#comme le gars qui faisait les traductions en anglais
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Ne vous inquiétez pas, nous avons la situation sous contrôle.
Bon les rues de Paris et le reste de la France sont pleines de manifestants qui veulent lyncher Macron et être traités comme des êtres humains et pas comme des boeufs, mais bon c'est un peu juste un jeudi ordinaire pour les français.
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moinsbienquekaworu · 2 years ago
Note
T'es probablement entrain de dormir (du moins j'espère, même pour toi il est tard lol) mais euhhhh j'ai finis Dites-le avec des fleurs ^^" c'est absolument génial, je crois avoir vu que cette fic t'as converti à kylux and well... moi aussi 😭😭 si t'as d'autres reco pas trop longues (100k ça commence à faire beaucoup pour moi), je suis preneur 🙏🏻
Par contre juste cette fic m'a fait me rendre compte qu'il me manque beaucoup de bases au star wars lore mdr, le gars qui dit "kriff" (je crois que ça s'écrit comme ça), apparement il y a une page fandom entière dédiée à ce mot (wtf). Pareil pour le métal qui fait l'obsession de Hux et que Kylo détruit tous les 4 matins, enchanté 🫡 Il y a du travail à faire avant que je puisse comprendre tout ça sans chercher des definitions en continue (j'ai l'impression d'apprendre une langue entière absbdndn)
En parlant de langue, je n'avais jamais lu de fic en français, ça faisait bizarre, surtout voir de l'anglais sur ao3. À chaque début de chapitre mon cerveau faisait un petit lag de "what is... what's this langua- oh. yeah ok switch. français activé." c'est fatiguantttt. Mais bonne expérience et agréablement surpris, tout ce que je connaissais du monde francophone de la fanfiction c'était les extraits cringe wattpad que des potes me forçait à lire lol
Brrrref j'arrête de bavarder byee
J'étais en train de m'endormir oui je crois, après j'ai pas une sleep schedule de ouf non plus donc bon. Je suis trop contente de t'avoir converti aussi bienvenu au club <3 je pense que je vais faire une reclist de fics en anglais dans le weekend, je suis très très fan de multichaps et de longues fics perso mais y en a pas tant que ça de ce que j'ai vu pour le Kylux donc tu devrais pouvoir trouver ton bonheur aussi.
Ah oui ça on s'y fait super vite mais c'est vrai qu'au début c'est un peu chelou lol. De têre, kriff/kark c'est fuck, transparisteel c'est genre du verre mais renforcé, plasteel c'est du +/- plastique il me semble, flimsi(plast) c'est le papier, caf c'est café, sonic c'est une douche mais sans eau genre juste avec des ondes ou je sais pas trop quoi, et le reste est moins important. Je trouve ça extrêmement charmant perso, comme le faux alphabet que des gens ont inventé, et j'ai tellement l'habitude je fais plus gaffe, mais j'avoue que la page Wookieepedia elle est pas incroyable incroyable haha. Ceci dit en terme de langue, funfact, mais quand ils parlent anglais dans les trucs SW, c'est vraiment la langue qu'ils parlent! C'est pas une traduction genre Tolkien, au niveau watsonien c'est la langue qu'ils parlent, même si ils utilisent l'aurebesh pour écrire et pas l'alphabet latin. Je trouve ça mignon hehe
Ouaaais les fics en français je suis rarement séduite après 5-6 ans de lecture et ça me perturbe grave mais y a des trucs biens dans le tas. Je vais pas pouvoir te convaincre sur du Snarry mais y a genre deux trois masterpieces dans chaque fandom en français. Je les ai lues sur FFnet ces Kylux là mais je préfère linker AO3 parce que FFnet franchement bon. Voilà quoi.
Un plaisir franchement <3
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lamergelee · 5 years ago
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 12]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11] Le jour 12, Gustave fut beaucoup sur l'ordinateur. Depuis le début de la nouvelle ère, Gustave se demandait, avec un peu plus de virulence chaque jour, après le déjeuner, ce qu’il aurait pu devenir, autrefois, quand il était temps encore. Il avait joué de malchance, concluait-il, catégorique. Mais il y revenait, malgré lui, d’heure conne en heure fine, à petits bonds furtifs. Que s’était-il donc passé ? Avait-il raté quelque chose ? Sa pensée dans le monde d’avant serpentait d’abord, multipliant les longs détours à travers de vagues paysages, allemands, italiens, où il se souvenait avoir marché, des années plus tôt, en Toscane, en Saxe, avec des amis dont il avait pour la plupart perdu la trace et presque entièrement le souvenir, à trente ans de là. Des beuveries jusqu’au petit matin dans des bars clandestins, des concerts, des théâtres, une aube d’été à Dresde, des trajets de trois heures en train jusqu’à Chemnitz où il donnait des cours de français, le dense ciel bleu qui baignait la ville dès cinq heures, un éblouissement. C’EST FLOU, QUAND MÊME. C'EST SUPER FLOU, GUSTAVE, C'EST COMME SI TU N'AVAIS PAS ÉTÉ LÀ. BLEU, MATIN, TERRE, DRESDE : TU N'AS RIEN DE PLUS PRÉCIS ? Gustave prenait la mouche. Il ne supportait pas quand il s’apostrophait ainsi et se manquait de respect. Alors il se relevait d’un bond, rejoignait la cuisine et son ordinateur ouvert sur la table. Il plongeait dans les sites d’informations, les fils, les réseaux, la toile, les liens. Le WWW. Il épluchait tout, en prévision de la période d’après la nouvelle ère, la Nouvelle Nouvelle Ère. Il recopiait. Il accumulait. Il rebondissait de fil Twitter en fil Twitter, s’exclamait, relayait, mettait des cœurs, haranguait, jetait des points d’exclamation, apostrophait avec rage. Il ouvrait des dizaines de pages web à la fois, sautait de l’une à l’autre, comparait, en français, italien, allemand, anglais. Il traduisait via les logiciels de traduction en ligne. Il vérifiait certains termes complexes. Il avalait tout, les yeux fixés sur l’écran, affamé, tremblant de rater quelque chose. Il avait échangé des insultes en ligne avec @Frédéric – « Consultant en prise de parole stratégique | Amoureux des mots » et avec @Louise – « Être humain du moins j’essaie | Je bloque les trolls direct. » Il cherchait une réponse cinglante à @Nicolas – « Si tu crois aux rumeurs t’es un fils de pute » qui avait fait une allusion fielleuse à son retweet de @Marie « J’espère que ça va péter | Je veux l’apocalypse maintenant. » Il supputait la possibilité d’un verre ou d’un repas un jour futur avec « @Rosanette – « Mon libraire mon univers ! | Passionnée par les Livres et la Nature | Mes tweets n’engagent que moi 😀 », mais ne se précipitait pas, se contentant de retweeter tous les deux jours un de ses posts. Il lui avait parlé des films de Lubitsch qu’il adorait. Il proposerait bientôt de lui envoyer via GrosFichiers Le ciel peut attendre, ce chef-d’œuvre de 1943. Elle comprendrait son humour, sa finesse, son goût. Il l’inviterait à boire un café en début d’après-midi, car il l’imaginait libre de son temps, comme lui, et vivant de minima sociaux. Un café en début d’après-midi n’engageait à rien, ne