du soutien du Ministère de la culture et piloté par la Bibliothèque nationale de France dans le cadre du premier appel à projet de la commande publique Radioscopie de la France.
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A qui la faute ?
Tu viens d'incendier la Bibliothèque ?
- Oui.
J'ai mis le feu là.
- Mais c'est un crime inouï !
Crime commis par toi contre toi-même, infâme !
Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !
C'est ton propre flambeau que tu viens de souffler !
Ce que ta rage impie et folle ose brûler.
C'est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage.
Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.
Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.
Une bibliothèque est un acte de foi
Des générations ténébreuses encore
Qui rendent dans la nuit témoignage à l'aurore.
Quoi! dans ce vénérable amas des vérités,
Dans ces chefs-d'oeuvre pleins de foudre et de clartés,
Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,
Dans les siècles, dans l'homme antique, dans l'histoire,
Dans le passé, leçon qu'épelle l'avenir,
Dans ce qui commença pour ne jamais finir,
Dans les poètes! quoi, dans ce gouffre des bibles,
Dans le divin monceau des Eschyles terribles,
Des Homères, des jobs, debout sur l'horizon,
Dans Molière, Voltaire et Kant, dans la raison,
Tu jettes, misérable, une torche enflammée !
De tout l'esprit humain tu fais de la fumée !
As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? Le livre est là sur la hauteur;
Il luit; parce qu'il brille et qu'il les illumine,
Il détruit l'échafaud, la guerre, la famine
Il parle, plus d'esclave et plus de paria.
Ouvre un livre. Platon, Milton, Beccaria.
Lis ces prophètes, Dante, ou Shakespeare, ou Corneille
L'âme immense qu'ils ont en eux, en toi s'éveille ;
Ébloui, tu te sens le même homme qu'eux tous ;
Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;
Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,
Ils t'enseignent ainsi que l'aube éclaire un cloître
À mesure qu'il plonge en ton coeur plus avant,
Leur chaud rayon t'apaise et te fait plus vivant ;
Ton âme interrogée est prête à leur répondre ;
Tu te reconnais bon, puis meilleur; tu sens fondre,
Comme la neige au feu, ton orgueil, tes fureurs,
Le mal, les préjugés, les rois, les empereurs !
Car la science en l'homme arrive la première.
Puis vient la liberté.
Toute cette lumière,
c'est à toi comprends donc, et c'est toi qui l'éteins !
Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints.
Le livre en ta pensée entre, il défait en elle
Les liens que l'erreur à la vérité mêle,
Car toute conscience est un noeud gordien.
Il est ton médecin, ton guide, ton gardien.
Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l'ôte.
Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute !
Le livre est ta richesse à toi ! c'est le savoir,
Le droit, la vérité, la vertu, le devoir,
Le progrès, la raison dissipant tout délire.
Et tu détruis cela, toi !
- Je ne sais pas lire.
Victor Hugo
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SORCERY OF THORNS - MARGARET ROGERSON "Vous m'avez rappelé ce que c'était que d'être en vie, et combien il est précieux d'avoir quelque chose à perdre" Quel bonheur cela a été de rencontrer ce livre. Oui, rencontrer, car, le saviez-vous, les livres ont une âme, un cœur, des émotions. Du moins, c'est ce que nous raconte Sorcery of Thorns, où l'on rencontre Elisabeth, une jeune fille qui a grandi dans une bibliothèque remplie de grimoires qui tous ont leur personnalité, mais aussi un degré de dangerosité. