#Marginalité
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Pourquoi tu souris ?
Présentation du film Pourquoi tu souris ? de Christine Paillard et Chab Chenouga. Une comédie sociale touchante et drôle à la fois avec des acteurs formidables
Le film, intitulé Pourquoi tu souris, est une comédie sociale sur l’exclusion mais qui célèbre la joie de la solidarité et du partage. Wisi (Jean-Pascal Ziddi) débarque à Bordeaux, lui, le vigneron saisonnier, en galère complète. Dans l’association qu’il fréquente, il rencontre Marina, femme d’âge mûre, qui accepte de l’héberger. Pour attirer son attention, Wisi se fait passer pour un…
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youtube
J’ai beaucoup aimé ce roman de Violaine Schwartz, Une forêt dans la tête.
Elle en parle ci-dessus, simplement, clairement. J’aime bien sa façon de s’exprimer et je ressens une connivence avec elle, comme si elle m’était familière, c’est étonnant.
J’ai ressenti la même chose pour son personnage principal en lisant le roman, d’ailleurs. Pourtant, la narratrice est traumatisée par une rupture d’anévrisme qui l’a laissée KO, psychologiquement plus que neurologiquement finalement puisqu’elle s’en sort bien, et a plutôt bien récupéré, après un long chemin d’exercices, de rééducation. Mais elle a encore des séquelles invisibles, elle perd ses mots, galère avec les chiffres, se sent fragile, en sursis. Ce dialogue paniqué qu’elle a en permanence avec elle-même m’a pas mal parlé… je ne sais pas si vous faites ça vous aussi, mais le yoyo des questions pour prendre des décisions, ça ressemble pas mal pour moi à ce que vit la narratrice…. Bref, beaucoup de connivence, d’empathie, et aussi d’intérêt de ma part pour l’autre personnage passionnant, la Frida qui vit dans la forêt, dans une marginalité dénuée d’idéologie, qui lui raconte sa vie, et lui montre une autre façon de vivre, une autre vie, une vie courageuse et plutôt heureuse.
Leur dialogue, leur face à face est revigorant pour chacune, et c’est une belle idée développée dans ce livre : comment l’attention à l’autre nous enrichit, voire même nous guérit (de nous mêmes).
Un très beau livre, original, bien écrit, sans fioriture, sincère, qui fait réfléchir.
#littérature#livres#litterature#roman#livre#une forêt dans la tête#Violaine Schwartz#éditions P.O.L.#Youtube
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Comme on aimerait qu'il eut tort!!
L'union de la gauche et ses désastres
(reseau international.net) /articles/actus-articles-2/lunion-de-la-gauche-et-ses-desastres/par Régis de Castelnau
Dans un article précédent , j’ai tenté de démontrer que le Parti socialiste dans son histoire,n’avait jamais été «de gauche». La sociologie de ses directions, ses modes d’organisation,et sa pratique du pouvoir dans une république de démocratie représentative, permet d’aboutir à cette conclusion. Cependant, si tant est que l’on retienne (à juste titre jusqu’à une période récente) le caractère opératoire du clivage droite-gauche, comme nous l’avons rappelé dans l’article précité, le Parti socialiste est toujours arrivé au pouvoir grâce à des alliances. Ce fut parfois avec la droite, mais plus souvent avec d’autres forces de gauche. Et en particulier, le Parti communiste souvent promoteur de ces stratégies d’union, et qui à chaque fois lui ont coûté très cher, jusqu’à sa disparition. Au détriment bien sûr des forces qu’il représentait, mais pas seulement.
Toutes les trahisons mises en œuvre par le Parti socialiste ont porté préjudice à la majorité du peuple français, qu’il a fini par enfermer dans un néolibéralisme destructeur pour le pays. Il faut toujours rappeler que l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017 est le fruit d’une opération assimilable à un coup d’État dont le PS fut l’un des principaux organisateurs.
On ne reviendra pas en détail sur les différentes catastrophes politiques générées par«l’union des forces de gauche», mais il convient quand même de se rappeler le catalogue.
L’union de la gauche de catastrophes en catastrophes
Aux élections législatives de 1924, alors que le Parti communiste occupé à sa «bolchevisation» s’était enfermé dans la marginalité, on assiste à la mise en place du «Cartel des gauches» qui se coucha prestement devant le «mur de l’argent» pour passer les manettes à Raymond Poincaré chargé de mettre en œuvre les pires politiques d’austérité.
Il y eut ensuite, le «Front populaire» de 1936 que Léon Blum abandonna au bout d’un an pour laisser le pouvoir à une alliance avec le centre-droit. En attendant l’interdiction du PCF en septembre 1939, avec la peine de mort pour ses distributeurs de tracts et l’installation de Pétain le 10 juillet 1940 lorsque la majorité du groupe socialiste lui vota les pleins pouvoirs en actant la fin de la République. Encore bravo !
