#c'est bien la première fois que j'ai vu cet aspect très important de la réaction représentée dans un film
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azzrael99 · 6 months ago
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Fouché playing chess...
Tallien: Look how they are cheering for us. The crowd is already marrying us even more strongly than the law. Thérésia: Yes. Fouché: The triumph of the rascals is beginning. Babeuf: Monsieur Fouché, this sounds almost like Robespierre. Fouché: Almost, indeed. Babeuf: I don't understand you. Tallien has overthrown the tyran, and it seems to me all of Paris is applauding him for good reasons. F: My dear Babeuf, I was a physics teacher, that helps me understand many phenomenons. The reaction that is coming is like a wave, it can't stays unmoving in the atmosphere [we hear people shout "Vive Robespierre!"]. It will crush everything in its wake, you'll see, you'll see. Tallien and Barras will only stop when the last of the Jacobins will be judged, and the Republic crushed. B: Fouché, you surprise me. You were with them. You overthrew Robespierre, and now you are here at my side. F: Political combats, to be honest I esteemed him. He believed in pure ideas. What do you think a pure idea becomes when it gets down in the street? B: A weapon. F: What have I told you? Now they're beating the people up.
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fallenrazziel · 7 years ago
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Les Chroniques de Livaï #28 ~ TU VEUX BIEN ME GARDER ? (janvier 823) Kenny Ackerman
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Allez, gamin, on va faire une balade.
Il est propre de partout ce matin. Mais il a toujours ces maudites cernes autour des yeux qui lui donnent l'air malade... Bah, ça ira bien, c'est plus mon problème. Il est habillé du mieux possible, les cheveux impec, les ongles soignés, autant qu'il donne bonne impression tout de suite ; pas question qu'ils changent d'avis.
Il me demande où on va ; je lui réponds qu'on va voir quelqu'un d'important. Il insiste : qui on va voir ? Quelqu'un que tu connais pas. Tiens-toi tranquille et marche à côté de moi, mouflet.
On sort dans la rue animée et quelques têtes se tournent pour nous reluquer. C'est vrai que j'ai pas la trogne du père idéal, et comme le petit s'est mis en tête de tenir mon pantalon dans sa pogne, le spectacle qu'on offre doit paraître encore plus surréaliste... Lâche-moi, morveux, j'ai une réputation dans le quartier, moi !
On remonte la grande rue jusqu'au quartier ouest. Il pose pas de question durant le trajet mais je sens ses yeux plantés dans ma joue ; je le regarde pas, pas envie de croiser son regard de chien battu... Il est remarquablement sage, je m'attendais à ce qu'il me fasse tourner en bourrique pour me faire payer mon manque de loquacité, mais apparemment il doit être un peu inquiet. T'inquiète, gamin, là où je t'emmène, c'est sans doute le meilleur endroit où tu peux crécher ; tout vaut mieux que tu restes avec moi...
On va pas tarder à arriver en vue du pensionnat. Il est temps que je lui dise un peu les choses quand même, histoire qu'il se braque pas trop. Enfin, je pense que l'idée lui plaira, mais je peux pas être sûr de sa réaction. J'ai pas envie de me retrouver à lui courir après dans le quartier devant ces braves dames au garde-à-vous !
Je me penche vers lui et je lui dis qu'il va rencontrer des gens très sympas ; des gens qui vont lui apprendre plein de choses utiles - enfin pour ce que j'en pense... Il y a là-bas de gentilles dames qui demandent qu'à le bichonner et il faut qu'il se comporte bien avec elles. Il me demande si c'est comme une école - Kuchel a dû lui parler de ça je pense. Je lui réponds que oui, que c'est une école, et qu'on doit se grouiller parce qu'ils nous attendent.
Il semble se détendre un peu et marche devant moi, presque en sautillant, comme c'est touchant ! Il a l'air emballé ! Tant mieux, au moins je me sens pas coupable... et de quoi d'abord ? De le confier à des inconnus ? Je lui ai pas révélé que ça serait permanent, mais... il a pas besoin de savoir ça, non ? Il va entrer, peut-être regarder dans tous les coins si c'est assez propre à son goût, et pendant ce temps, je m'éclipserai, ni vu ni connu.
