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#bon j'exagère peut être sur 3 jours à chaque repas
jezatalks · 2 years
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Y a pas quelqu'un qui peut se téléporter chez moi ?
Hier soir j'ai cuisiné un rôti de veau (y a plus grand chose dans le frigo donc je me suis dévolue sur la réserve en congelo). Alors il est très bon, mais on n'est que 2 et pas une famille de 5 ! On n'a clairement pas envie de manger du rôti aux chanterelles et semoule 3 jours à chaque repas...
Même, vous repartez avec un tuperware. Je sens qu'on va finir par détester ce plat.
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undamienakeio · 7 years
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Colis type
Alors que la fin de mon séjour approche, un ami m'a demandé de lui envoyé un colis de “découverte” du Japon. J'ai trouvé l'idée intéressante et j'ai décidé de partager avec vous la constitution de ce colis.
Bon, découverte c'est un terme très vague. Si vous prenez un tour operator pour aller au Japon (ce que je vous déconseille) et sur vous prenez un parcours “découverte”, vous vous attendez surement à voir des châteaux, des armures et de katana de samouraïs, à assister à des cérémonies du thé,… Bon, d'une part c'est pas évident à mettre dans un colis. Mais surtout, même si ce sont des éléments culturels importants que j'apprécie moi-même, ce n'est pas le Japon d'aujourd'hui. Ça donne une image minimaliste et erronée du Japon. A mon humble avis, ils s'apprécient pleinement à la lumière d'une connaissance de la société japonaise actuelle.
Revenons en au colis. J'ai donc pris l'initiative de sélectionner pour mon ami une gamme de produits qui reflète le Japon standard, ce qui est présent dans le quotidien des japonais. Bien entendu, il fallait que ce soit utilisable en France. La pasmo, carte de transport incontournable au Japon, n'a aucun sens pour mon ami.
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On commence avec la pièce centrale du colis: une paire de baguettes. On mange trois fois par jour avec des baguettes, les couverts européens sont évités au maximum. C'est un outil indispensable au Japon. De belles baguettes peuvent être offertes en cadeau au sein d'une famille. On s'y habitue, elles deviennent une -petite- partie de nous. J'ai donc opté pour un beau modèle.
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Ensuite vient le bol à riz. Le riz est également extrêmement important au Japon. Il est présent 2 à 3 fois par jour dans les repas. Les japonais ont généralement un bol adapté à la taille de leur ration. On mange en portant le bol dans le creux de sa main et en le portant proche de la bouche. C'est également une pièce très importante dans vaisselle japonaise.
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Le troisième objet est en fait un petit set. Il s'agit d'un petit “pichet” à alcool et deux verres (ochoko) qui vont avec. Même si c'est plutôt rare que les japonais en possède chez eux, il est représentatif du concept de boire avec des amis ou des collègues, qui est un acte social incontournable au Japon dès l'université (bien que l'âge légal soit fixé par la loi a 20 ans). Au Japon on sort énormément entre camarades et collègues. Après le travail, après un entraînement de sport, pas question de juste rentrer chez soi. On va manger (et surtout boire !) avec nos partenaires. C'est obligatoire pour espérer forger des liens au-delà du superficiel. Et si vous n'avez pas de bons liens, vous n'êtes pas dans le groupe et votre vie va devenir un petit enfer. Lorsqu'on boit à deux, les deux partenaires de boissons feront attention à remplir le verre de l'autre pour qu'il ne soit jamais vide. Si l'un des partenaires est une femme, elle sera seule responsable du niveau des deux verres. Dans le cas de groupes plus larges, chacun fait attention autour de soi, surtout avec les partenaires de discussion directe. Encore une fois, s'il y a des femmes, elles sont automatiquement responsables de garder les verres plein.