Il y eut ensuite l’alliance tripartite de l’immédiat après-guerre à laquelle le Parti socialiste mis fin en 1947 pour installer avec l’aide de la droite la domination américaine sur l’Hexagone. Léon Blum ayant repris du service pour y veiller.
Le nom du socialiste qui se détache à ce moment est celui de Jules Moch féroce briseur de grève qui laissera des souvenirs cuisants chez les mineurs de fond.
En 1956, le PS (SFIO) remporte les élections législatives sur la base d’un programme de paix en Algérie. (On dirait du Zelenski....) Que le PCF entend soutenir en votant «les pleins pouvoirs» au gouvernement Guy Mollet. Celui-ci trahit immédiatement ses engagements, nomme Robert Lacoste proconsul en Algérie qui donne les pouvoirs de police et une partie des pouvoirs civils à l’armée ! Qui mettra en œuvre une répression sans mesure à base de torture, de disparitions et d’exécutions sommaires. Englué dans sa trahison, le parti socialiste sera incapable de s’opposer au délitement de l’État et à l’installation d’une situation de guerre civile que l’opération politique virtuose de Charles de Gaulle en mai juin 1958 évitera à la France.
À partir de son ralliement à la candidature de François Mitterrand à la présidentielle de 1965, le PCF se lancera à corps perdu dans la construction de «l’Union de la gauche» comme alternative au pouvoir gaulliste. Cette stratégie mortifère aboutira à la signature d’un programme commun en 1972 offrant à cette union des perspectives d’arrivée au pouvoir. La dynamique politique illusoire créée à cette occasion permettra l’arrivée de François Mitterrand à la présidence de la république en 1981. Tous les engagements furent rapidement remis en cause, scandé par le fameux tournant néolibéral austéritaire de 1983 (Fabius) sur fond d’abandon progressif de la souveraineté nationale au profit de l’Union européenne en construction. Le tout accompagné par l’effondrement du PCF, faisant ainsi perdre à la classe ouvrière son principal outil politique.
En 1997, nouvelle union de la gauche, «plurielle»cette fois-ci, avec l’arrivée de Lionel Jospin au poste de Premier ministre de cohabitation avec Jacques Chirac. Dont le gouvernement, néolibéralisme européen oblige, sera le plus grand privatisateur de l’histoire de France. Les lambeaux du PCF se contentant d’apporter son écot à la catastrophe politique et économique dont la défaite de Lionel Jospin à la présidentielle de 2002 fut l’épisode normal. Qui eut au moins un mérite, celui de nous éviter la honte du soutien de l’agression américaine en Irak en 2003. Dont chacun sait que Jospin aurait été, comme son camarade Tony Blair, l’acteur empressé. Hollande parrain de Macron
Et en 2012 «L’union de la gauche» de se rassembler à nouveau, derrière François Hollande cette fois-ci ! On allait voir ce qu’on allait voir, puisque «son ennemi était la finance» et qu’Emmanuel Todd nous annonçait «le hollandisme révolutionnaire». Ce mandat tout de trahisons, de laideurs et de lâchetés fut une épreuve pénible. De l’ectoplasme Jean-Marc Ayrault au nervi politique Manuel Valls, en passant par Cahuzac, Moscovici, Jouyet, Macron (déjà) et tant d’autres nullités corrompues, nous avons dû tout supporter. L’évidence que François Hollande allait être, selon l’expression d’Emmanuel Todd, comme vomi par le pays, les grands intérêts dont le Parti socialiste était l’instrument durent trouver une solution. Ce fut Emmanuel Macron qu’ils décidèrent d’installer à l’Élysée. Le macronisme destructeur que nous supportons depuis maintenant 7 ans est le fruit empoisonné de l’union de la gauche qui avait porté François Hollande au pouvoir. Dont il faut rappeler qu’elle disposait lors de son avènement de tous les pouvoirs de la république, présidence, Assemblée nationale, Sénat, hégémonie dans les collectivités locales.
Alors, l’union de la gauche que l’on vient de nous servir dans la vieille soupière de 1936,n’est qu’un brouet, qui serait aussi indigeste que les précédents.
Mélange d’éléphants socialistes survivants d’un troupeau étique surtout soucieux de conserver quelques gamelles, de jeunes loups installés là par les Américains, d’écologistes allumés recyclés dans le bellicisme russophobe, de faux communistes groupusculaires, et d’insoumis occupés à s’entre-déchirer, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’est pas appétissant.
Mais il est clair, que même si par extraordinaire il remportait une victoire électorale, il ne pourra en aucun cas produire une réponse politique de rupture avec le techno-fascisme macronien.
