#abattages des animaux
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Je viens de voir un reportage de Brut sur une poissonnerie qui est juste incroyable ! Elle s'inspire des savoir-faire japonais et tente de révolutionner le système français de pêche, traitement, conservation et même abattage du poisson ! Visiblement en France pour le moment on gaspille, on gâche et on tue cruellement... Niveau écologie et traitement éthique des animaux la barre est au sol et on creuse pour passer en dessous quoi...
Je vous conseille de regarder ! Ne serait-ce que pour vous changer les idées face au cauchemar politique actuel.
youtube
#ecology#fishing#pêche#animal welfare#cw dead animal#fishing industry#upthebaguette#en français#french#french side of tumblr#bee tries to talk#Youtube
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La recherche écosanté en pratique : Applications novatrices d'une approche écosystémique de la santé
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Directeur(s) Dominique F. Charron Les maisons d’édition Springer, CRDI ISBN 9781461405160 e-ISBN 9781552505298 Formats disponibles Ouvrir le PDF Ebook (1.28 Mo) Spanish En plus d’être fort...
Ecohealth Research in Practice
D.F. Charron (ed.), La recherche écosanté en pratique, Idées et innovation en développement international, DOI 10.1007/978-1-4614-5281-2, Centre de recherches pour le développement international 2014 https://idrc-crdi.ca/sites/default/files/openebooks/543-4/index.html
Index
A
Abattage, 221
Abeilles maya, 175
Abeyewickreme, W., 193
Acétylcholinestérase érythrocytaire [AChE], 69, 72–74
Aedes aegypti, autres moustiques, 183, 193
Agitation sociale, 69
Agriculture
brûlis, 129–131
petits exploitants, 41, 67
pluvial (zone agricole), 83, 86, 115
vulgarisation, 53
Agriculture durable, 55–58, 123–131
Agro-écosystème, 38, 53–55, 57–58, 84, 86, 158–159, 161–162, 165, 169
Agroforesterie, 130
Aires de reproduction des moustiques, 157, 160, 164, 167, 186, 187, 190
Air, qualité de l’air, 3, 14, 113, 114, 117, 119, 209, 211, 239, 285, 286
Alcool, 41
Al-Hakimi, A., 79–90
Allen, T.H.F., 9
Amalgames, 136
Amazonie, 14, 23, 95–97, 123–131, 261, 286, 287, 290, 291
AMESH. Voir méthode adaptable pour les recherches sur la durabilité des écosystèmes
Analyse des intervenants, 15, 25, 101, 196, 200, 218
Analyse sociale et sexospécifique, 19
Andes, 53, 68
Animaux, bétail, 159, 163
Années de vie ajustées en fonction de l’incapacité (AVAI), 215
Anopheles arabiensis, 163
Anopheles gambiae, 164
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Abattage sans étourdissement : faites entendre ma voix | GAIA
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Abattage de cerfs pour Noël : l’enquête de l’horreur
L214 vient de révéler une nouvelle enquête montrant des mises à mort de jeunes cerfs (daguets) dans un élevage situé dans la commune de Courbeveille, en Mayenne (Pays de la Loire). Animaux saignés encore conscients, irrespect des règles sanitaires : L214 porte plainte pour mauvais traitements, et demande l’arrêt immédiat de l’activité d’abattage de cet
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CATTLE DECAPITATION – Terrasite
Cattle Decapitation est un groupe de deathgrind américain, originaire de San Diego, Californie. Composé de Travis Ryan (chant), Josh Elmore (guitare), Belisario Dimuzio (guitare), Dave McGraw (batterie), et Olivier Pinard (guitare basse), « Terrasite » est leur 8ème opus via Metal Blade Records.
Le groupe a de nouveau travaillé avec le producteur Dave Otero (Cephalic Carnage, Allegaeon), qui a fait appel à Tony Parker de Midnight Odyssey pour gérer le piano et les synthés. Formé en 1996, les chansons de Cattle Decapitation se manifestant contre l'abus et la maltraitance des animaux, les dévastations environnementales, et d'autres sujets comme la misanthropie et le génocide de la race humaine. Leurs musiques mettent en scène des humains dans des situations auxquelles les animaux font face (tests sur les animaux, abattage, etc.).