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Maintenant nous allons voir les boissons. J'aurais pu faire le tour des alcools, mais mon ami a préféré faire l'impasse dessus. En soft donc, j'ai choisi trois bouteilles qu'on trouve dans n'importe quel konbini et supermarché, que je vois souvent dans les mains ou les sacs des japonais de tout âge. En premier lieu, du thé vert (froid). En deuxième, du calpis, une boisson sucrée très appréciée, surtout des plus jeunes, mais pas seulement. Enfin, du poccari sweat qui est une eau légèrement salée. Comme ça, ça peut paraître dégueulasse, mais l'as tant que ça. En fait il s'agit d'une eau “riche en minéraux” pour “remplacer ce qu'on transpire dans la journée”. Je met des guillemets car je n'ai aucune idée de la véracité scientifique de ce marketing. Ce que j'aurais pu rajouter c'est des boissons énergétiques dont les employés de bureaux raffolent, mais n'en ayant jamais goûté j'étais hésitant. Surtout que le marketing tourne vraiment autour du “si vous êtes pas un looser et que vous voulez travailler 12h par jour au lieu de 9, il vous faut de l'énergie, buvez ça”. Par respect pour le sommeil de mon ami, j'ai donc fait l'impasse.
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Ensuite vient la nourriture. Pour commencer, un assortiment des 4 saveurs les plus communes de ramen instantanés qui ont bercé les midi et les soirs des étudiants fauchés et autres employés qu'ont pas le temps.
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Ensuite, de quoi se faire du curry japonais (kare) . Il faut un peu plus de temps mais guère plus de compétences que pour les ramen instantanés. En gros ça se présente en galette pré découpée en 4 quart, chaque quart représentant une portion pour une personne. Ça dans de l'eau chaude et vous avez un curry. Il faut après y adjoindre du riz (qui dans ce cas sera dans une assiette et non le bol à riz), et si vous avez du temps, de l'argent et un peu de technique, de la viande et des légumes. Parce qu'ils ne viennent pas avec, lyophilisés dans la galette comme mes camarades d'infortune et moi-même lavions cru la première fois qu'on a tenté de se cuisiner un kare il y a trois ans, a Hokkaido.
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Maintenant, on arrête de cuisiner et on se tourne vers des choses toutes faites. Pour commencer, le seul article salé restant: les osenbe. Il s'agit de gâteaux apéritif à base de riz. C'est dur, croquant, salé. C'est pas ce que je préfère au Japon, mais on en trouve dans toutes les maisons, et certains restaurants en servent pour faire patienter.
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Il ne nous reste plus que des articles sucrés ! Le premier c'est la dorayaki, de la pâte de haricot rouge coincé entre deux tranches de… Pancake ? En plus aérien. Ça reste assez lourd pour ne pas en manger 5 à la suite.
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Ensuite viennent les kitkat. Les kitkat ?! Oui, les kitkat. En japonais, ça de dit kitto katsu, et ça a la même prononciation que “je vais très certainement gagner/réussir”. Ce qui fait que c'est devenu très populaire, les japonais en mangeant avant les examens et autres épreuves. Et du coup, kitkat s'est mit à commercialiser une TONNE de parfums. Je rigole pas, j'exagère pas. Il existe plusieurs dizaines, et peut-être même centaines, de parfums unique au Japon. Le problème c'est qu'ils vont, ils viennent, certains ne seront jamais ressorti. Au final à un instant t, il y a 3-5 sortes achetable en magasin. Mais grâce à Internet… J'ai inclut 9 sortes dans ce colis: macha, macha fort, chocolat noir, fraise & sirop d'érable, beurre, poudre soja & macha, cookie & cream, framboise & pistache et nihonshu (ce que le français standard appelle du sake). Et croyez moi, il en existe une foule d'autre: wasabi, pomme de terre, glace à la vanille (pas vanille… Glace à la vanille !), cheesecake (a la framboise, aux mire,…), pêche, poire, pomme, edamame, sirop de sucre brun, gâteau à la cannelle,… Je pourrais pas tous les faire, car j'ai vérifié: il y a eu plus de 300 parfums commercialisés au Japon. 300… Si vous voulez rêver un peu plus, une liste loin d'être exhaustive de trouve dans la section “varieties” de cet article Wikipedia: https://en.m.wikipedia.org/wiki/Kit_Kats_in_Japan
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Le dernier article c'est le pocky. Un petit bâtonnet craquant enrobé de chocolat. En France, on a les mikado qui ressemblent. Mais au Japon c'est très populaire. Tellement populaire qu'il y a une journée nationale du pocky. C'est le 11 novembre, et je vous laisse deviner pourquoi. A l'instar des kitkat, il existe des dizaines de variantes, aussi j'ai rajouté celle du moment au colis. Il existe aussi une version de pocky où le bâton est plus court et l'enrobage beaucoup plus epais.
