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Comment lire pour progresser ?
Comment lire pour progresser: Guide complet pour maximiser votre développement personnel à travers la lecture.
La lecture est bien plus qu'une simple activité intellectuelle, elle est une clé précieuse pour le développement personnel. Dans cet article, nous explorerons comment lire de manière stratégique peut devenir un puissant outil pour progresser dans tous les aspects de votre vie. Que vous aspiriez à améliorer vos compétences professionnelles, à développer votre créativité ou à renforcer votre bien-être émotionnel, la lecture peut être votre guide. Découvrons ensemble les étapes pour tirer le meilleur parti de chaque livre que vous lisez.
Chapitre 1: L'importance de la lecture pour le développement personnel Avant de plonger dans les détails, comprenons pourquoi la lecture est une clé du développement personnel. Explorons les avantages que la lecture peut apporter à votre esprit, à votre carrière et à votre vie en général.
Chapitre 2: Choisir le bon genre de livres Tous les livres ne sont pas créés égaux. Découvrez comment sélectionner les livres qui correspondent à vos objectifs de développement personnel. Explorez des genres variés, du développement professionnel à la fiction, pour maximiser les avantages de votre temps de lecture.
Chapitre 3: Fixer des objectifs de lecture Apprenez à définir des objectifs de lecture spécifiques et réalisables. Qu'il s'agisse d'un livre par mois ou de l'exploration de nouveaux sujets, avoir des objectifs donne un sens à votre lecture et maintient votre motivation.
Chapitre 4: Prendre des notes efficacement La prise de notes n'est pas réservée aux études. Découvrez comment prendre des notes de manière à tirer le meilleur parti de votre lecture, à renforcer votre compréhension et à créer une ressource personnelle que vous pouvez revisiter.
Chapitre 5: Discuter et partager vos lectures La discussion et le partage de vos lectures avec d'autres peuvent enrichir considérablement votre expérience de lecture. Explorez les avantages de rejoindre des clubs de lecture, des forums en ligne ou simplement de discuter avec des amis et collègues.
Chapitre 6: La lecture comme outil de croissance professionnelle Explorez comment la lecture peut être un catalyseur pour l'avancement professionnel. Découvrez des stratégies pour choisir des livres qui renforcent vos compétences, élargissent votre perspective et stimulent votre créativité au travail.
Chapitre 7: Intégrer la lecture dans votre routine quotidienne La cohérence est la clé. Apprenez comment intégrer la lecture dans votre routine quotidienne, même si vous menez une vie occupée. Des conseils pratiques vous aideront à faire de la lecture une habitude durable.
Chapitre 8: Surmonter les obstacles à la lecture Identifiez et surmontez les obstacles courants à la lecture, tels que le manque de temps, la procrastination ou le sentiment d'être submergé par le choix. Des solutions simples vous aideront à faire de la lecture une partie incontournable de votre vie.
Conclusion: La lecture peut être bien plus qu'une simple activité de loisir. En adoptant une approche stratégique de la lecture, vous pouvez exploiter tout son potentiel pour votre développement personnel. Que vous cherchiez à élargir vos horizons, à acquérir de nouvelles compétences ou à stimuler votre créativité, la lecture peut être votre alliée précieuse. Mettez en pratique les conseils de cet article et découvrez comment chaque livre peut être une étape de plus sur le chemin de votre progression personnelle.
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Votre bibliothèque, vous la mettez/mettriez où ? On parle d'un idéal, même si vous vivez dans 20 m2, chez vos parents ou si la config actuelle de votre logement ne vous permet pas de changer (moi la bibliothèque était déjà dans le salon dans mon appart et elle était collée au mur donc j'ai pas eu le choix mais bon ça m'arrangeait)
Expliquez pourquoi dans les tags !