Cattle Decapitation décrypte du tréfond de l’âme humaine le charnier qui y repose et son rapport à la planète terre. Le titre est un mot inventé par Ryan qui réunit « Terra- » signifiant terre et « -site » dérivé du mot grec « -sitos » qui signifie « nourriture ». "La combinaison des deux signifie "mangeur de terre", comme métaphore du rôle de l'humanité dans la destruction de la planète, et est un jeu de mots sur le mot très approprié "parasite". Cela prend vie dans l'œuvre d'art du collaborateur de longue date Wes Benscoter. "Nous voyons le stade de nymphe de cet hybride humain / cafard qui est plus un être adulte qui vient de muer de son stade d'oothèque (Coque produite lors de la ponte, qui contient les œufs de certains insectes (blattes, mantes), surpris, confus, effrayé mais aussi énervé et prêt à rejoindre le reste de sa progéniture pour terminer l'humanité.
Terrasite pousse la sonorité et texture du groupe plus loin dans un territoire plus épique et varié, avec un surplus de brèche ambiant. L'intensité du groupe est marquée notamment sur la lourdeur menaçante, la présence chargée d'effets sonores qui occupe également une part beaucoup plus importante. Toutes les caractéristiques du groupe sont présentes, avec des blasts déchirants, des riffs de guitare/basse abrasifs et agressifs, avec l'approche vocale variée de Travis.
« Ce disque est juste différent. Je ne sais pas comment le dire autrement. Il y a une richesse profonde dans les sons de guitare et une présence de guitare basse plus importante, les parties de batterie sont agressives, la voix de Travis est aussi variée qu'elle ne l'a jamais été, mais avec une profondeur émotionnelle supplémentaire. L'ensemble du disque sonne comme une sombre attaque de panique ; comme pleurer la perte d'un être cher », explique Elmore.
Ryan déclare à propose des paroles, qu’elles venaient « d'un lieu de détresse. Colère, rage, ressentiment, dépression, anxiété, une mauvaise vision de notre espèce à la fois au jour le jour, à un niveau plus large et mondain ainsi qu'à un niveau philosophique. Par exemple, les paroles de "A Photic Doom" sont une métaphore pour découvrir la dépravation de notre espèce et éclairer les sujets plutôt que de les laisser reposer dans l'obscurité ». "Scourge Of The Offspring" constitue l'essentiel du concept de l'album que la première chanson" Terrasitic Adaptation "et la pochette ont en quelque sorte mis en mouvement. Dans la première chanson, nous découvrons ce qui se passe sur la couverture, et cette chanson traite davantage de ce que nos enfants finiront par être - des adultes laissés dans le mépris et qui devront donner un sens à ce monde et finir par faire partie du problème simplement en existant.
Ryan a reçu une nouvelle tragique, avec un ami et co-fondateur de Cattle Decapitation Gabe Serbian qui s'est suicidé. "Les nouvelles et toute la pression exercée sur l'album m'ont fait tourner la tête complètement et hors de contrôle. Bien que n'étant pas en mesure de pleurer correctement la perte de Gabe - un ami qui comptait tant pour nous et qui était attaché à un réseau d'amis incroyablement vaste qui commence localement et s'étend à travers le monde, mon esprit est allé dans un endroit incroyablement sombre, puis à l'intérieur quelques semaines après avoir été là-bas, nous avons appris que notre ami Trevor Strnad (The Black Dahlia Murder) s'était également suicidé. C'était comme si les choses s'effondraient pour tant de nos amis que nous considérons comme de la famille, ayant perdu quelques amis après deux ans où tout le monde a essayé de traverser la pandémie et de naviguer à travers cela pour sortir de l'autre côté avec tout encore ensemble. ” Tout cela a informé les paroles de l'épopée plus proche "Just Another Body", Ryan déclarant "tous ces mois plus tard, après de nombreuses écoutes, il y a toujours un linceul autour de lui qui ne disparaîtra jamais. Il a été écrit pendant certains des moments les plus difficiles de la carrière de ce groupe.
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Abattage de bouquetins en Haute-Savoie : la justice donne raison à une association de défense des animaux.
