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Intellectually refilled after a conferance of Tariq Ramadan about the contributions of Muslim civilisation #inspiration #love #islam #intellect #brainstrerbation #TariqRamadan #blessed #islamicethic #unige #philosophy #theology #brightening #debate #muslimandproud #faithinhumanity (à University of Geneva)

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#cornsnake #snowmotley #hiding #hair Xir found the best place to be... warm, hidy, messy and smelling delightly good hahaha !

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Serre moi. Serre moi, Serre moi, putain. SERRE MOI. Oh pis vas-y sers toi

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Nous nous oubli(er)ons.

C. (via inexorablemente)

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Il me rappelle à ma propre mortalité en s'affichant parmi les immortels.

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Aimer quelqu'un ce n'est pas aimer ce qu'il nous fait ressentir. Ce n'est pas l'aimer parce qu'il nous fait nous sentir bien. C'est l'aimer indépendamment de nous, indépendamment de ce qu'on ressent, indépendamment de notre mal être. C'est l'aimer pour lui, pour ce qu'il est profondément, pour ses qualités et pour ses défauts. Aimer quelqu'un ce n'est pas l'utiliser comme remède à nos douleurs.

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So tue....

L'image qu'on a de quelqu'un peut changer radicalement en moins d'une semaine…et c'est comme une bourrasque dans la gueule

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Cest magnifique ce que tu écris! Continue comme ça!

Merci beaucoup :* j’y compte bien !! je viendrais checker tes écrits régulièrement :)

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Sans rancune je fais la une. Des potins je suis la cible. Évidemment avec mes dunes, Comment être insensible ?

Les jalouses je les connais. Des parias aux femmes de renoms, Je les ai toutes tirées de mes crochets. Leurs maris évanouis pleurent mon nom.

Et dignement je fais la belle J’arrache à leurs lits Les hommes un peu trop petits. Leur donnant le plaisir inouï D'être le héro d’une nuit...

Dans Paris on me hèle À Londres on me fuit À New York je suis reine En Arabie on me craint

-Au fond de moi je suis une putain-

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K-K-Kairos, cueille! cueille.

Si l’amour que tu me donnes s’étend. Le mien ne dure qu’un instant.

Kairos.

Pour que ça reste, je m’affaisse sous ton poids grandissant, j’explore un monde envoûtant. Où l’amour d’une nuit n’a d’égal que la vie.

Kairos.

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Sincérité, elle te tien ! Très beau, sans artifices <3

tu sors une personne de son mal être, puis un jour elle t'abandonne et tu deviens comme son passé à elle. mais cette fois ci y’a personne, y’a personne. j'comprends toujours pas où c'est que j'ai merdé dans ma vie pour en arriver là. et je sais toujours pas c'est quoi le pire entre avoir envie de crever et de ne pas oser crever. concrètement j'me fais pitier, j'ai même pas besoin qu'on ai pitié de moi

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<3 Magnifique <3

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Mon cœur s'adresse à tous ceux qui ont peur, au quatre coins du monde. Nous avons la vie, ils ont la mort. Nous avons l'espoir, ils n'ont que la mort. Nous avons des cœurs purs, ils n'ont toujours que la mort. Face à la noirceur, nous avons la lumière. Et quand le soleil brille il ne laisse place à la nuit, lorsque le soleil brille, la vie. 

Selmagical

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Tu es un rêve un voyage une larme Tu es un bateau un rivage une vague

Selmagical

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” C'est vrai, nous n'avons plus le temps. Plus le temps de prendre le temps, plus le temps de le perdre, plus le temps de nous aimer, plus le temps de vivre. Dans quelle Histoire se dira désormais le battement de nos pouls, les émois de l'attente, la musique des âmes ? Le temps de cette "Histoire", dont la superstition moderne voudrait nous faire croire qu'il est notre temps. [...] Le temps des horloges; son tic-tac mécanique jamais n'éprouvera le frémissement d'un coeur, l'éclair de l'intuition, les langueurs de l'ennui, il ne saura jamais rien ni de l'instant ni de l'éternité. Le temps des machines n'est pas celui du coeur, il ignore le coeur, il ne devient le maître qu'à faire taire en chacun la musique du coeur, pour mieux nous faire choses, automates, machines à notre tour. [..] Point n'est besoin de convoquer ici grands penseurs et mystiques, l'expérience sensible de la durée contredit aussitôt l'impérialisme du chronomètre : faut-il que nous soyons bien bas pour oublier ainsi que chacun porte en lui son temps propre, que chacun a son rythme, sur lequel déployer ses espaces intérieurs ! Le temps du chronomètre est celui de M. Tout-le-Monde, c'est à dire de personne - et il nous fait "personne" quand il nous domestique. “

Michel Le Bris

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Funambule.

J'étais comme le plus doué des funambules, marchant sur mon fil. Les yeux fermés. 

D'un pas assuré et glissant. Gravissant chaque mètre avec une agilité et une grâce qui semblaient n'avoir été données à personne. 

Un équilibre bien rodé, après des années d’entraînements.  -Puis tu es entré dans ma vie-  Une discipline pourtant connue mais semblant si nouvelle, unique.

Finalement insurmontable. 

Et l'ivresse à commencé. Déséquilibrée, je découvre une autre réalité. La vue trouble et l'âme enfantine, je ne mesurais pas les risques.  Et mon pas s'est vite désenchanté, voyant le fil se dérober. Cette aisance se défiler. La terre tourner.  Et puis au réveil ce mal de crâne, ces "pourquoi?" Ces "comment?" Ces rires incessants; puis ce mal de crâne.  Celui qui vous change un Homme.  Et rebelote à la nuit tombée, je me revois plonger dans cette cuve acide, rouge sang qui me fait chavirer.  Le funambule qui était en moi, s'était métamorphosé. Le fil, je ne le voyais plus. Et le but non plus. Je suis devenue ce gentil clown, mimant, gauche, le funambule sur son fil au raz du sol. Qui dans son intime tristesse, trouve de la joie à rire de sa veulerie et de ses enfantillages.  Trouvant, à raison, derrière un humour jaunissant, que rien ne sert de ricaner du pauvre clown souriant; lorsque l'on sait qu'à l'intérieur, il est un funambule rayonnant.

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À toi, Marc Tétévi Kélagni Kodjo Eklu- Natey

Une ficelle dorée, quête, quiétude, rareté.

A l'aube de la vie, la terreur en lui s'agrandit. Sans un bruit il décide.

Réminiscence des jours passés, le vide l'envahit.

Las de lutter, de se remémorer.

Ivre, il glisse.

Dans sa terrible douleur, il coupe

Le fil.

Au bout de sa ficelle, une étincelle.

Il préfère l'or. L'or de la mort.

Celle-ci s'offrant alors comme la meilleure alliée.

Destins chassés d'une âme embrumée.

Selmagical