#livre#moi dans le salon parce que j'ai grandi avec une bibliothèque dans le salon#et j'avoue que j'aime bien blablater de livres avec des gens donc ça permet de me lever et de me dire “ah mais j'ai ce livre att”#et de le prêter spontanément#après j'ai pas eu le choix donc je n'ai pas réfléchi plus que ça#mais si j'avais une bibli dans ma chambre comme quand j'étais ado...... j'aurais du mal à dormir et déjà que je dors pas beaucoup lol#et dans le bureau idk#why not!
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alors il va falloir que ma passion pour les livres d'art s'arrête très bientôt parce qu'ils coûtent tous beaucoup trop cher
#j'ai acheté le livre de l'expo Faith Ringgold et il coûte 35€ 😭😭#mais putain elle était cool cette expo et je connaissais pas l'artiste mais elle a l'air incroyable#donc voilà j'avais pas le choix quoi#j'ai aussi acheté l'affiche même si je sais pas encore où je vais la mettre parce que je suis FAIBLE#lise raconte sa vie
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Fete du livre Saint Etienne 2024 - Le choix littéraire de Sab en live : « Candeur fatal » Didier Esposito - Editions du Caïman
La fête du livre de Saint-Etienne se déroule depuis vendredi et vous avait pu ou allez pouvoir rencontrer vos auteurs chouchous et parmi eux il y aura, à n’en pas douter Didier Esposito.Son polar « Candeur fatal » aux Editions du Caïman (déjà rien que le titre m’a titiller) se passe entre Saint-Etienne et Minsk, et nous dévoile l’enfer du monde de la prostitution.Ce premier chapitre est pour moi…
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Des montagnes de questions
Dans cet essai éclairant et militant, Stéphanie Lux raconte comment elle est devenue traductrice littéraire et combien ses vingt années d'expérience lui ont appris sur cet exercice qui n'est toujours pas reconnu à sa juste valeur, celui d'une création.
En deux mots Stéphanie Lux est traductrice littéraire. En retraçant son parcours et son expérience de plus de 20 ans, elle nous donne à réfléchir sur le sens de ce métier aujourd’hui menacé et pourtant indispensable dans le passage d’une langue à l’autre, notamment à l’heure de l’IA et de l’écriture inclusive. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique La traductrice n’est pas une machine Dans cet…
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#ateliers#auteurices#écriture#édition#étrangère#berlinoise#choix#collectif#conditions de travail#Course à pied#féministe#festivals#indépendante#langue#Lecture#lesbienne athlète#littérature#livre#Lorraine#parcours#précarité#programmes de traduction#questions#références#Rencontre#traduction#traductrice#transfuge#Transmission
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SLICE OF LIFE
"Est-ce vous qui avez choisi votre destinée ? Tracer votre sillon dans le grand livre de la vie et y marquer de votre empreinte chaque choix que vous avez fait. Êtes-vous vraiment maître de votre destin ? Ou bien, est-ce que tout est inscrit, ici, quelques part, dans le grand livre de l’univers peut-être ? Vous vous êtes félicités il y a quelques années d���avoir pris cette décision qui a somme toute changé votre vie, mais est-ce vraiment vous qui avez eu un rôle décisionnaire ? Ou bien est-ce que tout était prévu ainsi et vous avez simplement jouer le jeu de la vie ? Êtes-vous sur le bon chemin, ou suivez-vous bêtement les choix que l’univers vous a réservés depuis le jour de votre naissance ?"
SLICE OF LIFE, est un forum encourageant le développement de personnages en passant par les arcs narratifs ainsi que par un système de choix -inspiration Life is Strange ainsi que les jeux The Dark Pictures Anthology-, pouvant déterminer le futur de votre personnage. La vie est une histoire, écrivons la ensemble !
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Je suis dans ce moment où la lecture était agréable mais trop courte, où j'ai encore envie de l'ambiance qu'elle m'offrait, où j'ai envie de savoir ce qu'ont fait les personnages après ce dernier verre au bar ou après cette conversation nocturne. Du coup j'ai envie de lire, encore et encore mais aucun des livres posés sur cette table ne me fait vraiment envie. Là j'ai le choix entre deux récits fantastiques, l'un dans la magie moyenâgeuse et l'autre dans une société dystopique, un polar, un manga d'horreur, une histoire de transplantation, une histoire familiale et une histoire de samouraï. Il y a aussi 1Q84- livre 2, qui me renverrait au Japon, un récit d'aventure au travers du Sahara et quelques BD.
