#Pays des droits de l'homme et de la démocratie qu'ils disaient
Explore tagged Tumblr posts
antonomase · 2 years ago
Text
Entre pikachu face et sipping my tea Morticia style en imaginant le bordel des prochains mois pour le gouvernement, ce nouveau 49.3.
24 notes · View notes
claudehenrion · 4 years ago
Text
Samuel Paty : l'horreur à l'état... ''brut de brute''...
 Voici un billet ''hors norme'', que justifie une situation exceptionnelle. Mais le destin finit toujours par dénoncer les constructions intellectuelles infondées. Dans les temps anciens, avant que la folie ne prenne le pouvoir, on appelait ça ''la justice immanente'', et cela désignait l'espoir qu'existait un lien souhaitable entre une mauvaise action et sa sanction, fût-ce à échéance parfois longue. Le destin vient de se venger de nos fautes répétées, avec une brutalité inouïe, aux dépens d'un pauvre professeur, Samuel Paty, dont le seul péché a été d'avoir cru ce que lui disaient des fabricants de théories insanes et de cauchemars contre-civilisants.
  Avant d'aller plus loin : il est si vite fait, de nos jours, de se faire traiter de complotiste, de populiste, de ''n'importe quoi-o-phobe'' ou d'ennemi du genre humain par ceux qui ont décidé de systématiquement se présenter en victimes... qu'il vaut mieux prendre ses précautions : je condamne, bien entendu, et sans la plus petite restriction mentale, tout ce qui a un lien, même indirect, avec le terrorisme et tout ce qui se rattache à cette monstruosité ! Et, en ce jour de deuil,  je hais chaque geste de chacun des responsables réels de ce drame inhumain, ceux qui se croient ''hors du coup'' parce qu'ils n'ont pas sur leurs sales mains le sang de cette innocente victime de leur venin –sur les réseaux sociaux, dans leurs propos, dans leurs écrits, dans leurs actes, dans leur non-dit... et leurs rêves fous.
  En revanche, si l'on veut être crédible, il faut dire aussi que depuis des années, de sinistres salopards font prendre des risques inouïs à ceux qui les écoutent, tel le terrible contre-sens qu'une idéologie, vaguement inspirée des Lumières et, plus récemment, de certaines obédiences franc-maçonnes, a artificiellement fabriqué autour de tout ce qui touche aux valeurs chrétiennes : pour ces handicapés de la pensée, il n'existe qu'une seule cause (et donc une seule solution !) aux malheurs du monde : la mort de tout ce qui se rattache au catholicisme, cet ''unique objet de leur ressentiment''. Pour ce faire, ils ont dénaturé le sens de chacun des mots qui étaient utilisés (NB - cette idée n'est pas que de moi : le remarquable Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France, l'admettait récemment dans une émission télévisée très courue), fabriquant sans doute un lien avec l'horreur absolue qui a endeuillé Conflans-Sainte-Honorine vendredi 16 octobre 2020.
  C'est une faute impardonnable car volontaire sur le sens de l'expression ''liberté d'expression'', qui a condamné (après tant d'autres, et ce carnage n'est pas à son terme), ce malheureux professeur à une mort atroce : leur haine contre tout ce qui pourrait se rattacher au ''religieux'' (auquel ils refusent de comprendre quoi que ce soit par principe, par système, par construction... et donc ''par définition'' !) a entraîné une confusion mortelle chez ceux qui les croyaient : la ''liberté'' contiendrait en elle une sorte de droit de nuire, de mépriser, d'insulter, d'humilier, de blesser ceux qui ne pensent pas ''correctement''... Il s’agit là d’une erreur dramatique qui est, en plus, criminogène : les caricatures de ‘’Charlie Hebdo’’, combien de morts ?.
  Pour ces théoriciens du pire, la liberté d'expression, dévoyée et caricaturée, irait de pair avec une jouissance sans contrainte et sans limite d'un droit d'attaquer impunément tout ce qui est important pour... ceux qui ne partagent pas leur vision des choses... Cette faute ne peut déboucher que sur des désordres sociaux illimités –comme nous le vérifions, hélas, chaque semaine ou peu s'en faut. Et histoire de bien rendre toute relation sociale impossible, ces fauteurs de trouble ont inventé un faux-concept incendiaire, un pseudo ''droit au blasphème'' qui serait le droit (?)... de ne pas respecter ''l'autre''. Mais alors là... pas du tout ! Il s'agirait plutôt de piétiner toute croyance et toute idée qui n'est pas ''comme ils voudraient''.