valait pas date comme un dîner ou un verre à 20 h. Il aurait laissé ses grosses lunettes Afflelou à la maison pour avoir l’air sportif. Ils évoqueraient leurs quatre mois confinés. Il la laisserait parler, ne lui couperait pas la parole, ne lui lirait pas ses poèmes de jeunesse, ne déclamerait pas les tirades de Radio-Plouc dont lui seul rirait. Après un troisième rendez-vous, il proposerait un dîner et elle accepterait. En attendant, Gustave dégueulait @LolaL « Chanteuse engagée | Folk et permaculture », 13 000 followers, qui annonçait la sortie d’un nouvel album. « Regardez-moi cette affreuse bonne femme ! » cria-t-il à l’adresse de ses enfants Charles et Léon, « elle a le toupet de faire de la retape pour vendre sa camelote. Ces artistes de merde n’ont aucune vergogne ! » « Chacun son flic, son curé, son artiste, tuez-les tous ! » rugit encore Gustave qui avait un peu fini la bouteille de rouge à midi. « On s’en fout tu sais, papa », répondaient les deux petits gars, déguisés ce matin en chefs de guerre, des décorations en papier doré collées avec du scotch sur leur T-shirt. Ils jouaient à rendre visite aux poilus du front, comme on l’avait vu faire au président la veille. Ils voulaient faire tous les deux le président. Ils avaient décidé qu’il y aurait deux présidents. « Alors, disait Charles, ça va mon brave ? Pas trop dur la vie sans masque ? » « Soldats ! Je suis content de vous, renchérissait Léon. Vous avez justifié tout ce que j’attendais de votre intrépidité ! Vous avez décoré vos aigles d’une immortelle gloire. Il vous suffira de dire "Je travaillais à l’hôpital public", pour que l’on réponde : Voilà un brave ». « Si vous survivez, vous jouerez à la Wii tant que vous voudrez ! » concluait Léon. Puis Gustave se souvint qu’il n’avait pas d’enfants. À intervalles réguliers, toutes les deux ou trois minutes, il fermait les nombreuses pages ouvertes sur Firefox et regardait ses pieds, puis le mur d’en face. Trois ou quatre heures passaient ainsi, à rouvrir et refermer les dizaines et dizaines de pages ouvertes sur le monde, avant qu’il ne finisse par éteindre l’ordinateur, qui le lâcherait bientôt de toute façon, espérait-il, pour revenir à sa vraie, sa position préférée, allongé dans le couloir, prêt à lancer de nouveaux filets plus fougueux vers sa vie d’avant. En y repensant, et il avait tout son temps pour y repenser, il se demandait s’il ne partait pas un peu trop tôt, un peu trop tard, dans ses histoires avec les gens. Il ne cultivait aucune relation suivie. Rodolphe, Jérôme, sa mère, son ex-femme, ce n’était pas grand-chose. Il avait sans doute trop vécu avec Napoléon, adolescent, dont il s’étonnait de retrouver dans sa mémoire des petits restes coagulés, aujourd’hui encore : le pont d’Arcole, l’auto-couronnement sur le tableau du sacre par David, les visages gris bleu sur des chevaux décharnés pendant la retraite de Russie. Sur l’immensité ténébreuse de l’Histoire, saillissaient encore çà et là, sans aucun rapport entre eux, Bayard mourant, l’Appel du 18 juin, l’assaut du RAID à Marignane, Chirac repoussant un soldat israélien à Jérusalem. Tout cela ensemble composait son histoire de France. Il avait été sensible, quoi qu’il en eût, à la prestation du président sous la tente militaire à Mulhouse. Elle lui avait rappelé certaines toiles d’Antoine-Jean Gros, les grands formats qu’il avait vus dans les livres d’histoire puis au Louvre : Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa, par exemple. Bien sûr, dans le cas de l’ancien inspecteur des finances, l’improvisation, le ridicule, une sorte de comique presque assumé se mêlaient à la posture, mais cela aussi n’était pas tout à fait absent des toiles de propagande impériales. Un corbeau s’était posé sur le toit d’ardoise de l’immeuble en face, et remuait son bec par à-coups. Le soleil de la fin d’après-midi faisait luire son plumage, avec des éclats bleu-violet que Gustave n’avait jamais remarqués. Il regarda le gros oiseau, son œil noir et lourd qui vibrait. Outre Napoléon, Gustave s’était construit un bric-à-brac de vies tapageuses, chanteurs, acteurs, artistes des deux sexes, où il puisait son répertoire d’attitudes possibles, de destins sublimes. Longtemps, il avait ignoré la vie de ses semblables, moins portés que lui à la dévotion, et qui évoluaient dans des univers dont il ignorait presque tout. Alors, plein de bonne volonté, il s’était juré de rattraper son retard. Il était allé voir les films, avait écouté les disques, lu les livres des autres, s’était énormément saoulé aussi, pour passer du temps avec eux, et il surmontait sa timidité et son ignorance. Sur son téléphone posé sur le parquet à côté de lui, un petit message de sa banque s’afficha. « Hop, hop, hop, on ne bouge plus, Axa reste avec vous pendant la vie confinée ». Le corbeau s’était avancé sur la gouttière. C’était peut-être une corneille. On apercevait des coyotes à San Francisco, pourquoi pas d’authentiques corbeaux sur les toits de sa ville ? Avec Jérôme et Rodolphe, il s’était découvert une passion commune pour la vie du dernier président élu. Ils partageaient leurs informations, et le père de Gustave les aidait. Tous les trois aimaient tout particulièrement l’histoire du chien élyséen. Brigitte, depuis le début du mandat de son mari, visitait tous les dimanches un centre SPA. Elle cherchait pour le couple présidentiel un animal aux traits distinctifs précis. Depuis six mois, elle repartait bredouille, lasse et résignée. Quand sa Peugeot 5008 de fonction repartait, elle fixait longtemps la route, sans un mot, les traits tirés. Elle regardait les platanes qui perçaient le ciel avec une immobilité d’estampe. Elle pensait à la déception d’Emmanuel quand il apprendrait son nouvel échec, et à sa main si belle qu’elle prendrait doucement dans la sienne. Un jour cependant, en visite dans le chenil de Hermeray, dans les Yvelines, le personnel lui avait présenté Marin, qui correspondait en tous points à leur désir, un croisement de labrador retriever et de griffon noir. Né le 7 avril 2016 à Tulle, ville longtemps gouvernée par le précédent président français, Marin était arrivé en août 2017 dans le refuge. Les récits divergeaient sur sa vie d’avant. On disait qu’il avait été recueilli par un berger, sur un plateau des Causses, et qu’il avait mis en fuite une meute de loups. Brigitte était transportée, elle tressaillait de joie. L’entente fut immédiate, la confiance et l’écoute mutuelles, entre l’ancienne professeure de français et l’animal. Avec le président aussi, fou de joie, tout alla bien. Ils eurent une petite dispute au sujet du prénom, mais elle se rangea à ses raisons : Némo était plus souverain. Dans une interview à Der Spiegel, l’ancien pensionnaire mélancolique d’Amiens expliqua avoir volontairement choisi un chien qui ne soit pas de race, mais issu de la SPA, afin de se démarquer des autres présidents et d'offrir un changement disruptif de destin à l'animal. (A suivre).