Comme les événements de la vie, même mineurs, ne sont pas vécus de la même façon qu'on ait 10 ans, 20 ans, 40 ans, 43 ans et demi, il y a un temps pour chaque livre, un moment où l'on se fait écrin du joyau qu'il veut bien nous offrir.
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10 pouvoirs magiques originaux pour vos personnages
Je vous présente aujourd'hui quelques idées de pouvoirs magiques qui diffèrent un peu des habituelles kinésies et autres lévitations, empathies, supervitesses, etc. J'ai personnellement horreur des pouvoirs surpuissants et j'aime beaucoup ce qui est un peu lame, donc c'est plutôt de ça qu'il s'agit ici.
Séchage : le personnage ne peut pas être mouillé·e, iel est instantanément séché·e ;
Bruitage : le personnage déclenche un son adapté lorsqu'iel touche une image (exemple, toucher l'image d'un chat produit un miaulement) ;
Conservateur : le personnage peut conserver frais un aliment pendant X heures en le touchant ;
Mètre : le personnage peut donner la mesure exacte d'un objet ou la distance exacte entre ses deux indexes ;
Généalogiste : le personnage peut connaître l'arbre généalogique d'autrui jusqu'à X générations antérieures ;
Olfaction : la sueur du personnage a des odeurs nostalgiques mais communément jugées agréables (ex : la pluie d'été sur du bitume chaud, la colle cléopâtre, le vieux livre...) ;
Œil de lynx : le personnage est capable, 1 fois par jour, d'identifier l'objet avec le plus de valeur dans un rayon de X mètres ;
Shadowless : le personnage n'a pas d'ombre et/ou supprime les ombres des autres personnages pendant X temps ;
Déodorant : le personnage peut supprimer les mauvaises odeurs dans un rayon de X mètres et les remplacer par des bonnes odeurs de son choix ;
Mégaphone : le personnage peut augmenter le volume de sa voix de X dB.
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ia et rpg.
je suis ébahie de voir les gens qui créditent chatgpt dans le disclaimer de leurs forums. c’est un peu comme si vous passiez des avatars de votre créateur.ice préférée à la moulinette de midjourney (sans son consentement, évidemment) pour obtenir des avatars du même style et que vous créditiez l’algorithme. si vous utilisez chatgpt dans un contexte d’écriture créative, soit, c’est votre choix (but why... où le plaisir d’écrire là-dedans ?). mais s’il vous plaît, ne confondez pas crédits et disclaimer. vous devez prévenir vos utilisateurs du fait que le contenu a été rédigé par une IA, pas remercier chatgpt que vous venez de nourrir avec votre propre imagination et qui ne fait que régurgiter que la tambouille que vous lui avez servie. je n’écris pas ce message pour créer du drama, absolument pas ! je peux comprendre l’attrait d’un robot capable de rédiger le règlement du forum en genre 5 secondes (vraiment). mais dans un contexte où les artistes et les créateur.ices se font voler leurs créations sans leur consentement, où les scénaristes d’hollywood sont en grève pour obtenir des conditions de travail décentes, où marvel, une entreprise qui brassent des milliards de dollars, refuse de payer des artistes et assume complètement le fait d’outsourcer l’outro de secret invasion à une IA sous couvert du fait que ça “collait” au thème (il a bon dos, le thème), où des entreprises commencent à développer leur midjourney local pour se débarrasser des concept artists plutôt que d’améliorer les conditions de travail et payer des salaires décents à des gens qui ont des années d’expérience et de pratique derrière elleux, réfléchissons cinq secondes au véritable but des entreprises derrière ces IA : amasser le plus de data possible gratuitement pour ensuite revendre leurs services à des entreprises. pensez à tous ces personnes qui écrivent vos livres favoris, dessinent vos mangas préférés, produisent vos jeux vidéo cultes, remplacés par un