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Justice : la cour administrative d'appel de Lyon a estimé, le mercredi 22/02/23, que l'abattage de bouquetins autorisé par le préfet sans dépistage préalable n'était pas « la solution la plus satisfaisante » dans la lutte contre la brucellose en Haute-Savoie. La juridiction donne ainsi raison à l'association One Voice, qui avait déposé un recours contre l'abattage de bovidés en 2019.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse publié par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes le jeudi 23/02/23.
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#environnement #écologie #biodiversité
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Le plus grand abattage de loups des temps modernes a commencé en Suède alors que les organisations de protection de la nature préviennent qu'il pourrait nuire considérablement à la population.Lundi, le Guardian a accompagné 200 chasseurs alors qu'ils allaient tuer des loups dans les forêts couvertes de givre entre Gävleborg et Dalarna, chassant de minuit jusqu'au coucher du soleil à 15 heures. Des groupes traverseront la Suède tout le mois pour tenter d'abattre les grands prédateurs.Lundi, les chasseurs ont encerclé les zones où ils savaient que les loups avaient des tanières. Ils ont relâché des chiens, dont le travail consistait à rechercher les loups puis à les conduire sur un chemin vers les chasseurs qui attendaient, mais ils n'ont pas eu de chance et les chasseurs sont rentrés chez eux les mains vides.Cependant, les chiens ont maintenant identifié certaines des tanières afin que les chasseurs puissent avancer plus rapidement.Au cours du mois prochain, les chasseurs seront autorisés à tuer 75 loups sur une population de 460, alors que le gouvernement cherche à réduire la densité de population dans certains districts.« La chasse est absolument nécessaire pour ralentir la croissance des loups. La meute de loups est la plus grande que nous ayons eue à l'époque moderne », a déclaré Gunnar Glöersen, responsable des prédateurs à l'Association suédoise des chasseurs. dit à la presse locale que la chasse a commencé lundi. Mais les organisations de protection de la nature ont souligné que la population suédoise de loups est relativement faible – en Italie, il y en a plus de 3 000.Un groupe de scientifiques prévient qu'un abattage aussi important menacera une population déjà fragmentée et fragile. Photographie : agefotostock/AlamyIls ont fait appel de la décision qui, selon eux, enfreint Convention de Bernemais en vain.« Vous vous découragez. Il y a rapport après rapport que la tribu des loups a des problèmes majeurs, mais [the government] ne le prenez pas au sérieux », a déclaré Daniel Ekblom, du groupe de gestion de la faune de l'Association pour la conservation de la nature à Gävleborg.Le gouvernement suédois veut réduire de moitié la population de loupsLire la suiteMarie Stegard, présidente du groupe anti-chasse Jaktkritikerna, a déclaré : « Les loups en tant que prédateurs supérieurs de la chaîne alimentaire sont une condition préalable à la biodiversité. Tuer un quart de la population par la chasse a des conséquences négatives pour les animaux et la nature. C'est désastreux pour tout l'écosystème. L'existence des loups contribue à une vie animale et végétale plus riche. La survie humaine dépend d'écosystèmes sains.Anna-Caren Sätherberg, la ministre suédoise des affaires rurales, a récemment a déclaré à la chaîne publique SVT: « Nous constatons que la population de loups augmente chaque année et avec cet abattage, nous voulons nous assurer que nous pourrons atteindre l'objectif fixé par le parlement."Nous pouvons voir que le niveau de conflit a augmenté et que le niveau d'acceptation a chuté", a déclaré Sätherberg, ajoutant que le gouvernement avait demandé à l'agence nationale de protection de l'environnement de revoir les chiffres de population recommandés.L'agence avait précédemment recommandé que la population ne descende pas en dessous de 300, pour éviter qu'elle ne soit encore plus fragilisée et menacée par la consanguinité. Cependant, une majorité au parlement suédois est favorable à la réduction de la population de loups à 170 individus, tout en bas de la fourchette de 170 à 270 qui permettrait au pays de répondre aux exigences de conservation de la directive européenne sur les espèces et les habitats.La chasse est un sujet politique brûlant en Suède, avec un puissant lobby capable d'influencer les politiciens pour qu'ils autorisent l'abattage de plus d'animaux. Stegard a ajouté: «Il est évident qu'il existe une forte pression politique pour la chasse autorisée au loup, ainsi qu'au lynx et à l'ours. Inscrivez-vous
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Le Bruit, et l’Odeur.
