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#jeu d’échecs
hcdahlem · 11 months
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L'Échiquier
C’est durant le confinement que Jean-Philippe Toussaint a écrit son livre le plus intime, où il évoque ses souvenirs d’enfance, son père, ses amis à son œuvre littéraire. Le tout en 64 chapitres, comme autant de case de «L’échiquier».
    En deux mots Au moment du confinement, Jean-Philippe Toussaint décide de s’occuper en traduisant Échecs de Stefan Zweig, mais aussi de consigner cette expérience autour de la littérature et des échecs. C’est ainsi qu’il a construit L’échiquier, en 64 chapitres qui racontent sa vie, ses parents et amis, son œuvre et ses affinités. Et bien entendu sa passion pour le jeu d’échecs. Ma note ★★★★…
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«[…] l’argent est la seule voie capable de conduire au premier rang une nullité.» (Fedor Dostoïevski)
Autrefois, seul un martyr pouvait devenir célèbre sans compétence notable, aujourd'hui être célèbre tient lieu de compétence notable.
Pourquoi aujourd’hui la "réussite" elle-même, ramenée aux seuls critères du discours dominant (richesse matérielle, reconnaissance sociale, célébrité...) n’est-elle qu’une forme — peut-être la plus pathétique — de l’échec?
Comme le dit Lacan dans L’agressivité en psychanalyse (Écrits): «Chez l'homme "affranchi" de la société moderne, voici que ce déchirement révèle jusqu’au fond de l’être sa formidable lézarde. C’est la névrose d’auto-punition, avec les symptômes hystérico-hypocondriaques de ses inhibitions fonctionnelles, avec les formes psychasthéniques de ses déréalisations de l’autrui et du monde, avec ses séquences sociales d’échec et de crime. C’est cette victime émouvante, évadée d’ailleurs irresponsable en rupture de ban qui voue l’homme moderne à la plus formidable galère sociale, que nous recueillons quand elle vient à nous, c’est à cet être de néant que notre tâche quotidienne est d’ouvrir à nouveau la voie de son sens dans une fraternité discrète à la mesure de laquelle nous sommes toujours trop inégaux.»
Conforté dans un "narcissisme pathologique", le sujet infantilisé du Discours Capitaliste ne veut connaître du monde que les "règles du jeu social", règles pour réussir, règles pour l'accommodation, qui lui permettent de manipuler les autres tout en se tenant à l'écart d'un véritable engagement éthique.
Cependant, cet effondrement de l'idéal du moi au profit du moi-idéal n'entraîne-t-il pas le surgissement d'une loi beaucoup plus folle et féroce, un "surmoi maternel" qui n'interdit pas mais inflige la jouissance, l'obligation de jouir, en punissant l'échec social? Ce "surmoi maternel", par-delà toute identification possible, est ce qu'il y a de plus régressif, et Lacan lui-même l'évoque dans le séminaire sur les formations de l'inconscient comme "le surmoi maternel plus archaïque que le surmoi classique décrit à la fin de l'Œdipe" : "Est-ce qu'il n'y a pas derrière le surmoi paternel, ce surmoi maternel, encore plus exigeant, encore plus ravageant, encore plus insistant dans la névrose que le surmoi paternel?"
