#fibre de verre
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Obtenez des soumissions pour votre patio!
Pour bâtir un patio ou un balcon, plusieurs matériaux s’offrent à vous. Toutefois, la fibre de verre ressort du lot. Parmi les avantages de l’utiliser, on retrouve sa durabilité ainsi que sa facilité d’entretien et d’installation. La fibre de verre possède également une belle variété de modèles et styles en plus d’être écoresponsable grâce à sa composition entière de matériaux recyclés. Si vous désirez construire un balcon ou bien un patio en fibre de verre ou en tout autre matériau, n’hésitez pas à magasiner les coûts avec des entrepreneurs qualifiés. Nous vous proposons un formulaire à remplir simple au https://www.soumissionsmaison.com/fibre-verre-prix/ afin que nos partenaires, des entrepreneurs spécialistes en tout type de travaux, vous soumettent leurs offres gratuitement et sans obligation. Vous épargnerez beaucoup en comparant leurs soumissions et prix. Services dans presque toutes les régions du Québec (Montréal, Gatineau, Québec, Saguenay, Sherbrooke, Trois-Rivières…).
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Vauxhall SRV 1970
Firme anglaise fondée en 1857, Vauxhall produit sa première voiture en 1903. La marque est incorporée au groupe General Motors en 1925.
Recruté par GM en 1962, le jeune designer Wayne K Cherry est nommé à la tête du département design de Vauxhall en 1965.
Sous sa direction est créée la SRV (Styling Research Vehicle) qui est présentée au salon de Londres 1970. Il s’agit d’un prototype de voiture de sport à 4 places, doté de 4 portes, avec moteur en position centrale arrière.
Les portières arrières s’ouvrent à la façon des ailles de mouettes, et comportent des poignées dissimulées dans la carrosserie. La partie avant est à géométrie variable qui, comme la suspension, peut être ajustée électriquement depuis le poste de pilotage. Ce dernier comporte un siège fixe, avec des commandes réglable pour s’adapter au conducteur.
Cette étude de style est construite en bois, fibre de verre et aluminium. Très basse puisque mesurant moins de 1m de hauteur, elle est sensée recevoir un moteur Vauxhall 4 cylindres de 2300 cm3.
J’avais découvert cet engin d’anticipation dans mes magazines des années 70, alors que j’étais jeune adolescent. Je n’aurais jamais imaginé la voir un jour devant moi.
C’est pourtant chose faite, grâce à l’exposition « Concept Car, Beauté Pure » qui s’est tenue à Compiègne, à partir de décembre 2019, où j'ai pu prendre ces photos.
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Ferrari 308 GTB Vetroresina 1976. L'un des 712 exemplaires en fibre de verre produits fut acquis par Walter Medlin en 1979. Prix de vente : 78 400 $, soit 72 115 €. - source L'argus.
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" Sous Le Clair De Lune "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Astarion
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Barbare Drow, Tav doit faire face aux conséquences de ses actes après s'être offerte à une séance de torture pour le moins violente. Cependant, Astarion n'est jamais bien loin lorsqu'il s'agit de l'épauler, dans les hauts comme dans les bas.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : référence aux morsures, nudité, description de sang et de chair meurtrie.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟎𝟒𝟖.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Assise au bord de la rivière et accompagnée d'un verre d'argent trempé, je nettoyais mes blessures. Il était assez tard, je doutais que quiconque soit encore réveillé à cette heure-ci, le calme prônant les lieux ne faisait que me le confirmer. Le clair de lune m'illuminait. L'eau scintillait, les rayons lunaires m'éblouissaient parfois, lorsque les vagues se faisaient un peu trop fortes et qu'un jet de lumière se frayait un chemin jusqu'à ma rétine. Entendre l'eau gigoter, les arbres frissonner sous la légère brise et les animaux tourner autour de notre campement me faisait grand bien. Faerun était une jolie contrée. Surtout le soir, lorsque même les monstres les plus hideux retournaient chez eux et offraient du répit aux plus faibles.
J'avais profité de ce calme pour me recueillir ici, auprès de la petite rivière derrière notre campement. Outre Wyll, personne ne s'y rendait vraiment. Elle était généralement abandonnée.