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wewillpunkyou · 7 years ago
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Interview - Sleeping With Sirens (12 juin2017)
Il y a un mois, les américains de Sleeping With Sirens étaient en tête d’affiche du Longlive Rockfest à Lyon. On vous a raconté à quel point c’était cool de les voir sur scène dans notre article sur le festival, ici, et maintenant, on vous dit tout ce qu’ils nous on raconté lors de notre interview. Ceci est une version traduite de l’interview, vous trouverez la version originale, en anglais, ici. Et si vous voulez voir les photos de leur set , c’est par là !
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We Will Punk You! : C’est super d’être avec vous ! C’est la seconde fois que vous jouez en France cette semaine, mais ça fait très longtemps que vous n’êtes pas venus ici. Pourquoi est-ce que vous ne venez jamais ?
Kellin Quinn : On n’aime juste pas venir ici. Non, je rigole. On n’a juste pas vraiment fait de tournée européenne et je ne sais pas pourquoi mais on va venir plus souvent maintenant. On aime vraiment cet endroit ! 
WWPY! : C’est une super nouvelle !
Gabe Barham : Je crois que ça faisait sept ans que nous n’étions pas venus ici. Demain c’est l’Italie et c’est pareil. C’était nos premiers shows outre Atlantique quand on était un bébé groupe. 
WWPY! : Vous êtes venus en Allemagne, je crois que c’était l’an dernier, mais vous n’êtes pas venus en France et vous nous manquez, on a besoin de vous ici !
GB : La France nous a manqué donc nous sommes contents d’être ici cette fois ci ! 
WWPY! : Tout le monde est content ! Vous avez sorti, je ne sais plus quand exactement, Madness, l’album. Pourquoi avez-vous choisi ce nom ? Pourquoi avez-vous choisi cette chanson pour être le titre de l’album ?
KQ : Parce qu’on a eu que des merdes quand on a fait l’album et c’était de la folie (NB: madness en anglais) et on l’a appelé comme ça. 
Nick Martin : Ça a été un processus très long, c’était très stressant. On a fait un album qu’on a fini par ne pas sortir et nous sommes retournés immédiatement en studio pour écrire un album complètement différent. C’était juste de la pure folie et c’est de la que ça vient.  
WWPY! : C’est un nom super ! 
NM : Oh, merci !
WWPY! : On vous a vus faire la première partie de Good Charlotte la semaine dernière ce qui était génial car c’était la première fois qu’on vous voyait en live. On a beaucoup aimé le moment où vous avez joué The Strays parce que nous trouvons que c’est un super doux moment, si ça a un sens, pendant votre set. Est-ce que c’est une façon de décrire l’atmosphère Sleeping With Sirens ? Le groupe et les fans… 
KQ : Oh, on est une bande de bisounours ! La nuit dernière je ne pouvais pas arrêter de pleurer, je ne sais pas pourquoi.
GB : Il était très émotionnel hier soir. 
KQ : Très émotionnel ! On est juste un groupe emo.
WWPY! : C’était en Belgique ? 
KQ : Dans ma chambre ?
WWPY! : Non, en Belgique ! 
(Il s’agit ici d’une confusion entre Belgium et bedroom en anglais. Nous avons des accents plus français que nature chez We Will Punk You!)
GB : Dans sa chambre. Il y pleure. 
KQ : Je pleure dans ma chambre !
Jack Fowler : Qu’est-ce que t’écoutais ? 
KQ : Je n’écoutais rien !
JF : T’as juste commencé à pleurer comme ça ? 
NM : Il est juste émotionnel.
KQ : J’ai vu un chien qui ressemblait à mon ancien chien et j’ai commencé à pleurer. J’ai vu un petit bébé et j’ai pensé « mon bébé me manque » et j’ai commencé à pleurer. 
NM : Oui, je crois que The Strays est une bonne représentation générale du groupe et de qui nous sommes.
WWPY! : Merci de répondre à la question ! A propos de ce concert avec Good Charlotte, Kellin on t’a vu refaire le générique de Mario Kart, d’où ça sort ?  
GB : C’est marrant parce qu’il ne l’a pas fait depuis probablement trois ou quatre ans.
JF : Il n’avait pas le choix. 
Justin Hills : Ça venait de Nintendo c’est ça ?
GB : Ouais. 
KQ : C’est vraiment ancienne generation. Je sais pas. J’étais un gamin et je beatboxais pour ma copine…
JH :  Montre nous ! (Il commence à beatboxer). 
KQ :  T’es bon mec !
GB :  Il y avait un problème sur scène avec la guitare de Nick… 
WWPY! : Oui, on a vu ça mais c’était cool de faire ça !
JF : Ce n’était pas du tout de la faute de Nick. 
NM : Non, ça ne l’était pas. Je suis au top de ma forme. 
WWPY! : A propos de votre prochain album, on ne veut pas une date, un nom ou quoique ce soit, mais est-ce que vous pouvez partager vos impressions à propos de la façon dont il a été enregistré, dont vous avez travaillé avec votre producteur, etc. ?
JF : Stressant ! 
WWPY! : C’était Madness 2.0?
KQ : On va l’appeler Madness partie deux !
GQ : Non, on ne va pas faire ça. 
NM : En fait, on a juste pu finir d’écouter toutes les chansons aujourd’hui ! L’album est complètement terminé, rendu et on devrait le sortir…. Il sort plus tard cette année. Je ne peux pas dire quand maintenant…  
JH : Je vais le dire !