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atna2-34-75 · 2 months
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Man Ray
Jeu d’échecs avec Raoul de Roussy, 1924
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smokedrunk · 1 year
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Stefan Sweig
Le 22 février 1942, au Brésil, après avoir écrit à leurs proches et aux autorités locales, Stefan Zweig et sa femme Lotte consomment assez de barbituriques pour ne plus se réveiller. Malgré le fracas de la Seconde Guerre mondiale, le suicide de l’écrivain autrichien, dont les livres ont été brûlés quatre ans plus tôt, à Salzbourg, suscite une immense émotion. Pourquoi le romancier, nouvelliste et biographe de génie, qui a connu un succès phénoménal de son vivant, a-t-il cédé à l’appel du vide ? Pour démêler le jeu des forces obscures qui ont emporté sa vie, deux journalistes, François Busnel et Jean-Pierre Devillers égrènent les étapes d’un parcours marqué par la recherche constante de la liberté. Ses premiers succès, qui le rendent célèbre à 30 ans, son enthousiasme pour Freud, son goût du voyage et sa passion pour le progrès technique, annonciateur, croit-il, d’une humanité meilleure… : autant d’éléments biographiques qui éclairent une personnalité complexe. Mais par-dessus tout, l’auteur d’Amok ou du Joueur d’échecs a le culte de l’amitié et exprime une foi profonde en une Europe moderne et cosmopolite. Deux croyances cruellement déçues : l’Europe se déchire dès 1933 et certains des proches de l’écrivain – ainsi que beaucoup de lecteurs – critiquent sa réticence à prendre publiquement parti contre les régimes nazi et soviétique. Mais si Zweig peine à s’engager, c’est qu’il préfère dans ses livres se faire l’archéologue des passions amoureuses. Meurtri, devenu en tant qu’écrivain progressiste et juif un paria en Autriche, il s’exile et ne se relèvera pas de ses désillusions. “La terreur que m’inspire l’époque croît jusqu’à la démesure”, écrit-il peu avant d’en finir.
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jloisse · 2 years
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"L’Ukraine n’est qu’une victime de son propre régime politique, qui s’est permis d’entraîner le pays dans une confrontation entre de grands acteurs géopolitiques. Elle n’est même pas une pièce du jeu d’échec, mais seulement le plateau sur lequel le jeu se joue."
— Général Delawarde
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mmepastel · 9 months
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J’avais aperçu l’auteur sur des plateaux télé où l’on débat sans jamais adhérer à ses propos (dont la teneur m’échappe aujourd’hui), j’entendais un gars un peu trop libéral, je voyais un type un peu trop collet monté, plutôt antipathique. Mais c’était un jugement rapide, fondé sur un ressenti, un peu lapidaire. (Aujourd’hui, après avoir lu le livre, j’ai regardé sa page Wikipedia et même si en effet, il semble politiquement d’un bord qui n’est pas le mien, sa biographie est plus intéressante que je n’aurais cru.)
Mais ce livre là m’attirait, par son sujet, et il a été couronné par deux prix littéraires.
On sent quand même bien dès le début du roman que l’auteur est plutôt un homme d’idées que de fiction. Ses deux personnages illustrent chacun deux trajectoires face aux dégâts du changement climatique, de l’agriculture intensive, voire même du capitalisme tout court. Ils sont donc l’incarnation de papier de deux idées.
Même si le livre est astucieux, malin et plutôt bien ficelé (sauf pour la fin qui m’a laissée de marbre) ; même si l’auteur croque habilement un monde qu’il connaît bien (celui du Paris cultivé feignant de réfléchir à la société tout en jouissant de ses privilèges), il ne m’a jamais totalement convaincue. J’ai été happée par les tourments des deux protagonistes, leurs essais et leurs déboires, l’évolution de leurs idées, leurs désenchantements progressifs, mais je ne les ai pas trouvés suffisamment incarnés. Ils sont restés des êtres de papier, des idées auxquelles on a tenté de donner chair, mais sans y parvenir totalement.
Sans parler du final à mon avis raté, auquel je n’ai pas cru non plus, trop tragique et théâtral pour être crédible.
Je pense que Gaspard Koenig est un penseur très brillant, un esprit vif, cultivé voire érudit, qui a bien travaillé son sujet. J’ai beaucoup appris sur les vers de terre, mais pas seulement. Il a le mérite de réfléchir hors des sentiers battus. Mais cela ne l’empêche pas de recourir à certains raccourcis gênants, et à un ton globalement surplombant, moraliste.