Ne serait-ce que pour une bonne raison, celui-ci est directement le produit des «unions de la gauche» passées par le pouvoir depuis 30 ans. source : Vu du Droit (regis de castelnau)
Comme on aimerait qu'il eut tort!!
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".../...
Tu sais combien d'entre-eux s'intéressent à ce que nous faisons? demanda-t-il.
Je dirais un pour cent pour être large. La vraie force de nos adversaires, elle est là. Ils jouent à craindre nos révélations, mais au fond ils savent que la majorité des citoyens n'a rien à faire qu'Untel ou Untel se serve effrontément ou leur cache la vérité. La seule vérité qui compte pour eux, c'est celle de leur niveau de vie, la satisfaction de leur aspiration bourgeoise.
"Son idéal n'est en effet aucunement le sacrifice, mais la préservation de sa personne. Il n'aspire ni à la sainteté ni à son opposé, et ne supporte pas l'absolu...Il essaie de trouver sa place entre les extrêmes, dans une zone médiane, tempérée et saine où n'éclatent ni tempêtes ni orages violents...On ne peut vivre intensément qu'aux dépens de soi-même...Ainsi assure-t-il sa préservation et sa sécurité au détriment de la ferveur."
Tu peux rester assise ici la journée entière, sur les milliers de gens que tu verras défiler, la quasi-totalité sera conforme à cette description du bourgeois selon Le loup des steppes.
Je nous vois comme des loups solitaires qui procèdent par attaques fulgurantes contre la meute, laquelle nous le rend avec toute la violence qu'elle s'autorise. Ce qui nous sauve? C'est que, parfois, un individu caché dans la meute se sent maltraité ou, plus rarement, prend conscience que sa vie selon ce"s règles ne mène à rien. Sans ce type de défection, on ne pourrait rien faire, rien savoir, rien prouver. Le plus curieux, c'est que cette grande masse protège des hommes qui ne lui ressemblent pas. Leur avidité, leur détermination à mentir, à voler, à confisquer, à s'approprier le pouvoir. "L'abandon de la voie moyen ne" les rend à priori marginaux. Mais ils ont compris que cette marginalité est tolérable à condition qu'ils préservent au moins l'apparence des équilibres fondamentaux. ils donnent le change en légiférant.
Rien ne rassure plus l'opinion qu'une avalanche de textes qui régissent les rapports entre des gens qui n'ont plus d'ambition collective si ce n'est que la loi tienne l'autre à distance. Ils ne sont même plus éduqués à vivre ensemble et ne voient plus dans la relation à l'autre qu'une alchimie d'intérêts.
Réglementer, légiférer pour mieux encore détourner à son avantage l'essence de la règle, la contourner avec l'aide de myriades de juristes dévoués et coûteux.
Ceux qui font la loi et ceux qui la bafouent font cause commune contre l'individu, encadré, enfermé, asservi à l'Etat et au marché qui jouent depuis des lustres la comédie du désamour et amusent la galerie par leurs prétendues antinomies.
.../..."
Marc Dugain- extrait de: "Quinquennat"
illustration source: Lundimatin
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FRICHES
Même si j'ai toujours eu un faible pour ce qui sort des sentiers battus, ce n'est pas uniquement par leur marginalité que les friches m'intéressent tant. C'est qu'en fait, en se soustrayant complètement du régime productif, elles nous obligent à revoir nos systèmes de valeurs et la conception de notre monde, si ancré dans le capitalisme. Leur biodiversité ne se moyenne toujours pas, pas encore du moins, même si de plus en plus d'études prouvent leur importance comme havre pour la faune et la flore au milieu des monocultures.
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J'ai terminé de regarder la série Wednesday sur Netflix et je dois dire que je suis agréablement surprises sur plusieurs points.
D'une part il y a une bonne identité visuelle, les décors sont pas juste 3 planches de bois peintes et niveau déco c'est fourni.
C'est pas bête. Au sens où ce n'est pas une écriture à la L'école du bien et du mal, qui n'était pas un mauvais film mais où vous n'aurez pas de discours plus intelligent que "mais en fait..... Être méchant c'est pas très gentil !!!!!". La je n'ai pas eu l'impression de regarder une série qu'on aurait pensé pour des ado et c'est très bien.
C'est une série qui a un propos, ça parle de marginalité et d'unclusivite mais contrairement à (par exemple) Sandman où on a clairement du Lgbt whasing (sans que ce soit fait de manière malveillante mais c'est la) on a ici des personnes marginalisé, dont des personnes Lgbt sauf que ce n'est pas là pour être inclusif, c'est la parce qu'il y a un propos.