WWPY! : Si tu veux, tu peux.
JH : C’est…
WWPY! : Mais nous dis pas de la merde !
JH : Oh, je peux pas.
WWPY! : De quoi parle l’album ? Y a-t-il une chanson que vous aimez particulièrement ? Est-ce que vous pouvez nous en dire quelque chose ?
JF : Je ne sais pas si on peut déjà dire ça !
KQ : Ça parle de pleurs.
WWPY! : J’ai hâte de l’entendre !
NM : Je suis vraiment content de cet album, je l’adore !
WWPY! : Comment est-ce que vous écrivez ? Est-ce que vous allez tous en studio et écrivez une chanson… Comment ça se passe ?
JH : Généralement c’est juste moi.
WWPY! :  On te croit mais tu dois expliquer comment !
KQ : De temps en temps ça commence avec une mélodie ou une parole, de temps en temps ça commence avec les guitares, ça ne commence jamais avec la batterie, jamais !
JH : De temps en temps avec la basse…
NM : Chaque chanson est différente. La façon dont on écrit est toujours un processus différent. Comme a dit Kellin, ça peut être une parole, un son sur la guitare, c’est toujours différent.
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WWPY! : (à Jack) Félicitations d’avoir été le guitariste de l’année l’an dernier aux APMAS ! Est-ce que vous avez des nominations cette année ?
JH : Eh non il n’en a pas !
WWPY! : Je veux dire en tant que groupe !
JF :  On en a. On est nominés pour… Nick le sait probablement mieux que moi… Oui, fanbase la plus dévouée !
WWPY! : The Strays! Est-ce que c’est le nom de la fanbase ?
NM : Oh ouais !
WWPY! : Des fans qui pleurent… Enfin bref, quelle est la phrase provenant d’une de vos chansons, actuelle ou vieille ou à venir, que vous aimez le plus ?  
KQ : Je dirais celle que les gens se tatouent le plus “sometimes you gotta fall before you fly”.
GB  : Ou The Strays, “we are the strays”.
WWPY! : Les paroles emo, on en revient toujours au même point.
JH : “They say that love is forever, your forever is all that I neeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeed”.
WWPY! : En parlant de vos fans, les vôtres sont plutôt dévoués. Est-ce que vous avez un souvenir de l’un d’entre eux faisant quelque chose de fou ?
JF : Ouais, ce mec qui a essayé de monter dans notre bus.
WWPY! : Je veux entendre cette histoire, explique moi !
JF : C’était juste un fan fou qui disait qu’il avait le droit de monter dans notre bus. On était là non t’as vraiment pas le droit. Il est monté dans le bus et on était là “attends t’es qui?” et lui il était là “oh je monte avec vous les gars. Y a des gens qui ont dit que je pouvais”. Je n’ai pas besoin de vous dire qu’il a été viré du bus.
WWPY! : Eh bien il a essayé !
JF : Il s’est un peu introduit dans notre maison quand on y pense un peu.
WWPY! : Ça devient drôle en y repensant mais ça ne l’est pas quand ça arrive si ça a un sens. Sur un autre sujet, est-ce que vous écoutez des artistes européens, hors Royaume-Uni, ou des groupes qui ne chantent pas en anglais ?   
KQ : Chunk! No, Captain Chunk! Ils viennent de France.
WWPY! : Non ils chantent en anglais. Chunk ça compte pas, Daft Punk ça compte pas et Phoenix ça compte pas. 
NM : J’écoute de la musique mariachi.
WWPY! : Très bien, oui. 
NM : Ils chantent en espagnol et tout.
JH : J’écoute Daddy Yankee de temps en temps. 
WWPY! : Quoi ?
JH : Daddy Yankee ! 
WWPY! : C’est qui ? Est-ce que je veux savoir ?
JH : C’est un rappeur mexicain.
(un inconnu apparaît) 
WWPY! : Est-ce que tu connais des artistes qui ne chantent pas en anglais ?
(l’inconnu part sans répondre) 
JF : Je ne crois pas que j’en écoute. Oh, One Ok Rock ça marche ?
WWPY! : Ouais ça marche carrément ! Aujourd’hui Pierce The Veil jouent aussi. (à Kellin) Première question, est-ce que tu vas chanter King For A Day avec eux ?
KQ : Je ne sais pas, je n’ai pas encore décidé. 
WWPY! : Tu dois le faire.  
KQ : Je suis obligé ? 
WWPY! : Oui, tu l’es. La seconde question est : quel membre de Pierce The Veil détestez-vous le plus ? Vous pouvez répondre ‘tous’.
JF : Honnêtement ? 
WWPY! : Euh ne sois pas trop honnête…
GB : Je dirais Jaime parce que ses cheveux sont toujours putain de parfaits.
WWPY! : C’est une bonne raison de détester quelqu’un !
JF : Ouais, vous savez quoi ? Je vais regarder la caméra et dire ça. Jaime. Parce que de temps en temps il me bat au billard et ça m’énerve. Et j’aime ses cheveux.
WWPY! : C’est la dernière question. Vous avez été signés chez MMDN. Comment c’est arrivé ? (à Kellin) Tu as aussi participé à l’album de Good Charlotte, comment ça s’est passé ?
KQ : Oui, c’est comme ça que c’est arrivé. J’ai fait une chanson avec eux et ils m’ont dit « hey, vous voulez venir à bord ? ». J’ai dit « je dois en parler au reste du groupe ». Ils ont dit non mais j’ai dit « ouais, on va faire ça » quand même. 
WWPY! : Et maintenant vous êtes les meilleurs amis et le groupe préféré de Benji Madden !
KQ : Ouais ! 
WWPY! : Mais j’ai vu Waterparks faire leur première partie et il a dit exactement la même chose donc je ne suis pas si sûre de ça !
JF : Fuck you Ben ! (Nous traduirions ça par “va te faire foutre, Ben !” mais la traduction est-elle réellement nécessaire ?) 
WWPY! : Eh bien merci de nous avoir accordé cette interview !
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omgmykpopfictionsandstuff · 5 years ago
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The Insomnia Saga (pt 4)
Parfois les chanteurs se faisaient des petits défis, celui-ci était filmer dans un théâtre à l’ancienne transformer pour l’occasion en studio. Ils avaient invités des chanteurs de KPOP pour venir les écouter. Elrick passait entre les câbles et vérifiait les connexions, passant derrière Morganna, soulevant Miyuki en sac à patates pour le déplacer et continuer ses branchements. Certains chanteurs observaient le chanteur de JUMP, puis Miyuki qui haussa simplement les épaules. Ce n’est quand Ewan Winchester entra que le blond se détendit.
