Tumgik
#Compagnie CNDC-Anger
larryland · 5 years
Text
Jacob's Pillow Dance Festival Announces COMPLETE Schedule
Jacob’s Pillow Dance Festival Announces COMPLETE Schedule
WITH 350+ PERFORMANCES, TALKS, EVENTS, EXHIBITS, CLASSES & WORKSHOPS
April 15, 2019 (Becket, MA)—Jacob’s Pillow announces the complete schedule of Festival 2019.
Featuring more than ten weeks with of over 350 ticketed and free performances, off-site pop-up
performances, exhibits, talks, classes, films, and dance parties, Jacob’s Pillow Dance Festival 2019 runs from June 19-August 25. Celebrating…
View On WordPress
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
15e Nuit des Musées - 18 mai 2019 de 19h à minuit au Musée de la Chasse et de la nature 60 rue des Archives 75003 Paris
LINK Conception réalisation ELIZABETH CRESEVEUR 12 minutes couleur sonore - 2010 - Commande CNDC / Angers D'après Shinbaï le vol de l'âme d'Emmanuelle Huyn, danseuse, avec Madame Okudaira Maître Ikebana.
« Les images et les sons proviennent d’un tournage que j’ai réalisé au centre chorégraphique d’Angers, à l’Orangerie du Château de Versailles, et au couvent des Récollets à Paris. Interrogation d’une pensée en train de se faire et donnant ainsi à voir le processus créatif engagé. Disséquer le mouvement, révéler des détails afin de rendre visible l’invisible.”
LINK sous forme d'un diptyque témoigne de cette relation binaire entre Emmanuelle Huynh et Madame Okudaira, un dialogue visuel et sonore de matières, de peaux, de mouvements, de gestes, de souffles… une immersion sensorielle, «végétale organique», au coeur de l’intimité. »
LINK a été projeté en 2013 au Symposium Architectures & Nature à l'Institut Franco - Japonais du Kansaï Kyoto et au festival Vidéodanse au Centre Pompidou.
« Nuit importante de la danse… »
Pour la deuxième année consécutive, le musée de la Chasse et de la Nature confie sa Nuit des Musées aux lauréats de la Villa Kujoyama à Kyoto.
Le programme de la soirée s’inspire librement du DainichidoBugaku (littéralement « journée importante de la danse, de la musique et du chant »), ensemble de danses étroitement mêlées à la musique et au chant que pratiquent les habitants du petit village japonais de Hachimantai. Pratiquées le deuxième jour de chaque année, ces danses forment un vœu de bonheur pour le Nouvel An.
C’est donc à une immersion dans les œuvres chorégraphiques des lauréats de la Villa Kujoyama que le public de la Nuit des Musées est convié cette année, entre performances au fil des salles du musée (compagnie Contour progressif – Mylène Benoît, compagnie Kubilai Khan Investigations – Frank Micheletti, DJ Yaguara) et diffusion d’un programme de vidéos dans son auditorium (Mylène Benoît, Elizabeth Creseveur, Emmanuel Guillaud & Takao Kawaguchi, Emmanuel Huynh, Frank Micheletti, Satchie Noro, Maria Donata d’Urso).
La Villa Kujoyama, construite en 1992 par l’architecte Kunio Kato, est aujourd’hui l’un des plus anciens et plus prestigieux programmes de résidences artistiques de recherche en Asie. La Villa Kujoyama est un établissement du réseau de coopération culturelle du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. Relevant de l’Institut français du Japon, elle bénéficie du soutien de la Fondation Bettencourt Schueller, qui en est le mécène principal, et de l’Institut français.
Cette 15e Nuit des Musées est l’occasion de poursuivre avec un éclat festif le partenariat initié en 2016 entre le musée de la Chasse et de la Nature et la Villa Kujoyama.
15e Nuit des Musées - 18 mai 2019 de 19h à minuit au Musée de la Chasse et de la nature 60 rue des Archives 75003 Paris
Photo 1 © Sumiko Oé-Gottini 2/5 © EC ADAGP
0 notes
javierpenadea · 6 years
Link
An Australia festival is to include Lucy Guerin; Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston and others perform for Merce Cunningham’s centennial.
0 notes
timothyabernard · 6 years
Text
Joyce Theater’s Spring Season Brings Australians and Cunningham Celebration
An Australia festival is to include Lucy Guerin; Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston and others perform for Merce Cunningham’s centennial. Article source here:New York Times Arts Section
0 notes
zestaffer · 6 years
Link
An Australia festival is to include Lucy Guerin; Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston and others perform for Merce Cunningham’s centennial.
0 notes
sysk-ehess · 6 years
Text
FAUSTIN LINYEKULA
Tumblr media
Attention : exceptionnellement le séminaire se tiendra un vendredi
Vendredi 1er juin 2018
Un séminaire dans le séminaire : COSMOCIDES : ART(S), VIOLENCE, 21e SIÈCLE, Guest Curators : Dominique Malaquais et Lionel Manga.