bouton et un prompt de quelques mots. travaillant dans le jeu vidéo, je peux vous dire que c’est extrêmement réel. la place des créatifs.ves dans ce milieu a toujours été précaire, et elle vient de le devenir encore plus. vous vous demandez sans doute en quoi ça concerne notre hobby ultra-niche et je ne suis peut-être qu’une vieille conne qui refuse d’entrer dans la modernité (mais je vais me donner le bénéfice du doute !). le rpg écrit est une expression artistique comme une autre. chaque rpgiste derrière son écran a son style et cherche à exprimer ou à explorer quelque chose avec ses personnages (un autre débat, sur lequel d’autres se sont exprimés ou s’exprimeront plus éloquemment que moi). pourquoi confier cette expression à une IA ? avons-nous si peu confiance en nos talents respectifs ? personnellement, je connais des plumes exceptionnelles. hilarantes. émouvantes. originales. fluides. brutales. parfois tout ça en même temps. des plumes qu’un tas de tech bros seraient ravis de pouvoir revendre et exploiter, sans payer un centime ni créditer une seule seconde. des plumes qui appartiennent à de vrais humains et qui devraient le rester, des plumes qui sont le témoignage, qu’importe l’échelle qui peut sembler dérisoire, de vos pensées, votre style, votre intelligence. trust your goddamn self. et personnellement, si c’est le fait d’écrire un règlement pour la 36ème fois qui fait chier (ce que je comprends tout à fait), je propose de contre-attaquer et de faire appel au pire cauchemar des capitalistes : l’open source décentralisé. je rédige le squelette d’un règlement, limite texte à trous, je le poste ici et vous pouvez le c/c à foison en y rajoutant ce que vous avez envie d’y rajouter. pareil pour ces textes génériques et chiants de demande de DC, de réservation, etc etc... si on s’y met tous.tes, on pourrait se créer une banque de documents où chacun.e peut piocher à son gré. c’est une oeuvre collective, commune et volontairement libre-service. on part du principe qu’on travaille tous.tes main dans la main pour se rendre un service commun, et on n’en parle plus, pas besoin de crédits. ne sous-traitons pas notre imagination à des machines. nous méritons tous.tes mieux ! (ps. et je sais que ça peut sembler hypocrite de parler de vol quand le monde du rpg repose un entre-deux gris en ce qui concerne le droit à l’image. mais entre david et goliath...)
#anti ai#encore une fois je ne souhaite absolument pas créer de drama#forumactif#sentez-vous libres de réagir si vous voulez!#just sachez que mon opinion là-dessus est pretty much set donc vous allez parler#à un mur en béton armé 😭😭😭😭😭
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
2/3
En y repensant, je me rends compte que dans ma panique, je n'ai même pas répondu aux éléments que tu mentionnais dans ta lettre. Excuse moi je t'en prie. J'ai bien reçu ta carte et j'avoue que voir ces musiciens m'a fait un peu rêvé. Je ne suis jamais vraiment sortie du village, et je suis allée à Paris quelques rares fois, mais Ange m'a promis qu'il m'emmènerait dans un club de jazz pour y voir un concert dès que je le pourrai. Et bien sur, j'ai été surprise d'apprendre pour le nouvel emploi de ta mère. J'avoue que je n'imaginais pas cela possible pour une femme. Grand-Mère a eu un commentaire un peu grognon, mais il faut l'excuser, c'est du à son âge.
Je suis aussi heureuse de voir tes frères et soeurs trouver leur voie. Chez nous, cela commence à prendre forme également. C'est étrange, car j'ai vraiment l'impression que nous étions encore en pleine enfance il y a quelques temps. Avec mon mariage, la sortie du premier livre de Cléo (dire que je ne l'ai même pas mentionné, je suis une piètre soeur !), les projets politiques d'Antoine et Sélène qui s'entraine pour le tournoi doubles dames de l'année prochaine, les projets vont bon train.