 « I’m going crazy… » Marmonna le blond en passant une main dans ses cheveux.
« Let me see. » le roux s’approcha de l’installation et hocha doucement la tête. « Relax. It’s fine. »
« Fuck… » Elrick s’assit sur le bord de la scène
« Relaxe Elrick. » Diana vint lui embrasser la joue « Tu as fait un bon boulot. »
« Merci… » Le blond s’étala sur la scène « rassurez moi, on change que de chansons… pas genre de style… »
« On n’échange que les chansons oui. » nota Ewan « Je ne suis pas prêt à changer style avec toi. »
« Oh donc t’attaques du JUMP ? » Elrick sourit
«Peut-être. » Ewan s’étira un peu « Jolene est déjà là ? » demanda-t-il
« Je suis là. » La chanteuse américaine descendit les marches du théâtre dans une sublime robe noire assez courte montrant ses jambes toniques et épousant ses formes. Pour une fois elle avait relâchée ses cheveux qui tombaient en de sublimes vagues dans son dos. « Je suis là mon cher. »
« Toujours plus belle. » Ewan embrassa la main de Jolene
« Toujours plus flatteur. » Jolene sourit un peu alors qu’elle sentait sur elle le regard perçant de Jaehyun. « Je dois néanmoins te prévenir mon cher, que je ne suis plus seule. »
« Oh je ne le suis pas non plus, mais… Tant qu’il n’est pas là, je me permets de complimenter la plus belle. » Il sourit un peu
« Donc ta moitié fait partie De BTS. » Nota Diana en s’étirant « C’est quiii ? »
« Ce n’est pas J-Hope en tout cas. » Dit Lily en s’asseyant
« Ni Namjoon. » dit Maria en s’asseyant
« Ohhh ?! » Morganna vint se poser « Y a des choses que je ne sais pas là »
« Y a que Namjoon et Maria ont gagné Danse avec les Stars et que depuis les rumeurs vont bon train ? » dit Diana en se posant
« Des rumeurs ? » Miyuki observa Maria « connaissant Maria … »
« Les gars on attaque dans 10 minutes » Fit Jack en entrant avec Shinee et BTS « N’oubliez pas qu’on n’est pas seuls. » ronchonna le gallois en sautant sur la scène.
« Geeeenre on va mal se comporter. » nota Samael en sortant des coulisses
« Oui. » Jack fixa Samael « Surtout toi. »
« Moi ? Mais je suis sage comme une image, pas vrai tatie ? » Samael pencha sa tête sur l’épaule de Jolene
« Pas vrai. Mais on te pardonne. » Jolene sourit un peu en caressant la joue de Samael tendrement. « Qui ouvre le bal ? » demanda Jolene doucement
« Je laisse les dames choisir. » nota Jack
« Moi je veux ! » dit Lily en se levant « J’ai envie de plomber l’ambiance. »
« On envoi la vague de dépression en premier. » nota Diana « Donc Lily, Jolene et on voit après ça... »
« Bien Lily, à toi. » Jack alla s’asseoir là ou y avait de la place.
 Jolene elle décida d’aller s’asseoir sur les genoux de Jaehyun qui l’enlaça doucement, ronchonnant légèrement sur ce Samael. Diana s’installa sur les genoux de Johnny, et Morganna resta debout, alors que Malia arriva un peu en retard, glissant ses bras autour des hanches de l’irlandaise.
 « What’s up ? » murmura la jeune femme aux cheveux lavande
« Oh… well … » Morganna se laissa aller en arrière dans les bras de Malia « I’m sick as fuck. »
« Babe.. » Malia soupira un peu « You need to sit down »
 Morganna secoua la tête doucement. Malia fronça les sourcils et chercha dans la foule Yunho. Elle croisa son regard, bien posé, Malia lui fit signe de se ramener et se recula pour laisser Yunho venir l’enlacer. La mauveté prit la main de Yunho et soupira un peu.
 « Prends soin d’elle. » dit Malia doucement
« Toujours. » Yunho vint refermer ses bras autour de Morganna alors que Malia allait ennuyer Taeyong. « Dis-moi ce qui ne va pas mon amour… »
« Malade… » marmonna Morganna
« Malade comment ? » Yunho fronça les sourcils
« Malade comme naussée et-… oh. » Morganna leva la tête vers Yunho « … Yunho… »
« Mh ? » Yunho caressa son visage avant que tout semble enfin s’éclaircir. « Oh. »
« Je suppose qu’on va … devoir … être vigilant ? » marmonna-t-elle doucement
« Morganna. » Yunho la força à le regarder « On va surtout se marier, publiquement… Le reste ne sera que du bonus… »
« Mh » Morganna se lova dans ses bras et sourit en voyant le regard approbateur de Malia
 Sur la scène Lily avait commencé à s’installer. Elle chantait une chanson crève-cœur, alors qu’Ewan donna une traduction à Hoseok. Ne me quitte pas, porter par la voix puissante de la jeune chanteuse. Mark cligna des yeux étant très ému par la chanson et cette interprétation. Il comprenait un peu le français et ce genre de textes le rendait tout bizarre. Il observa ensuite Lily regarder Hoseok qui secoua la tête et quand elle eut finit, Hoseok vint la prendre dans ses bras pour l’embrasser avec passion marmonnant contre ses lèvres ‘jamais jamais’ en la serrant dans ses bras. Lily caressa ses cheveux et sourit alors qu’il la gardait bien contre lui.