Ça pourrait passer si on avait de la tendresse pour les personnages. Mais ni Arthur ni Kevin ne m’ont touchée, ni Philippine, ni Anne. Ils sont tous très irritants. De plus, le style est précis et clair, mais il manque d’âme, de souffle, il est entièrement cérébral, jugeant, complètement tourné vers la logique et la démonstration. C’est vraiment dommage. On se pique volontiers de comprendre l’échec qu’on sent arriver, mais froidement, car on n’éprouve pas grand chose.
Enfin, évidemment, je parle pour moi, puisque ce livre a suscité pas mal de critiques élogieuses, notamment pour son côté satirique et acerbe. Il faut croire qu’il m’a manqué de sentir dans cet humus le cœur d’un roman, la vie palpitante d’un personnage qu’on n’observe pas froidement se débattre dans des situations qu’on a soi-même créées, artificiellement. C’est un jeu pour l’esprit. Un jeu d’échecs par exemple. Une dimension essentielle manque : l’humanité, son intrinsèque fragilité, son irrationalité, son désir d’amour, son désir de consolation, ses gestes dérisoires et vains ; son mystère, au fond.
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mileskingston · 2 years
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Nous pouvons voir la vie comme un jeu subtil : à nous de bien réagir face à ce qui nous est présenté et de comprendre les retours qui nous sont adressés. Ainsi nous réajustons notre orientation de vie en fonction de ce qui se présente. Il n’y a donc plus de notions d’échec puisque tout résultat devient du retour. Ce que nous appelons échec est en fait une réponse de la vie.
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S’il est aujourd’hui admis que le jeu d’échecs tient son origine de l’Inde vers l’an 600, plusieurs versions se contredisent quant à son inventeur. L’une d’entre elles avance qu’un sage nommé Sissa aurait créé et offert ce jeu stratégique à un prince indien pour le divertir. À l’époque on utilise le terme chaturanga. Ce dernier se présente comme un échiquier à 64 cases qui se joue à 4 (2 équipes de 2). Chaque joueur possède alors un roi, une tour, un cavalier, un fou et quatre pions.
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Complètement bluffé par ce jeu, le prince souhaite lui offrir une récompense et lui propose de choisir son dû. Sissa lui confie qu’il aimerait obtenir un peu de blé et l’invite alors à déposer des grains de blé sur les 64 cases de l’échiquier comme suit : 1 grain sur la première case, 2 grains sur la deuxième, puis le double sur la troisième, etc. Le prince est amusé par cette demande qu’il trouve très modérée. En réalité, même s’il avait voulu honorer la requête du sage, le monarque n’y serait jamais parvenu puisqu’en suivant les règles du jeu, ce ne sont pas moins de 18 446 744 073 709 551 615 grains de blé (soit le résultat du calcul 2 puissance 64) qui auraient dû lui être présentés
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aurevoirmonty · 2 years
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"L’Ukraine n’est qu’une victime de son propre régime politique, qui s’est permis d’entraîner le pays dans une confrontation entre de grands acteurs géopolitiques. Elle n’est même pas une pièce du jeu d’échec, mais seulement le plateau sur lequel le jeu se joue."
Général Delawarde
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SINWAR, LES OTAGES ET LA CONCEPTZIA…
Le Hamas ne cherche pas la paix !!!
Temps de lecture = 4 minutes Pour tous ceux qui croient encore à la possibilité d’un compromis avec lui, sachez qu’ils se fourrent le doigt dans l’œil. Par Thérèse Zrihen-Dvir SINWAR, LES OTAGES ET LA CONCEPTZIA… Sinwar a parfaitement assimilé les règles triomphantes du jeu d’échecs iranien et l’applique à la lettre. Pour tous ceux qui croient encore à la possibilité d’un compromis/deal avec…
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mickaelcailleau · 3 months
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Apprendre Les Règles du Jeu d'Échecs Facilement : Guide 2024
Avez-vous eu toujours l’envie d’apprendre les règles du jeu d’échecs ? Peut-être, pensez-vous que ce jeu est trop complexe, réservé aux intellos ou à ceux qui possèdent une mémoire exceptionnelle. Détrompez-vous ! Tout le monde peut apprendre à jouer aux échecs, même à partir de quatre ans. Cet article vous servira de guide d’apprentissage des échecs, vous guidant étape par étape pour que vous…
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valmondain · 5 months
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Échec et mat !