Curieusement, l'origine des chérubins aux coutumes farfelues en Occident, mais fort à propos dans leur contrée native, est donnée très rapidement. Les pandores ont pu arrêter cette tentative bigarrée de hachis parmentier à la chèvre. "Et si vous ajoutez à cela le bruuuuit....et l'oooodeur...eh bien le travailleur français sur son palier y dv'ient fou". BP. >>> "Arrêtés en plein barbecue un soir de janvier en plein couvre-feu sous la neige. Trois hommes ont été interpellés samedi 16 janvier 2021, vers 23h30, à Dijon, en Côte-d'Or, en pleine cuisson de grillades. Ils faisaient cuire deux chèvres dans la cour de leur immeuble, rue Parmentier. Les trois hommes, âgés de 21, 30 et 49 ans, tous ressortissants de la République Démocratique du Congo, sont allés acheter deux chèvres dans une ferme du nord de la Côte-d'Or.
Ils reprennent la route en direction de Dijon avant de s'arrêter dans un champ juste avant 18 heures, moment du début du couvre-feu. Ils y tuent les deux animaux, avant de remonter dans la voiture pour aller dans leur domicile dijonnais. Plus tard dans la soirée, ils installent un barbecue dans la cour de leur immeuble, rue Parmentier pour y faire cuire les animaux dépecés. Plusieurs voisins sont alertés par le bruit et l'odeur et appellent la police qui arrive vers 23h30, en plein couvre-feu et sous la neige. Les trois hommes disent avoir tué les animaux pour ensuite les manger, selon la police de Dijon.
Les trois hommes sont sortis de garde à vue dimanche 17 janvier 2021. Ils sont convoqués au tribunal en juillet prochain notamment pour abattage d'un animal sans précautions pour éviter de le faire souffrir. Ils risquent six mois de prison. Ils ont tous reçu, en plus, 135 euros d'amende pour avoir brisé le couvre-feu." Article de France-Bleu : “Dijon : ils tuent deux chèvres puis font un barbecue dans la cour de leur immeuble”
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Adresse
Le Poulailler Du Moulnot
Ferme du Moulnot 54110 Crévic
06 86 93 06 76
https://www.lepoulaillerdumoulnot.com/
Vente d’œufs au poulailler du Moulnot, renouez avec le goût du terroir
Omelette, œufs brouillés, sur le plat, à la coque ? Quelle importance ? Lorsqu’ils sont frais et authentiques leur dégustation est un vrai délice. Mis en vente auprès des consommateurs directement après la ponte, les œufs peuvent être appréciés à la coque pendant 7 jours et conservés durant près de 28 jours. Producteurs expérimentés et professionnels confirmés, nous vous garantissons un élevage de qualité, et mettons un point d’honneur à offrir à nos animaux un traitement conforme à la charte des agriculteurs. Pour l’achat de nos œufs, rendez-vous au Poulailler du Moulnot .
Au marché
A notre camion magasin
En livraison à domicile
A notre magasin à la ferme à Crévic
Une vente dans les règles de la transparence
80 % de nos ventes se font par commerce direct et une petite partie de nos ventes se fait par le biais de commerçants intermédiaires. Conformément à la réglementation, nous marquons tous nos œufs directement transmis au consommateur. Ainsi grâce à notre centre de conditionnement nos œufs sont mirés, calibrés et tamponnés avant la livraison. Votre rêve de revenir aux saveurs d’antan devient réalité en contactant votre Poulailler du Moulnot.
Une vente au poulailler du Moulnot ? Optez pour une viande tendre et savoureuse
Manger sain et bon est un privilège qui tend à se perdre, mais une réalité que nous tenons absolument à pérenniser. Notre abattoir à la ferme nous permet de procéder à un abattage quotidien mais scrupuleusement surveillé. Nos bœufs ne dépassent pas la première année et nos veaux allaités sous la mère sont âgés de 7 mois maximum et abattus au moment du sevrage. Ce système permet d’avoir une viande extrêmement fraîche pour une dégustation garantie ! Avec 2000 volailles de chair à l’année, nous pouvons également satisfaire vos envies de poulet, coq, poule et chapon. Nous procédons nous-mêmes à la découpe et vous proposons nos volailles entières ou bien en cuisses, ailes et escalopes et nous en faisons de la transformation telle que des rillettes de poulet rôti, de la terrine de volaille, des feuilletés et des saucisses à rôtir de volaille .