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, mais une fois passé un certain nombre de pages, je n'ai pas su lâcher ce roman. Il m'a rappelé tant d'histoires que j'ai aimé, en particulier Le Château Ambulant (et/ou le Château de Hurle) et Black Butler, un Ghibli et une série de manga que j'ai dévoré et adoré. C'était à la fois féerique et mature, ce qui m'a étonnée pour du YA. Ce n'est pas un roman manichéen, c'est surtout cela que j'ai aimé, voir l'évolution d'Élisabeth tout au long du roman, et ses connaissances du bien et du mal se brouiller au fur et à mesure. Entre ça et les atmosphères feutrées caractéristique des bibliothèques, les scènes de combats, les intrigues et complots... Bref, un petit bijou que j'ai adoré ! #sorceryofthorns #margaretrogerson #anenchantmentofravens #vespertine #Elisabeth #Nathaniel #Silas #books #bookstagram #booktube #booktok #fantasy #romantasy #library #cocooning #bigbang #bragelonne #frenchgirl #frenchbookstagram https://www.instagram.com/p/Co5h5PCKvT5/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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RolePlay : les sept nains
"miroir mon beau miroir, qui est le + valeureux" (égalité, ils sont aspirés)
aspirés par miroir de blanche-neige prince empoisonné par mère, 7 nains ensorcelés, sortes d'horcruxe on doit les battre pour les libérer de l'enchantement et avoir accès au château au château, choix : rester avec blanche-neige pour libérer le prince, ou se barrer le plus vite possible grâce au miroir de la reine
quand on libère un nain, on récupère un de ses pouvoirs, mix avec capacités des persos de base
ordre nains : grincheux, atchoum, timide, joyeux, dormeur, prof, simplet ou alors choix des joueurs
où ? prof: bibliothèque du royaume, ennemis = livres timide: forêt, dans les buissons, ennemis = animaux grincheux: mine (il travaille, LUI, et ça fait troll des cavernes), ennemis = roches, diamants joyeux: bar, ennemis = verres, mecs bourrés dormeur: hôtel, ennemis = lits atchoum: hôpital, ennemis = infirmiers, seringues simplet: maison des nains, ennemis = mobilier
entre deux nains : blanche-neige soigne en chantant une chanson
Boss final : reine Attaques : pommes, transformations, miroirs, beauté, trucs de reine Un des deux est ensorcelé, sommeil éternel, l'autre devra l'embrasser…
FICHES
Maritin 16PV/24Spé
Pour l'histoire, Maritin est un orphelin recueilli par un genre de lapin qui s'intéressait d'un peu trop près à la science, et qui lui a donné par erreurs des affinités avec l'eau suite à une expérience qui a mal tournée. Pendant que Maritin s'entraînait à les maîtriser, son père adoptif s'est fait tuer par un clan de loups, qu'il a plus que démonté, et depuis il essaye d'éviter d'aller trop loin avec ses pouvoirs pour ne pas recommettre une scène si immorale.
attaque simple c'est une morsure (de renard, eh ouais, quand même) 1 dégat, 0 spé
attaque spéciale serait un genre de lancer de pic glacé fait à partir de l'humidité du sol/l'air ambiant 4 dégats, 3 spé
capacité de soin c'est une régénération de pv qui soigne des blessures légères avec l'humidité ambiante aussi. 1 spé, 3 PVs
Au lieu d'utiliser l'eau en formant un pic de glace, je forme une sorte de plaque de glace pour me défendre de certaines attaques. ça peut arrêter de faibles projectiles et rendre nul des attaques faibles genre grand max 2 pv de défense pour le tour où je l'utilise 2 de défense, 3 spé
Veronica 12PV/28Spé
Nom : Il n'en a pas, mais se fait appeler "Veronica" PV : 12 Spé : 28
Physique : Il a l'apparence d'un homme androgyne d'environ 16-17 ans, au corps fin et à la peau douce et raffinée. Néanmoins, il possède des articulations semblables à celles d'un mannequin de bois à différent endroits (voir Histoire). Ses cheveux sont mi-longs et violets clairs. "VERONICA" est gravé sur son dos. Il porte souvent des vêtements unisexes ou pour femmes, on peut donc facilement le prendre pour une jeune fille.
Capacités : Magie de lumière = Consiste à matérialiser des éléments de lumière intangibles pour attaquer, ceux-ci pouvant affecter l'ennemi de différentes façons au contact.