 « Les chansons de Lucie sont toutes déprimantes… » Murmura Lily doucement
« Tu aurais pu choisir ta grande sœur. » nota Diana
« J’aurais pu, mais c’est plus marrant de chanter celle de ma jumelle. » Lily sourit un peu « Et puis Lucie n’est pas aussi chiante que toi. » dit-elle
« Chiante ? Moi ? » Diana rit
« Oh oui tu es chiante. » Lucie sortit des coulisses au bras Zhen qui l’aida à descendre des marches. « Bonjour tout le monde. »
« La sainte-mère est arrivée. » Fit Diana en souriant
« Oh pitié, ravale ton amertume. » dit Lucie en s’asseyant
« Les filles pitié. » Lily se massa les tempes « On peut mettre votre rivalité débile de côté pour une  fois ? » soupira Lily en s’asseyant sur les genoux de Hoseok
« France, shut the fuck up. » grogna Elrick en s’étirant « You’re pissing me off »
 Jolene secoua doucement la tête et monta sur scène pour prendre le micro. Jaehyun l’observa et haussa un sourcil en l’entendant chanter ‘Numb’ de JUMP. Chaque mot, chaque émotion étant si dure, si intense et Samael baissa les yeux, comme Malia qui regardait ailleurs. Ils savaient diablement pourquoi leur tante avait choisi cette chanson. Elle termina doucement la chanson et quitta la scène la laissant à Jack qui monta sur la scène et s’inclina vers Lily. Commençant a chanter ‘Into The Unknown.’ Lily rit doucement en voyant Jack embrasser cette partie de lui qui souhaitait être un princesse de Disney. Elle l’encouragea avec un grand sourire, quand il eut finit, c’est Elrick qui monta sur la scène. Tout le monde sursauta quand Renjun secoua un peu le bras de Miyuki. ‘Unravel’ en anglais porter par la voix d’Elrick secoua tout le monde alors que Miyuki approuvait le choix. Le suivant à monter sur scène fut Samael qui se gratta le cou et commença a chanter du Zhen Nan et donc ‘Treat you better’ faisant applaudit Zhen qui regardait Jolene étrangement. C’était rare que Samael se laisse aller à chanter des chansons pop.  Vint Morganna, elle sembla aller un peu mieux et s’installa calmement pour chanter du Jolene avec la chanson ‘What I never knew I always wanted’. Yunho la regardait, si fièrement et l’applaudit en se mettant debout, tel le fiancé extraordinaire qu’il était. Jolene fixa Yunho, puis Malia et quand Morganna descendit de la scène, Jolene vint lui embrasser les joues. Vint le tour de Malia qui fixa Ewan, il hocha simplement la tête. Elle attrapa une guitare noire –Jolene sursauta en voyant sa guitare-  et commença à jouer une version acoustique de ‘Whiplash’ alors que Taeyong glissa dans son fauteuil avec Mark et Jaehyun qui se grattait le cou. Jolene rit en regardant Elrick qui haussa les épaules. Quand Malia eut finit elle posa la guitare et claqua la main d’Ewan quand Maria monta sur la scène, elle entama du Samael et tout le monde fixa la latino étonné ‘Trying not to love you’ était assez complexe et surtout le chanteur original fixa sa sœur en lui posant silencieusement une question à laquelle Malia répondit en haussant les épaules. Maria descendit des marches et s’assit en croisant les jambes alors qu’Ewan monta sur la scène et commença une reprise de ‘Fake love’ au piano. C’est sur ces dernières notes que ce termina la journée.
 « Now ! » Samael se pencha vers Maria « Trying not to love you ? Dude ça va tu te sens bien ? Tu veux en parler ? » demanda Samael
« Mais je vais très bien Sam, j’avais juste envie de chanter du Edgy Bastard. » nota Maria en souriant
« Ouh mon pauvre cœur… nan je déconne. Bien jouer. » Samael sourit en se levant « Bon maintenant qu’on a fini » Il tendit la main a Lucie « Je vais débauché un ange. Tango with the devil baby ? »
« Oh Yes please ! » Lucie prit la main de Samael en riant alors que Jack lança une musique de Tango.
 Lucie, dans les bras de Samael se laissa aller à la musique alors que Jaehyun se pencha sur Jolene qui sourit un peu.
 « Lucie et Samael ont jouer ensemble dans une série très sombre et un épisode s’appelait le Tango du diable. Lucie incarnait dans la série un Ange et Samael un démon. » Expliquait Jolene
« Oh j’ai vu cette série, Suho et Minho apparaissent dans un épisode. » dit Jaehyun « C’est Ineffable Alliance ? »
« Yep. » Jolene sourit « Depuis Lucie et Sam s’amuse de temps en temps. Mais la meilleure danseuse des sœurs c’est Lily. »
« Donc chez les Hart je suppose que le meilleur c’est Faust ? » demanda Taeyong en ayant écouté un peu
« Du tout. La meilleure chez les Hart c’est Malia. » Elle montra Malia dansé avec Ewan « Elle a toujours dansé » dit Jolene doucement « Ewan a toujours tendance a faire ressortir le meilleur de tout le monde avec qui il danse… Oh tient. »
 Sur la piste improvisé Lily menait Hoseok dans du collé serrer alors qu’Ewan se faisait harponner par Jungkook et Maria avait embarqué Namjoon sur la piste. Samael lâcha Lucie pour la regarder embarquer Johnny sur la piste sous le regard noir de Diana.
 « Sammy… tu as libéré la pire rivalité… » soupira Malia en se posant
« Le collé serré je suis pas assez hétéro pour ça. » Samael soupira « Ecoute Faust et moi aussi on se chamaille mais là Diana et Lucie c’est plus de la rivalité c’est de la compète. »
« Disons que Faust te laisse gueuler et qu’il revient quand  t’es calmé. » Fit Morganna en s’installant doucement dans les bras de Malia
« Un point pour l’Irlande. » dit Malia « Tu veux quelque chose ? » demanda-t-elle à la noiraude
« Des câlins et du courage. » dit-elle en riant
« Et une petite danse avec l’homme de ta vie. » Dit Elrick en attrapant les mains de Morganna
« Juste parce que c’est toi. » Morganna rit et se laissa embarquer
« Je croyais que Morganna était avec Yunho… » s’étonna Taeyong
« Taeyong, Elrick est gay. Tout ce qu’il y a de plus gay. » nota Malia amusée « Morganna est juste très proche de lui parce qu’il est son mentor. »
« Tu danses Jolene ? » osa Jaehyun
« Juste pour toi. » Elle se leva et embarqua Jaehyun danser
« Tatie l’aime. » nota Samael
« Jaehyun a déjà dit qu’il aimait Jolene. » fit remarquer Mark
« Et ils sont fait l’un pour l’autre » dit Ten
« Etrangement je suis d’accord. » nota Samael « Ils sont bien ensemble. Et j’aime personne quand ça concerne ma Tante. Elle mérite le monde. »
« Il le lui apporte. » fit Miyuki en se posant « Faust est où ? » demanda-t-il
« Il est partit supporter son meilleur pote à son match. Il s’excuse. » dit Samael amusé
 Malia observa la piste et se tourna vers Taeyong. Elle l’emmena avec elle pour le faire danser. Le requin avait commencer à planter sa première rangée de dents dans sa proie.