Exemple. Un des personnages est un loup garou qui n'arrive pas encore à se transformer, c'est un statut clairement décrit comme péjoratif et une raison de mise à l'écart, d'exclusion et de tout simplement vivre sa vie seul. Bon, on a donc la un personnage qui n'est pas juste la pour être la "minorité visible" parce que cette caractéristique (ne pas pouvoir se transformer) n'est pas la caractérisation principal du perso (c'est même un aspect qu'on abordé plutôt en milieu de série), le perso ne se limite pas qu'à sa marginalite et c'est bien.
Mais ! En fait c'est encore mieux. Vers la moitié de la série on amène à ce personnage tout un tas de brochure pour des "colonies de vacances de conversions" pour loup garous, en expliquant que c'est très bien, que ça va l'aider etc etc. Sauf qu'au États Unis le terme de camps de conversion à un sens très précis, la on est plus dans de la backstorie, on est dans un propos politique tenu par la série et ça c'est quand même bien rare de voir une série qui dépasse le "faut juste qu'on soit tous copain".
Autre truc très bien de la série c'est son actrice principale. Elle est tellement inexpressive que les rares moments où elle sourit ou pleure marchent à fond
Gros big up à l'oncle Fétide également.
Autre point super pas d'épisode filler! Merci mon dieu !
Bref franchement c'est une bonne série, ça prend pas pour des cons, il y a un propos sur la marginalité, c'est rigolo.
++ les petits chats.
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Cassandre = impuissance et vérité – figure de Tragédie. Eh bien, je crois que le Tragique, c’est l’être même de l’Écrivain Actuel/Inactuel, sa fatalité et aussi sa liberté, ce qui marque son travail d’une difficulté essentielle mais aussi lui permet de surmonter la Troisième Épreuve, de Séparation ; l’Écrivain puise sa force dans le statut tragique de la littérature d’aujourd’hui ; car Tragique = Force active. Qu’est-ce que le Tragique ? = assumer la Fatalité d’une façon si radicale qu’il en naît une liberté ; car assumer, c’est transformer ; rien ne peut être dit, assumé, si ce n’est pas associé à un travail de transformation ; assumer une perte, un deuil, c’est le transformer en autre chose ; la Séparation va être transformée dans la matière même de l’œuvre, en travail concret de l’œuvre (cf. assumer l’Homosexualité = la transformer). Ceci nous permet peut-être de comprendre que le Tragique n’est pas un pessimisme – ou un défaitisme, ou un abstentionnisme – mais au contraire une forme intense d’optimisme : un optimisme sans progressisme. Place de l’écrivain : la Marge ? Il y en a tant : il finit par y avoir une arrogance de la Marginalité. Je préfère lui substituer l’image de l’interstice. Écrivain = homme de l’interstice. Roland Barthes, La Préparation du roman, Éditions du Seuil, 2003, p. 376-377
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Shibatarian
Shibatarian : le manga où l’horreur côtoie le sublime et le grotesque
« Êtes-vous Shibata ? » Une question innocente, qui marque pourtant l’entrée dans un univers où réalité et cauchemar s’entrelacent comme dans un vieux film d’horreur revisité par un génie fou. Avec Shibatarian, Katsuya Iwamuro n’offre pas simplement un manga, mais une expérience déroutante, drôle, flippante et imprévisible.
Un cerisier, une tête humaine, et du cinéma
Tout commence de manière presque banale (ou pas) : Hajime Sato, lycéen au quotidien sans éclat, tombe nez à nez avec une tête humaine surgissant du sol, au pied d’un cerisier. Ce crâne bavard n’est autre que Shibata, une entité énigmatique qui défie toutes les lois de la nature. Hajime, dans un élan de nonchalance typiquement adolescent, décide de sympathiser avec cet étrange personnage. Leur point commun ? Une passion débordante pour le cinéma. Le duo improbable rêve de créer des chefs-d’œuvre, mais la réalité est bien plus complexe. Shibata est invisible pour le reste du monde. Et si son humanité reste douteuse, leur amitié, elle, est bien réelle... du moins au début. Les années passent, les retrouvailles s’imposent, et avec elles, l’histoire vire au cauchemar. Ce qui semblait une aventure excentrique devient un plongeon dans une horreur psychologique où chaque scène vous fait vaciller entre le rire et la terreur.
Quand l’horreur rencontre la critique sociale
Shibatarian, c’est une ode au cinéma d’horreur. Les références à des classiques tels que Alien, Gremlins ou L’Exorciste abondent, mais elles servent un propos bien plus profond. Sous ses airs de délire visuel, Iwamuro livre une réflexion sur la différence et le conformisme. Shibata, cette figure d’étrangeté, est-il autre chose qu’un miroir de notre peur de l’inconnu, de ce qui échappe à nos normes sociales étriquées ? L’horreur ici n’est pas que surnaturelle : elle est humaine, tapie dans les jugements, le rejet et l’incompréhension. Ce cocktail de fantastique et de critique sociale donne naissance à une œuvre qui secoue autant qu’elle fascine.