Transcription :
Arsinoé « Attends Antoine ! Tu as fait la tête pendant presque toute la cérémonie. Il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Marc-Antoine « Ce n’est pas vraiment le moment pour en parler. »
Arsinoé « Si, au contraire. Je te connais, si on ne crève pas l’abcès maintenant tu vas aller bouder dans ton coin puis faire comme si tout allait bien. Sans compter que… qu’est-ce que c’est que cette odeur ? »
Marc-Antoine « Pardon ? »
Arsinoé « Tu sens la poussière et le naphtalène à plein nez ! Mais où es-tu allé chercher ce costume ? Au fond du grenier ? »
Marc-Antoine « En fait, oui. Comme je n’avais pas de smoking à ma taille pour l’occasion, j’ai été chercher le costume de Grand-Père Maximilien dans les vieilles armoires. C’est le costume avec lequel il s’est marié. »
Arsinoé « C’est élégant, c’est certain. Mais tu aurais peut-être du le faire laver et repasser avant de le porter. Je ne serais pas étonnée de découvrir une colonie d’araignées dans une des poches. Il n’a pas été porté depuis… au moins cinquante ans ! »
Marc-Antoine « Cinquante et un ans précisément. Ce costume est un morceau d’histoire ! Et de toute façon, je ne l’ai trouvé que ce matin, alors Aurore n’aurait pas eu le temps de s’en occuper. »
Arsinoé « Grand-Mère sait que tu l’appelle Aurore maintenant ? »
Arsinoé « Ecoute, je sais que tu n’es pas ravi de ce mariage mais... »
Marc-Antoine « Mais quel euphémisme ! Bien sur que non ! Je croyais que tu ne voulais pas que Grand-Mère contrôle ta vie et regarde toi ! »
Arsinoé « Je n’avais pas précisément le choix. Et je ne pourrais rêver meilleur mari qu’Ange. »
Marc-Antoine « Et comme par hasard, ce mariage exhausse les rêves les plus précieux d’Eugénie Le Bris. Noé, j’ai l’impression que tu as été piégée... »
Arsinoé « Par ma bêtise oui certainement ! »
Marc-Antoine « J’apprécie beaucoup Ange, tu le sais, mais lui ne fréquente que des hommes ! Tu seras malheureuse comme les pierres ! »
Arsinoé « Il fréquente « majoritairement » des hommes. Et ce n’est pas le sujet. Au moins, ton neveu ou ta nièce aura un père. Oncle Adelphe dit que… »
Marc-Antoine « Je me fiche de ce que dit Oncle Adelphe. C’est à toi que je pense ! »
Arsinoé « Alors écoute moi un peu bon sang ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Ange de Chastel#Eugénie Bernard#Aurore Laroche#Adelphe Barbois#Maximilien Le Bris
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Je suis la seule à m'inquiéter pour Perceval dans la suite de Kaamelott ?
Pas dans le sens où j'ai peur qu'il meure dans les prochains films (honnêtement, je verrais pas l'intérêt sur le plan scenaristique) mais dans le sens où j'ai l'impression que son personnage prend les pires directions
De base, Perceval représente la pureté de l'enfance. Un personnage naïf et maléable, avec un fort potentiel, qui peut donc tout devenir. Et jusqu'au livre IV (en gros), Perceval se laisse parfois entraîner sur une mauvaise pente par Karadoc, mais il est surtout beaucoup influencé et motivé par Arthur. Il admire Arthur par dessus tout, et Arthur le tire vers le haut en l'éduquant, en validant ses passions et reflexions étranges, en le rassurant, etc.