Les échecs, une grande histoire d’amour. ♟️
Je vous présente mes 3 échiquiers préférés :
Le premier est un échiquier en plein air que j’ai expressément demandé à construire dans mon jardin, lorsque j’ai vu un de mes voisins faire mumuse avec le sien. Bien sûr, j’ai veillé à ce que le mien soit plus imposant et majestueux. J’y joue avec mon valet les soirs d’été, avec le couché du soleil tout est plus agréable.🌅
Le deuxième est un plaisir mondain aussi, un échiquier en marbre massif et des pièces en métal couvert d’argent et d’or purs et véritable. Je ne joue presque jamais avec celui ci, à cause la lourdeur des pions. Mais il se trouve exposé dans mon séjour. Quel plaisir pour les yeux ! ⚜️
Le troisième est un présent que mon défunt père m’a offert à mon 12eme anniversaire. Je me rappelle des parties endiablées que je faisais avec lui dans le petit salon. Bien évidemment, l’issue de nos parties était toujours ma défaite. Mais j’en garde de bons souvenirs à présent. ☀️
Ahhh qu’est ce que j’aime ce jeu. Une partie d’échec peut dévoiler la vrai personnalité d’un individu comme ses vices et son niveau de stratégie.
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Il n’y a pas d’Autre de l’Autre
«C’est même le principe de la relation intersubjective comme telle, c’est que cet Autre comme lieu de parole nous est immédiatement et effectivement donné comme sujet, c’est-à-dire comme sujet qui nous pense nous-même comme son Autre.
C’est là le principe de toute stratégie : quand vous jouez au jeu d’échecs avec quelqu’un,
vous lui attribuez autant de calculs que vous en faites.» Lacan - Les formations de l’inconscient
Ce qui s'appelle l’Autre avec un grand A (le grand Autre de la psychanalyse), c'est l'instance convoquée par le sujet - qu’il le veuille ou non - du fait même d’être parlant, qui donne un sens (ou pas) à ce qu’il dit, y compris (et même surtout) lorsqu’il se parle à lui-même.
Le grand Autre donne son architecture subtile à la "substance sociale", les significations explicites et implicites, le sens et le non-sens, de chacune des paroles et des actes qui signifient le sujet.
Le paranoïaque ne croit pas au grand Autre, raison pour laquelle il s'imagine toujours un autre derrière l'Autre en ramenant le grand Autre à la dimension d'un petit autre (le semblable) qui manipule et tire les ficelles, ce qui revient in fine à nier l'Autre en tant que tel, c'est à dire l’altérité radicale du lieu de la parole, la forme langagière en tant que telle qui conditionne l’accès au langage…
Moi est le je de l’Autre.
Dans la «communication», chacun ne fait que recevoir de l'Autre son propre message sous sa forme inversée.
L'inconscient c'est le discours de l'Autre, le désir c'est le désir de l'Autre, l'Autre c'est le nom donné à la vérité présupposée qui fait structure de tout discours, la vérité à laquelle nous avons à nous référer implicitement, d'autant plus lorsque nous nous mentons à nous-mêmes.
L'Autre est l'ordre des règles non-écrites qui régit nos paroles et nos actes, la garantie ultime qu'il y a bien une vérité sur laquelle peuvent s'appuyer nos mensonges...
Il ne suffit pas de savoir qu'on est manipulé, encore faut-il savoir qu'il n'y a personne à la place du manipulateur.
Voilà ce que veut dire: l'Autre barré de la psychanalyse (le primat du signifiant sur le sujet).
La manipulation suprême — bien qu’il n’y ait personne à la place du manipulateur — est celle qui nous conduit cependant à penser que nous sommes victimes de forces occultes toutes puissantes.