Un récit sans boussole, mais avec une atmosphère
Ne cherchez pas des explications claires ou des révélations magistrales : Shibatarian préfère les non-dits. Iwamuro privilégie les émotions et les images fortes aux discours didactiques. Résultat : chaque page est une immersion sensorielle où l’intrigue se vit plus qu’elle ne se comprend. Les dessins, oscillant entre le grotesque et le sublime, évoquent ces films d’horreur qui jouent avec vos nerfs et vos tripes. Un sourire nerveux ici, un frisson là : l’équilibre est parfait. L’évolution narrative ne fait qu’amplifier ce malaise étrange, chaque rebondissement vous laissant désorienté mais captivé.
Un manga unique en son genre
Avec seulement quatre tomes, Shibatarian ne s’éternise pas et conserve une intensité qui fait mouche. Ce n’est pas une œuvre pour tout le monde : ceux qui cherchent une narration linéaire et des réponses précises risquent d’être frustrés. Mais si vous aimez les récits qui sortent des sentiers battus, où le bizarre côtoie le brillant, vous serez servi. C’est à la fois un hommage au cinéma, une réflexion sur la marginalité, et une aventure humaine profondément marquante. Au pied de ce cerisier où le rire et l’effroi se croisent, Shibatarian vous invite à un voyage que vous ne serez pas près d’oublier. Une œuvre étrange et mémorable, où chaque page est une énigme qui hurle autant qu’elle chuchote.
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POUR UNE VRAIE CONCORDANCE DES TEMPS
Charles Bukowski
Grand frère
De la marginalité
Américaine
Grâce à son positionnement
Ciné Destroy littéraire
Il est le Père anar
Défenseur du bon univers
Aux toutes sortes de lumières
Mardi 19 novembre 2024
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Geek : Tout savoir sur le style de vie et les accessoires
Le terme "geek" est souvent associé à des images de passionnés de technologie, de jeux vidéo et de science-fiction, mais il va bien plus loin. Les geeks ont établi une culture riche et diversifiée qui touche à de nombreux aspects de la vie quotidienne. Cet article explore le monde des geeks, leur mode de vie, et les accessoires incontournables pour embrasser pleinement cette passion.
Qu'est-ce qu'un geek ?
Un geek est une personne passionnée par un sujet spécifique, souvent lié à la technologie ou à la culture populaire. Contrairement à l'idée reçue, les geeks ne sont pas uniquement des mordus d'informatique. Ils peuvent être fans de bandes dessinées, de jeux de rôle, de séries TV, ou encore de sciences. Cette diversité fait des geeks une communauté unique et fascinante.
Histoire et évolution de la culture geek
La culture geek a évolué au fil des décennies, passant de la marginalité à une tendance dominante. Dans les années 70 et 80, être geek signifiait souvent être isolé et incompris. Cependant, avec l'avènement d'Internet et des réseaux sociaux, les geeks ont trouvé une plateforme pour partager leurs intérêts et se connecter avec d'autres passionnés. Aujourd'hui, la culture geek est célébrée dans des événements mondiaux comme Comic-Con, et elle influence de nombreux aspects de la société moderne.
Mode et style de vie geek
Les vêtements geek
Les vêtements geek sont bien plus que des t-shirts imprimés avec des logos de super-héros. Ils incluent des pièces inspirées par des films, des séries, et des jeux vidéo. Les geeks aiment afficher leurs passions à travers leurs tenues, que ce soit avec des hoodies Star Wars, des chaussettes Doctor Who, ou des casquettes Marvel.
Accessoires incontournables
Les accessoires jouent un rôle crucial dans le style de vie geek. Les figurines Funko Pop, les gadgets technologiques, et les objets de collection sont des must-have pour tout geek qui se respecte. Ces accessoires ne sont pas seulement décoratifs ; ils sont des symboles d'appartenance à une communauté.
Espaces de vie personnalisés
Les geeks aiment personnaliser leur espace de vie avec des éléments qui reflètent leurs passions. Des posters de films cultes, des étagères remplies de bandes dessinées, et des bureaux équipés de l'équipement informatique dernier cri sont courants dans les foyers geeks.
Pourquoi embrasser un style de vie geek ?
Adopter un style de vie geek peut être épanouissant pour plusieurs raisons. Premièrement, cela permet de se connecter avec une communauté de personnes partageant les mêmes intérêts. Deuxièmement, cela offre une multitude de façons d'exprimer sa créativité et sa personnalité. Enfin, être geek signifie souvent être à la pointe de la technologie et des tendances culturelles, ce qui peut être très gratifiant.