On y arrive. Trois femmes, dont celle que j'ai déjà vue, et un homme, attendent devant la porte. Je distingue du coin de l'oeil deux membres de la garnison qui semblent en faction. Ils me mettent pas spécialement à l'aise, ceux-là, je vais pas m'éterniser... Le môme se calme un peu se remet à marcher à côté de moi ; il tend la main, et je lui dis que c'est bien là.
L'instit a tout à fait l'air de ce que j'imaginais : l'image du père modèle, petites lunettes et col bien repassé, bref tout ce que je suis pas. Il sourit un peu à l'adresse du petit, pas à moi. Il a dû sentir que je suis pas franchement fréquentable et qu'il vaut mieux me retirer ce gamin le plus vite possible, pas vrai ? Connard, va... Non, il aurait raison.
Une de ces bonnes dames vient vers moi, pas très rassurée, et essaie de prendre le gosse par la main. Je suis pas sûr mais c'est sans doute la première femme qui fait attention à lui depuis que sa mère a calanché. Il fait son timide ; allez, donne-la main à la dame, m'oblige pas à m'impliquer plus que ça... Sérieux, j'en ai pas envie. Mais la grosse, celle qui me connaît, est prête à m'inviter à entrer de nouveau. Je lui fais comprendre que j'y tiens pas.
L'instit vient à son tour vers nous et se met à genoux devant le môme. Il lui donne un bouquin en lui murmurant doucement qu'on lui a dit qu'il aimait les livres. Le mouflet le prend ; bon, c'est bien parti. L'instit lui dit qu'il y en a plein d'autres à l'intérieur. C'est ça, t'as compris le truc, mon vieux. Il commence à l'emmener vers la porte, les dames sont tout sourire en voyant la scène. Il m'a momentanément oublié ; je vais en profiter pour me barrer en douce...
Je tourne le dos et je m'apprête à remonter le quartier. Pourquoi je me sens tout bizarre ?... Pourquoi je me sens comme un lâche, tout à coup ? Et voilà que je mets à entendre la voix de la soeurette dans ma tête ; ça fait un moment que c'était pas arrivé ! Qu'est-ce que tu veux, toi ? Tu vois pas que je fais de mon mieux, non ? Il sera bien mieux là-bas, pas l'ombre d'un doute à ce sujet ! Alors me prends pas la tête ! J'ai fait ce que j'avais à faire, c'est bon ! Tu veux quoi de plus ? J'ai rien à lui offrir de bien, à ce môme ! Et puis, tu avais qu'à pas le garder pour commencer, on en serait pas là ! C'est de ta faute,bordel ! Je serai pas un bon oncle, et encore moins un bon père ! C'est clair ?!
J'entends une petite voix claire crier mon nom derrière... Te retourne pas, Ken. C'est pas la peine. Vraiment ?... Bah, il m'oubliera, et je l'oublierai aussi, un de ces jours. C'est vraiment sûr, ça ?... D'accord, c'est vrai que je m'y suis habitué, à ce petit ; à se manies, ses questions, son tapage nocturne, etc... Est-ce que ça va vraiment me manquer ?... Non, non, non, assez de tout ça, j'ai pas le temps et je dois retourner faire du fric ; pour ça, il me faut des clients riches et ces clients, ils sont à la surface !
Pour la première fois, je me demande sincèrement si je me trouve pas des prétextes...
Un truc heurte mes jambes. Je m'arrête. Je sais bien que ce sont ses petits bras qui me serrent les genoux. Oh bordel... manquait plus que ça, voilà qu'il devient dramatique... Je me retourne quand même, comme par réflexe ; les dames et leur instit nous regardent de loin mais semblent pas vouloir intervenir... Bon sang, vous pouvez pas venir le chercher, j'ai à faire, là !
Personne ne bouge. D'accord, je vais devoir régler ça moi-même.