Les blessures dans mon dos étaient profondes, elles étaient bien plus qu'incrustées dans ma chair. Mes vêtements étaient trempés de sang. J'en étais fière.
À l'aide de mon verre d'argent, je faisais couler l'eau claire le long de mon dos. Les deux liquides perlaient depuis mon épiderme jusqu'à rejoindre la rivière, elle était à présent tachée, colorée d'un rouge velours nuageux. Cette vue me rendit satisfaite. La douleur n'égalait pas ce sentiment de satisfaction qui s'était emparée de moi lorsque le drow du camp des gobelins m'avait charcutée. Abdirak, qu'il s'appelait, fier serviteur de notre déesse Lolth. Je n'avais pas hésité et lui avait demandé de me frapper, encore et encore, jusqu'à ce que lui-même salue mon courage et ma détermination.
Sa massue m'avait détruit le dos, elle s'était frottée à ma colonne vertébrale et avait manqué à plusieurs reprises de me faire m'effondrer à même le sol. Mes plaies étaient ouvertes, arrachées, trempées. Je les mouillais délicatement en cette douce soirée. L'eau claire ruisselait entre mes plaies. Mes pensées, quant à elles étaient toutes dirigées vers ma déesse, la remerciant et vantant ses mérites aux moindres fibres et molécules de mon organisme. Comblée par cette journée fructueuse, je la savais responsable.
Mes paupières se refermèrent et mon épiderme fut pris d'une chair de poule. Frissonnant, je reposai le verre sur mes cuisses.
Mes chaussures, mon soutiens-gorge ainsi ma chemise reposaient sur le sable un peu plus loin, je ne portais que mon pantalon et ma culotte. J'étais de profil à la rivière, incapable de lui tourner le dos, ni de lui faire face, être positionnée ainsi me facilitait grandement la tâche. Mes genoux étaient collés contre mes seins nus, j'étais recroquevillée sur moi-même, frigorifiée mais tout autant brûlante. Je n'osais pas bouger davantage, peu charmée à l'idée d'élargir mes blessures.
Au moment où mes yeux se rouvrirent, je jetai un coup d'œil par dessus mon épaule. Je l'avais entendu arriver.
Astarion se rapprochait de moi, un sourcil arqué et l'expression curieuse.
« Je me disais bien que vous manquiez à l'appel, ma douce. »
J'esquissai un fin sourire.
« Je vous ai manqué ? »
Astarion s'accroupit derrière moi et poussa un profond soupir. Son souffle glacial retomba sur ma nuque, faisant ainsi remonter le long de mon échine un frisson gelé. Ma respiration se coinça dans ma gorge.
« Horriblement. » grogna-t-il.
Je sentis une pointe d'humour dans le ton de sa voix, cependant, l'expression froncée de son visage à la vue de mon dos me mit la puce à l'oreille.
Qu'il me rejoigne en ce soir n'était pas surprenant. Astarion avait la fâcheuse habitude de rester réveillé la nuit, parfois cela me forçait à lui tenir compagnie. Il avait encore du mal à s'habituer aux avantages qu'offraient nos larves. Je le laissais s'installer derrière moi, aucunement embarrassée. Au contraire, le savoir proche me faisait me sentir bien, j'étais comme apaisée, heureuse d'avoir un peu de compagnie.
« Vous m'avez trouvée à l'odeur ? »
Astarion hocha la tête.
« Je reconnaîtrais le sucrée de votre nectar entre mille. J'ai bien cru qu'une bête sauvage vous avait attaqué, mais ça me semblait étrange sachant que vous n'êtes pas du genre à vous laisser faire. »
J'acquiesçai. Curieuse, je le questionnai :
« Est-ce aussi effroyable que vous le laissez paraître ? »
Astarion cligna des yeux. Partagé entre mes plaies et mes yeux, il n'arrêtait pas de faire des allers-retours entre ceux-ci. Il se racla ensuite la gorge.