Comment choisir le meilleur cadeau geek en 2024
Choisir un cadeau pour un geek peut sembler intimidant, mais il suffit de connaître ses passions. Les gadgets technologiques, les objets de collection rares, et les abonnements à des services de streaming sont toujours des choix sûrs. Pour plus d'idées, consultez cet article sur comment choisir le meilleur cadeau geek en 2024.
Conclusion & Avis
En résumé, la culture geek est bien plus qu'une simple passion pour la technologie ou les jeux vidéo. C'est un style de vie riche et diversifié qui permet à chacun d'exprimer ses passions et de se connecter avec une communauté mondiale. Que vous soyez un geek de longue date ou que vous découvriez cet univers fascinant, il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre et à apprécier.
Pour aller plus loin, explorez les nombreux aspects de la culture geek et embrassez pleinement votre passion. Vous ne serez jamais seul dans ce voyage, car la communauté geek est toujours prête à accueillir de nouveaux membres avec enthousiasme et passion.
N'oubliez pas de consulter nos autres articles et ressources pour approfondir vos connaissances et rester à jour avec les dernières tendances geek.
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Le guide ultime pour adopter un style geek en 2024
Le style geek a parcouru un long chemin, passant de la marginalité à une véritable tendance de mode. Aujourd'hui, être geek est non seulement accepté, mais aussi célébré. Dans cet article, nous allons découvrir comment créer un look geek unique et à la mode en 2024, avec des conseils pratiques, des exemples inspirants, et des liens vers des ressources utiles pour vous aider à adopter ce style avec élégance.
Qu'est-ce que le style geek ?
Le style geek est une fusion entre la passion pour la technologie, la culture pop et un sens unique de la mode. Il se caractérise par des vêtements et des accessoires inspirés de personnages de fiction, de jeux vidéo et d'autres éléments de la culture geek. Ce look est souvent associé à une certaine nostalgie pour les années 80 et 90, mais il s'adapte également aux tendances modernes.
Pourquoi adopter un style geek ?
Adopter un style geek est une manière de montrer votre passion pour la culture geek tout en restant à la mode. Cela permet également de se démarquer et d'exprimer sa personnalité de manière unique. De plus, le style geek est souvent confortable et pratique, ce qui en fait un choix parfait pour le quotidien.
Les éléments essentiels du style geek
Les T-shirts graphiques
Les T-shirts graphiques sont un incontournable du style geek. Ils sont souvent ornés de logos de super-héros, de personnages de jeux vidéo ou de citations emblématiques de films et séries. Choisissez des T-shirts de qualité avec des designs qui vous parlent vraiment.
Les accessoires geeks
Les accessoires sont essentiels pour parfaire votre look geek. Pensez aux lunettes épaisses, aux casquettes de baseball avec des logos de jeux vidéo, et aux sacs à dos inspirés de la culture pop. Ces accessoires ajoutent une touche ludique à votre tenue.
Pour en savoir plus sur comment créer un look geek unique et à la mode en 2024, consultez cet article détaillé.
Les chaussures confortables
Le confort est primordial dans le style geek. Optez pour des chaussures confortables comme des baskets ou des chaussures de course. Elles complètent parfaitement un look décontracté tout en restant stylées.
Les couleurs et motifs à privilégier
Les couleurs rétro
Les couleurs rétro comme le rouge, le jaune moutarde, et le bleu électrique sont très présentes dans le style geek. Elles rappellent les années 80 et ajoutent une touche de nostalgie à votre tenue.
Les motifs inspirés de la culture pop
Les motifs inspirés de la culture pop, comme les pixels, les bandes dessinées, et les étoiles, sont également très prisés. Ils apportent une dimension ludique et fantaisiste à votre look.
Les imprimés de super-héros
Les super-héros occupent une place centrale dans la culture geek. Les imprimés de super-héros sur les T-shirts, les sweats et même les pantalons sont un excellent moyen de montrer votre passion tout en restant à la mode.
Comment adapter le style geek à différentes occasions
Pour une journée décontractée
Pour une journée décontractée, optez pour un T-shirt graphique, un jean confortable et des baskets. Ajoutez une casquette ou des lunettes geek pour compléter le look. C'est une tenue parfaite pour une sortie entre amis ou une journée de détente.
Pour le travail
Il est tout à fait possible d'adopter un style geek au travail en choisissant des pièces plus sobres. Portez une chemise à motifs subtils avec un pantalon chino et des chaussures en cuir. Vous pouvez ajouter des accessoires discrets comme une montre geek ou des boutons de manchette inspirés de la culture pop.
Pour une soirée
Pour une soirée, misez sur des pièces plus audacieuses. Un blazer avec un motif de bandes dessinées sur la doublure, un T-shirt de super-héros et des chaussures élégantes feront sensation. N'oubliez pas les accessoires comme une ceinture geek ou un sac à main inspiré d'un film culte.
