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#\Prescott Historique
swpics · 2 months
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The Alpine GTA LM won its class at Prescott Historique. Report in the current issue of Classic and Competition car magazine. Free to read at www.classcompcar.com
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Scream 2 de Wes Craven
Synopsis : Sidney Prescott, une des réelles survivantes du premier massacre, s'est inscrit à la fac de Windsor où elle apprend l'art dramatique, avec son ami Randy. Suite à un nouveau fait divers, la jeune femme prend peur et ne peut à nouveau plus faire confiance. Surtout qu'un meurtre intervient dans l'enceinte même du campus.
durée : 2h / année de sortie : 1997
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Toujours avec la même volonté de renouveler le genre du slasher et de proposer quelque chose de nouveau aux spectateurs, Wes Craven donne une suite au premier Scream. Pourtant tous les cinéphiles le savent : la suite est toujours inférieure à l’original. De ce postulat, Craven pousse encore plus son scénario, avec des surprises encore plus grandes.
Il reprend le modèle du murder mystery et la révolution du premier opus où l’on ne sait pas qui se cache derrière le masque jusqu’à la fin. Ainsi tous les personnages sont suspects et c’est avec cela que le réalisateur joue. Pour continuer cette enquête, différents éléments du premier film deviennent des pistes de réflexion (les noms des victimes suivant l’ordre des meurtres du précédent film, etc.). Il reprend les choses telles qu’il les avait employés dans Scream mais en étant ambigu pour jouer avec le spectateur. Ainsi, le nouveau petit-copain de Sidney est un coupable facile, et les nombreux jump scare, arrivée après le tueur, etc. tendent à nous aiguiller dans ce sens. Pourtant, cela aurait été trop facile et Craven n’a pas choisi cette voie.
En effet, Craven continue d’explorer la piste familiale et de mettre son meurtrier dans la lignée directe de l’élément originel de la franchise. Ainsi, ce n’est plus Billy Loomis le meurtrier mais sa mère, Deb, elle aussi une victime collatérale des infidélités de Maureen Prescott. Craven cherche donc à rester au cœur des films d’horreur, souvent liés à des histoires de famille.
L’autre meurtrier, Mickey, amène lui à la réflexion générale de cette suite : l’impact des films d’horreur dans la société. Ainsi le personnage montre une grande fascination pour eux et établit que sa défense pour un procès sera celle de l’impact de la violence des médias sur lui. Ainsi, comme vu dans le premier Scream où Craven jouait avec l’écran dans l’écran grâce aux références aux slashers historiques, ici il nous propose une mise en abîme où notre histoire devient elle-même un film (Stab).  La question de la violence provoquée par les films d’horreur est d’ailleurs proposée d’entrée de jeu avec le personnage de Jada Pinkett-Smith qui meurt assassinée à la première de Stab, devant l’écran de cinéma sans aucune réaction du public, alors obnubilé par une violence qu’il pensait fausse.
Les règles pour faire une suite mentionnent d’ailleurs cette violence qui doit être exacerbée. Effectivement, beaucoup plus de sang, beaucoup plus de morts sont montrés, dans des scènes très graphiques. Ainsi, la volonté est-elle de surpasser l’original par un afflux de violence supérieure ? Cela, de fait, n’affirmerait pas le postulat du meurtrier que l’art impact le réel ? Non. Craven choisit de faire une scène de course poursuite où Sidney, interprétant Cassandre d’après une tragédie grecque, est sur scène et le Ghostface la poursuit parmi les différents figurants. Ainsi le réalisateur nous montre que la violence, les meurtres ont toujours été représentés dans les arts, et ce depuis la nuit des temps donc insinuer que les films d’horreur donnent des envies de meurtre est faux. Cette réflexion est d’ailleurs affirmée quand Deb tue Mickey, disant que son idée de défense est complète idiote.