Histoire : Veronica était une petite fille de 11 ans, clouée à un lit d'hôpital depuis sa naissance à cause d'une malédiction lancée sur ses parents. Ceux-ci étaient réputés pour être les plus grands magiciens du continent, ce qui fit beaucoup d'envieux, et poussa l'un d'entre eux à maudire leur premier enfant, pas encore né à l'époque. Pour oublier la douleur, Veronica se jeta corps et âme dans son unique passion : le dessin. Celle-ci lui valut d'ailleurs de recevoir un mannequin de bois à l'anniversaire de ses 7 ans, car son père pensa qu'elle pourrait s'en servir comme référence. A 11 ans, Veronica apprit qu'il ne lui resta plus qu'une année à vivre et décida de passer le restant de ses jours à chercher dans les livres de magie un moyen de "continuer d'exister" en quelque sorte. Le jour de sa mort prédit, elle donna taille humaine à son pantin, puis utilisa ses dernières forces pour insuffler toute son énergie magique, ainsi que son âme, à celui-ci. Il se réveilla alors quelques jours après, seul dans l'ancienne chambre d'hôpital de sa maîtresse, héritant de la gentillesse et du positivisme à tout épreuve de celle-ci, ainsi que son talent pour la magie du don de la parole. C'est alors qu'il décida de voyager pour découvrir le monde, lui étant complètement inconnu. Le RP commence seulement quelques semaines/mois après sa "naissance".
Attaque simple : "Light Shot" = Tire un rayon de lumière de ses doigts. 1 dégat, 0 spé
Attaque spéciale : "Draining Link" = Crée un lien de lumière entre l'ennemi et lui-même, puis absorbe les PV ennemis/une partie des dégâts infligés. ça inflige des dégâts et ça absorbe pour Veronica soit tous les PV que l'ennemi a perdu, soit une partie, dépendant de si c'est trop OP ou pas 5 de dégats, 3 PVs absorbés, 5 spé
Capacité non-offensive : "Stunning Needle" = Envoie une aiguille de lumière sur la tête de l'ennemi, celle-ci l'empêchant d'agir pendant 1 tour 2 spé
"Clear Mind" = Veronica utilise sa magie de lumière dans son propre corps pour se débarasser des anomalies corporelles/mentales qui l'empêche de se concentrer. Soigne les statuts basiques. 3 Spé
Véro 12/12 23/28 Mari 10/16 24/24
Inventaire (0) Baies : Multiplier par deux votre Spé restante (à condition que ça ne dépasse pas le seuil maximum) Clés Chiffons Dora
Emeraude enchantée + eau enchantée = +20 points de vie Rubis enchanté + eau enchantée = +20 points Spé Topaze enchantée + eau enchantée = Attaque multipliée par 2 pendant 2 tours Saphir enchanté + eau enchantée = Invulnérabilité pendant 2 tours (sauf attaque majeure) Diamant enchanté + eau enchantée = Effet inconnu…
RDC : cabinets médicaux/consultations // 1er : chambres de repos/veille sanitaire // 2e : opérations/chirurgie // 3e : accouchements/maïeutique/pédiatrie // 4e : conditions graves ; comas, service des grand brûlés… // 5e : ?? La morgue semble être dans un compartiment extérieur à l'hôpital un peu plus au Nord Il y a également une zone de don de sang pas loin
0 : fièvre/rhume/tousse 1 : fatigue/évanouissement 2 : appendicite 3 : accouchement 4 : coma carrément!!
2/12/2017
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10 novembre 2024
Aujourd’hui, je vais parler de Cédric (je ne vais pas cacher son prénom, car je reparlerai probablement jamais de lui). Je l’oublie parfois pendant plusieurs mois, mais c’est un type sympa quand même. En fait, je veux parler de lui parce qu’en relisant les premières pages de mon journal l’autre jour, je suis tombé sur ce que j’avais écrit à propos de lui quand je le voyais de temps en temps au début de notre rencontre. Maintenant, on se voit une fois tous les trois mois pour visiter un musée. C’est toujours cool, mais bon.
Bref, j’avais écrit (le 13 mai 2014) :
« Cette année, j’ai rencontré Cédric. Avec Cédric, c’est simple. J’aime son prénom, car ça me fait penser à la BD. Dans mon téléphone c’est « Cédric la BD ». Il était étonné que je connaisse, à vrai dire, c’est un vieux truc. C’est le vieux qui m’a fait apprécier les vieux (bon il a juste 30 ans je crois). Je l’ai rencontré sur un serveur Discord, on a parlé d’art et de culture et, pour la première fois, rien n’était bizarre ou ambigu. C’est un adulte normal, il écoute très bien, mais il garde un côté très enfant, plutôt mignon dans sa façon de voir le monde parfois: rien de répugnant.