L'importance de la confiance en soi
Le style geek est avant tout une question de confiance en soi. Portez des vêtements et des accessoires qui vous plaisent et qui reflètent votre personnalité. N'ayez pas peur de vous démarquer et d'affirmer votre passion pour la culture geek.
Où trouver des vêtements et accessoires geeks
Boutiques en ligne
Il existe de nombreuses boutiques en ligne spécialisées dans les vêtements et accessoires geeks. Parmi elles, des sites comme ThinkGeek, SuperHeroStuff et BoxLunch proposent une large gamme de produits pour tous les goûts.
Magasins spécialisés
Certaines grandes villes disposent de magasins spécialisés dans la culture geek. Ces boutiques offrent une expérience unique et permettent de découvrir des articles rares et exclusifs.
Marchés et conventions
Les marchés et conventions geeks sont également de bons endroits pour dénicher des vêtements et accessoires uniques. Profitez de ces événements pour rencontrer d'autres passionnés et échanger des idées.
Les tendances geek en 2024
La mode éco-responsable
En 2024, la mode éco-responsable prend de l'ampleur, même dans le domaine geek. De plus en plus de marques proposent des vêtements et accessoires fabriqués à partir de matériaux recyclés ou durables. Adopter un style geek tout en respectant l'environnement est désormais possible.
La personnalisation
La personnalisation est une tendance forte en 2024. De nombreuses boutiques en ligne permettent de créer des vêtements et accessoires sur mesure avec des motifs et des couleurs de votre choix. Cela vous permet de créer un look geek unique et vraiment personnel.
La technologie intégrée
La technologie intégrée dans les vêtements est une autre tendance émergente. Des T-shirts avec des écrans LED, des vestes chauffantes intelligentes et des chaussures connectées font leur apparition. Ces innovations ajoutent une dimension futuriste au style geek.
Geek et bien-être : comment allier passion et santé
Être passionné par la culture geek ne signifie pas négliger sa santé. Au contraire, il est possible de concilier les deux. Adoptez un mode de vie sain tout en restant fidèle à votre passion en suivant quelques conseils simples.
Pour en savoir plus sur comment allier passion geek et bien-être, consultez cet article inspirant.
Conclusion & Avis
Adopter un style geek en 2024 est une manière de montrer votre passion pour la culture pop tout en restant à la mode. En suivant ces conseils, vous pourrez créer un look unique, adapté à toutes les occasions. N'oubliez pas que la clé est de rester fidèle à vous-même et de porter des vêtements qui vous plaisent vraiment.
Pour découvrir encore plus de conseils et astuces sur le style geek, n'hésitez pas à consulter les ressources disponibles en ligne et à participer aux événements de la communauté geek.
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Deux perceptions de la réalité peuvent être correctes et pourtant l’une peut être supérieure à l’autre. Les journaux titrent aujourd’hui que Trump a dû être escorté après que des bruits furent entendus. Ce n’est pas faux en soi, l’énoncé est factuel, mais c’est un choix de présenter la scène de façon partielle selon un point de vue minimisant sa portée émotionnelle. Ce qu’il s’est passé en réalité, c’est que Trump a évité un assassinat politique dont il était la cible.
Comment affirmer que l’une est supérieure à l’autre ? Car l’une offre une plus grande extropie que l’autre. C’est-à-dire qu’elle confère un sens qui permet une meilleure action dans le monde. Le véritable combat n’est alors pas tant celui de la vérité que celui de la défense du meilleur cadre conceptuel. Qu’est-ce qu’un cadre conceptuel ? Tout simplement une vision du monde. Et qu’est-ce qu’une vision du monde ? Ni plus ni moins qu’une religion.
Comme le remarque Curtis Yarvin, même dans nos sociétés sécularisées visant à séparer l’Église et l’État, la religion n’a pas disparu. Qu’est-ce qu’une religion ? Tout simplement l’institution qui offre une source de vérité selon Yarvin. Si on le reformule selon notre propos précédent, c’est en réalité l’institution offrant le cadre épistémologique dans lequel doit être interprétée la réalité. Par quelles institutions ce cadre est-il dicté aujourd’hui ? Yarvin offre ici aussi une réponse satisfaisante, la cathédrale, c’est-à-dire les universités et les médias.