Avec la découpe du poulailler du Moulnot, il ne vous reste plus qu’à cuisiner
Conservée dans des emballages prévus pour la congélation, la viande bovine est vendue après la découpe dans des colis contenant du :
Bœuf (âgé d’un an ): Steak, faut filet, filet de bœuf, côte de bœuf, jarret, rosbif…
Veau : escalope, côte de veau, jarret…
Steaks hachés surgelés façon bouchère de nos bœufs limousins
Provenant des races du Limousin, Charolais ou Salers vous pouvez être sûr de bénéficier d’une viande fine, juteuse et d’une saveur que nul ne peut contester ! Idéales pour vos cuissons au four, barbecues ou grillades, nos volailles de chair enchanteront vos papilles. Si vous êtes un amateur de la bonne viande du terroir, rejoignez-nous et selon vos envies, nous vous conseillerons la viande qui fera de vos repas un véritable festin.
Livraison à domicile, venez aux œufs ou les œufs viendront à vous
Vous êtes dans l’incapacité de vous déplacer ? Au Poulailler du Moulnot, nous avons tout prévu ! Au volant de notre camion ou voiture, nous faisons des livraisons d’œufs, aux consommateurs qui le souhaitent. Que vous soyez un professionnel ou un particulier, vous pourrez désormais profiter d’œufs frais indépendamment de l’endroit où vous êtes.
Livraison de viande bovine et volaille à domicile
Une viande fraîche, naturelle et savoureuse jusqu’au pas de la porte ? C’est également possible. Avec un protocole rigoureusement suivi, soyez assuré que votre viande arrivera en parfait état. Conservés dans des contenants appropriés et à des températures réglementaires , les aliments transportés ne seront en rien altérés. Nos tournées se déroulent tout au long de la semaine et se font comme suit :
Un Jeudi matin sur deux, à Crévic
Mercredi matin, livraison : lycée, restaurant, boucherie, boulangerie, épicerie, traiteur…
Un Jeudi matin sur deux , tournée à Tomblaine
Un Vendredi matin sur deux, à : Flainval, Sommerviller, Hudiviller, Anthelupt, Dombasle-sur-Meurthe
Pour commander et être livré il ne vous reste plus qu’à nous contacter !
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ENQUÊTE - D’ici à cinq ans, des steaks issus de cellules de muscle des animaux pourraient arriver dans nos assiettes. Éleveurs et bouchers tirent la sonnette d’alarme.
«Viande synthétique», «viande sans abattage» ou «viande 2.0»… De nombreux qualificatifs sont utilisés pour annoncer l’arrivée prochaine de la viande cellulaire dans les assiettes des consommateurs. D’ici à 2023, pour les plus optimistes. Issue de cellules prélevées sur les muscles des animaux d’élevage, elle permet de produire des steaks à partir d’incubateurs dans des salles blanches.
Après plus de 42 ans de recherche internationale, le premier burger (142 grammes) de laboratoire est enfin arrivé sur la table en 2013. C’est le scientifique néerlandais de l’université de Maastricht, Mark Post, qui l’a mis au point. Avec un coût prohibitif, 250.000 euros. Il le resterait encore aujourd’hui: autour de 50 euros la tranche.
À lire aussi : La viande in vitro, un produit embryonnaire mais un écosystème naissant
Outre l’aspect pécuniaire, l’apparition de cette viande in vitro au pays de la gastronomie et des terroirs basés sur les races locales d’animaux d’élevage représente pour beaucoup un affront. Notamment pour les bouchers, trait d’union entre les éleveurs et les consommateurs. «La vraie viande est un produit très naturel qui n’est pas transformé, soutient Jacqueline Riedinger-Balzer, bouchère à Strasbourg, récemment élue à la tête de la Confédération internationale de la boucherie et de la charcuterie (CIBC). Jamais je ne commercialiserai de la viande in vitro, c’est un nouveau produit aux antipodes des aliments plus sains que les consommateurs cherchent à manger. Il contient des colorants et des additifs comme l’huile de palme.»