Je lui parle de mes TOC, il me parle de son travail (brancardier tout ça tout ça), et des gens, on les analyse (je les critique) et je lui raconte mes potins, les garçons qui me parlent, etc.
On fait des expos et on va boire des verres. Des fois il me les paye car il dit : « Je suis un adulte qui travaille, je peux le payer. » Et là, à cet instant précis, j’ai l’impression d’avoir une sorte de figure paternelle.
C’est pour ça que c’est agréable avec lui. Cédric me rappelle qu’il est possible d’être apprécié sainement par un adulte.
Il aime pas les réseaux sociaux, il a un côté très méfiant. Parfois, je le compare à un complotiste, même s’il est plus intelligent que ça. Je crois qu’il aime se donner un genre un peu bobo-gauchiste, en marge de la société.
Quand il me parle de ses problèmes, ça me rassure. Je me dis que cette âme d’enfant ne disparaît jamais vraiment quand on grandit.
Il porte une petite écharpe de vieux et chez lui il met des pantoufles.
Il a un chat aveugle qui fonce dans les murs. »
Des fois, Cédric m’envoie des courts-métrages car une fois, dans la bibliothèque du musée d’histoire naturelle, on en avait parlé. J’avais dit que j’en avais vu trois en classe que j’avais adorés et que je trouvais ça trop cool. Plus que des films parce qu’aller au cinéma pour des longs films j’aime pas trop ça, ça m’angoisse. Les murs se ferment sur moi et je respire mal. Bref, je les regarde rarement car je trouve jamais le bon moment, mais quand j’en vois, je pense à lui. Cédric, c’est un type à courts-métrages.
L’autre jour, il m’a dit qu’il était en dépression. On se parlait plus trop alors je me doutais que ça allait pas fort pour lui. On en avait déjà parlé quelques fois. Il est toujours resté très vague. Je sais pas si c’est parce qu’on ne se connaît pas trop ou parce que je suis jeune et qu’il pense que je ne vais pas comprendre (il aurait sûrement raison), ou si c’est parce qu’il ne sait même pas lui-même ce qui se passe dans sa tête.
Moi, Cédric, je l’aime bien comme ça, mais ça se voit qu’il est pas heureux comme adulte.
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La bibliothèque du collège regorgeait de livres. Il en arrivait sans arrêt, par caisses entières. Quelqu’un là-bas dans leur pays mettait un point d’honneur à ce que les Africains soient des êtres de culture. Peu de gens s’y intéressaient, les élèves se contentaient des ouvrages obligatoires inscrits dans le programme scolaire, les bonnes sœurs de leur bible et de leur missel. Les livres s’entassaient sur des rayonnages et je veillais à ce qu’ils ne prennent pas la poussière. Les religieux finirent par s’apercevoir de mon goût immodéré pour la lecture. Cela commença par « Ah Anna, tu aimes lire, c’est très bien ça ! », évolua en « Tu comprends tout ce que tu lis ? » et, pour finir, je les entendis parler entre eux : « Il faudrait surveiller ses lectures, quand même, certains textes ne peuvent pas être mis à la disposition d’un esprit si fruste. » Mon salut vint du jeune religieux en charge des activités périscolaires au collège : « Cela ne peut pas lui faire de mal sœur Brigitte, il n’est pas dit qu’elle comprenne tout, mais ces livres sont là pour être lus non ? » Je soupçonne que l’affaire en resta là, moins parce qu’il avait réussi à les convaincre que j’accomplissais en les lisant la destinée de ces ouvrages qu’en raison de la certitude des religieux que je n’avais pas les aptitudes pour saisir la subtilité de la littérature dont je me goinfrais. Personne ne m’apprit à analyser un livre, à garder le recul nécessaire, à ne pas perdre de vue le contexte, à saisir les informulés, les courants intellectuels voire idéologiques censés donner de l’épaisseur à l’histoire nue. Personne ne me fit une leçon sur l’esthétique, la langue… Cela, je le découvrirais au lycée lorsque j’y ferais mes humanités et l’approfondirais à l’École normale supérieure de Yaoundé où je passerais mon diplôme de professeur de français, mais le pli serait pris. Toute ma vie je lirais comme j’ai commencé, de façon intense, émotionnelle, primaire, et des phrases éparses s’imprimeraient dans mon âme : Ce qu’il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu’il faut de regrets pour payer un frisson… Les livres m’ont apaisée, enflammée, raffermie, ils m’ont fait rire et pleurer. Ils m’ont encouragée à analyser l’existence à l’aune de ma propre intelligence, à faire confiance à mon intuition, à tendre mon esprit pour percevoir, derrière les gens, la nature et les évènements, la concordance de temps intime qui éclaire notre être au monde. Enfant je lisais et je me sentais moins seule, moins insignifiante, moins vulnérable. Adulte j’acquis assez de discernement pour comprendre que si la lecture n’avait pas fait de moi une meilleure personne, elle m’avait rendue plus lucide quant à mes propres motivations, plus libre aussi. Louis, qui deviendrait mon époux, tenait à la main un exemplaire de Discours sur le colonialisme à notre première rencontre : à quoi tient une vie ?