De 19h à 21h, à la MSH, 16-18 rue Suger 75006 Paris (métro Odéon ou Saint-Michel)
Danseur, chorégraphe, Faustin Linyekula a toujours un livre en tête, un chemin à prendre, un sac tout juste défait à refaire, une histoire à raconter, une ruine à reconstruire entre Kisangani où il vit aujourd’hui au Nord-Est de la République Démocratique du Congo (ex Zaïre, ex Congo Belge, ex État indépendant du Congo), Kinshasa, Lisbonne et le monde.
Tout commence à Kisangani avec une bande d’amis férus de théâtre, emmenés par un grand frère, Kabako, qui mourra quelques années plus tard à la frontière de l’Ouganda d’une maladie si anachronique en cette fin de XXe siècle qu’elle n’ose plus guère dire son nom, la peste… En 1993, Faustin quitte un pays de fin de règne -celui de Mobutu- et de début de chaos et s’installe à Nairobi. Débutent alors les allers-retours entre l’Ouganda, le Rwanda et le Kenya. En 1997, il fonde avec Opiyo Okach et Afrah Tenambergen la première compagnie de danse contemporaine au Kenya, Gàara. Leur création initiale, Cleansing, exploration des symboliques du nettoyage et de la purification, est primée aux Rencontres chorégraphiques africaines de Luanda en 1998. Malgré le succès, Faustin quittera la compagnie quelques mois plus tard pour reprendre la route entre la France, l’Afrique du Sud, la Réunion et la Slovénie.
En juin 2001, s’impose le retour au Zaïre devenu République Démocratique du Congo, déchiré par plusieurs années de conflits meurtriers. Le séjour de quelques semaines pour un atelier devient un choix de vie. Faustin met sur pied les Studios Kabako, structure pour la danse et le théâtre visuel, « un lieu où l’on travaille, où toujours on cherche et où parfois l’on trouve, un lieu où l’on doute mais où certains soirs s’impose une certitude ». Avec quatre danseurs qu’il forme, il crée Spectacularly Empty, carnet un rien désespéré d’un retour au pays natal. Commence alors une longue réflexion sur l’histoire et une mémoire collective sans cesse malmenée, bousculée, détournée par des dirigeants en mal de légitimité, incapables de penser le futur, mais aguerris à l’art délicat du passe-passe et de la substitution. Suivent Triptyque sans titre (2002), Spectacularly Empty II (2003), recréation pour boîte noire de la pièce de 2001, Radio Okapi (2003-04), performance mêlant radio en direct et artistes invités, chaque soir différents, Le Festival des mensonges (2005-06), veillée autour de la petite et de la grande histoire du Congo et The Dialogue Series: iii. Dinozord (2006). En 2007, Faustin travaille sur la mise en scène d’un texte de Marie-Louise Bibish Mumbu, La Fratrie errante. En 2008-09, il crée more more more… future, opéra ndombolo rock qui a tourné dans le monde entier et a reçu le Bessie Award de la meilleure composition musicale pour Flamme Kapaya en 2012. En 2009, il met en scène pour la Comédie Française (Studio Théâtre) et le Théâtre de Gennevilliers Bérénice de Jean Racine, une Bérénice qu’il reprend à sa façon et avec des comédiens congolais en 2009 en créant Pour en finir avec Bérénice. En 2011, il imagine son premier solo, Le Cargo, qui tourne toujours sur les scènes du monde entier. L’année suivante, il revisite à la demande du KVS Dinozord, une pièce de 2006 ;  naît alors Sur les traces de Dinozord. Après Drums and Digging, présentée au festival d'Avignon en 2013, Faustin signe un solo pour la danseuse sud-africaine Moya Michael, The Dialogue Series: iv Moya (2014), ainsi que le projet Statue of Loss, autour des soldats congolais ayant combattu en Europe lors de la première guerre mondiale. Parmi les autres collaborations, Raimund Hoghe imagine pour Faustin le duo Sans-Titre (2009) et La Création du monde 1923-2012, objet grandiose et non identifié pour 24 danseurs du Ballet de Lorraine (Nancy) et Djodjo Kazadi.
Faustin enseigne régulièrement en Afrique, aux États-Unis (University of Florida - Gainesville, University of Arizona - Tempe) et en Europe (Parts, CNDC Angers, Impulstanz). En 2007, il reçoit le Grand Prix de la Fondation Prince Claus pour la Culture et le Développement et a reçu en 2014 le grand Prix de la Fondation Curry Stone pour le travail développé avec les Studios Kabako sur Kisangani. En 2016, il était Artiste associé de la ville de Lisbonne.
[EN] Faustin Linyekula is a dancer and choreographer. Ever engaged in reading, traveling, breaking new ground, telling novel stories and rebuilding ruins, he lives and works between Kisangani, in North Eastern Democratic Republic of Congo (which was once Zaïre and, before then, the Belgian Congo and, earlier still, the Congo Free State), Kinshasa, Lisbon and the world at large.