Je prends le môme par les épaules. J'essaie pas d'être réconfortant ou quoi, c'est pas le moment... Je pensais pas que ça le rendrait triste de me quitter, mais il est bel et bien triste, ce nain. Oh, il pleure pas, non, c'est pas tellement de famille, mais à l'intérieur... Et puis sa bouche tremble un peu. Il me scrute comme si j'étais son dernier espoir... J'étais con de penser qu'il devinerai pas... Il devine toujours tout avant tout le monde, celui-là. Il a dû sentir que je reviendrai pas... Il flippe juste un peu, mais ça ira... Bon, allez, Ken, montre-toi empathique pour changer.
Va bien falloir dire les choses...
Ecoute, petit, tu seras bien ici, bien mieux que dans la planque; tu as tout ce qu'il te faut, c'est propre, y a des bouquins, et tu te feras même peut-être des amis. Les relations, c'est important. Tu veux pas rester avec un sale type bourru comme moi, non ? Tu mérites mieux qu'une vie de truand... J'ai rien à te donner, moi...
Pendant une seconde, c'est soeurette que je vois sur son visage tendu vers moi... C'est pas possible, cette ressemblance... Oh, putain, non, me regarde pas comme ça ! Si tu veux me faire culpabiliser, c'est raté !
Il me gueule qu'il veut pas que je parte, qu'il veut rester avec moi. Voyez-vous ça ! Je fais mine de lui coller une soufflette, mais il continue de me regarder sans aucune peur dans les yeux. Ce serait pas une totale confiance que je lis dans ses mirettes ? J'essaie de le ramener vers le pensionnat, mais il se débat comme un chaton rempli de puces. Il me hurle qu'il s'échappera et qu'il reviendra à la planque si je le laisse ici. Qu'il veut pas des livres, des jouets, et qu'il préfère vivre dans la crasse avec moi plutôt qu'ici !
Malgré moi, je dois bien dire que je sens un truc qui remue, là-dedans. A part Kuchel, personne a jamais rien attendu de moi. Après tout, je me suis bien occupé d'elle, non ? Pendant encore combien de temps tu vas m'imposer ça, soeurette ? Dis à ton moutard de la fermer, sinon je crois bien qu'il va se mettre à chialer devant tout le monde !
Et voilà, qu'est-ce que je disais...
Je sais pas quoi faire face à un môme qui pleure. J'ai jamais su... enfin si, je me souviens d'un truc : je prenais Kuchel sur mon dos, et elle me disait qu'elle aimait entendre les battements de mon coeur. Elle s'endormait, la joue contre mon dos, et elle se réveillait toute heureuse. Un vrai rayon de soleil, la petite soeur... Ca me coûte de le lire mais je repense parfois à cette époque avec...nostalgie...
Après tout, ce sera l'affaire de quelques années... Il va vite grandir et il fera sa vie quand il se sera lassé de moi et moi de lui. Est-ce que je peux faire cet effort, soeurette ? Est-ce que j'en ai envie ?... Je sais pas trop ; tout ce que je sais, c'est que j'ai jamais aimé te voir pleurer.
Bon, gamin, regarde-moi bien et dis-le une bonne fois : tu veux une vie de truand ? Voler, couper des gorges, échapper aux forces de l'ordre et rêver d'aller là-haut sans jamais que ça se réalise ? Tu veux te taper mon sale caractère et mon éducation à la dure sans broncher ? Tu feras tout, absolument tout ce que je te dirais de faire ? C'est vraiment ce que tu veux ? Tu peux encore reculer !
Croyez-le ou non mais il se jette dans mes bras. Putain, fais pas ça, on nous regarde ! Je suppose que ça veut dire oui. Je l'attrape par le col et je le mets face à ce pensionnat douillet et ces gens patients qui attendent qu'on en ait terminé. Ca lui dit toujours pas...
Bon, et bien m'sieur-dames, ça va être pour la pomme de tonton Kenny. Désolé du dérangement.
On fait demi-tour et on remonte le quartier ouest jusqu'à la planque. Il titube un peu, il renifle ; bon je sais comment gérer ça. Allez, monte sur mon dos, le nain ! Visiblement, le truc marche toujours. Il a dû s'endormir.
Et, Livaï, tu dors ?
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