« Quelque peu. »
Sa main se fraya un chemin jusqu'à la mienne et se saisit de mon verre d'argent. Il me l'arracha gentiment et le passa sous l'eau, là où mon sang n'avait pas encore tâché la clarté de la rivière, le verre fut rapidement rempli. Astarion le remonta et renversa son contenu sur mon dos. Prise par surprise, j'eus serré les dents.
« Ce drow ne vous a pas ratée, c'est une chose sûre. »
Faiblement, je gloussai. Je m'arrêtai cependant en sentant ses doigts se frayer un chemin parmi mes blessures. Astarion toucha ma chair. Il la toucha à main nue et sa respiration s'accéléra d'un coup.
« Vous saignez. » constata-t-il.
« Vous pouvez vous servir, si vous voulez. »
Il étouffa un rire offensé.
« Ma douce, je ne suis pas désespéré à ce point. »
« Ça n'est pas ce que vous disiez deux nuits plus tôt. »
Il se racla la gorge.
« C'était différent. »
« Vous préféreriez ma nuque, alors ? »
J'avais accentué mes propos en lui dévoilant ma jugulaire meurtrie par ses canines. Elle n'avait pas encore cicatrisé. Les pupilles d'Astarion se dilatèrent sur le champ. Son regard pivota de haut en bas, partagé entre mes yeux et ma gorge, tremblant et hésitant. Astarion déglutit bruyamment, tout en faisant cela, il me dévoila sa dentition. Je souris à cela.
« Ça vous tente ? » j'insistai.
Persuadée qu'il était sur le point d'accepter, je fronçai mes sourcils en le voyant tourner la tête. Astarion ignora son festin pour me nettoyer de nouveau. Il abattit le contenu rempli du verre sur mon dos et pressa son index sur quelques endroits précis, il me fit grimacer et couiner d'inconfort, agissant avec une précision déconcertante. Il déplaça quelques mèches de ma chevelure qui le gênait et me lava avec patience.
« Vous n'êtes pas obligé de faire ça, vous savez. »
« J'en suis conscient. »
« Alors pourquoi⸺ »
Astarion me foudroya du regard.
« Ne me faites pas regretter d'être venu. »
« Entendu. » gloussai-je.
Le sentir prendre soin de moi me fit un bien fou. C'était flatteur en un sens, même si cela ne faisait que quelques jours que nous nous connaissions. Astarion était un être charmant, il en était conscient, il en jouait, et il aurait fallu que je sois aveugle pour refuser ses avances. Il était vraiment joli, plus que joli même, il était splendide. Sentir ses doigts parcourir ma chair rosée aurait dû m'embarrasser, d'autant plus que j'étais à moitié nue, toutefois, je me sentais en confiance. C'était étrange. J'étais parfaitement au courant qu'il se jouait de moi, j'aurais dû me méfier de lui et lui reprendre ma tasse des mains dès l'instant où il me l'avait volée, cependant, je ne ressentais aucune once de malice dans ses gestes. Ils étaient délicats, inquiets.
J'entourai mes jambes de mes bras, déposant ma tête sur mes genoux, et le laissai faire.
Astarion eut chouchouté mon dos pendant quelque temps, tout deux plongés dans un silence profond, seul le bruit de la rivière et des arbres à proximité nous accompagna. J'en eus profité pour fermer mes paupières et me reposer un peu.
Simultanément, je priai pour que rien ne vienne perturber ma sieste. Je m'étais simplement assoupie après quelques secondes.
Mes plaies ne me faisaient plus aussi mal qu'auparavant. Certes, elles me picotaient, mais la douleur était supportable, à chaque fois que Astarion les nettoyaient, à chaque fois qu'il les trempait de cette eau fraîche et pure, je ne fis que frissonner et m'endormir un peu plus. Je sombrais dans un sommeil réparateur. La sensation de ses doigts sur mon corps y contribua grandement. Les sentir parcourir mon épiderme, de mes plaies jusqu'à mes hanches, ma nuque.. Ce fut divin.
Lorsque je me réveillai, je constatai ne plus être au bord de la rivière.
