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#financement de Génération Identitaire par un terroriste
gauchedecombat · 5 years
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Bientôt la dissolution de #GenerationIdentitaire... (dans le trifluorure de chlore) #terrorismeXdroite
Bientôt la dissolution de #GenerationIdentitaire… (dans le trifluorure de chlore) #terrorismeXdroite
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J’ai déjà écrit ici ce que je pensais de la dissolution de ce genre de bas de plafond, ou plutôt de leurs mouvements dangereux  à forte toxicité sociale. Cependant,   je suis certes fort satisfait d’apprendre que ce gouvernement si peu suspect d’antifascisme, radical ou non, étudie la question de l’interdiction de ce mouvement de crapules xénophobes, dont beaucoup ont été pincées la main dans le…
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furiefrancaise · 4 years
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Nous sommes partis à la rencontre de Victor LENTA, il nous a parlé de son riche parcours et de ses engagements! Nous le remercions pour ses réponses et le temps qu’il nous a consacré.
-Quel est ton parcours ?
Mon parcours est assez atypique, j’ai mené en parallèle plusieurs vies, celle à la fois de militaire et de militant politique (ce qui m'as valu des enquêtes de la part de la DPSD durant le temps de mon service), pour finir comme “soldat politique” dans le Donbass.
-Qu’est- ce qui t’a amené au militantisme politique ?
Le militantisme politique s'est imposé à moi jeune, vers l'âge de 16 ans grâce à un camarade de classe serbe. Le martyre du Kosovo serbe, les bombardements de l'OTAN sur Belgrade, l'aveuglement occidental au sujet des formations djihadistes en Bosnie qui m’étaient contées par lui, ont éveillé une conscience politique et se sont ajoutés à mes sentiments patriotiques déjà bien présents. J'avais déjà, malgré ma jeunesse, le besoin d'agir dans le concret. Je voulais venir en aide à ce peuple serbe qui venait d’être mis au pilori de la bonne conscience universelle pour le simple fait d'avoir défendu sa terre ancestrale. Je me suis donc mis  en quête d'un moyen de les aider, je suis alors tombé sur une association jeune mais efficace qui faisait des allers retours humanitaires au Kosovo. Sans avoir fait partie de ces voyages d'entraide européenne au Kosovo, je venais d'approcher la sphère (encore récente) identitaire.
-Parles-nous de ces années de militantisme.
De ces années où j'ai milité dans les différents groupes nationalistes, je garde une certaine affection pour mon passage à Toulouse avec les identitaires locaux, c'est là-bas que la notion de communauté militante à vraiment fait sens pour moi. Mon nom a commencé à apparaître pour la première fois dans les médias dû fait des confrontations avec l'extrême-gauche ou des ACP faites avec les Jeunesses Nationalistes  dans la ville rose. Mais, si je dois garder un fait qui a changé ma trajectoire dans le milieu nationaliste, c’est ma rencontre avec Feu Rodolphe Crevelle et son Lys Noir. L'idée du coup de force, l'obsession du complot permanent contre la République, de la base arrière militante ou de la recherche de financement occulte auprès des Arabes (je parle d'Etat arabe) est un virus qui vient de lui. Grâce à ses relations, j'ai pu dès 2011, approcher les réseaux libyens dont celui d'Aicha Kadhafi qui, fin 2016, me transformera en militant des droits de l'homme - en guise de couverture - pour aller négocier à l'ambassade de Syrie du Liban, avec une délégation hétéroclite, la libération d'Hannibal Kadhafi détenu par une milice shiite libanaise . Le truc comique c'est qu'on a juste pu obtenir l'arrêt des sévices corporels qu'il subissait, rien de plus...
-Ton engagement militaire est-il pour toi la suite de tes engagements politiques ?