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En définitive, je trouve que cette suite est réussie car elle réussit à reprendre les éléments marquants du premier volet (le suspens, l’identité masquée des meurtriers tout le long, les dialogues) et à incorporer des éléments nouveaux. Du point de vue de la mise en scène, ce que je trouve très réussi dans ce volet sont les plans larges qui permettent de voir le Ghostface se déplacer, chercher, se cacher, ce qui donne plus de profondeur au sentiment de peur. Le discours méta-critique ici proposé est à l’encontre des médias qui remettaient la faute sur les films une violence « exacerbée » qui donnait des idées aux spectateurs. Craven est clair sur ce point-là en montrant la dissociation entre art et réalité. D’autant plus que pour moi ce n’est pas anodin que Deb se présente comme une journaliste : elle représente alors les médias et le fait qu’elle tue peut amener le discours vers le point où les médias montrent eux-mêmes de la violence tous les jours dans les journaux d’informations, et qu’elle aussi peut inspirer des spectateurs, d’autant plus qu’à la différence des faux-meurtres dans les films, là c’est du concret.
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houseofsenara · 5 years
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PRESCOTT, Lara • The secrets we kept (2019)
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At the height of the Cold War, two secretaries are pulled out of the typing pool at the CIA and given the assignment of a lifetime. Their mission: to smuggle Doctor Zhivago out of the USSR, where no one dare publish it, and help Pasternak's magnum opus make its way into print around the world. Glamorous and sophisticated Sally Forrester is a seasoned spy who has honed her gift for deceit all over the world--using her magnetism and charm to pry secrets out of powerful men. Irina is a complete novice, and under Sally's tutelage quickly learns how to blend in, make drops, and invisibly ferry classified documents.
Lara Prescott signe avec The secret we kept son premier roman. Elle s’inspire d’une histoire vraie pour bâtir son intrigue, celle de la publication à l’Ouest du roman de Boris Pasternak, Docteur Jivago, avant même l’URSS qui refusait de le publier. À cela, s’ajoute une histoire d’espionnage, en pleine Guerre Froide.
Le roman se découpe en deux parties qui correspondent au clivage Est/Ouest. Avoir les deux points de vue a été intéressant durant toute la lecture. À l’Est, l’auteur évoque la relation de l’auteur Boris Pasternak avec sa maîtresse et muse, ce qu’elle a vécu à cause de lui, l’écriture de son roman et la manière dont il a été finalement publié. À l’Ouest, ce sont les secrétaires qui ont retenu l’attention de l’auteur, notamment deux : une ancienne de l’OSS qui a officié durant la Seconde Guerre mondiale et une jeune Russo-américaine qui vient tout juste d’être recrutée. Finalement, les deux parties se complètent bien, car elles permettent d’avoir tous les tenants et aboutissants de la “Mission Jivago”. Leur alternance est bien réalisée, elle ne coupe pas le rythme de l’intrigue. C’est souvent un reproche que je formule dans les romans à plusieurs voix ou temporalités : un rythme inégal. Et un intérêt variable.
Le tout est cohérent et la frontière entre la réalité historique et la fiction est bien mince, car Lara Prescott s’inspire de beaucoup de faits avérés. Quand je lis un roman historique, c’est pour moi un point essentiel de brouiller les délimitations entre réalité et fiction. J’aime refermer un livre en me demandant quels aspects relèvent de quoi et, du coup, de vouloir en savoir plus, de faire des recherches sur le sujet. J’apprécie encore plus quand l’auteur, à la fin de son ouvrage, cite les ouvrages de référence qu’il a consulté. Même si c’est un roman, et par définition une oeuvre de fiction, je trouve cela très bien de mettre les sources. Cela permet de pouvoir les consulter et d’explorer ce sujet, tout en donnant des idées de lecture. Je suis parfois frustrée dans certains livres où l’auteur ne donne pas une petite bibliographie, car c’est vraiment un point qui attise ma curiosité.