Astarion me portait dans ses bras, un sous mes genoux et l'autre dans mon dos, j'étais recroquevillée contre son torse. Le moment où j'avais ouvert mes paupières, Astarion m'avait déposée à même le sol. Au dessus de moi, je ne voyais que du rouge, le tissu de sa tente luxueuse m'entourait, cela me fit rudement cligner des yeux et tenter de me redresser.
« Qu'est-ce que⸺ »
« Restez ici. »
Confuse, je le questionnai du regard.
Tout fut soudain, ce changement de décor, mon réveil, je me sentis soudain consciente de ce qui était en train de se dérouler.
« J'ai ma couche, je peux⸺ »
Astarion s'assit à côté de moi, il extirpa un livre de je ne savais où et me jeta un regard sévère.
« Je vais veiller sur vous. » expliqua-t-il. « Vos blessures sont plus sévères que je le pensais, il serait dangereux que je vous laisse dormir dehors. Une infection est vite arrivée. »
Un rire m'échappa. Je l'étouffai derrière ma main.
« Vous voulez que je dorme ici ? »
« Bien sûr. »
« Astarion, je peux me débrouiller seule, ça n'est pas ma première blessure, ni la dernière. »
J'essayai de me lever, mais il me retint en saisissant mon poignet. Mon cœur bondit dans ma poitrine au contact de sa peau glaciale.
« J'insiste, ma douce. »
Il me força à m'asseoir.
« Laissez moi veiller sur vous ce soir, je vous promets de ne rien faire. »
« Je ne vous accuse de rien. » contestai-je en posant ma main libre sur la sienne. « Je dis simplement que je peux me débrouiller seule, mon lit m'attend, je ne vais pas vous⸺ vous déranger.. »
« Oh, mais vous êtes loin de me déranger. »
Astarion me contraignit à me rallonger. Je ne désirais pas me laisser faire, mais la poigne de fer qu'il eut sur moi me prit au dépourvu.
« Maintenant couchez-vous, il se fait tard et je perds patience. »
« Vous êtes fou. »
Il se mit à rire.
« Moi ? » s'exclama-t-il. « Sûrement.. »
En m'allongeant sur le ventre, je remarquai que Astarion avait déposé une serviette fraîche sur mon dos. Elle absorbait le reste de sang qui coulait et m'avait protégée depuis tout ce temps. J'étais néanmoins toujours sans haut. Mes affaires reposaient à côtés de lui, pliées et attendant sagement dans leur coin. Je pliai mes bras sous mon menton et y collai ma joue, le regard dérivant sur sa silhouette. Astarion était assis en tailleurs juste à côté de moi, le nez déjà plongé dans son bouquin. Il lisait silencieusement, sans un bruit, tant que, parfois, j'en venais à me demander si je ne rêvais pas, même lorsqu'il tournait les pages, je n'entendais absolument rien.
De temps à autre, Astarion observait mon dos. L'odeur de sang devait le déconcentrer, je le voyais suivre la trajectoire d'une goutte qui, en dessous de la serviette, roulait jusqu'à mon nombril. Il se reprenait toujours, détournant le regard et prenant une profonde inspiration avant de s'en aller replonger son regard dans son livre. Il continua ce petit jeu longtemps. Et je l'eus regardé faire.
Toute la nuit, nous avions consacré nos heures à ce petit jeu. Jusqu'à ce que ses yeux tombent dans les miens. Un sourire timide échangé contre un plus séducteur, et Astarion détournait le regard, me laissant frustrée et désireuse de toujours plus.
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"Lièvre" sculpture de Carolein Smit en faïence émaillée (2002) devant "Hippopotame I" sculpture de François-Xavier Lalanne en résine polyester, fibre de verre, laiton, cuivre et fer (1968-69) dans le "Parcours Mode, Bijoux, Design" parmi les Collections Permanentes du Musée des Arts Décoratifs (MAD), juin 2024.
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11. Voyance
Les vas et vient du couloir font vibrer un double vitrage à l’agonie. Des abeilles font figure d’isolant, crevées, prisonnières et amoncelées entre deux parois de verre embuées par la poussière, les respirations et accessoirement l’âge vénérable du monument.