His story begins in Kisangani, with a group of theater-loving friends led by one Kabako, who, some years later, near the border of Uganda, would die of a disease few speak of today, the plague. In 1993, as Mobutu Sese Seko’s reign drew to a close and chaos engulfed DRC, Faustin left his country to settle in Nairobi. While moving between Uganda, Rwanda and Kenya, in 1997, with Opiyo Okach and Afrah Tenambergen, he founded Kenya’s first contemporary dance company, Gàara. The company’s first piece, Cleansing, a reflection on rites and symbols of purification, was a prize winner at the 1998 African Choreographic Encounters of Luanda. In spite of this success, a few months later Faustin left Gàara for further travels, this time to France, South Africa, Réunion and Slovenia.
In June 2001, it became clear to Faustin that he needed to return to DRC, which was reeling from years of bloody conflict. What was meant to be a few weeks’ stay for a workshop turned into a life choice. Faustin founded Studios Kabako, an initiative centered on dance and theater – “a place for work, where one seeks and occasionally finds, a space where doubt and, on occasion, absolute certainty rub shoulders”. With four dancers studying at his side, he created Spectacularly Empty, based on his troubling experience of return to his native land. This ushered in a long period of reflection and research on the vagaries of history and collective memory in a country done intense violence by illegitimate and dishonest politicians incapable of imagining the future. Other works followed: Tryptique sans titre (2002); Spectacularly Empty II (2003); Radio Okapi (2003-2004), a performance involving live radio broadcasts and guest artists that, each evening, took on a new form; Le festival des mensonges (2005 2006), a wake in honor of DRC’s (his)stories; and The Dialogue Series: iii. Dinozord (2006). In 2007, Faustin adapted for the stage a text by Congolese writer Marie-Louise Bibish Mumbu, La fratire errante. In 2008-2009, he created more more more… future, a ndobolo rock opera that has since toured very widely and was awarded the Bessie Award for best musical composition in 2012 for its score by Flamme Kapaya. In 2009, Faustin directed Jean Racine’s Bérénice for the Comédie française (Studio Théâtre) and the Genevilliers Theater. Shortly thereafter, he reworked this adaptation with Congolese actors, under the title Pour en finir avec Bérénice. In 2011, he created his first solo, Le Cargo, which is still touring seven years later. In 2012, at the request of the Royal Flemish Theater, he revisited Dinozord, a 2006 piece; this resulted in a new creation titled Sur les traces de Dinozord. Then came Drums and Digging, which was shown at the Avignon Festival in 2013, a solo developed for South African dancer Moya Michael (The Dialogue Series: iv Moya, 2014), and Statue of Loss, in honor of Congolese soldiers who fought in Europe during WWI. Among Faustin’s many collaborations are two in particular that bear note:  his work with Raimund Hoghe, who, in 2009, created for Faustin a duo titled Sans titre, and La Création du monde 1932-2012, a 25-dancer piece that Faustin developed for the city of Nancy’s Ballet de Lorraine and dancer Djodjo Kazadi.
On a regular basis, Faustin teaches in Africa, the United States (University of Florida Gainesville, University of Arizona Tempe) and Europe (Parts, CNDC Angers, Impulstanz). In 2007, he was awarded the Prince Claus Fund for Culture and Development’s Principal Award and in 2014 he received the Curry Stone Design Prize for work undertaken with Studios Kabako in Kisangani. In 2016, he was designated Artista na cidade by the city of Lisbon.
Programmation et prochains rendez-vous sur ce site ou par abonnement à la newsletter : [email protected]
Pour regarder les séminaires antérieurs : http://www.vimeo.com/sysk/
Séminaire conçu et organisé par Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Natasa Petresin-Bachelez et soutenu par la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte.
0 notes
ianbagleyinfo · 7 years
Text
Review: French Dancers Show Three Faces of Merce Cunningham
Ian Bagley's New Blog Post
At the Joyce Theater, Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston displays and celebrates the broad range of Cunningham’s choreography.
from NYT > Arts http://ift.tt/2nYE4H6
via WordPress http://ift.tt/2nF4YC8
0 notes
larryland · 5 years
Text
Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston Debuts at Jacob’s Pillow as Part of Merce Cunningham Centennial
Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston Debuts at Jacob’s Pillow as Part of Merce Cunningham Centennial
June 14, 2019—Jacob’s Pillow presents the Pillow debut of Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston as part of the global Merce Cunningham Centennial, July 3-7 in the Ted Shawn Theatre. Under the direction of Robert Swinston, a longtime Merce Cunningham Dance Company member, later assistant to the choreographer, and finally director of choreography, France’s National Center for Contemporary…
View On WordPress
0 notes
javierpenadea · 7 years
Link
At the Joyce Theater, Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston displays and celebrates the broad range of Cunningham’s choreography.
0 notes
zestaffer · 7 years
Link
At the Joyce Theater, Compagnie CNDC-Angers/Robert Swinston displays and celebrates the broad range of Cunningham’s choreography.
0 notes