À partir du livre V, Perceval suit Karadoc dans leur clan autonome. Il s'éloigne de l'influence bénéfique d'Arthur pour ne plus fréquenter que Karadoc. Et Karadoc, qui n'a jamais aucun recul sur lui-même, tire Perceval vers le bas. C'est Karadoc par exemple qui lui a appris sa botte-secrète, certes très marrante, mais complètement anti-pédagogique qui empêche Perceval d'enrichir son vocabulaire. C'est Karadoc qui "apprend" à Perceval qu'il vaut mieux paraître cultivé pour "pas passer pour un glandu" plutôt que d'accepter ses erreurs et évoluer.
Je comprends l'idée de vouloir faire prendre de l'indépendance à Perceval pour qu'il s'emancipe d'Arthur et qu'il devienne sa propre personne...mais là, sa propre personne commence sérieusement à ressembler à un comic relief chiant et bruyant. Et si en plus il suit les conseils de Karadoc, à couvrir son manque de culture à coup de bottes secrètes et de mots de vocabulaires pompeux dont il ignore le sens...disons qu'il se rapprochera plus de Loth que d'Arthur. Et j'avoue que je ne comprends pas du tout ce choix de développement de la part de AA ? J'ai l'impression qu'il privilegie le fan service pour les fans lourds (les fameux fans de Kaa mecs blancs trentenaires qui pullulent qur FB) qui s'arrêtent à "mdr Perceval et Karadoc ils sont cons" et qu'il met de côté toute la poésie qu'il y avait dans le personnage de Perceval.
Perceval devient juste un idiot comme les autres, et il perd de sa richesse et de son capital sympathie. Sachant qu'il n'y a pas vraiment eu de scène marquante entre Arthur et Perceval dans KV1, je crains que son personnage n'évolue plus du tout par la suite, ou pire qu'il évolue dans le mauvais sens...
(De manière générale de toute façon je trouve que le développement des personnages, à part quelques exceptions genre Arthur, Lancelot ou Bohort, c'est pas le fort de la série, sûrement parce que AA écrit un peu en mode cadavre exquis et que les personnages ont plus l'air de se coller au plot que l'inverse)
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Vous allez perdre beaucoup de monde
sur votre voyage.
Certains lentement, sans s'en rendre compte.
Un appel téléphonique en moins, un message oublié.
D'autres par choix, le vôtre ou pas.
Certains cependant resteront avec vous.
Une photo oubliée
entre un livre suffira,
une chanson à la radio et vous vous en souviendrez.
Vous sourirez.
Vous pourriez vous demander comment ils vont
face à leurs combats.
S'ils sont heureux.
Et peut-être
tu seras ému en y pensant
comment vous les avez traités
se battent ensemble.
Tu poseras la photo,
tu éteindras la radio
et encore une fois
tu continueras ta journée en essayant de te secouer
loin de ce sentiment d'avoir perdu... avec eux au moins
un peu de vous.
Gabriel Garcia Marquez
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Le "Museum watching" vu par Elliott Erwitt
Elliott Erwitt a consacré tout un livre à cette activité ("Musées observés" dans son titre français). En effet, il est fasciné par les musées, et davantage encore par les visiteurs que par les objets exposés. Il est, dit-il, « un observateur d��voué de gens, qui aime observer l'art et les observateurs d'art qui observent l'art. » Tout visiteur de musées peut en témoigner : un jeu complexe d'interactions s'y déroule, avec les œuvres exposées, certes, mais aussi avec les autres visiteurs et avec l'espace où il se meut.
Erwitt décortique tout ce qui fait la spécificité des musées — matérielle (le cartel, le cadre) — et, surtout, humaine: les visiteurs, « gibier de choix » dont on verra ici un échantillon représentatif; et les gardiens qui font, dit-il, compatissant, « le métier le plus ennuyeux du monde ». Et pour saisir tout ce monde dans des lieux où la photographie est le plus souvent interdite, il met au point des techniques passablement facétieuses mais efficaces pour déjouer l'attention des gardiens.