Le professeur est assis sur la table, entre son café refroidi et les runes dispersées sur le vernis bateau. L’une des runes est tombée sur la moquette, gravure face contre fibres textiles. Ses dents s’accrochent à la porcelaine de son mug, le café clapote selon ses mouvements, éclabousse ses doigts marqués d’encre.
Le métier de prophète est dangereux.
Surtout lorsque votre don de prophétie est acquis par un long apprentissage de milliers de pages en papier bible, plutôt de la linguistique que de la divination. Cela bruisse en continu dans son esprit, l’agencement des signes et des sens, comme un murmure permanent, comme un fantôme. Pendant encore quelques minutes, il est le seul à connaître l’avenir. Il s’y connaît en tour de passe-passe. Il pourrait faire disparaître l’une des runes dans sa manche, l’échanger avec une autre. Il pourrait charmer son auditoire, bouleverser les significations. Pour ce qu’il en sait, c’est ce qu’il fait – il invente. Il formule des hypothèses convaincantes.
Et ensuite ils agissent pour que la supposition devienne preuve.
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La fibre optique est un fil en verre ou en plastique dans lequel passe internet, elle permet une connexion plus rapide que le réseau classique en cuivre.
Il existe 3 types de connexions utilisant la fibre :
Fiber to the home (FTTH) qui signifie fibre jusqu'au domicile dont la connexion à internet est exclusivement en fibre. C'est le mode de connexion le plus rapide.
Fiber to the last amplifier (FTTLA) qui signifie fibre jusqu'au dernier amplificateur dont la connexion à internet est à la fois en fibre et en cuivre. La partie en fibre s'arrête au niveau d'une armoire située dans la rue ou un boîtier dans un immeuble et le reste de la connexion est en cuivre.
Fiber to the building (FTTB) qui signifie fibre jusqu'à l'immeuble dont la connexion à internet est également à la fois en fibre et en cuivre. Dans ce cas, la partie en fibre s'arrête au pied de l���immeuble et le reste de la connexion est en cuivre.
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''Woman I'' (2011)_____________Glenn Brown.
Peinture à l'huile, acrylique sur fibre de verre, acier, Dimensions: 135x90x70cm
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- weiter gehen die Vorbereitungen: die Glasfasermatten werden passend zurechtgeschnitten.
- the preparations continue: the glass fibre mats are cut to size.
- les préparatifs se poursuivent : les tapis de fibres de verre sont coupés à la bonne taille.
- los preparativos continúan: las esteras de fibra de vidrio se cortan a medida.
- De voorbereidingen gaan door: de glasvezelmatten worden op maat gesneden.
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Encore une recette de poulpe de la région napolitaine en Italie.
Polpo alla Luciana, à base de tomate, câpres et olives noires.
La préparation ci-dessous pour 4 poulpes d'environ 400g chacun
Le plus long dans la recette : mettre les poulpes nettoyés au congélateur (pour casser ses fibres).
La veille de la cuisson, décongeler les poulpes au frigo (compter 24h).
Pour la cuisson, mettre les poulpes dans une cocotte, faitout ou casserole avec des feuilles de laurier. Cuire 15' à feu doux à couvert, le temps que les poulpes relâchent leur eau,
Retirer ensuite les poulpes et garder l'eau,
Mettre de l'huile dans la cocotte, chauffer avec 2 gousses d'ail ciselées, du peperoncino (piments),
Déglacer avec un verre de vin blanc, gratter les sucs et laisser réduire au moins de moitié,
Remettre les poulpes ainsi que leur eau. Y ajouter 100g d'olives noires et 3 càs de câpres. Laisser cuire de nouveau 15' à couvert, toujours à feu doux,
Verser ensuite une boîte de pulpe de tomates. Poivrer. Et laisser cuire à couvert et à feu doux entre 15' et 30', selon la taille des poulpes.
Tester la cuisson. Piquer au niveau de la tête pour vérifier la cuisson. Si le couteau rentre tout seul c'est cuit !
Si la sauce est trop liquide, retirer les poulpes et laisser réduire jusqu'à la consistance voulue. Verifier l'assaisonnement.
Servir avec du persil ciselé.