Chaque partie est passionnante à sa manière, car elles abordent des thématiques très diverses et largement documentées. Il y a des thèmes que j’ai véritablement trouvé passionnant tels que la place des auteurs en Russie et la manière dont ils sont considérés (le gouvernement leur a offert des datchas dans un endroit spécifique, pour mieux les contrôler, leur obligation de publier d’abord en URSS avant de pouvoir le faire à l’étranger...), la manière dont l’Agence assurait une propagande américaine à travers la littérature et notamment en essayant de faire passer en URSS des ouvrages qui ont été refusés dans le pays, écrits par des auteurs russes comme Docteur Jivago. J’ai trouvé cette idée intéressante, comme une espèce de guerre passive basée sur la littérature, la musique et le cinéma et le pouvoir qu’ils peuvent avoir à nous faire réfléchir, à semer les graines d’un changement.
Cependant, un des aspects sur lequel j’ai été passionnée est le sort des femmes qui ont servi comme espionne, à des degrés différents durant la Seconde Guerre mondiale et le peu de reconnaissance qu’elles ont eu de leur pays à la fin qui les a relégué à des postes de secrétaire. Un autre aspect de The secrets we kept m’a également interpellé et c’est un sujet que je retrouve peu dans mes lectures. En dire plus en dévoilerait beaucoup de l’intrigue, car c’est aussi un des petits rebondissements de l’histoire, et j’ai trouvé intéressant de l’avoir inclus, car cela a permis de montrer un fait historique parfois peu connu.
Beaucoup de points positifs se dégagent de cette lecture. Elle est très bien construite et absolument passionnante d’un bout à l’autre. J’ai eu du mal à la mettre de côté ne serait-ce que quelques minutes, car je me suis attachée aux différents personnages, même s’il faut s’accrocher au début pour savoir qui est qui, surtout dans la partie “Ouest”. Les chapitres ne sont pas intitulés selon le nom des personnages principaux, qui ne sont, d’ailleurs, que des femmes uniquement. Ils donnent leurs fonctions et la manière dont elles évoluent au fil des pages, “The Mistress”, “The Carrier”, par exemple. Un coup de coeur pour ce roman d’espionnage. Quant à savoir si la lecture du Docteur Zhivago est obligatoire pour lire ce roman, la réponse est non. Mais je referme ce livre en ayant une envie de folle de courir en librairie l’acheter pour découvrir cette histoire qui a déchaîné les passions.
Pour aller plus loin, voici quelques suggestions de lecture, de films ou séries sur des thèmes similaires ou proches.
Saga Moscovite de Vassily Axionov : une saga familiale qui couvre plusieurs années. Nina Gradov est une poétesse et, à travers son histoire, elle croise de nombreux artistes. Une autre manière de comprendre les positions difficiles des artistes (écrivains, peintres, sculpteurs) dans la Russie communiste.
Une journée d’Ivan Denissovitch d’Alexandre Soljéntsyne : le livre raconte une journée dans un camp en Sibérie. Une oeuvre à lire absolument.
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swpics · 2 months
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Classic Fiat 124 Spider still won its class at Prescott Historique with David Fripp. Report on the event in the current issue of Classic and Com petition Car. Free to read at www.classicandcompetitioncar.com
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swpics · 3 months
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The July issue of Classic and Competition Car is now online. In this issue we have a report from the Manx rally 2024, the British Hill Climb Championship from Shelsley Walsh, Prescott Historique hill climb, the CSCC Summer Spectacular at Silverstone and the Classic and modern Motorsport Festival at Mallory Park plus loads more. Free to read at www.classcompcar.com
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swpics · 2 months
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The Ex Niki Lauda V12 BRM P160E from 1973 sounded fantastic at Prescott Historique in May. See our report from the event in the current issue of Classic and Competition Car magazine. Free to read at www.classicandcompetitioncar.com
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