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Mais c'est la version classique qui est la plus appréciée, notamment pour pouvoir jouer au "pocky gemu" (jeu du pocky). Les deux participants vont manger un pocky, chacun par une extrémité. Si l'un des deux le casse, il perd et à un gage. Vu que l'issue du jeu est soit un gage, soit les lèvres qui se touchent, c'est un jeu réservé aux couples. Contrairement à ce que vous avez peut-être vu dans certains anime/manga, ce n'est pas un jeu pour flirter, le contact physique étant très rare, même au sein d'un couple. Mais c'est quand même ces média qui ont rendu populaire ce jeu. Après, en France,...
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荷物 (にもつ) (nimotsu) : colis 箸 (はし) (hashi) : baguettes カレー (kare) : curry japonais カップラメーン (kappuramen) : ramen instantanné お茶 (おちゃ) (ocha) : thé (vert) 勝つ (かつ) (katsu) : gagner Damien NB : certaines photos ne sont pas les miennes. Si on les numérote à partir de 1 en partant du haut, les photos qui sont les miennes sont les photos numéros 1,2,4,5,6,7,10 et 12
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FLÂNERIE À KYOTO & LA GASTRONOMIE JAPONAISE 19 juillet 2017 On ne va pas vous mentir. Ça fait déjà 14 jours que nous sommes au Japon (soit la moitié de la durée de. notre séjour) et pas un seul article sur ce pays surprenant... Pfiouuuu, on n'a rien vu passer. Le temps file à l'allure d'un shinkansen (l'équivalent japonais du TGV) ici ! J'ai l'impression d'être arrivée hier et en même temps je vois déjà la fin de notre voyage pointer le bout de son nez... Mais ça, on ne va pas en parler aujourd'hui. Histoire de ne pas accumuler encore plus de retard, nous vous proposons de suivre nos aventures à partir d'aujourd'hui, 19 juillet, et on fera de notre mieux pour vous raconter les épisodes précédents. Un peu à la façon de "previously" dans les épisodes précédents de Game of thrones (et ouais, même super loin, il ne nous a pas échappé que le 1er épisode de la dernière saison est sorti ! Excitation totale. C'est à peu près la seule chose qui me réconforte à l'idée de rentrer...). Déjà sachez que nous adooooorons le Japon !! C'est assez étrange car de tous les pays que nous avons visités, c'est celui qui ressemble le plus à la France en termes de niveau et mode de vie, développement des infrastructures, mode vestimentaire, qualité des hébergements, etc. Et au début, ça nous a un peu déstabilisé. C'est à dire qu'après 5 mois en Asie du Sud-est, on avait pris nos repères et quelques habitudes : jeter le papier toilette dans la poubelle et non pas dans les WC, se doucher au dessus des WC qui sentent les remontées d'égout, boire de délicieux jus de fruits frais dans la rue, se balader avec du bruit non stop, éviter les scooters et zigzaguer entre les animaux dans la rue, passer de longues heures interminables dans les bus/trains, attendre... Ici, c'est plus proche de chez nous (c'est même souvent mieux ;-)) et pourtant c'est une multitude de petits détails qui fait du Japon un pays si exotique et dépaysant. C'est un savant mélange entre modernité et tradition, élégance et extravagance, discrétion et exubérance. On peut, par exemple, croiser dans les rues des JaponainEs en costume avec attaché case qui vont au travail et d'autres en kimono qui galèrent (mais toujours avec beaucoup de classe) à marcher dans leur sabot en bois. On peut prendre son café au Starbuck et admirer depuis les baies vitrées un des temples traditionnels les plus vénérés de Kyoto. On peut dans un même quartier découvrir une maison en bois traditionnelle accolée à un building. Tout n'est qu'émerveillement depuis ces 14 jours. Et puis, un jour, on vous parlera aussi de ce que c'est que de prendre le train au Japon : une expérience du bonheur... Pour en revenir au programme d'aujourd'hui : Notre réveil a sonné à 7h15. Nous avions prévu une randonnée à 1h-1h30 de train de Kyoto. Après 3 jours passés ici, nous