A accompagner de pasta ou polenta frit.
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C’EST L’ÉTÉ, METTEZ VOUS À LA BEACH CAR
Michelotti 850 Spiaggetta de 1968
Dans les années 60 le carrossier Michelotti collabore avec l’architecte naval Philip Schell pour dessiner une série de Beach car sur base Daf, puis Fiat. Bien plus aboutie que celles de Ghia, la CM (pour Carrosseria Michelotti) 850 Spiaggetta, s’écoulera à 80 unités entre 1968 et 1975. Elle propose des prestations supérieures à ses concurrentes: Carrosserie aérodynamique en fibre de verre, tableau de bord recouvert d’osier, vitesse de pointe de 100km/h grâce à ses 47 chevaux. L’auto est même équipée d’un chauffage!
Parmi les 80 exemplaires produits, on estime à 10 le nombre de survivantes. Le modèle présenté a appartenu à Philippe Stark.
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" Les histoires dont nous nous drapons sont rarement vues pour ce qu’elles sont, des histoires. Leurs fibres souples et délicates sont des deuxièmes peaux, des extensions de nos vies, des filtres qu’on ne saurait remettre en question. Lorsque je tente de retrouver ce que voyaient mes yeux d’enfant lorsqu’ils regardaient au travers, des décors s’agitent lentement, des impressions passent et parfois, comme en rêve, un moment figé se révèle, pris dans le verre. Tout est insaisissable." Rafaele Germain
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Porsche 924 - Une voiture qui continue de séduire les passionnés
Comment la Porsche 924 a rendu la conduite d'une voiture de sport accessible à tous
La Porsche 924 est née du contrat signé par Porsche pour Volkswagen. Basé principalement sur des pièces facilement disponibles de la VW. La voiture devait_être la VW Type 477, également connue sous le nom de code EA435. Cependant, VW a choisi d’annuler ses projets tard dans le projet pour des raisons financières. Porsche a ensuite acheté les droits de conception pour 60 millions de dollars ! (10 millions de dollars de moins que le coût de développement) et a produit la voiture. VW ayant assemblé les voitures dans son usine d’Audi à Neckarsulm.
Sous le capot de la Porsche 924 Moteur 4 cylindres 2,0 litres SOHC de 125 ch en Europe, 95 ch aux États-Unis, boîte de vitesses 4 vitesses, freins à disque avant et à tambour arrière. Porsche a amélioré les performances de la voiture pour répondre aux attentes du public. Les améliorations impliquaient freins à disque ventilés, suspensions sport, transmissions à 5 vitesses et moteur plus puissant. Parmi les améliorations apportées au confort vitres électriques, rétroviseurs électriques, chaîne stéréo améliorée, transmission automatique en option. Des éditions spéciales Porsche a pris d’autres mesures pour améliorer l’attrait de la voiture sur le marché. En commençant par des éditions spéciales telles que l’édition Martini (également connue sous le nom de Championship Edition, en 1977) ! la Limited Edition (1978) et l’édition Sebring ( 1979). Essayant de pousser cet effort plus loin, Porsche a travaillé avec quelques grands concessionnaires américains à partir de 1979 pour entrer et conquérir la scène D-Production du SCCA avec le D-Prod Kit Cars, connu en interne sous le numéro 933. 16 d'entre eux seront fabriqués. La plupart sont toujours là, mais peu sont encore en forme D-Prod. La classe ayant abandonnée dans les années 80. La majorité d'entre eux mis à niveau vers les spécifications GT3 pour les courses SCCA, ou GT5 dans Porsche Club Racing. La version Turbo La 924 Turbo, également connue sous le nom de 931, mise en service fin 1979. La compression légèrement réduite par rapport au 924 pour prendre en charge l’augmentation, et une nouvelle tête implémentée avec de meilleures caractéristiques de débit. Les niveaux d'amplification modérés, 8-10psi. Le moteur équipé d'un refroidisseur d'huile pour plus de durabilité. Le 931 venu avec un trans 5 vitesses depuis le début, mais avait les freins à disque / batterie de style précoce. Les performances accrues de la 931 nécessitaient les meilleurs freins à disque ventilés aux quatre roues, disponibles en option. Les versions ultérieures du 931 avaient des systèmes d'allumage numérique améliorés. Les 931 sont plus facilement identifiables grâce à la gaine NACA dans le capot sur le côté droit, les fentes d'aération sur le nez avant sur le panneau d'insigne au-dessous du badge Porsche. La Carrera GT