«On ne peut pas transformer toutes les prairies pour produire des céréales, estime Romain Leboeuf, boucher Meilleur ouvrier de France à Paris dans le 15e arrondissement. Qui va entretenir les paysages sans les animaux d’élevage? L’arrivée de la fausse viande va nous faire du bien, comme le débat actuel avec les végans, car il remet en avant notre métier et élimine ceux qui le font mal.»
Réduire drastiquement l’abattage des animaux
Dans les Hautes-Pyrénées, Jean-Louis Cazaubon, éleveur des porcs noirs de Bigorre et de vaches laitières, dont le lait est transformé à la ferme pour produire des yaourts, s’insurge. «C’est tout un système alimentaire que l’on veut déséquilibrer, indique-t-il. À partir du moment où on est capable de fabriquer de la viande similaire in vitro, pourquoi ne pas produire du faux lait ou des faux œufs sur le même principe? Le rôle des éleveurs et de toute une filière risque de diminuer au profit des laboratoires et des start-up.»
À lire aussi : La viande rouge, toxique ou non?
Toutefois, sur le papier, cette «viande propre» a au moins trois atouts. Elle représente une opportunité face aux nouveaux défis alimentaires mondiaux: nourrir 9 milliards de personnes d’ici à 2050 dont l’appétit en produits carnés devrait croître de 70 % d’ici là, d’après les projections de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture). Du point de vue de l’environnement, elle serait moins consommatrice en eau, en énergie fossile et en surfaces cultivées pour nourrir le bétail.
On tue chaque année 67 milliards d’animaux terrestres dans le monde dont 1 milliard rien qu’en France
Sébastien Arsac, cofondateur de l’association L214 de défense de bien-être animal antispéciste
Par ailleurs, cela représente l’opportunité de réduire drastiquement l’abattage des animaux. «On continuera certes à mettre à mort des animaux mais sans commune mesure avec ce qui se fait aujourd’hui, se félicite Sébastien Arsac, cofondateur de l’association L214 de défense de bien-être animal antispéciste. On tue chaque année 67 milliards d’animaux terrestres dans le monde dont 1 milliard rien qu’en France.» Toutefois le bien-être animal reste relatif puisque les entreprises cultivent généralement les cellules dans un milieu contenant du sérum de veau fœtal.
À lire aussi : Critiquée de toute part, la filière viande fait sa révolution
Enfin sur le plan gustatif, la viande cellulaire pourrait ne jamais remplacer la viande naturelle. «J’ai eu l’occasion d’en manger, il y a deux ans, en Californie. Il n’y a pas la même sensation de mâche, la même perception des flaveurs ou de goût persillé», estime le nutritionniste Jean-Michel Cohen.
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Abattage massif d’ânes : la boucherie s’exporte via la cité de Guelwongo
Abattage massif d’ânes : la boucherie s’exporte via la cité de Guelwongo
Guelwongo, une commune rurale située dans la province du Nahouri, à la frontière du Ghana, abrite l’un des marchés de bétail périodiques fourni en équidés, essentiellement des ânes. A l’abri des regards, ces animaux sont l’objet d’un trafic florissant vers Bolgatenga, en territoire ghanéen. Les ânes convoyés depuis le Pays des Hommes intègres sont abattus, quotidiennement, en grand nombre, à ce…
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Pétition : Abattage de 4 vaches dans un parc naturel : la protection de la nature inclut la protection animale !
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Collectifs politisés et question animale
Besoin de poser quelques mots vis à vis de mon rapport à la question animale dans les collectifs. La prise en compte de la question animale chez l’individu, souvent après avoir pris conscience de la chosification des animaux dans le système capitaliste, se traduit souvent en une conversion au régime végétarien puis végétalien. C’est une forme de tentative de traduction de cette prise de conscience dans le quotidien chez l’individu isolé.
J’y vois deux limites principales. La limite qu’est celle du boycott en tant qu’acte politique, et celle liée à la tension avec le rapport au collectif. En effet, la cuisine est un vecteur de culture, de socialisation. Il est donc difficile de faire la promotion du veganisme tant la culture gastronomique joue un rôle socialisant. Cela est d’autant plus problématique quand on prend en compte les rapports de domination entre être humains qui peuvent faire basculer le prosélytisme vegan en mépris de classe ou en néo-colonialisme.