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lachansonceleste · 7 years ago
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NORD
Nord : « J’aime bien les mots qui te tapent dans la tronche »
 28 juin 2016 Jeanne  Aucun commentaire
INTERVIEW – On avait été tout de suite séduits par le dernier EP de Nord, L’amour s’en va. Et puis, au Point Éphémère en mai dernier il n’y avait définitivement plus de doute : sur scène ou dans nos écouteurs, Nord nous prend aux tripes. Des textes sombres sur des arrangements rythmés, le résultat en est presque mystique. Derrière Nord se cache Xavier Feugrey, un normand bien connu du côté de Rouen. C’est là que nous l’avons rencontré, les cheveux certes mouillés par un lundi pluvieux, mais le visage illuminé par sa gentillesse. Rocknfool : Tu as commencé à jouer de la guitare sur une guitare de droitier que tu prenais à l’envers puisque tu es gaucher. Est-ce que tu as gardé cette drôle d’habitude ? Nord : J’avais quatorze ans, ma sœur avait ramené une guitare à la maison et oui c’est comme ça que j’ai commencé la musique. Je l’avais prise à l’envers parce que je n’y connaissais rien. Au bout d’un moment j’ai retourné les cordes parce que je n’arrivais pas à faire tout, il fallait mettre tous les accords à l’envers, c’était trop chiant. Je me suis dit qu’il valait mieux mettre les basses en haut. Et après j’ai acheté une guitare de gaucher.
Tu es autodidacte, comment s’est passé ta découverte de la musique ? J’ai demandé plein de conseils et j’ai joué en groupe, c’est comme ça que j’ai appris la musique. J’étais en internat au lycée et j’ai eu la chance de rencontrer des musiciens, des gars super bons. Avec un pote on a commencé un groupe qui a duré dix ans, lui était bassiste-guitariste et il apprenait vachement vite, le genre de mec qui te dégoûte un peu parce qu’il est trop fort (rires). Après j’ai fait d’autres groupes, j’ai appris d’autres trucs. Et quand j’ai fait la fac de musicologie, j’ai pris quelques cours de piano. C’était bien aussi de changer d’instrument. Pour mes maquettes je fais un peu de basse. Mais maintenant je fais tout au synthé, je m’emmerde moins (rires). J’ai appris le solfège vraiment sur le tard, encore aujourd’hui j’en apprends encore.
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Tu jouais des reprises de Nirvana au début ? Oui un peu, c’est ce qui me permettait d’apprendre des accords mais avant tout je faisais mes chansons. J’ai commencé en faisant des chansons mais sur un modèle. Nirvana c’était un peu mon modèle de base. Nirvana et Brassens. Je trouvais une sorte de complémentarité entre les deux. C’est ce côté hyper direct qui me plaît, je suis en train d’analyser le truc comme ça.
Le but c’était d’être chanteur plus que musicien ? Oui c’est ça, le but c’était d’écrire ou d’être parolier. En ce moment j’ai du mal à écrire, je me prends carrément la tête. Mais le but c’était de chanter mes chansons et d’écrire.
Il y a des artistes pour lesquels tu aimerais écrire aujourd’hui ? Oui pourquoi pas, mais c’est prétentieux de dire ça (rires). On m’a déjà demandé, mais je n’ai pas eu le temps là. Et je galère trop pour moi déjà. J’ai fait des essais mais je n’étais pas super convaincu.
Tu vis en Normandie. Est-ce que c’est une difficulté pour percer dans le monde de la musique qui est très centralisé sur Paris ? Ça dépend de ce que tu veux faire, mais si tu veux rencontrer des labels c’est à Paris qu’il faut être je pense. Dans le créneau dans lequel je suis là, oui. Je vois vraiment la différence. J’ai fait de la musique pendant 10 ans avec des groupes, c’était de la chanson française, on a bien tourné mais on n’avait pas de réseau. Je ne connaissais personne à Paris. On tournait surtout en Normandie, c’était notre truc. C’est en commençant ce projet solo, Nord, que je me suis dit qu’il fallait sortir un peu de la région. Se poser des questions sur ce que je voulais faire en solo. J’en ai discuté avec mon pote Simon Carpentier qui connaissait un peu du monde à Paris, qui y avait un studio. On a fait les maquettes comme ça, en se disant qu’on devait rencontrer des gens, agrandir le réseau. Et c’est comme ça que j’ai rencontré mon éditeur qui m’a fait rencontrer les labels, tourneurs… En 6 mois j’ai rencontré plein de monde, alors que ça faisait 10 ans que je galérais. Tout s’est accéléré, c’était l’effet boule de neige : le label, les Inrocks, France Inter, le tourneur Uni-T…
C’est quelque chose que tu attendais avec impatience ? Ce n’est pas que je l’attendais avec impatience mais au bout d’un moment tu te dis qu’il faut que quelque chose se passe. J’avais envie d’aller de avant. Tu peux faire une carrière chez toi, mais bon… Il est difficile de mettre une étiquette sur Nord. C’est de la chanson française, un peu pop, un peu sombre, avec beaucoup d’influences et de sonorités différentes. Est-ce que tu trouves que c’est important d’étiqueter la musique ? Ça dépend pour qui. Moi je m’en fous, je n’ai pas vraiment envie d’étiquettes, et les choses que j’écoute n’ont pas tellement d’étiquettes non plus. Mais c’est toujours bien d’avoir des repères. Parfois c’est un peu dangereux de se dire « c’est le nouveau, je ne sais pas, Jacques Brel, ou le nouveau Fernand Reno ». Il y a toujours le jeu des comparaisons. Mais je pense qu’on a besoin de repères. Ce qui est vraiment chouette avec le truc de la chanson c’est de mixer les influences. Faire de la chanson c’est faire un mélange, un métissage de plein de trucs : du rock, du ska, etc. Mais je n’ai pas envie de faire exclusivement de ça ou du reggae, ragga, reggae-roots. J’aime bien piquer des trucs à droite à gauche. C’est pareil pour mes textes.
Tu travailles essentiellement sur ton synthé. À quel moment tu sais qu’un morceau est terminé et qu’il faut arrêter d’ajouter des lignes ou des voix ? Je ne sais pas ! En ce moment je me pose beaucoup cette question. C’est quand tu l’écoutes et que tu ne te fais pas trop chier, quand tu l’écoutes et que tu n’as pas de manque. Parfois c’est hyper trompeur. Ça m’arrive souvent sur des démos de me faire tromper par l’émotion, tu te dis que c’est sympa, mais c’est sympa parce que tu viens juste de le faire. C’est difficile de savoir quand c’est vraiment terminé. Je commence souvent plein de trucs que je mets de côté, et finalement j’ai des maquettes de petits bouts et je n’en fais jamais rien (rires).