Mais le "monde", qu’est-ce donc si ce n’est notre fantasme qui se soutient d'un certain type de pensée?
Se délivrer de l’empire de l'opinion constitue un premier pas hors du fond de la caverne.
Depuis sa posture de victime innocente, impassible et indignée, la Belle Âme qui dénonce la corruption du monde y participe pleinement, en donnant consistance, persistance et réalité, à cette corruption du monde qu'elle dénonce.
La fausseté de la position subjective de la Belle Âme réside dans son refus de voir que son éternelle posture de victime indignée face aux cruelles circonstances masque la collusion et la complicité que sa participation implique, qu'elle le veuille ou non.
La leçon de la psychanalyse n'est pas: "renoncez à vos rêves et à vos désirs dénués de sens, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est..." mais plutôt: "vos jérémiades et gémissements ne sont qu'hypocrisie car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation."
«Je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...»
K. rejette le rôle de victime, dans ses conclusions, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux.
Voilà le travail de l'idéologie au quotidien, dont nous n’avons qu’une vague impression car nous sommes immergé dans le discours dominant, dont la fonction est de nous mettre dans les conditions de théâtraliser notre indignation, en finissant par dire «je ne suis pas d’accord» ou «je suis d’accord», après avoir ravalé la complexité de chaque position du sujet dans le monde au système préformaté par l’opinion.
Plus le sujet est narcissique, plus il a besoin de l’Autre pour y faire porter ses reproches et sa plainte, et plus il accroît sa dépendance à son égard.
Plus les politiciens sont corrompus, plus ils ont besoin de l'ordre des apparences, des médias en tant qu'ils jouent le rôle de l'Autre "supposé-croire", même si c'est pour les critiquer, les moquer, les vilipender, le plus important c'est que soit maintenue mordicus la croyance de "l'opinion" dans le jeu de fausses oppositions qui leur a valu — et continuent à leur valoir — l’accession au pouvoir...
Lorsque K. quitte la Cathédrale, deux policiers en civil l'attendent pour l'emmener dans un immeuble abandonné et l'exécuter.
Dans la version d'Orson Welles, la raison pour laquelle K. se fait liquider est l'exact contraire de celle invoquée dans le roman (il représente une menace car il a découvert la fiction fondatrice à partir de laquelle le pouvoir existant étend son empire).
La manière dont Welles lit Le Procès transcende les deux approches dominantes de Kafka: l'obscurantiste-religieuse tout autant que la naïve-humaniste, K. est effectivement coupable, mais ce qui le fait coupable, c'est précisément sa protestation d'innocence, le fait qu'il argue avec autant d'arrogance de son innocence, en plaçant toute sa confiance dans une argumentation naïve-rationnelle.
Dans l'univers de K. tu dois d'abord prouver ta culpabilité, les innocents ne pouvant en aucun cas être pardonnés.