Hemley Boum, Les jours viennent et passent
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Courant
◀ 28 OCTOBRE ▶ La Bonne Semence
Recevez avec douceur la parole implantée, qui a la puissance de sauver vos âmes. Mais mettez la parole en pratique, et ne l’écoutez pas seulement, vous séduisant vous-mêmes. Jacques 1 : 21, 22
Tant que le courant ne passe pas...
On a écrit des milliers de livres sur l’électricité, sa nature, ses effets, son emploi. Vous pourriez réunir une bibliothèque sur ce sujet, lire tous ces livres, y passer votre existence. Mais cela ne pourra allumer la plus faible ampoule électrique, ni actionner le moindre moteur. Il faut appliquer les notions que donnent ces livres, se raccorder au réseau, brancher les appareils... Pareillement il ne suffit pas de posséder la Bible, ni même de la lire. Cela ne suffit ni pour votre salut, ni pour une saine direction de votre vie. Il faut la mettre en pratique, se soumettre à ses enseignements, la laisser agir en vous et ensuite à travers vous. Plus forte encore est la comparaison qu’emploie l’épître de Jacques : « Si quelqu’un écoute la Parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde son visage naturel dans un miroir car il s’est regardé lui-même et s’en est allé, et aussitôt il a oublié comment il est » (Jacques 1. 23, 24). Prenez garde que votre Bible n’ait pas plus d’effet sur vous que les livres sur l’électricité ! Recevoir par la simple foi ses principes, mais surtout avoir une relation personnelle avec Dieu dans une humble et confiante dépendance, voilà ce qui révolutionnera votre vie. Ce n’est pas ce que nous savons de la Bible qui compte, mais ce que nous faisons d’après ce que nous savons. Et la première chose à faire, c’est de croire en Jésus Christ qui a tout fait. Ensuite nous pouvons faire quelque chose pour lui. - Lire plus ici :
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Supra
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L'arbre de sagesse
Il y en a qui pense ça il y en a qui disent ça
La vie
Monde illicite de mes perceptions
La nature
Vaisseau de mes constellations
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Les souvenirs
Reçu ; 1millieme texte à talisman d'intimité
Shad&lelion
Femme au bois argenté
Village pathétique et aigris
De mon sommeil l'harmonie
L'île de mes bibliothèques
De mes vertus et sagesse
Sans toit pour rêver de la vie
L'exporter
Tu nomme une poutre en un pilier
Et je suis né sur un pilier
Baobab de mes poumons
Lac de mes impulsions
Caïman de mes innocences
Tour bastion de ton nom
Gouffre de tes lettres Runiques
Abîme des lettres de ton nom
Lion de mon nom
Sable du désert importé
Colère de nom
Combativité des noms
Aube et nuit
De ma journée sans fin
Qui un jour trouvera la mort
Comme dans des réserves d'éléphants
Loin de tous
Cacher dans ma hutte
Génie de mes cases
Main de patriarche
Main de gardien
Flûte argentée de la paix
Bois d'Ivoire
Honorant mes défaites
Poétique de la sauvegarde
Instrument de musique pour la restauration de la paix
En s'est frontières coutumière
Équité est mon nom
J'agite comme dans un vase
Pour que tu le déverses
Comme une perle
Qui rejoindra
Ton nom
Comme la pluie
Source de ce qui nous entoure
J'aimerais habiter dans ton monde
Je fais comme si j'y étais déjà
De l'arbre de sagesse
Mais je n'ai que froissé ton entrée
Insuffle-moi la mesure du souffle
Que je puisse devenir perspicace
Dans ma respiration
Amitié brisé
Seuil de pauvreté
De mes émotions pauvres
Peintre de ta venue
Sous le soleil de la paix
Quel que soit les guerres
Lune de mes espoirs
Dérive de mes mélancolie