Tes textes sont plutôt sombres et ton interprétation sur scène et très intense, mais rythmiquement c’est dansant et presque enjoué. Est-ce que cette énergie c’est un moyen de purger ou d’expulser des angoisses ? J’envisage la scène comme un lâcher-prise. Les émotions sont multipliées. On est là pour le show. Avant c’était peut-être un peu thérapeutique. Mais maintenant ça change, je ne sais pas vers quoi ça change. Je ne sais pas pourquoi, peut-être que j’ai grandi, j’ai vieilli et je n’envisage plus les choses de la même manière. Quand j’ai commencé à écrire des textes c’était vraiment un soulagement. Maintenant j’ai un peu plus de recul, je me demande comment dire les choses autrement. J’ai l’impression de faire tout le temps les mêmes chansons. Il paraît qu’on écrit tout le temps les mêmes chansons, c’est une histoire d’obsessions.
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Est-ce que tu penses qu’il y a aussi un effet de catharsis pour le public ? Oui peut-être que tu t’y retrouves aussi. Et c’est ce qui est bien dans la chanson, il peut y avoir plusieurs niveaux de lecture. Parfois tu ne comprends pas très bien mais il y a une mélodie qui t’accroche. Ou parfois ce sont des mots qui te tapent dans la tronche. J’aime bien ça les mots qui te tapent dans la tronche !
Tu as composé « L’amour s’en va » à partir d’une dispute d’un couple que tu entendais par ta fenêtre ? Il y avait tout le temps des mecs qui gueulaient en bas de mon immeuble. Ils gueulaient en arabe des trucs et je ne comprenais rien du tout. J’habitais au quatrième. J’ai mis mon micro et j’ai enregistré la conversation. J’avais commencé mon morceau à partir de ça. J’avais fait un slam de 15 minutes autour de l’amour. C’était rigolo, j’ai une maquette avec toute la conversation-engueulade, ça avait l’air assez intense.
C’est un processus que tu suis souvent, t’inspirer de situations de quotidien ? Oui, souvent je pars d’un truc que j’ai entendu, d’un élément déclencheur. Ça peut être un mot, un truc qu’on m’a dit ou que j’ai lu ou entendu. Pareil pour « Drunk », au début les paroles c’était « mêle noise and mistakes ». J’étais avec des Français et des Lituaniens et on parlait français, lituanien et anglais, c’était des traductions de traductions, un peu scabreuses. J’ai changé ensuite en « I’ve made loads of mistakes ».
La voix et la partie instrumentale sont très équilibrées, les deux prennent autant d’importance. Est-ce que c’est ce que tu recherches, l’équilibre parfait entre ces deux éléments, sans favoriser l’un ou l’autre ? C’est un peu malgré moi mais j’aime bien l’équilibre des deux. Je ne suis pas dans la chanson à texte où le chant doit être au-dessus forcément. Parfois la musique vient taper le texte et parfois le texte vient se reposer sur la musique.
Est-ce que pour toi la voix est un instrument à part entière ? Oui complètement, c’est mon instrument principal d’ailleurs. Je ne suis pas très bon instrumentiste et j’ai plus confiance en ma voix maintenant.
Parfois tu déclames plus que tu ne chantes. Est-ce que les chanteurs d’aujourd’hui sont les poètes d’autrefois ? Oui peut-être. J’aurais bien aimé être poète.
Il faut être à moitié con pour créer.
Nord Quels poètes lis-tu ? Aragon, Rimbaud, Queneau aussi. J’adore ! J’aime bien les trucs un peu truculents. Soit je ne comprends rien et j’aime bien parce que je me dis qu’il y a peut-être un monde parallèle, soit je lis des trucs sur des astuces de phrases ou des phrases qui choquent. Queneau avait le sens de la formule.
Comme les poètes maudits, il faut être un peu torturé pour créer ? Il faut être à moitié con (rires), sinon tu ne fais pas ça, tu te trouves un boulot et tu ne t’emmerdes pas avec l’écriture.
J’ai lu que tu avais beaucoup d’angoisses la nuit, que tu faisais des rêves un peu inquiétants. Oui mais ça va mieux maintenant. Ce sont plutôt des douleurs physiques qui m’empêchent de dormir en ce moment, j’ai une contracture. Non mais ces dernières semaines ça va mieux, je dors mieux. Tu fais un choix : tu dors ou tu composes.
Visuellement tu as une imagerie très géométrique, en plus de l’utilisation du noir et blanc. Est-ce que tu as un esprit scientifique ? Je crois que non, je suis allé complètement à l’opposé. Parce que je suis très bordélique. Avant je faisais toutes mes pochettes tout seul. Et là avec Nord je voulais vraiment aller à l’opposé de tout ça, je voulais un truc sobre, épuré, minimal. Partir sur d’autres codes. Et travailler avec d’autres gens aussi pour la pochette, la photo. C’était une autre expérience. Peut-être que ça changera, ma nature reprendra le dessus (rires).
Tu pars au Canada en août. Tu as une appréhension particulière à affronter un public étranger ? Oui et non parce que j’y suis allé l’année dernière et c’était une super expérience. J’ai juste une envie : y retourner. J’étais resté une semaine sur place, j’avais rencontré pas mal de musiciens, j’ai joué dans des bars. J’ai joué avec des gars de là-bas et du coup le directeur du festival m’a dit « il faut que tu reviennes l’année prochaine ». Et donc là il m’a préparé un programme d’une semaine, notamment des vitrines où je vais jouer mes chansons et puis aussi des reprises. Ils appellent ça le « 32 succès 16 voix ». Donc il y a 16 chanteurs accompagnés d’un groupe de Montréal. Moi je vais faire deux reprises, l’une de Nino Ferrer, l’autre de Jacques Dutronc.
Tu peux nous recommander des artistes canadiens ? Malajube j’aime bien, ce sont des mecs de Montréal. Klô Pelgag aussi. Le chanteur de Karkwa, Jean-Louis Cormier. Sinon, dans ceux qui ne chantent pas en français, je suis hyper fan de Timber Timbre, des mecs de Toronto. Tous leurs albums sont mortels.
Si tu devais vivre dans un pays du nord, tu préférerais vivre les longues journées ou les longues nuits ? Je ne sais pas, je crois que j’aimerais bien ne plus avoir de montre et voir comment mon corps réagit. Est-ce que c’est normal de se lever à 4h du matin ou à 4h de l’après-midi ? Si t’es là en tant qu’observateur – j’aime bien ce mot-là – tu peux faire des expériences. Je suis allé en Suède, mais c’était cool c’était l’été. Et en Lituanie, ça me faisait penser au Pays de Caux et à la campagne normande (rires).
► L’amour s’en va (EP), sorti le 08 avril chez Low Wood.
Propos recueillis par Jeanne Cochin.
Merci à Esther Cohen (Armonie Loves Music).
http://rocknfool.net/2016/06/28/nord-jaime-bien-les-mots-qui-te-tapent-dans-la-tronche/
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