  Les partisans de ce désordre des choses ont simplement oublié, dans leur christo-cathophobie pathologique, que l'Article 4 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789  avait repris à son compte cette vieille preuve de la sagesse des peuples : '' La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui '', mère du célèbre ''Ma liberté s'arrête là où commence la tienne'', qui définit la base de toute vie en société reposant sur autre chose que sur les seuls rapports de force. Et le fait de faire voter par une Assemblée partisane un texte qui va contre ce principe ne lui conférera jamais une valeur morale opposable aux tiers : ta liberté ne se conçoit que si elle n'est pas au prix de celle de ton voisin, que tu dois respecter, si tu veux son respect.
  Et franchement, il n'est pas facile de comprendre quel lien il pourrait y avoir entre les trop fameuses ''caricatures de Mahomet'' et l'enseignement à des élèves du secondaire des principes et des limites de la ''liberté d'expression''. La seule règle qui vaille devrait être : ''je dois arrêter de moi-même ma liberté d'expression à l'endroit où je sais que tu vas te sentir blessé, ne pas comprendre, et par contrecoup, rejeter toutes les idées que je voulais partager avec toi''. Dans le genre ''plus inefficace que ça, tu meurs'', nous avons atteint des sommets. 
  Il est faux (et la preuve est faite que ça peut être mortel, à répétition !) de prétendre qu'il pourrait exister, dans la ''liberté d'expression'' (qui est tout autre chose qu'une diarrhée verbale) un soi-disant ''droit au blasphème'' qui est totalement incompatible avec nos ''Liberté-Egalité-Fraternité'' comme d'ailleurs avec les autres critères qui définissent une véritable démocratie : de quel droit pourrais-tu m'interdire de penser ''comme ci''… tout en t'autorisant, toi, à penser ''comme ça'' ? Si tu insultes mon Dieu, tu dois me permettre d'insulter ta République et tout ce qui va avec...Est-ce le cas ? Et si ce n'est pas souhaitable (ce que je crois), la réciproque est tout-aussi fausse. Et d'ailleurs, une laïcité bien comprise n'a-t-elle pas parmi ses fonctions les plus belles de respecter les croyances de tous ?
  Dans le registre ''les francs-maçons ne sont pas aussi purs que cela dans la poursuite de leurs dadas'', on voit Xavier Bertrand en profiter pour remettre sur le tapis la vieille lune de l'adjonction de la ''laïcité'' à notre devise nationale... alors que ce n'est évidemment pas du tout la laïcité qui est en cause, dans le drame terrifiant de Conflans : c'est seulement l'islam, même si c'est dans une de ses formes les moins acceptables. Par exemple, il y a une question que personne ne va poser : quel est le pourcentage de musulmans en France qui se sentent plutôt solidaires de cette acte barbare ? 30 % ? 70 % ? Plus ? En tout cas... beaucoup ! 
  Mais nos aveugles-aux-manettes continuent à voir ''une attaque contre la République'' dans la folie d'un individu qui a suivi un mode de pensée tout de même assez largement répandu en France, et qui plus est, recommandé par ses références, ses lectures, ses amis, et dans les mosquées qu'il fréquentait... Pourquoi nos politicards aveugles et notre Presse si engagée à gauche ont-ils tellement de mal à appeler ''chat'', un chat ? Combien d'autres assassinats insupportables leur faudra-t-il pour qu'ils voient enfin le jour en plein midi, pour qu'ils arrêtent de continuer à pratiquer sans cesse leurs amalgames mortels entre tous les pratiquants, tous les croyants, tous les pieux... et avec cet ''obscurantisme'' qu'ils croient voir chez tous ceux qui ne pensent pas comme eux, alors que c’est eux-mêmes qui en fournissent une monstrueuse illustration, dix fois par jour ?
  Il faut comprendre que, avant d'être un épouvantable assassin, le fanatique tchétchène, ce monstrueux ''Abdullah Abdullezivitch A.'' (vous avez vu avec quelle vitesse son nom a disparu des dépêches de Presse ? Dame ! Un nom à consonance musulmane, ça fout en l'air toutes leurs théories mensongères !) était un triple crétin, et il n'a jamais pensé une seconde à ''s'attaquer à la république'' : il ne savait même pas à quoi pouvait correspondre ou servir une ''République'' ou tous les autres grands principes, qui sont tous ''haram'' (= maudits) à ses yeux !
  PS - Un ''billet'' prochain (d��s la reprise de ce blog, le 28, si rien de pire n'est venu perturber ce programme) expliquera l'immensité de l'erreur d'analyse que font ceux qui se croient capables de diriger notre pauvre pays... qu'ils ne savent que détruire et mener à la catastrophe... et nous avec, pauvres innocents, dans le même ''package deal'' d'horreur...  Ce ''billet'' est déjà écrit, depuis la nuit dernière : je n'en pouvais plus de ne pas hurler ma colère, devant la barbarie qui se répand, et les erreurs d’analyse qui sont faites par des gens qui ne savent rien de et sur l’Islam, mais répètent en boucle ce qu’ils ont entendu récemment, peu importe par qui  !).
H-Cl.
2 notes · View notes