Un parti politique ne peut pas dicter ce qu’est la vérité. Il ne peut même pas imposer une vision du monde. Il doit naviguer dans le cadre épistémologique qui est dicté par la cathédrale, et c’est pourquoi le RN fait ses meilleurs scores depuis qu’il lisse son propos pour ne rien incarner. Il n’incarne pas une vision du monde claire, mais attire tous les dissidents de la cathédrale. Un parti politique qui tentera d’imposer ce qu’il pense être la vérité selon son cadre épistémologique se heurtera à une dissonance apparente avec ce qui est tenu pour vrai dans la population et se condamnera à la marginalité. Un parti politique n’est pas l’espace adéquat pour dire la vérité. Elle doit être exprimée dans les médias, car ce sont les médias qui sont la lentille sur la réalité. Que s’est-il passé au meeting de Trump ? Je n’en sais rien par moi-même. Tout mon avis est construit par l’intermédiaire de contenus vidéos, d'images, de récits partagés sur les réseaux sociaux, qui dénotent du point de vue de médias officiels ou indépendants. La vision du monde ne peut pas être explicitée efficacement, elle passe par la bataille de l’information et des mots. Tout le travail meta-politique doit alors viser à combattre la Cathédrale en imposant notre vision du monde et nos mots, et pour ce faire, nous devons avoir un cadre conceptuel supérieur.
Rage
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« Faut-il vraiment s’étonner si le peuple se sente si mal représenté ? » - PAS DE DÉMOCRATIE SANS LE PEUPLE
ARTICLE – Emmanuel Macron, la démocratie et le peuple Gilles Achach. 28 juin 2024 TELOS Emmanuel Macron s’est fait élire il y a sept ans en promettant de sortir la vie politique de ses petits calculs partisans et de renvoyer l’extrême droite à la marginalité dont elle n’aurait jamais dû sortir. Sous ce double point de vue, il n’est sans doute pas excessif de dire que c’est un échec. La…
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Entre Marginalité et Avant-Garde : Passi Partage l'Histoire du Hip-Hop Français
Entre Marginalité et Avant-Garde : Passi Partage l'Histoire du Hip-Hop Français Dans ce premier épisode de la série "OG Pour Rookies", les rappeurs Ol'Kainry et Driver endossent le costume d'animateur pour une interview avec le légendaire MC de Sarcelle et membre du Minister Ämer, son altesse le double S, Passi. Ensemble, ils remontent aux racines du mouvement hip-hop français. Passi y évoque notamment l'époque où lui et son groupe étaient considérés comme "les vilains petits canards du hip-hop". Son groupe, le Minister Ämer, était considéré comme à part, différent des autres dans le paysage hip-hop français de l'époque. Passi explique qu'ils n'arrivaient pas à se faire une place bien définie car leur style ne correspondait pas aux codes établis : "on n'était pas assez hip pour les hips, on n'était pas assez pop pour les pops". Leur musique abordait des sujets jugés abstraits, presque conceptuels, ce qui détonnait. Certains allaient jusqu'à remettre en cause leur crédibilité et authenticité en tant que rappeurs : "ça veut dire quoi qu'on n'est pas authentiques parce que clairement c'est comme ça qu'ils le ressentent". Le groupe se retrouvait donc un peu mis à l'écart, comme des "vilains petits canards", des ovnis dans le milieu. Pourtant, Passi revendique ce côté inclassable et avant-gardiste, comparant leur album à "une œuvre d'art" plus qu'un simple disque. Cette singularité est assumée même si elle a pu compliquer leur parcours et la reconnaissance du public. Le concept n'est pas nouveau et notamment pour le big homie, Driver, mais un podcast / émission (car c'est sur Trace TV) qui donne ses fleurs aux pionniers de la culture Hip-hop en France est toujours le bienvenue. Se travail de passation se doit d'être fait pour que les plus jeunes, puissent, s'ils le veulent s'abreuver de culture et connaitre les racines de leur mouvement, devenu le n°1 des charts. Bon visionnage ! via Blogger https://ift.tt/GsSpA1k May 16, 2024 at 09:00AM
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[C Morel Durieux, Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce] […] je n'assume pas de me désintéresser du sort de mes congénères. Mais je ne sais pas non plus que faire de ce sentiment pressant que je n'ai plus devant moi que quelques belles années. Et si l'optimisme m'a depuis longtemps quitté, sur la marche du monde comme sur la nature humaine, la réflexion m'oblige à continuer à ne pas faire sécession. Non dans l'espoir de victoires futures, je ne crois plus aux actions déterminantes qui pourraient tout changer et je doute de plus en plus que nous soyons en mesure de redresser la situation, non, si je reste concentrée ce n'est plus dans l'objectif de gagner un jour. Pas que j'ai le moindre goût pour les batailles perdues d'avance ou pour la marginalité politique, mais la lucidité acquise au fil des ans, couplée à l'effondrement qui vient, me souffle qu'il est vain de prétendre changer le monde.Tout juste peut-on tenter d'en préserver la beauté, en gage de notre humanité. Avant d'avoir tout saccagé. S'il faut continuer c'est pour ça, pour la dignité du présent.
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Malgré quelques égarements, notamment en voulant traiter trop de sujets, #letempsdaimer est un mélodrame réussi, ambitieux et sincère où la tragédie de la marginalité se mélange au romanesque.
www.cinecritik.com
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