Porsche 924 Carrera GTS 937 1981 En 1981, la 924 Carrera GT est sortie, la 931, également connue sous le nom de 937. La cosmétique préfigurait la 944, avec une large partie avant pour couvrir la piste plus large. Mais la largeur arrière strictement augmentée grâce à petites fusées, comme on le voit actuellement sur les voitures 911 GT2. La carrosserie supplémentaire entièrement en plastique et non en fibre de verre. Freins standard, mais avec des circuits légèrement différents en raison de la géométrie de suspension. Des jantes Fuchs de 16 "et des freins et des suspensions améliorés de série. Moteur plus puissant grâce à un intercooler et une compression plus faible. Le refroidisseur intermédiaire intégré au tube de charge , juste au-dessus du couvercle de la came. Cela pour minimiser le retard du turbo. Il était difficile de faire circuler l’air à cet endroit et la cuillère recouvrait le capot de la came. Seulement 406 exemplaires fabriqués, aucune importation officielle aux États-Unis, mais quelques-unes seront importées par des importateurs privés. Porsche 924 GTS et GTR La Carrera GTS et GTR , ceux-ci ne seront pas mentionnés par des numéros de modèle distincts. Car développés à partir de la 937 Carrera GT, et sont donc également considérés comme des 937. Contrairement aux autres modèles, ils étaientconstruits chez Porsche à Zuffenhausen. Le GTS avait un intercooler dans le nez, comme la 944 Turbo, mais avec des phares fixes en plexiglas. La puissance améliorée Le poids abaissé et la puissance améliorée, mais la voiture était toujours légale, du moins en Europe. 59 GTS réalisés, dont 15 en configuration Club Sport; des réductions de poids supplémentaires, un rollcage, etc. La GTR, une voiture de course de 375 ch, conçue pour les 24 Heures du Mans et de Sebring. La voiture a été entièrement modifiée pour la course, avec un accent particulier sur la suspension pour les courses d’endurance. Comme les crics d’air, le ravitaillement en carburant, etc. Site officiel Porsche https://youtu.be/LoIQXD6ijrU Read the full article
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"Combinaison" d'Alaïa en maille stretch en viscose, laine, polyamide et élasthanne (1992-93), "Planche de Surf" de Chanel en fibre de verre et acrylique (2007), "Ensemble de Cocktail" de Karl Lagerfeld pour Chanel en jersey de coton brodé de paillettes, ganse en gros-grain, caleçon en jersey de coton et lycra (1991) et "Robe du Soir" de Corinne Cobson en jersey de fibres artificielles (1995) à l'exposition “La Mode en Mouvement (II)” du Palais Galliera, juin 2024.
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- Vorbereitung für einen langen Laminier-Tag morgen: die Glasfasermatten werden zurechtgeschnitten und gewogen.
- Preparing for a long day of laminating tomorrow: the glass fibre mats are cut to size and weighed.
- Préparation pour une longue journée de laminage demain : les mats de fibres de verre sont découpés et pesés.
- Preparándonos para un largo d��a de laminado mañana: las esteras de fibra de vidrio se cortan a medida y se pesan.
- Voorbereidingen voor een lange dag lamineren morgen: de glasvezelmatten worden op maat gesneden en gewogen.
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Accretion“ (1968), Glasfaser und Polyesterharz, 50 Röhren zu je 147,5 x 6,3 cm,
Eva Hesse, No Title, 1970 (fiberglass, polyester resin, wire-mesh, latex cloth, wire).
Sans Titre, 1971 Résine et fibre de verre, polyéthylène, fils d'aluminium
Eva Hesse, „Repetition Nineteen III“ (1968), Glasfaser und Polyesterharz, 19-teilig, je 48,3 x 27,9 cm (Durchmesser)
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