Sans s'embarrasser de théories, il comprend que, dans ce temple contemporain qu'est le musée, la visite s'apparente à un « rituel » (Carol Duncan, The Art Museum as Ritual, 1995), un rituel qu'Erwitt explore avec gourmandise. Par le simple fait de l'exposition dans un lieu quasi-sacré, l'œuvre d'art est élevée au rang d'objet de culte (songeons à l'urinoir de Marcel Duchamp) et les visiteurs retrouvent l'allure compassée et respectueuse d'une procession religieuse dont les stations sont préétablies et les comportements prescrits.
Erwitt documente ces comportements avec un respect mêlé d'étonnement et tempéré d'une bonne dose d'humour.
#photo#photografy#photographers on tumblr#black and white#blackandwithephotography#elliott erwitt#musée
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Je viens enfin de voir le Comte de Monte Cristo, et je vais pas mentir, même si j'ai majoritairement passé un bon moment, pas mal d'aspects m'ont déçue.
Premièrement, contrairement à beaucoup de gens si je me réfère aux quelques posts que j'ai vu passer, j'ai pas assez ressenti le côté jouissif de la vengeance. Au contraire, le film prend clairement parti de dire que la vengeance a un coût, et que Monte Cristo a tort, quelque part (avant qu'il mette de l'eau dans son vin). Étrangement, la réputation de Morcerf n'est pas ruinée, c'est une vengeance privée, presque sordide, alors qu'il est le plus gros morceau des trois, et donc celui qui aurait dû ressentir la justice le plus fortement.
Mais surtout, il y a la vengeance, okay, mais où sont les récompenses, dont il parle dans le même souffle ? Elles sont tout aussi jouissives que la rétribution, normalement : le pouvoir de faire le bien, autant que de se faire justice. De tout le film, Dantès ne sauve personne. Il arrive toujours trop tard. Angèle meurt. Morell est mort, et, bien qu'on aie pris la peine de nous présenter son fils, qui sans doute est dans une situation difficile après la ruine de son père, il n'y a pas de scène où Monte Cristo arrive tel un deus ex machina pour le sortir de la misère avec ses diamants et ses faux documents. Puisqu'il n'y a pas de justice publique pour Morcerf, il n'y en a pas non plus pour Haydée.
Ensuite, et c'est adjacent, on ne la sent pas, la fortune de Monte Cristo. Certes, ils ont tout donné dans les demeures, les décors, mais montrez-nous de l'or, des diamants, du pognon ! Le diamant à peine montré à Caderousse devrait faire l'amour à la caméra, qu'on sente vraiment le poids, la valeur, de ce diamant, ce qu'il représente pour changer la misérable vie de Caderousse. Montrez-nous les extravagances de Monte Cristo, son pouvoir. Il est austère, sinistre, comme dans le livre, certes, très bien, mais là tout ce qui l'entoure l'est aussi.
Où sont ses serviteurs ? C'est à peine si son bras droit, qui est censé être son portier (un rôle d'une importance capitale, et qui fait que normalement on n'entre pas chez lui comme dans un moulin, faut pas déconner), a un rôle dans le film, et il n'y a littéralement personne d'autre.
Où est sa science ? L'abbé Faria lui a enseigné bien plus que juste l'italien, l'anglais et le roumain (dont par ailleurs, Pierre Niney a fait une excellente performance !). Je sais bien qu'il n'y avait pas le temps pour la science et les poisons et la philosophie, mais je le regrette.
Autre point qui me dérange : tout le monde est blanc. Haydée, le serviteur à peine aperçu, absolument tout le monde. C'est bien dommage quand on est en train d'adapter une œuvre de Dumas, et une histoire aussi cosmopolite.
En parlant de ça, où est Marseille ? Où est la Provence ? Pas une trace d'accent ou de cigales, on sent à peine qu'on est dans le sud, je trouve ça vraiment dommage :/ Même Mercédes est blanche et française (et déjà noble ??).