Mon engagement militaire s'est fait en parallèle de mes engagements politiques, l'un ne va pas sans l'autre. Je suis d'une génération privée de service militaire. Cette période de service qu'exigeait la Nation était initiatique pour les jeunes français, c'était ce qui faisait d'eux des hommes au regard de la société.  Au moment de mon engagement au " 3 ", je me sentais comme un prêtre entrant dans l'église catholique, je le vivais comme un sacerdoce.
-Pourquoi choisir les paras colos ? Qu’est-ce qui a influencé ton choix des troupes d’assaut ?
J'ai hésité entre la Légion étrangère et les Paras, ce qui a déterminé mon choix, c’est un livre du Général Bigeard : "Adieu ma France ". Les récits des combats  du 3ème BCCP en Indochine puis ceux du 3 RPC en Algérie avaient l'éclat d'un diamant à mes yeux de jeune français en quête d'absolu et d'aventure au service de la France. Pour moi, c'était le 3 Rpima ou rien. Quand j'ai poussé la porte du CIRAT, j'ai même accepté un contrat de VDAT pour partir plus tôt faire mes classes, seule la solde changeait mais je n’étais pas là pour ça.Depuis tout petit,  je suis passionné d’histoire, j'ai grandis avec les récits des batailles qui ont forgé les frontières de notre pays ainsi que son âme ; il était évident que je ne pouvais concevoir l'engagement militaire qu'au sein d'une arme de mêlée.
-Comment te retrouves-tu engagé volontaire au Donbass avec les sécessionnistes pros Russes ?
Je ne vais pas refaire la genèse du conflit ukrainien, tout et son contraire  est dit sur ce conflit, à grand renfort de propagande et ce, de la part des deux camps. Lorsque que cette guerre a éclaté, j'avais déjà créé depuis quelques mois Unité Continentale à Belgrade, afin de structurer de solides réseaux avec les nationalistes serbes. En tant qu'organisation, nous avons suivi la situation avec intérêt en Ukraine depuis le Maidan jusqu'à l'opération dite " anti-terroriste " dans l'est de ce pays. C'est lorsque la République Populaire de Donetsk a lancé un appel  aux volontaires que nous avons décidé d'y répondre en envoyant des volontaires se battre avec les " séparatistes ". Dès le début, nous avions eu comme projet de former une brigade Franco-serbe pour se battre dans le Donbass.Pour résumer,  notre quotidien dans le Donbass, il s'est partagé entre de longues périodes d'attente,  de préparation,  de mise en place de réseaux de soutien et de coordination entre les "séparatistes " et nous pour faire venir les volontaires avec des allers-retours sur les différents fronts. Je me dois de rendre hommage à la population locale qui nous fit toujours un merveilleux accueil. Je ne souhaite à personne de vivre cela à savoir, prendre les responsabilités et les décisions que j'ai eu à prendre dans des moments très difficiles. Cet engagement a été une des expériences humaines les plus riches que j'ai jamais eu à vivre.
-Aujourd’hui, quels sont tes engagements ?
Mon dernier engagement connu est au sein des Gilets Jaunes, dès la  première action au premier matin, j'ai su que nous étions devant un mouvement populaire exceptionnel. J'ai pu voir dans l'après-midi du premier acte des petites grand-mères montées une barricade avec des mecs de banlieue, des zaadistes crier ce slogan bien connu : " ON EST CHEZ NOUS ", sans parler d'une foule de nos compatriotes scander à deux pas du palais de l'Elysée " A BAS LES VOLEURS ! ". Les deux actes suivants confirmeront le caractère exceptionnel du mouvement des Gilets jaunes. Avec le temps,  je ne pense pas que nous ayons loupé une fenêtre de tir, nous n’étions tout simplement pas prêts à une telle explosion populaire.Actuellement, je suis, comme disait Rodolphe Crevelle de son temps : en congé militant. Je n'ai pas d'engagement particulier, j'observe de près les différents points chauds de la planète en espérant au plus profond de moi que commence la reconquête du Kosovo ... J'avoue avoir un regard bienveillant pour le collectif Némésis ainsi que pour les Zouaves Paris.
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