Le boycott est une pratique dont je montre souvent les limites pour encourager à une organisation collective visant à transformer les rapports sociaux. On peut chercher à être le consommateur le plus « éthique » tant que notre porte-feuilles et notre capital culturel le permettent, cela ne transforme en rien la société. Créer collectivement les conditions d’une forme d’existence désirable et attaquer les avatars du capitalisme peut conduire à une transformation sociale, pas le boycott. Néanmoins, la question animale me bouscule différemment des autres luttes. Car elles concernent la chosification totale d’êtres animaux, résultant en l’élevage et l’exploitation de leur courte vie, jusqu’à leur abattage douloureux et massif. Cela concerne des milliards d’animaux chaque année. Le rôle de cette production dans la destruction écologique est également évident.
Hors du capitalisme, la production animale serait anecdotique car l’animal non chosifié totalement, chose propice au profit facile, obtiendrait un autre statut.
Sans avoir de réponse claire à pourquoi je trouve plus important de se poser la question du boycott avec la question animale qu’avec le reste de la production capitaliste, il me reste cette intuition forte et ce dégoût profond de la présence si générale des produits d’origine animale dans nos vies et nos assiettes.
Lorsque nous avons ouvert un restaurant avec mes camarades, nous partagions déjà un repas collectif par semaine où la viande était absente et les produits animaux dérivés rares. Le pourquoi n’était pas clair. C’était plus simple de cuisiner la même chose pour tout le monde, sachant qu’il y avait quelques végétaliens dans le lot.
Avec ce restaurant, j’ai proposé qu’on ne mette au menu la viande que deux services par semaine, et les laitages et œufs deux services par semaine également, laissant la place à 4 services absents de tout produit animal, le tout dans une région rurale avec une culture de la viande très forte (fête annuelle de la tête de veau, etc.). Évidemment, il fallait être intelligent dans la présentation de ce menu différent des autres restaurants, où chacun était appelé à manger la même chose, ce qu’on décidait de servir comme menu unique. Ne pas orienter la présentation de ces menus dans le cadre du clivage : viandards versus vegan, moralisme des uns contre rienàfoutrisme des autres. Le choix était un choix collectif et pas un choix voué à satisfaire une individualité issue de ce clivage. Moi-même, je trouvais plus intelligent d’être plus flexible et de me socialiser avec les autres en remangeant du fromage à l’occasion. Parfois je goûtais même la viande lorsqu’il en restait et qu’elle allait être perdue. Il faut dire que même si je n’ai jamais été un fan de viande à l’exception de quelques préparations, j’ai toujours aimé les laitages et surtout le fromage. Ce n’est pas le goût qui m’a fait abandonner ces mets pour apprendre de nouvelles formes de gastronomie, mais le dégoût du mode de production et la curiosité alimentaire. Si un collectif entier réduit drastiquement sa consommation de viande et de laitages, je suis prêt à manger ce qu’il en reste avec eux. Cela me semble plus efficace en terme de réduction de la consommation, et le restaurant devenait également un moyen de parler d’un autre rapport à la restauration, moins clientéliste, moins individualiste.
Mais devant l’échec commercial de notre restaurant, nous sommes repassés à un menu à base de viande tous les jours, avec une alternative végétarienne pour les végétarien.nes. Ce qui fut particulièrement triste pour moi, c’est que même notre repas collectif de la semaine est alors devenu un repas individuel, où chacun mangeait au choix de la viande. Chaque mangeur de viande en prenant quasiment automatiquement comme s’il y avait nécessairement deux écoles opposées à laquelle il fallait se restreindre.
Désormais, ma tentative de socialisation me faisait manger des produits animaux plus souvent que jamais. Il ne me restait plus qu’à revenir à une stratégie individuelle puisque la question n’était plus du tout posée collectivement. A défaut de questionnement collectif, le veganisme reste la seule stratégie à notre portée pour subvertir le rapport à l’animal.