Rune du désespoir
Paroles de l'intimité de mes plaintes
Les princes qui cherchent leurs parents
Non loin de doberman qui m'attendent
Noir et blanc
Jusqu'à ce que les parents réapparaissent de leur couleur
À rejoindre leur prince
Petits et mystérieux de beauté
Intrigue de mes falaises
Sous les fleurs des âmes
Forêt de tenue
Seul et dépourvu du coin de la route
Contraste et éclat
Yeux émerveillés
Fantaisie réciproque
Et cette terre
Je ne voudrais pas
La punir
De ce que certaines choses me punissent
Par-dessus celle-ci
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Shad et le lion
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Journal d'une âme perdue.
Vendredi 27 septembre 2024.
Je viens de nouveau, de passer une soirée en famille. J'aime beaucoup cette table qui se réinvente tous les week-ends. Pause. Weekend. Que les Français aiment les anglicismes. Ils en mettent partout. C'est navrant, le français est une langue si riche et si belle. En plus ou le pire plutôt, c'est qu'ils ne savent pas prononcer correctement les mots anglais "empruntés" et leur prononciation final est juste horrible. Les week-ends en famille. Oui. Ce n'est jamais chez le même membre de la famille, mais ça tourne toujours autour de Paris. Intra ou la banlieue chic : Saint-Cloud, Neuilly, Passy, quelques fois en Champagne à Reims. Il s'y retrouve souvent les mêmes têtes, mais mes rassemblements familiaux préférés, ce sont ceux qui ont lieu chez mon papy. Qu'il est drôle et amusant avec ses histoires, ses anecdotes, ses blagues. Il est très cultivé et voue un véritable culte à la grandeur passé de la France. Avec lui, j'apprends beaucoup sur les grandes figures historiques du pays. Ses bibliothèques sont grandes et bien garnies en livres de toute sorte, sur des centaines de sujets, classifiés par genre. Lire tous ces livres prendrait toute une vie. Alors il m'en propose, en dépose sur ma table de chevet avec un petit mot doux dedans. Papy à ce côté grand homme irrévérencieux que seuls les gentlemen d'une autre époque possèdent. Avec lui, impossible de s'ennuyer. Il m'invite à chaque fois à sortir de ma coquille, à prendre la parole. À investir la conversation. Une personne qui se retrouve au beau milieu d'une tribu tissée serrée, se sent souvent seule et écartée. Si en plus elle est asiatique avec ce biais culturel qui donne une propension à l'effacement obligé et imposé par des règles de conduite en société ancestrales, ça n'aide en rien. Mais mon papy est unique. Il brise toutes les glaces.
Si papy est là, c'est que cela se passe chez lui. À son âge, il ne se déplace que rarement pour les dîners familiaux très, très arrosés. Mais chez lui, dans la terrasse ou dans le salon, il tarde le soir parfois jusqu'à minuit. Si cela se passe chez papy, alors c'est que ma cousine Sabine est là. C'est aussi le moment où les "vieux" viennent. Les vieux, ce sont ses enfants et leur épouse ou petite amie ou copain et tous les enfants ou presque. Son aînée, ma tante Vivi, est forcément présente. Elle ne se déplace que chez lui d'ailleurs. Elle est magistrate. Une grande magistrate. Plutôt douce, brillante, grande bourgeoise, belle, aux idées très à gauche, limite édulcorées et elle s'exprime parfaitement bien. Je l'adore.
Entre elle et sa nièce Sabine c'est la jolie guerre : de nombreux piques. Des coups bas. Mais ça reste de bonne guerre. Sabine aussi à des idées très à gauche. Mais elle ne rêve pas. Médecin légiste, fille de flic, elle est ouvertement pour une justice implacable. Ce qui est un terreau fertile aux discussions, disons, énergiques de l'après-repas.