voulions faire une escapade nature. Mais finalement, en entendant le réveil sonné, on s'est regardé (enfin on a essayé car on avait encore les yeux tout collés) et on a décidé de traîner au lit. Depuis notre arrivée au Japon, nous n'avons pas fait une seule pause. Il y a tellement à voir et nous sommes si excités (un peu comme quand tu vas pour la première fois à Disney ou que tu attends le prochain épisode de Game of throne, tu vois...), qu'on a enchaîné tous les jours de 9h à 22h en marchant, marchant, marchant, visitant un nombre incalculable de temples, de musées et autres merveilles. Mais parfois faut savoir lever le pied pour mieux apprécier et éviter l'overdose de temples par ex. Et puis si y a bien un endroit uoù la flânerie est propice c'est bien dans l'hôtel où nous sommes (plutôt que dans le airbnb un peu pourri qu'on a subi les 4 nuits précédentes. On t'en parlera plus tard...). C'est donc à 13h pimpants et lumineux que nous rejoignons à pieds le temple Sanjusangen-do (imprononçable, on est d'accord), 1ère étape de notre programme de l'après-midi. On prend un itinéraire hors des sentiers battus en suivant Maps.me et on ne croisera personne. On passe devant quelques maisons traditionnelles, des jardins urbains improvisés autour de panneaux de signalisation et sur un pont on voit le shinkansen passé sous nos yeux. Il a quand même de l'allure ce train ! Bonne surprise ce temple. Il est assez différent de tous les précédents qu'on a pu voir. Déjà par sa taille (un pavillon de 120m de long), il en impose. Ensuite, il est classé Trésor national car il a plus de 700 ans. Enfin, à l'intérieur, après s'être déchaussés (comme souvent dans les temples), c'est pas moins de 1000 statues en bois couvertes de dorures représentant des déités bouddhistes toutes alignées les unes à coté des autres qu'on découvrira. Une sorte de petite armée qui te scrute et qui crée son petit effet. C'est à la fois impressionnant et très beau et on a le plaisir de retrouver quelques divinités indiennes. Après la visite, on décide d'aller manger dans un quartier qu'on n'a pas encore traversé. Hop, on monte dans un bus et on rentre dans un restaurant de ramen. Faut savoir qu'au Japon notre alimentation repose essentiellement sur 1) des sushis 2) des ramens. 3) des onigiri. Dans chaque ville, on tente quand même la spécialité du coin. Comme l'okonomiyaki, un plat qui ressemble à une omelette-pancake, composé d'une pâte qui enrobe un nombre d'ingrédients très variables découpés en petits morceaux, le tout étant cuit sur une plaque chauffante sous tes yeux et recouvert d'une sauce marron. Les ramens ce sont des soupes de nouilles. Mais attention ! pas une vulgaire soupe. C'est savoureux, t'as plein de choses dedans : de la viande, des légumes, parfois des feuilles d'algues et une super sauce. Les onigiris ce sont des boulettes de riz sous forme de triangle fourrées de viande ou poissons et enveloppées par une feuille de nori. Il est au japon ce qui est le jambon beurre en France. On en mange vraiment beaucoup (trop). On alterne petits restaurants (sauf une fois où on a craqué notre slip et pris un menu à 30€ en ayant l'impression de faire un gastronomique !) et achat en kombini. Les kombinis ce sont ces supérettes que tu trouves partout mais absolument partout et ouverts 24/24h (très pratique). Tu y trouves un rayon avec des plats à emporter et en plus d'être économique, c'est bon ! On peut te dire que le club sandwich hyper cher et pas bon de carrefour c'est vraiment de l'arnaque à côté ! À force, on connaît le rayon par cœur ! Une alternative au kombini : les galeries alimentaires que tu trouves en général au sous-sol d'une gare où d'un centre commercial. C'est exactement comme le rayon alimentaire des Galeries Lafayette à Paris où tu trouves des produits et plats préparés plutôt haut de gamme. 