J’appelle donc ici à un retour de cette question dans nos collectifs. Peut-on s’accorder à dire que la consommation courante de produits d’origine animale a tout à voir avec l’industrialisation qui a mis à disposition de tout le monde un mode d’alimentation autrefois réservé aux seuls mode de vie paysans, d’une façon bien plus extrême puisque la viande et les produits animaux arrivaient dans l’assiette paysanne au fil des nécessités de la vie et pas de façon automatique et dissociée de la vie via le monde marchand. Peut-on créer ensemble les bases d’une culture qui pourrait trouver sa réalisation finale dans une auto-production collective non capitaliste ? Cette culture laisserait la place aux produits d’origine animale d’une façon beaucoup plus rare. Du lait parce qu’un petit n’a pas tout tété chez sa mère, de la viande parce qu’on manquait de produits de conservation lors d’un hiver difficile, de la laine retirée au peigne sur des animaux qui vivent avec nous par commodité et non par enfermement. La réduction de la consommation de produits d’origine animale venue du marché serait une forme de préalable à l’apprentissage de cette culture. La raréfaction des produits que l’on ne pourrait produire hors du capitalisme sur notre territoire rendrait à ceux-ci leur magie. L’on obtiendrait en effet à de rares reprises du chocolat, du fromage, du café par la connexion sensible à d’autres communautés de vies et pas par le biais d’un marché surproductif.
Ce n’est pas un appel à moraliser notre consommation, et pourtant ça en a l’allure. Personnellement j’ai du mal avec l’idée de vivre avec un collectif qui se fout totalement de la façon dont sont fabriqués les produits animaux en excusant cela par une culture « bretonne », ou « parce que c’est trop bon » « parce qu’on ne remplace pas le goût du beurre ». Mais merde, plein de choses ont bon goût et il n’y a pas que le beurre et le fromage en fait. Il faut juste s’en rendre compte. Moi aussi j’adore le fromage mais je n’aime pas que cela.
Réduire drastiquement la présence de ces produits est pour moi le préalable à l’action collective réelle, inventer une forme de vie où les animaux sauvages et domestiques auraient leur place, mais où ils ne seraient pas réduits à l’état de choses. Je ne me sens pas capable de repousser le changement de notre culture jusqu’au moment où le capitalisme sera tombé. Pourtant je consomme toujours du chocolat et du café en masse, pas que j’accorde moins d’importance à mes camarades humains de l’autre bout du monde, mais parce que justement j’ai une proximité avec eux dans la capacité à s’organiser collectivement, et que je crois que le boycott n’y apporte rien. Oui, la consommation joue encore un grand rôle de régulateur d’humeur dans le capitalisme tant qu’il imprègne à ce point nos vies, mais je refuse que les animaux servent à cela. Boycottez le chocolat, pas sûr que les employés de l’industrie en soient heureux, car il faudrait d’abord qu’ils puissent vivre en dehors du travail pour pouvoir s’en passer. Par contre, on peut attendre longtemps que les animaux s’organisent en syndicats ou qu’ils aient le loisir de penser une vie en dehors du capitalisme.
Il n’y a pas la possibilité d’organiser des formes de luttes similaires aux luttes humaines chez les animaux. Il n’y a quasiment rien à faire jusqu’à la chute du capitalisme pour améliorer leur sort, même si nous pourrions, après un certain degré d’avancement sur cette question, songer à attaquer des abattoirs ou des usines à viande. Mais même ces pratiques me questionnent dans leur pertinence du fait que la seule solution réelle pour mettre fin à la chosification animale serait de poser les bases d’une société où le capitalisme ne serait plus le moyen de produire notre forme d’existence. La réduction drastique de la consommation de produits animale ne saurait pas réaliser cela, mais me tient à cœur malgré tout dans les collectifs où j’évolue. Peut-être n’y a t-il aucune cohérence là-dedans, si ce n’est que je ne peux me sentir bien dans un collectif où cette question n’est même pas évoquée et où l’on reste dans ce rapport clivant et individualiste.
J’ai tendance à trouver ridicule, même si cela me fait toujours plaisir quand quelqu’un prend cette peine, de proposer une alternative végétalienne aux 2 ou 3 végétaliens du groupe quand vingt autres mangent sans aucune limite du fromage. Je trouverais plus pertinent, pour ma part, de manger du fromage avec tout le monde à la condition qu’on en mange tous rarement.
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Élevage : l'État autorise l'abattage de 174 loups pour faire face aux nombreuses brebis tuées.
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Des moyens inédits : l'État a autorisé l'abattage de 174 loups en France pour l'année 2022. Reportage en Lozère (Occitanie), où au moins 60 brebis ont été tuées par des loups au cours de l'année.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (avec vidéo) publié par Franceinfo (France Télévisions) le vendredi 30/09/22.
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