Il y a aussi mon oncle Patrice, le père de Sabine. C'est lui le flic. Pour les Français, un "flic", c'est un policier. En fait, lui, c'est un haut fonctionnaire de police en France, un divisionnaire. Il est super sympa, très drôle. Ne parle jamais de son travail, n'expose pas ses idées, comme son père, il anime les soirées de façon habile et équilibrée, ramenant toutes discussions polarisantes, vers l'humour.
Mes moments préférés, peu importe où se trouve la rencontre familiale, c'est tout d'abord l'apéro, un truc typiquement français. Les gens autour de la table sont décontractés, racontent leur semaine, critiques collègues et enfants, boivent des alcools du genre vin cuit, pastis, alcool de menthe, etc. Des groupes se forment. Il se trouve des petits mets typiquement français : cornichons au vinaigre, carottes, tranches de saucisson sec, carrés de fromage. C'est idéal pour l'ambiance et franchement, c'est pour cela que c'est mon moment préféré.
Après l'apéro, c'est le repas. La bonne bouffe accompagné de vin blanc ou rouge selon le plat. Entrée, repas principal, fromage et dessert. C'est gargantuesque ! Les Français sont de bons vivants. Le repas en famille, c'est le moment d'aborder la politique et tout ce qui divise les individus autour de la table : l'actualité, les guerres, les drames. Chacun y va de son analyse de sa conception des choses. De son émotivité aux événements. Je préfère alors garder ma posture d'Asiatique: écouter et manger.
Enfin, c'est le dessert et la discussion du soir. Le moment où Vivi nous quitte avec David. C'est plus calme. Plus détendu. Certains finissent par fumer des joints, boivent des alcools forts. Consomment cigarettes après cigarettes. C'est le moment idéologique des Français. Là où ils refont le monde. Là où papy va se coucher. Ensuite, ceux qui restent tests leur limitent de vulnérabilité à l'ivresse. C'est très amusant. La moitié d'entre eux coucheront sur place.
Ce sont des moments privilégiés. Des moments importants qui permet à chacun de rester attaché à sa tribu. C'est réellement magique.
Embun.
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Ma version de toi, sixième chapitre : A distance
La lumière rentrait subrepticement par les interstices entre les volets, il devait être entre six et sept heures du matin, la chaleur était encore très présente même si un peu d'air frais passait entre les maillons de la moustiquaire. Les premières lueurs du jour éclairait faiblement les étagères des bibliothèques, depuis quelques années il avait fait de sa chambre une pièce de paix, aucun appareils connectés, juste des bouquins, beaucoup de bouquins, parfois il avait même l'impression de dormir dans une bibliothèque, il aimait cette sensation, les étagères débordés, des piles de livres s'élevaient çà et là, il se sentait à l'abri, à l'écart, comme dans une forêt. Il se réveillait doucement, paisiblement, en été il dormait souvent juste en caleçon et même parfois sans, il aimait ces instants de réveil, la peau était à la fois chaude et fraîche, c'était une sensation incomparable. Il aimait se caresser, chaque contact de ses mains faisait résonner un vrombissement dans ses oreilles, il sortait doucement de ses rêves, il se rappelait avoir fait un rêve pour le moins érotique, son caleçon en était encore gonflé de ses souvenirs, il passait sa main sur son ventre, ses épaules, dans sa nuque, son corps commençait enfin à ressembler à ce qu'il voulait qu'il soit. Depuis quelques temps il essayer de prendre soin de lui, en fait même si il se l'avouer difficilement, il faisait ça pour elle, car même si cela était quasiment utopique aujourd'hui, il ne voulais plus ressembler au gros tas qu'il devait être la dernière fois qu'ils s'étaient croisé dans un lit, il faisait attention à son alimentation et faisait régulièrement du sport. S'il y avait un deuxième rond, il voulait être à la hauteur du rendez-vous. Ces matins chauds, il pensait toujours à elle, à ses lèvres voluptueuses. Il ne voulait pas trop qu'elle sache ce genre de choses, ce qu'il voulait avant tout c'est son amitié, mais le sentiment de fantasme ��tait toujours présent, il faisait partie de lui. Il savait bien que leur histoire avait été réglée il a bien longtemps et qu'il se battait depuis tout ce temps pour si peu, mais il est des combats que l'on ne peut abandonner de peur d'y perdre son âme. La dernière fois qu'ils s'étaient parlé, le cinéma, les mots échangés dans ce café, tout cela lui avait donné de l'espoir, mais comme souvent l'espoir avait laissé place à un insoutenable silence, plus de nouvelles d'elle, il se demandais à quoi elle pensait, si il existait là-bas où elle était, la même conclusion revenait à chaque fois, si elle ne venait pas, qu'elle ne parlais pas, c'est qu'elle n'en avait pas besoin, qu'il était inutile, et puis la dernière fois il y avait un homme dans sa vie, bien entendu.