30 à 20 min avant la fermeture, ils font de super réducs qui te permet d'avoir ton plat de poissons de qualité supérieure initialement prévu à 15€ pour 5€ ! Les Japonais sont adeptes de la technique "achat à la dernière minute" : à 19h40, ils déboulent en trombe en regardant leur montre et se jettent littéralement sur les produits dès que le Monsieur passe avec ses étiquettes de réducs. On a adopté cette technique 2-3 fois, on est assez fan, c'est rigolo. L'occasion de goûter des mets plus raffinés qu'au kombini... Imagine, c'est comme si tu achetais ton repas aux Galeries Lafayettes et que tu chopais les macarons Ladurée soldés à -50%! J'exagère un peu, au Japon non plus ils ne soldent pas ce genre de produits trop luxueux mais tout ce qui ne se conserve pas est bradé en fin de journée (bentos, sushis, fruits coupés). Les fruits sont rares au Japon et très chers. Toutefois il paraît qu'ils sont exquis. Mais à 5€ la pêche, tu t'abstiens d'y goûter. Au Japon, les fruits, et particulièrement le melon, sont considérés comme des produits du luxe. Ils sont emballés comme des produits ultra raffinés dans de beau papier ou caisse et les Japonais sont invités ils apportent souvent des fruits comme cadeau. C'est un peu la bouteille qu'on offrirait en France. Ici on a vu des melons au calibre exceptionnel et vendus très très chers. Puisqu'on est dans la rubrique "alimentation", on en profite pour te parler des restaurants Japonais. 1ère chose étonnante, tu ne vois que très rarement l'intérieur des restaurants. En France, quand tu cherches où manger, tu te fies généralement à la décoration que tu vois de la rue, aux gens déjà présents, à l'atmosphère. Ici, tu ne vois absolument rien et devant les portes coulissantes de l'entrée qui sont généralement en verre (et donc à travers lesquels tu pourrais voir), il y a des rideaux. Et il est extrêmement impoli de passer sa tête à travers le rideau pour regarder à quoi cela ressemble à l'intérieur. Sans compter que parfois (souvent) la carte extérieure n'est qu'en Japonais... Comme on mange toujours très bien, on regarde plutôt la fourchette de prix (car ça peut monter très très vite) et on se fie au files d'attente. Plus il y a de monde, mieux c'est ! Ca aussi c'est une chose qu'on ne ferait jamais en France (à part peut être nos amis parisiens) : faire la queue pour aller manger. Mais c'est en général signe pour nous d'un bon rapport qualité prix. Il nous est déjà arrivé d'attendre 1h et de ne pas regretter. Après notre repas, on se dirige vers le marché alimentaire de Nishiki. C'est une longue rue bordée de petites boutiques joliment décorées et on y trouve de tout : aussi bien des produits frais comme le poisson que des produits préparés à déguster debout en marchant. C'est coloré, animé et assez représentatif de la variété des produits de l'alimentation japonaises. On en profite pour se faire un petit dessert : des mochis à la fraise, qu'on avait découvert et adore à Tokyo. C'est un dessert traditionnel à base d'une pâte de farine de riz gluant ce qui lui confère une texture un peu gélatineuse. Traditionnellement elles sont fourrés à la pâte de haricot rouge mais nos préférées sont à la fraise. C'est super bon ! En quittant le marché, on tombe par hasard sur un petit temple tout mignon en plein milieu d'une rue commerçante. Tu peux en moins de 10min acheter des baskets chez Nike et ensuite faire une petite prière au temple. Les Japonais ont rapport assez simple à la religion. D'ailleurs on a l'impression c'est plus un art de vivre qu'une pratique rigoureuse au sens strict. Notre guide à Tokyo nous expliquait qu'ils n'adhéraient pas trop à notre façon trop rigide de pratiquer le catholicisme en allant à la messe tous les dimanches pendant des heures. Et si tu n'y vas pas, t'es un mauvais croyants. Eux, ils passent devant un temple (car y en a vraiment partout) et s'ils ont 5 min devant eux ils s'arrêtent (ou pas). Tellement plus sain à notre avis. Et voilà, c'était notre journée !
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