L’erreur de bonne foi est, de toutes, la plus impardonnable, dira Lacan…
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jacksonrobart · 5 months
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Oi Oi Oi DANS LA VRAI VIE ! HORREUR !! il me fait PEUR !! #larva
JE RENCONTRE LA LARVE OI OI OI DANS LA VRAI VIE ! @Larvatuba Devenir sponsor de nos vidéos https://rb.gy/m4nxm9 Nous suivre https://linktr.ee/veritychelsea TIK TOK: https://www.tiktok.com/@verity.chelsea + + LA PETITE HISTOIRE DU PREMIER AVRIL : Dans une petite ville paisible en France, un événement sans précédent se prépare à changer la vie des youtubeurs les plus populaires du pays. Ils sont tous invités à un grand festival de jeux vidéo et de réalité virtuelle intitulé “Oi Oi Oi Gaming Fest”. Cependant, un mystérieux jeu appelé “La Chasse à la Larve” sème la terreur lors de l’événement. Verity, bien connue pour ses vidéos d’aventure, est la première à découvrir le jeu. Elle, avec Chelsea, décide d’enquêter sur ce phénomène étrange. Peu de temps après, Niki et Vlad, célèbres pour leurs vidéos ludiques, se joignent à elles avec enthousiasme, ne réalisant pas les dangers qui les attendent. Amelina Kiss et Lily-Rose, influentes dans le monde de la beauté et du lifestyle, se retrouvent accidentellement aspirées dans le jeu lorsqu’elles tentent de filmer un vlog sur les coulisses du festival. Amira, accompagnée de Sami, et Robtec, un expert en technologies, commencent à soupçonner que le jeu pourrait être plus qu’une simple animation du festival. Vlad et Niki, maintenant réunis avec leurs amis Massilia et Camélia, ainsi que leur papa, essaient de localiser les enfants disparus. Willibed et la famille Ventura, experts en énigmes familiales, tentent de déchiffrer les indices laissés par le jeu. Dans le même temps, Diana de “Diana City” et Furious Jumper, célèbre pour ses exploits dans les jeux d’action, se retrouvent face à Redkill et Veriti, deux nouveaux venus qui semblent en savoir beaucoup sur le jeu. Ensemble, ils découvrent que la larve du jeu est en réalité une créature virtuelle qui a pris vie à travers une technologie avancée créée par un développeur anonyme. Souka, Viriti, et les aventuriers de Roblox, “Chasseur de Monstre” et “Kirikou”, unissent leurs forces pour combattre la menace. Michou, Swan et Neo, Inoxtag, Amina et Amelinka, ainsi que Kiki de “Campus France”, Ventura, Sana et Lina, et les sœurs Alipour sont tous pris dans cette aventure effrayante, chacun apportant ses compétences uniques pour affronter la larve et découvrir qui se cache derrière ce complot. Après des moments intenses et une série d’énigmes, ils découvrent que le créateur du jeu est en fait un ancien youtubeur nommé “Le Club Tin”, qui avait disparu de la scène publique après une série d’échecs dans sa carrière. Sa motivation était de se venger de l’industrie qui, selon lui, l’avait oublié. À la fin, après avoir confronté Le Club Tin et l’avoir convaincu de désactiver le jeu, tous les youtubeurs s’unissent pour aider leur ancien collègue à trouver une voie de retour positive dans la communauté. Ils décident de transformer l’expérience en une série de vidéos éducatives sur les dangers de la technologie non régulée et l’importance de la communauté. La “Chasse à la Larve” se termine bien, mais elle laisse tous les participants avec une nouvelle appréciation de la solidarité et des dangers cachés dans le monde numérique. Music : Ceci est une vidéo tous publics aussi appelé contenu familial, adapté aux annonceurs de type divertissement & humour favorable à la famille en français. Gros bisous de la part de Verity and Chelsea ! Oi Oi Oi DANS LA VRAI VIE ! * HORREUR !! il me fait PEUR !! #larva * published first on https://www.youtube.com/@VERITYandCHELSEA/ Oi Oi Oi DANS LA VRAI VIE ! * HORREUR !! il me fait PEUR !! #larva * published first on https://veritychelsea.wordpress.com/
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zehub · 6 months
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Ce que l’histoire du jeu d’échecs nous apprend sur les risques de l’IA
Depuis plus de 25 ans, les machines sont plus fortes que les humains aux échecs. Cela constitue une étude de cas intéressante pour envisager les futurs impacts de l’IA sur notre société.
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pierrecarree · 7 months
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Enigmat
J’ai reçu le jeu Enigmat, et mon mari l’a embarqué aussitôt que nous l’avons testé : il a des passionnés d’échecs dans son dispositifs. Pour jouer (dans la version à un joueur), on prend quatre cartes qui portent la même couleur et le même symbole, et il faut les assembler en carré de façon à ce que le roi noir soit mat. C’est redoutablement simple (à expliquer. A concevoir je n’imagine pas , et…
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