Autrement, Pierre Niney est très bien, la musique superbe, et c'est certain qu'on doit faire des choix drastiques pour adapter une histoire aussi fournie, simplement je trouve que le scénario aurait pu être un poil plus cohérent avec une dernière passe. Cela dit, il y a eu des moments où on ricanait joyeusement de ce que le Comte manigançait donc tout n'était pas décevant dans l'exécution de la vengeance...
Et puis j'ai adoré quand ils ont fait du Comte une figure Draculesque en lui donnant ses loups qu'il commandait en roumain ! Et, même si c'était par force maladroit (manque de temps) ils ont inclu explicitement Eugénie et Suzanne.
Mais enfin, mon adaptation préférée reste la série de téléfilms avec Gérard Depardieu pour l'instant.
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Ceux qui aiment ardemment les livres constituent, sans qu'ils le sachent, la seule société secrète exceptionnellement individualisée. La curiosité de tout et une dissociation sans âge les rassemblent sans qu'ils se rencontrent jamais.
Leurs choix ne correspondent pas à ceux des éditeurs, c'est-à-dire du marché. Ni à ceux des professeurs, c'est-à-dire du code. Ni à ceux des historiens, c'est-à-dire du pouvoir.
Ils ne respectent pas le goût des autres. Ils vont se loger plutôt dans les interstices et les replis, la solitude, les oublis, les confins du temps, les mœurs passionnées, les zones d'ombre, les bois des cerfs, les coupe-papier en ivoire.
Ils forment à eux seuls une bibliothèque de vies brèves mais nombreuses. Ils s'entre-lisent dans le silence, à la lueur des chandelles, dans le recoin de leur bibliothèque tandis que la classe des guerriers s'entre-tue avec fracas sur les champs de bataille et que celle des marchands s'entre-dévore en criaillant dans la lumière tombant à plomb sur les places des bourgs ou sur la surface des écrans gris, rectangulaires et fascinants qui se sont substitués à ces places.
Vie secrète,
Pascal Quignard.
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Cette nuit-là
il ne fallait pas que ça s'arrête
tellement que je n'ai jamais écrit
sur ce qui c'était passé
je suis sortie de chez Marta vers 3h du matin
et comme si j'allais quitter la ville ce soir
il ne fallait pas que ça s'arrête
et quand on veut empêcher le jour de se lever
on reste éveillé toute la nuit
je me souviens que
c'était la première fois
que je n'avais pas peur des hommes dans la rue
l'air était moite des étés qui ne nous laissent pas le choix
et nous forcent à vivre la nuit
Paul m'avait juste dit une fois
qu'il travaillait de nuit à l'hôtel de la gare
c'était simple
soit il n'y était pas, et je rentrais
raisonnablement
soit il y était
et
je prendrais le premier tram du matin pour rentrer
quand j'ai poussé la porte
il était là
j'écris ça bien après et je peux dire maintenant
que je ressentais de l'amour pour ce garçon
car quand je l'ai vu
ça a explosé de joie à l'intérieur de moi
je me suis assise au comptoir, une dame est arrivée
nous avons discuté, puis je l'ai accompagnée à l'arrêt de flixbus
comme si c'était chez moi
puis je suis revenue à l'hôtel
il m'a fait visiter
l'espace enfant
le hall d'entrée
le frigo du bar
j'avais apporté Mexico City Blues de Jack Kerouac
et j'ai lu toute la nuit avec lui à côté
2 autres personnes sont venues
ce soir-là le danger n'existait pas
on a un peu parlé
il m'a dit qu'il ne se sentait vraiment
pas bien en général
alors je lui ai offert mon livre
que j'avais acheté d'occasion
quand je l'ai ouvert une personne avait dessiné dedans
alors j'avais dessiné dedans
et je lui ai dit de faire de même
puis, comme des parents qui rappellent à l'ordre
le soleil s'est levé
et le premier tram est arrivé en grinçant sur les rails
j'ai du partir
car quand on veut empêcher le jour de se lever
c'est le jour que l'on part dormir
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