Ce qu'il ne savait pas c'est que quelques heures plus tôt, chez elle, seule, elle était dans la même situation, en phase de réveil avant d'aller au boulot, elle pensait à lui, cela lui arrivait souvent même si elle lui parlait rarement, pas forcément par choix, mais il y avait le travail et toutes sortes de choses, qui lui prenait du temps, sur sa table de chevet il y avait leur livre, bien au chaud dans sa pile de livre de chevet, un endroit très important.
Pour A
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Bienvenue aux Étudiants, le festival 2024, à Montbéliard
"Bienvenue aux Étudiants, le festival" est l’évènement incontournable de la rentrée de l’Université de Franche-Comté pour accueillir les étudiants. Cette année, il revient sous un nouveau format. Un grand temps fort pour marquer un évènement unique et tant attendu : le festival de rentrée Bienvenue aux Étudiants est organisé en septembre sur les campus de l’université de Franche-Comté, le jeudi 12 septembre 2024 à Besançon, le mardi 17 septembre 2024 à Lons-le-Saunier, le jeudi 19 septembre 2024 à Montbéliard, le jeudi 26 septembre 2024 à Belfort. Lors de ce festival de rentrée, les étudiants pourront plonger dans des espaces animés et conviviaux divisés en plusieurs zones : - Zone Sport pour tester ses limites avec Campus Sport et traverser le festival à Besançon sur une tyrolienne géante - Zone Art pour libérer sa créativité dans des ateliers de pratique artistique - Zone Détente pour faire une pause bien méritée dans un havre de bien-être avec tapis et fauteuils et découvrir les BU (bibliothèques universitaires) - Zone Jeux pour s’amuser avec des jeux gonflables géants et retrouver son âme d’enfant - Village Étudiant et Village Partenaire pour rencontrer les acteurs de la vie universitaire, découvrir toutes les opportunités de l'année qui débute et échanger avec les partenaires de l’université de Franche-Comté - Zone Restauration pour profiter d'un apéro gratuit à Besançon, de délicieux food trucks à Belfort et Montbéliard, et d'un repas offert à Lons-le-Saunier. Bienvenue Aux Étudiants de Franche-Comté est un événement organisé par l’université de Franche-Comté avec le soutien de la Région Bourgogne-Franche-Comté et des partenaires associés (Ville de Besançon, Grand Besançon Métropole, Ville de Belfort Grand Belfort, Pays de Montbéliard Agglomération, Ville de Montbéliard, Ville de Lons-le-Saunier, CROUS, Crédit Mutuel). infos > programme complet Read the full article
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J'ai fais du tri,
Dans ma tête, dans mes émois,
Dans mon cœur, dans mes espoirs,
Dans mes bonnes heures,
Dans mes nuits noires.
J'ai ouvert les brèches,
Laissé passer la lumière.
J'ai nettoyé ma mémoire,
Rangé, de mon âme, tous les tiroirs.
Pour que dans ce merdier,
Tu puisses avoir un lieu pour exister,
Une place rien que pour toi,
Des bibliothèques d'aveux amoureux à dévorer,
Des milliers d'étoiles à compter.
Pour que le doute n'ait plus d'autre issue,
Que d'affronter la vérité mise à nue.
Ici quelques échantillons trônent comme des rois,
Car il m'est impossible de ne pas revenir à toi.
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